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Recherches expérimentales sur les oscillations électriques d'ordre supérieur

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240557

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240557

Submitted on 1 Jan 1901

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d’ordre supérieur

M. Lamotte

To cite this version:

M. Lamotte. Recherches expérimentales sur les oscillations électriques d’ordre supérieur. J. Phys.

Theor. Appl., 1901, 10 (1), pp.589-597. �10.1051/jphystap:0190100100058900�. �jpa-00240557�

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RECHERCHES EXPÉRIMENTALES SUR LES OSCILLATIONS ÉLECTRIQUES

D’ORDRE SUPÉRIEUR;

Par M. LAMOTTE.

En étudiant les ondes électriques stationnaires qui se produisent

dans deux fils parallèles, on constate, en général, l’existence de plu-

sieurs systèmes distincts de ces ondes stationnaires, pour un même excitateur. Ce phénomène ne doit pas être conf ondu, d’ailleurs, avec

celui de la résonance multiple. Dans ce dernier cas, les longueurs

d’onde différentes qu’on mesure dans l’émission d’un mème excita- teur, par l’emploi de résonateurs différents, varient entre certaines

limites d’une manière continue (Sarasin et de la Rive). Les systèmes

d’ondes stationnaires auxquels il vient d’être fait allusion corres-

pondent, au contraire, à des longueurs d’onde séparées par des

intervalles finis. Ces longueurs sont plus petites que celle de l’oscilla- tion fondamentale : par analogie avec l’acoustique, on peut donc donner aux vibrations correspondantes le nom de vibrations ou tons

supérieurs.

On a cherché tout d’abord à rapprocher ces tons supérieurs des harmoniques acoustiques ; puis on a abandonné cette idée, parce

qu’on ne retrouvait pas, dans le phénomène élect rique, les loi- simples qui lient entre elles les périodes des harmoniques et du son fonda-

mental.

Cependant, comme nous allons le voir, il est possible et même

relativement facile de retrouver dans le phénomène électrique toutes

les particularités du phénomène acoustique, pourvu qu’on se place

dans des conditions comparables.

Il est à remarquer, tout d’abord, qu’en acoustique même l’exis-

tence de tons supérieurs harmoniques ne représente qu’un cas par- ticulier, comme, du reste, dans un système vibrant de nature quelconque.

En effet, à quoi correspond la production des vibrations supérieures

dans tous les cas ? Elle correspond à la subdivision du système

total en systèmes partiels vibrant à l’unisson. Si ces systèmes par- tiels sont identiques, leurs périodes de vibration seront parties ali- quotes de la période fondamentale du système total. Ils seront

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0190100100058900

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uniformes. Un exemple concret fera mieux comprendre la distinc- tion qu’il est nécessaire d’établir entre ces conditions différentes.

Considérons une corde dont la section, la densité et l’élasticité sont les mêmes en tous ses points. L’expérience, tout comme le cal- cul, montre que la corde rendra des sons harmoniques. Ces sons harmoniques répondent a une division de la corde en segments

d’égale longueur.

Supposons maintenant qu"en un point de la corde on fixe une légère surcharge. Tous les sons de la corde se trouveront modifiés, et, de plus, modifiés différemment. Les sons supérieurs ne seront plus les harmoniques du son fondamental : le son de la corde prend

le timbre aigre qui caractérise la présence des sons inharn10niques.

D’autre part, le calcul indique, pour les périodes des tons supérieurs,

des valeurs qui ne sont plus en rapport simple avec la période fon-

damentale. Les subdivisions de la corde, répondant à l’un de ces

tons supérieurs, sont bien encore à l’unisson entre elles, mais elles

ne sont plus identiques.

Tandis que, dans la corde sans surcharge, on peut concevoir

qu’on interchange les positions des intern0153uds d’uix même ton supé-

rieur sans que l’état vibratoire de l’ensemhle soit changé, il n’en est plus de même quand la corde est surchargée. Dans ce dernier cas,

on ne peut supposer qu’on a écllanbé les positions de l’internoeud

qui porte la surcharge et d’un autre intern0153uct sans modifier l’état vibratoire de l’ensemble.

Dans les calculs relatifs aux oscillations électriques, la capacité et

l’induction propre des inducteurs jouent un rôle analogue à celui de

la masse spécifique et de l’élasticité dans les calculs relatifs aux vi- brations acoustiques. Il est naturel de supposer que ces analogies de

forme entre les équations traduisent des analogies d’allures entre

les phénomènes et, en réalité, il en est bien ainsi.

La théorie de Thon1son donne, pour le circuit de décharge d’un

condensateur, une seule période d’oscillation. Mais cette théorie n’est valable que dans des conditions limites, celles où la longueur

du circuit est petite vis-à-vis de la longueur d’onde des oscillations.

En effet, en écrivant l’équation du courant de décharge, Thomson

admet que l’intensité de ce courant est, à chaque instant, la même

tout le long du circuit. Cette condition ne saurait être satisfaite dans

les expériences effectuées sur les ondes stationnaires, la longueur

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du circuit et la longueur d’onde des oscillations sont forcément du même ordre de grandeur.

h.irchhoff, au contraire, qui a donné presque en même temps que Thomson (lord Kelvin) une théorie de la propagation d’une pertur- bation électrique dans un conducteur, ne fait pas cette restriction : il n’admet pas que l’intensité soit constante tout le long du circuit om, en d’autres termes, il ne néglige pas la capacité du conducteur. Le calcul alors fait prévoir l’existence des vibrations supérieures et con-

naître en même temps leurs périodes.

Dans un système qui serait formé de deux fils parallèles de section uniforme, les tons supérieurs électriques seraient harmoniques. Mais,

en pratique, l’appareil destiné à la production des ondes ne peut

être réduit à ce degré de simplicité ; il faut introduire un dispositif qui permette d’exciter et d’entretenir les oscillations. Or, quelle que soit la méthode employée, qu’on utilise à cette fin un effet de capa- -cité (dispositif de Lecher) om d’induction mutuelle (dispositif de Blondlot), il est aisé de voir que l’uniformité du système est détruite.

La capacité et l’induction propre par unité de longueur ne sont plus

constantes, mais présentent, dans la région se trouvent les con-

densateurs de l’appareil de 1-,eclier ou les cercles d’induction de l’ap- pareil Blondlot, des valeurs différentes de ce qu’elles sont le long des

fils parallèles.

Il faut donc voir dans ces appareils l’analogue non pas d’une corde

musical, mais d’une corde surchargée et, comme on va le montrer,

l’analogie entre les tons supérieurs acoustiques et 1es tons supérieurs électriques se poursuit alors jusque dans les détails.

METHODE E1P1:RI~IE~~’ALE.

Un premier pont conducteur est placé sur les fils parallèles à

poste fixe : on déplace sur ces mémes fils, du côté opposé à l’excita-

teur proprement dit, un second pont, en maintenant à peu près au

milieu de l’intervalle un tube à gaz raréfié., sans électrodes. Pour certaines positions du second pont la luminescence de ce tube passe par un maximum. Ce maximum indique que la résonance est établie entre les deux circuits, con1prenant l’un l’excitateur et les fils paral-

lèles ,jnsqu’au premier pont, l’autre la portion des fils parallèles con-

prise entre les ponts. Il faut entendre ici le mot de résonance dans

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cuit est égale à l’une des périodes du circuit excitateur.

L’emploi de deux ponts indiqué par le professeur Drude est bien préférable à l’emploi d’un pont unique. Dans ce dernier cas, en effet,

on fait, en déplaçant le pont, varier à la fois les deux circuits, tandis qu’en prenant deux ponts, dont on déplace seulement l’un, le circuit de l’excitateur reste invariable. On est donc fondé à dire que les

longueurs d’onde observées correspondent aux périodes d’oscillation de ce circuit invariable.

Aux points des fils repose un pont se trouve forcément un noeud

(pour les oscillations de potentiel) ou, plus exactement, ce noeud se

trouve au milieu du pont. La distance entre les deux ponts, au moment

oû on observe le maximum de luminescence du tube, augmentée de

la demi-somme des longueurs des ponts, représente donc un inter- noeud, c’est-à-dire une demi-longueur d’onde.

Cette correction des ponts n’est qu’approximative, mais elle est - tout à fait suffisante, dans la grande majorité des cas.11 est, du reste,

aisé de le vérifier : il suffit de déplacer le pont mobile jusqu’à ce qu’on

obtienne de nouveau la résonance, c’est-à-dire qu’on ait amené le

pont sur le uoeud suivant de l’oscillation considérée ; le déplacement

du pont est égal, indépendamment de la correction, à l’internoeud.

En pratique, au lieu d’observer directement le maximum de lumi-

nescence pour déterminer les noeuds, il est à la fois plus commode

et plus exact de procéder de la manière snivante. Quand on écarte le pont de part ou d’autre de la position qui correspond au maximum,

on constate que l’éclat du tube diminue lentement d’abord, puis subit

une diminution brusque et enfin s’éteint brusquement. Par extinction

brusque, il faut entendre qu’à partir de la position actuelle du pont il suffit d’un très faible déplacement du pont pour provoquer soit l’ap- parition, soit la disparition de la luminescence. La moyenne des posi-

tions du pont, de part et d’autre du noeud, qui correspondent à cette extinction, donne très exactement la position qui correspondrait au maximum, c’est-à-dire au noeud .

Le tube s’illumine à peu près de la mème manière, quelle que soit

sa position entre les deux ponts, pourvu toutefois qu’il n’y ait pas de noeud intermédiaire de la méme oscillation ; dans ce cas, le tube s’éteint quand il se trouve au-dessus d’un noeud ; on peut ainsi véri-

fier l’ordre d’un noeud observé.

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RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX.

il Excitateur Blondlot-Drude. - Cet excitateur du type Blondlot,

mais sans condensateur primaire, est de petites dimensions. Le cercle

primaire, en fil de cuivre de 3 millimètres de diamètre, a 5 centimètres de diamètre; le cercle secondaire, dans un plan parallèle à celui du primaire, a très sensiblement le même diamètre ; il se prolonge par des fils parallèles (de 1 millimètre de diamètre), distants de 2 centi-

mètres. Les deux cercles sont plongés dans le pétrole.

Le tableau ci-dessous réunit les nombres observés ; l désigne la

distance cornptée smr le fil, entre le sommet du cercle secondaire et

le premier pont : Àt, À2,

...,

Àp, les longueurs d’onde trouvées.

TABLEAU 1.

Comone on le voit, la série des tons supérieurs tend vers la série harmonique, en même temps que la demi-longueur d’onde fondamen-

tale tend vers la longueur du circuit.

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mesure que le circuit devient plus long, la perturbation terminale, provoquée par la présence des cercles primaire et secondaire, prend

une importance relative moindre. La longueur d’onde fondamentale

se rapproche donc de ce qu’elle serait si le circuit était uniforme, c’est-à-dire, dans le cas actuel, du do~Ible de la longueur du circuit :

en effet le sommet du cercle secondaire et le pont représentent ici des noeuds ; nous avons l’analogue d’une verge encastrée aux deux bouts

ou d’un tuyau ouvert.

Les longueurs d’onde des tons supérieurs se rapprochent aussi de

leurs valeurs normales, mais moins vite que la longueur d’onde. C’est

ce qu’on peut prévoir. En effet la longueur d’onde Ap dans le circuit

de longueur 1 représente la longueur d’onde fondamentale du circuit dont la longueur serait 1

-

(p

-

1) ~; l’expérience le vérifie très

exactement,. Plus l’ordre p du ton supérieur est élevé, plus ce circuit

est court, plus la perturbation terminale a d’importance relative et plus ~,, diffère de l’harmonique correspondant.

Il résulte aussi de ces observations que les vibrations constatées tendent à devenir les vibrations propres du circuit secondaire, quand

celui-ci devient assez long. On peut le vérifier par des expériences, directes, en faisant varier l’écartement entre le plan du cercle pri-

maire et celui du secondaire ; cette modification influe sur les lon- gueurs d’onde qui correspondent aux petites valeurs de 1; mais cette

influence disparaît quand 1 devient grand.

Si on ouvre le cercle secondaire à son sommet, il doit s’y produire

un ventre (en toute rigueur, il faudrait pour cela que la capacité des

extrémités fût rigoureusement nulle, ce qui n’est jamais réalisé ; mais

le ventre sera toujours au voisinage de l’e~trémité). Le système

devient l’analogue d’une verge dont l’une des extrémités est encastrée et l’autre libre, on d’un tuyau fermé. Les harmoniques d’ordre pair

doivent disparaître, et c’est en effet ce qui arrive aussi dans l’expé-

rience électrique (Voir le tableau II).

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TABLEAU Il.

Cce°cle secondaire ouvert.

(Le reste comme dans la première série.)

Enfin, si la perturbation, qui est provoquée par la présence des

cercles joue le rôle qui lui est attribué, son influence doit varier sui- vant la position que ces cercles occupent par rapport aux extrémités du système vibrant. Pour le vérifier, on peut déterminer les longueurs

d’onde dans un circuit de longueurs totale constante, mais dans lequel

les cercles sont à des distances variables des extrémités. Les lon- gueurs d’onde varient avec la position des cercles, sont les mêmes pour deux positions symétriques et, de plus, certains tons disparaissent,

et on voit aisément que cette disparition se produit quand l’un des

noeuds correspondants se trouverait dans la région occupée par les cercles.

L’analogie acoustique se produit ainsi jusque dans les détails.

2° Excitaletti- Bondlot.

--

1,’excitateur Blondlot employé avait

‘~o centimètres de diamètre : seules les boules entre lesquelles éclatent

les étincelles sont plongées dans le pétrole.

Un condensateur, formé de plaques de 10 centimètres de diamètre écartées de 4, 2 ou 1 centimètre, peut être relié aux extrémités du pri-

maire.

Sans condensateur primaire, on retrouve exactement les mêmes résultats que ci-dessus, avec l’excitateur Drude.

Lorsqu’on introduit le condensateur, on retrouve bien encore la

série quasi harmonique des tons supérieurs, mais à la condition de

laisser de côté l’une des longueurs d’onde observées. La vibration,

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caractères. Tout d’abord sa longueur d’onde varie peu avec la lon- gueur du circuit secondaire, mais dépend surtout de la capacité du condensateurprimaire. Les autres, au contraire, dépendent essentielle- ment de la longueur du secondaire et peu ou point de la capacité du primaire.

D’autre part, l’intensité lumineuse du tube, qui mesure jusqu’à un

certain point l’intensité de la vibration, ne varie pas d’une manière continue avec 1, ainsi qu’il arrive pour les autres vibrations. Tantôt elle est très vive, tantôt elle suffit à peine à déceler les noeuds.

Cette vibration doit donc être considérée comme une vibration forcée du secondaire, dont la période dépend essentiellement de la

période propre du primaire. Nous observons sur cette vibration le

phénomène proprement dit de la résonance multiple, le secondaire jouant le rôle de résonateur.

3° Excitaieur de Lecher.

-

La formule de Cohn et Heerivagçen per- met de calculer a priori les longueurs d’onde des oscillations émises par un excitateur de Lecher, dans le cas l’étincelle est au voisin nage immédiate des plaques primaires. En désignant par l la longueur

des fils parallèle comptées à partir des plaques secondaires jusqu’au premier pont, d l’écartement de ces fils, R leur rayon, c la capacité

du système de condensateurs exprimée en unités électrostatiques, les longueurs d’onde des vibrations possibles du circuit sont données

par l’équation :

t

Dans les expériences actuelles, la capacité c est relativement petite

et du même ordre de grandeur que les capacités accessoires ; il est donc préférable, pour f’aire la vérification, de chercher si le second membre de l’équation est constant, au lieu de calculer c a priori.

La vérification est aussi exacte qu’on peut l’espérer : Une seule des longueurs d’onde, qui est à peu près indépendante de 1 échappe à

cette vérification ; mais il est facile de voir qu’elle représente la lon-

gueur d’onde propre au circuit formé par les plaques primaires et les

fils qui les relient à l’étincelle (fils primaires).

Lorsque les fils primaires ont une longueur notable, ainsi que les

fils secondaires, on observe non plus une seule série, mais deux séries

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597 distinctes de vibrations, tendant chacune vers la série harmonique impaire. L’une correspond aux vibrations propres du secondaire,

l’autre à des vibrations forcées dont les périodes dépendent essentiel-

lement des périodes propres du primaires. Ici encore le secondaire joue le rôle de résonateur par rapport au primaire.

Ce primaire ne diffère pas essentiellement d’un excitateur de

Hertz ; il est donc probabl’e qu’un excitateur de Hertz, de longueur

assez grande par rapport à sa capacité, émet une infinité de vibra-

tions de périodes différentes formant ure série quasi-harmonique.

Des expériences directes, effectuées dans le laboratoire du profes-

seur Drude, à Giessen, et encore inédites, paraissent confirmer cette supposition.

SUR UNE MODIFICATION DES SURFACES MÉTALLIQUES

SOUS L’INFLUENCE DE LA LUMIÈRE ;

Par M. II. BUISSON.

Quand on éclaire une lame métallique par les rayons ultra-violets pour étudier la déperdition de l’électricité négative, on constate faci-

lement que la vitesse de cette déperdition diminue peu à peu, et que, si l’expérience se prolonge, la surface devient presque insensible.

Il y a une altération de cette surface, et elle peut être mise en

évidence par l’étude des variations de quelques propriétés superfi-

cielles.

..

VITESSE DE DÉPERDITION DE L ÉLECTRICITÉ NÉGATIVE.

La première de ces propriétés que j’ai étudiée est précisément la

faculté de perdre l’électricité négative. Dans ce cas, le rôle de la lumière est double : certaines radiations libèrent les charges élec- triques, ce sont celles dont les longueurs d’onde sont les plus petites;

mais en même temps ces rayons et aussi les autres modifient la’

surface et font que la déperdition subit des variations. Malgré

cette complexité apparente, on peut obtenir des résultats très nets.

Ces variations sont plus considérables, lorsqu’on emploie, comme

radiations actives, celles qui sont contenues dans la lumière solaire

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