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Etudiants-salariés, salariés-étudiants, les résultats d'une enquête auprès des étudiants de 1er cycle de l'UFR de sciences économiques de Grenoble

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HAL Id: halshs-00126026

https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00126026

Submitted on 23 Jan 2007

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Etudiants-salariés, salariés-étudiants, les résultats d’une enquête auprès des étudiants de 1er cycle de l’UFR de

sciences économiques de Grenoble

Gilles Margirier

To cite this version:

Gilles Margirier. Etudiants-salariés, salariés-étudiants, les résultats d’une enquête auprès des étudiants de 1er cycle de l’UFR de sciences économiques de Grenoble. 2006. �halshs-00126026�

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2006 #

8

Efficience et Mutations des Organisations Industrielles

Etudiants-salariés, salariés-étudiants, les résultats d’une enquête auprès des étudiants de 1

er

cycle de l’UFR de

sciences économiques de Grenoble G

ILLES

M

ARGIRIER

gilles.margirier@upmf-grenoble.fr

Octobre 2006

Note de TRAVAIL

Laboratoire d’Economie de la Production et de l’Intégration Internationale – FRE2664 UPMF-BP47 -38040 GRENOBLE Cedex 9

lepii@upmf-grenoble.fr Tél. : 04 76 82 56 92 http://www.upmf-grenoble.fr/lepii

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Résumé :

Les comparaisons européennes tendent à montrer que le taux d’emploi des étudiants français se situe, avec celui de l’Espagne, dans une position intermédiaire entre les niveaux de l’Italie et du Portugal et ceux, nettement plus élevés de pays comme l’Allemagne, l’Autriche, la Finlande, l’Irlande, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni.

Une enquête menée à l’UFR de Sciences Economiques de Grenoble, auprès de 905 étudiants de 1ere, 2e et 3e année de 1er cycle montre que 16,5 % d’entre eux occupaient un emploi d’une durée moyenne de 15 heures au moment de la rentrée universitaire, en septembre 2006. Le taux d’emploi progresse avec le niveau d’études, passant de 10 % en 1ere année à près de 30 % en 3e année. On estime à un sur quatre le nombre d’étudiants ayant occupé un emploi salarié l’an dernier, à un moment ou un autre de la période d’études.

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Les comparaisons européennes (Eurostudent [2005]) tendent à montrer que le taux d’emploi des étudiants français se situe, avec celui de l’Espagne, dans une position intermédiaire entre les niveaux de l’Italie et du Portugal et ceux, nettement plus élevés de pays comme l’Allemagne, l’Autriche, la Finlande, l’Irlande, les Pays-Bas ou le Royaume- Uni.

Assiste-t-on à un rattrapage de ces pays par la France ? Avec la démocratisation de l’accès à l’enseignement supérieur, de plus en plus de jeunes d’origine modeste étudient à l’université sans pouvoir compter sur l’aide de leur famille. Par ailleurs, on a assisté ces dernières années à un renchérissement important du coût de la vie dans les grandes zones urbaines, notamment en matière de logement. Les prix de l’immobilier ont fortement augmenté, phénomène renforcé, pour le logement étudiant, par un déséquilibre important entre l’offre et la demande. Enfin, les universités, dont la situation financière s’est dégradée, sont de plus en plus tentées de reporter sur les étudiants une partie du financement des services qu’elles leur rendent.

Peu d’études fournissent des informations précises sur cette réalité (Céreq [1997], OVE [2002]). La plus complète est celle publiée en 2001 par l’Insee, utilisant des données tirées du panel européen des ménages et relatives aux années 1994, 1995 et 1996. Elles sont donc relativement anciennes. Les principaux résultats de cette étude étaient qu’un tiers des étudiants ou élèves âgés de 17 à 30 ans, exercent dans le courant de l’année, une activité rémunérée. Parmi les 32 % concernés, l’activité se limitait à un « job d’été » pour 17 % d’entre eux. 7 % travaillaient de 1 à 6 mois dans l’année et 8 % plus de 6 mois dans l’année, hors emplois estivaux. Au total donc, 15 % de la population concernée travaillait pendant la période scolaire, le chiffre étant de 13 % au niveau ‘bac + 2’ de l’enseignement supérieur et de 28 % au niveau supérieur à ‘bac + 2’.

Toutes les universités sont aujourd’hui concernées par cette question. Elles sont en effet amenées à se pencher davantage sur l’analyse de leur activité, à bâtir des indicateurs de performance, voire à faire entrer les services d’éducation dans une relation de clientèle et pour cela à mieux connaître leur public. Etudiants, étudiants-salariés, salariés-étudiants ? La question se pose de savoir dans quelles conditions nos étudiants effectuent leurs études.

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A l’occasion de la rentrée universitaire, une enquête1 a été réalisée à l’UFR de Sciences Economiques de Grenoble, auprès des étudiants de 1ere, 2e et 3e année de la licence générale « Economie-Gestion » 2. La formule choisie a garanti un très bon taux de réponse à cette enquête. D’une part le questionnaire était succinct et d’autre part les étudiants devaient le retourner au secrétariat de scolarité en même temps que d’autres documents administratifs, lors de l’inscription pédagogique.

Au total, 905 questionnaires ont été recueillis, représentant la quasi-totalité des inscrits à cette date. 43,8 % d’entre eux sont inscrits en 1ere année, 29,3 % en 2e année, 27 % en 3e année. Les résultats sont détaillés dans les sections suivantes.

QUELLE PROPORTION DETUDIANTS SALARIES ?

A la question suivante : « Pour l’année universitaire qui commence et hors vacances scolaires, occuperez-vous un emploi salarié ? », 16,5 % ont répondu positivement, 43 % ont répondu négativement, 25,4 % ont répondu qu’ils ne savaient pas encore et 15,1 % ont déclaré « chercher actuellement un emploi ».

Le graphique ci-dessous détaille ces résultats selon le niveau d’études suivies. Il montre que le travail salarié concerne davantage les étudiants avancés : plus d’un quart des étudiants inscrits en L3 avaient dès la rentrée un emploi salarié et 19 % recherchaient un emploi, soit une « population active » représentant 45 % des inscrits. Ce chiffre tombe à 29,9 % en L2 (15,7 % ont un emploi et 14,2 % en recherchent un) et 24,5 % en L1 (10,9 % ont un emploi et 13,6 % en recherchent un)3. Le besoin ou l’envie de travailler sont également croissants avec le niveau d’études. Plus nombreux à travailler, les étudiants de L3 le sont aussi à déclarer rechercher un emploi (18,6 % contre 14,2 % en L2 et 13,6 % en L1).

Graphique 1 : Proportion de réponses à la question : « A la rentrée universitaire, occuperez-vous un emploi salarié ? »

1 Cette enquête a été menée dans le cadre du département de 1er cycle dans lequel l’auteur enseigne. Elle doit beaucoup à Alain Laurent, son Directeur, qui en a permis la réalisation, aux secrétaires de scolarité qui ont distribué et réceptionné les questionnaires ainsi qu’à Nadège Roselli qui en a assuré la saisie informatique.

2 La licence Economie-Gestion ne comporte aucun dispositif d’aménagement d’horaire pour les étudiants salariés. Les enseignements sont dispensés du lundi au vendredi, de 8 h à 20 h. Ils ont la possibilité de choisir, dans la mesure du possible, le groupe de travaux dirigés qui correspond le mieux à leurs horaires de travail. Le règlement des études les autorise, en outre, à demander une dispense de travaux dirigés dans une ou plusieurs matières. Si elle leur est accordée, la note d’examen final remplace la note de contrôle continu dans le calcul de la moyenne ce qui, la plupart du temps, pénalise les étudiants.

3 La proportion serait-elle encore croissante pour les étudiants de Master ? D’une part, il est connu que le taux d’emploi augmente avec l’âge. Mais d’autre part, les études en Master peuvent demander plus de travail personnel et donc contrebalancer cette tendance.

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25,4

43,1 15,1

16,5

24,4 30,6 18,6

26,5

23,8

46,4 14,2

15,7

27,0

48,5 13,6

10,9

0,0 10,0 20,0 30,0 40,0 50,0

Je ne sais pas Non Je cherche actuellement du travail

Oui

1ère année 2e année 3e année Total

Les indicateurs classiques du marché du travail sont généralement des indicateurs instantanés (taux de chômage, taux d’activité, taux d’emploi, etc.), mesurant une situation à une date donnée. Toutefois, en cours d’année, certains abandonneront un emploi trouvé en début d’année, d’autres seront parvenus à décrocher un job dans les mois qui suivent la rentrée universitaire. Combien d’étudiants auront occupé un emploi durant le laps de temps que représente l’année universitaire ?

Il ne nous est évidemment pas possible de répondre à cette question pour l’année universitaire en cours mais on peut chercher à estimer ce chiffre. Tout d’abord, si l’on ajoute aux 16,5 % qui en occupent un, les 15 % qui recherchent un emploi, le chiffre de 31,5 % nous donne un maximum pour la proportion de ceux qui sont susceptibles d’être salariés à un moment ou un autre de l’année universitaire.

Les réponses à la question « avez-vous occupé un emploi l’an dernier ? » nous permettent plus de précision dans l’estimation. On considère pour cela le sous-échantillon de ceux qui étaient inscrits dans la filière l’an dernier ce qui amène à exclure les primo-inscrits en L1 (qui n’étaient donc pas dans l’enseignement supérieur ou pas dans cette filière l’an dernier) et à ne conserver que les redoublants. L’échantillon est par ailleurs biaisé par le fait que les étudiants en 1ere année de master n’ont pas été interrogés et ne peuvent donc témoigner des emplois occupés en L3 l’année précédente. Seuls peuvent le faire ceux qui redoublent

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l’année de L3 (ce qui devrait biaiser le résultat ‘vers le haut’, les redoublants étant plus souvent salariés ; voir ci-après). La proportion obtenue est 25,5 %. Aux réserves près concernant le biais d’échantillonnage, on peut donc considérer qu’un étudiant sur quatre occupe, à un moment ou un autre de la période de cours, un emploi salarié. Décliné par année, la proportion est de 19,4 % en 1ere année, 29,9 % en 2e année, 34,0 % en 3e année.

LES REDOUBLANTS ET LES INSCRITS DANS LES PARCOURS SPECIALISES

Les étudiants salariés sont plus nombreux parmi les redoublants : plus d’un redoublant sur deux (56,5 %) occupe un emploi (32,3 %) ou en recherche un (24,2 %) contre 32 % des primo-inscrits.

La licence Economie-Gestion comporte, à partir de la 2e année, des enseignements spécialisés, au choix des étudiants et définissant trois parcours : un parcours « Analyse Economique et Gestion de l’Entreprise » qui regroupe la plus forte proportion des étudiants (66,7 %), un parcours « Politiques Economiques et Sociales » (23,1 %) et un parcours « Analyse Economique et Modélisation » (10,1 %). Il est intéressant d’observer que les étudiants de ces trois parcours ont des taux d’activité très voisins compris entre 38 % et 40 %, mais ont par contre des taux d’emploi assez différents, plus élevés pour les étudiants du parcours AEGE (25 %) que des deux autres (respectivement 21 % et 13 %).

L’attitude face au travail salarié n’est donc pas différenciée selon les parcours choisis mais la capacité à trouver un emploi semble l’être, ceux dont le parcours est le plus tourné vers les métiers de la gestion d’entreprise tirant mieux leur épingle du jeu.

LA PERMANENCE DE LEMPLOI AU COURS DES ETUDES

Le comportement des étudiants est relativement pérenne : seulement 7,9 % de ceux qui n’occupaient pas d’emploi l’an dernier en occupent un en septembre 2006 et 13,6 % en recherchent un, alors que 54,5 % de ceux qui en occupaient un persévèrent cette année et que 20,5 % sont à la recherche d’un emploi.

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LE TEMPS DE TRAVAIL

Les étudiants salariés travaillent en moyenne 14,5 heures par semaine.

Le tableau ci-dessous retrace la répartition selon le temps de travail. On voit que la plupart des étudiants (88 %) travaillent entre 6 heures et 20 h par semaine. Les 2/3 des étudiants salariés travaillent plus de 10 heures et 40 % travaillent plus de 15 h par semaine. Si l’on retient un horaire de cours de 19 heures, ils sont 22 % (un étudiant salarié sur cinq) à travailler autant ou plus à côté de leurs études.

Tableau 1 : Répartition des étudiants salariés selon le temps de travail hebdomadaire

DUREE % % cumulés

moins de 6 h 4,4 4,4

entre 6 et 10 h 29,7 34,1 entre 11 et 15h 26,1 60,1 entre 16 et 20h 31,9 92,1 entre 21 et 25 h 4,4 96,4

plus de 25h 3,6 100,0

Le graphique montre en outre que la distribution présente des pics marqués pour 10 heures, 15 heures et 20 heures de travail.

7

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Graphique 2 : Répartition des étudiants salariés selon le nombre d’heures de travail

0,0%

2,0%

4,0%

6,0%

8,0%

10,0%

12,0%

14,0%

16,0%

18,0%

20,0%

4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38

nombre d'heures

Le temps de travail augmente très légèrement avec le niveau d’études avec un saut plus marqué entre L2 et L3 : en moyenne les étudiants salariés de L1 travaillent 13,7 heures, ceux de L2, 14 heures, ceux de L3, 15,4 heures. Le tableau ci-dessous détaille les temps de travail selon le niveau d’études.

Tableau 2 : Temps de travail selon le niveau d’études

1ère année 2e année 3e année

Moins de 10 h 38,5 35,9 30,0

entre 11 et 15 h 25,6 23,1 28,3

entre 16 et 20 h 30,77 33,33 31,67

Plus de 20 h 5,13 7,7 10,0

Les redoublants travaillent en moyenne 2,5 heures de plus et le temps de travail est en moyenne plus faible pour les étudiants du parcours AEGE (13,9 heures) que pour ceux des parcours PES (17,1 heures) et AEM (16,6 heures).

QUAND LES ETUDIANTS EXERCENT-ILS UNE ACTIVITE SALARIEE ?

Ils sont 37,8 % à déclarer exercer une activité pendant les heures de cours et ce, de manière assez équivalente selon le niveau d’études. 32,4 % travaillent la journée en dehors des horaires de cours, 40,5 % travaillent le soir et 54 % travaillent le week-end.

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Toutefois ces modalités ne sont pas exclusives les unes des autres et ceux qui travaillent pendant les heures de cours sont nombreux à travailler également la journée en dehors (21,4 %), le soir (26,8 %), le week-end (42,9 %).

LE TRAVAIL SALARIE EST-IL PREJUDICIABLE A LA REUSSITE UNIVERSITAIRE ?

Il est difficile de fournir une réponse précise à cette question compte tenu des données dont on dispose mais des indices laissent penser que cela a une incidence sur la réussite et contribue donc à allonger le temps de scolarité. Le tableau ci-dessous rend compte du pourcentage d’étudiants qui redoublent selon qu’ils occupaient ou non un emploi l’année précédente. La proportion de redoublants est plus élevée parmi ceux étant salariés l’an dernier. On constate que la différence est particulièrement importante en L2. A ce niveau d’études, les étudiants salariés semblent compromettre fortement leurs chances de réussite4.

Tableau 3 : Le fait d’occuper un emploi conduit-il à redoubler plus fréquemment ?

% de redoublants parmi les étudiants inscrits cette

année en : Situation vis à vis de l’emploi

l’année précédente

L2 L3

pas d'emploi l'an dernier 6,6 18,2 en emploi l'an dernier 19,2 22,5

SYNTHESE ET DISCUSSION

Les chiffres fournis ici montrent l’importance du travail salarié parmi la population étudiante dès le 1er cycle universitaire, une réalité qui reste mal connue.

L’étude réalisée pourrait être étendue aux étudiants avancés et à ceux d’autres filières de formation. En outre, le profil socio-démographique de l’étudiant salarié mérite d’être affiné, ainsi que ses motivations. Les filles travaillent-elles plus souvent que les garçons, comme les statistiques européennes semblent l’indiquer ? Travaillent-elles plus longtemps ? Les ressources parentales sont-elles un facteur déterminant ? L’emploi est-il

4 Un test conduit à ne pas rejeter l’hypothèse d’une différence significative des deux coefficients au seuil de 5 % pour la deuxième année. L’écart est non significatif pour la 3e année.

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plutôt vu comme une opportunité pour compléter des ressources, éventuellement pour acquérir une expérience professionnelle, ou comme une nécessité pour continuer à étudier ? Quels emplois les étudiants occupent-ils ?

Une remarque finale s’impose sur le sujet. Le discours récurrent sur les défauts de l’Université est que l’enseignement général y est trop prégnant et produit un enfermement des étudiants qui les pénalise ensuite lors de l’entrée sur le marché du travail. En contrepoint, sont valorisées les formations dites « professionnalisantes » offrant plus d’alternance et organisant des stages pour leurs étudiants. Cette vision peut être discutée à la lumière des chiffres avancés et au moins pour la discipline économique. C’est en effet oublier toute l’expérience professionnelle qu’acquiert un étudiant salarié durant ses études.

En comparaison, ne serait-ce que parce que les volumes horaires dispensés sont importants, peu d’étudiants sont salariés dans les formations sélectives et l’expérience professionnelle est acquise uniquement lors des stages faisant partie du cursus. Celle-ci est-elle plus importante, tant quantitativement que qualitativement, que celle de l’étudiant salarié moyen décrit dans cette note ? Il n’est pas sûr que l’Université ne doive pas se débarrasser (au moins en partie) de ses complexes en la matière. Ce qui ne la dispense évidemment pas de chercher à faire plus et mieux en la matière. En particulier, il serait tout à fait souhaitable que le travail salarié soit non seulement mieux connu mais aussi mieux reconnu dans le cursus en faisant l’objet, par exemple, d’un suivi par un responsable enseignant, couplé à l’attribution de crédits ECTS dans le cadre des unités d’enseignement d’ouverture.

Références :

Cereq (1997), « Etudiants salariés – Quand la vie active commence avant la fin des études », Bref n° 132, juin.

Eurostudent (2005), Social and Economic Conditions of Student Life in Europe 2005, http://www.his.de/Eurostudent/report2005.pdf

Insee (2001), « Un tiers des étudiants ont une activité rémunérée au cours de l’année », Insee Première, n° 795.

Observatoire de la Vie Etudiante (2002), « Les étudiants et l’activité rémunérée », La lettre de l’OVE, n°1

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