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Hypodermose bovine dans le Nord-Est algérien : prévalence et intensité d'infestation

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HAL Id: hal-02699104

https://hal.inrae.fr/hal-02699104

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Hypodermose bovine dans le Nord-Est algérien : prévalence et intensité d’infestation

A. Benakhla, J.F. Lonneux, A. Mekroud, Bertrand Losson, C. Boulard

To cite this version:

A. Benakhla, J.F. Lonneux, A. Mekroud, Bertrand Losson, C. Boulard. Hypodermose bovine dans le Nord-Est algérien : prévalence et intensité d’infestation. Veterinary Research, BioMed Central, 1999, 30 (5), pp.539-545. �hal-02699104�

(2)

Article

original

Hypodermose bovine dans le Nord-Est algérien : prévalence

et

intensité d’infestation

Ahmed Benakhlaa

Jean-François Lonneux b

Abdessalem Mekroudc Bertrand Lossond Chantal Boularde

aInstitut des sciences agronomiques et vétérinaires, université d’Annaba, BP 73, 36.000 El Tarf, Algérie

! Centre d’études et de recherches vétérinaires Groselenberg, 99.1 180 Bruxelles, Belgique

cInstitut des sciences vétérinaires, université des Frères-Mentouri, 25.000 Constantine, Algérie

dFaculté de médecine vétérinaire université de Liège, Liège, Belgique

Station de pathologie aviaire et parasitologie, Inra, 37380 Nouzilly, France

(Reçu le 23 octobre 1998 ; accepté le 13 avril 1999)

Abstract- Bovine hypodermosis in north-eastern Algeria: prevalence and intensity of infestation.

Between 1989 and 1997 different factors related to warble fly infestation (prevalence, intensity, cli-

mate, breed) were studied in north-eastern Algeria. Mean prevalence during the period was 76 °70. This

figure was obtained from a cattle market survey of four different regions (Jijel, Constantine, Guelma, and El Tarf). One-hundred percent of the herds were found to be infested in El Tarf and 61 % of ani- mals were infested. Within a herd, the intensity of infestation decreased with the age of the cattle. The

mean number of warbles per animal decreased as reinfestations occurred. The peak of the emer-

gence of warbles observed between January and March was progressively delayed in the older ani- mals. Two species of Hypoderma were present in cattle in Algeria (H. bovis and H. lineatum ) with

a predominance of H. lineatum (63 % ) in the semi-arid area (Batna) and a majority of H. bovis (75 %) in humid area (Jijel). Warbles appeared earlier in Batna (October) than in Jijel (November).

The Prim’Holstein breed was more susceptible to the warble fly infestation than Montbeliard or

local breeds. The implementation of a control programme for hypodermosis in Algeria is urgent.

Control can be achieved through a mass treatment of cattle. This approach must take into account the

factors described in this study which influence the epidemiology of the disease. © Inra/Elsevier, Paris. s.

hypodermosis / Algeria / cattle / epidemiology

*Correspondance et tir6s-A-part

Tél. : (33) 2 47 42 77 57 ; fax : (33) 2 47 42 77 74 ; e-mail : boulard@ tours.inra.fr

Résumé - De 1989 à 1997, divers facteurs liés à la prévalence et à l’intensité de l’hypodermose

bovine ont été étudiés dans le Nord-Est algérien. La prévalence moyenne s’élevait à 76 % sur les mar-

(3)

chés à bestiaux de quatre régions (Jijel, Constantine, Guehna et El Tarn et variait peu d’une année à l’autre et d’une région à l’autre. L’infestation atteignait 100 % des cheptels dans la région d’El

Tarf et 61 % des animaux étaient atteints. L’intensité d’infestation des individus d’un même cheptel

diminuait avec l’âge des bovins et des réinfestations successives. Les pics d’émergence des varons

étaient plus tardifs (mars) chez les animaux les plus âgés que chez les plus jeunes (janvier). Les

deux espèces d’hypoderme H. bovis et H. lineaturrc coexistaient avec une prédominance d’H. linea- tum dans les étages bioclimatiques semi-arides (63 % à Batna) et celle d’H. )7ovis dans les régions

humides (75 % à Jijel). L’émergence des varons était plus précoce à Batna (octobre) qu’à Jijel (novembre). La race de bovin Prim’Holstein semblait être plus sensible à l’infestation par les hypo-

dermes que les races Montbéliarde ou locale. Ces résultats soulignent la forte prévalence de l’hypo-

dermose en Algérie et conduisent à envisager la mise en place d’une prophylaxie de l’hypodermose.

Ce programme devra tenir compte dans sa mise en oeuvre des facteurs épidémiologiques décrits

dans cette étude. © Inra/Elsevier, Paris.

hypodermose / Algérie / bovin / épidémiologie

1. INTRODUCTION

L’hypodermose bovine est une affection parasitaire qui sévit entre les 30e et 66e degrés de latitude Nord. Les hypodermes

sont des insectes de la famille des Oestri- dae. Il existe deux espèces parasites des

bovins : Hypoderma bovis et Hypoderma

lineatum.

Dans une étude préliminaire menée à l’est du pays nous avons démontré la prévalence

élevée de cette maladie dans le cheptel bovin qui ne bénéficie d’aucun traitement. Les pertes économiques qu’elle induit ont été

estimées en 1986, à plus de 50 millions de D. A (Dinar algérien) pour les cheptels

bovins de la région de Jijel [2].

Ce bilan mettait en évidence la nécessité

d’entreprendre une étude épidémiologique plus large en Algérie, permettant de préciser

la distribution de la maladie, sa prévalence,

son intensité et les facteurs influençant son

évolution.

Dans cette étude sur l’hypodermose bovine, à partir d’observations menées dans le Nord-Est algérien, pendant plusieurs années, sur des marchés à bestiaux et dans des cheptels, nous nous sommes attachés à définir : la variation inter-annuelle de la pré- valence, l’évolution de l’intensité d’infes- tation en fonction de l’année, l’effet des

étages bioclimatiques sur l’espèce parasi-

taire et l’intensité d’infestation et l’effet de la race sur l’intensité d’infestation.

2. MATÉRIEL ET MÉTHODES

Ces études ont été engagées de 1989 à 1997.

La recherche des varons a été effectuée par

palpation de la région dorsale des bovins. Des

prélèvements de varons ont été pratiqués par la méthode de Scholl et Barrett [16].

L’identification des larves prélevées a été réa-

lisée selon la clef de diagnose de James [10].

2.1. Variations inter-annuelles de la prévalence

Les marchés de quatre régions du Nord-Est

algérien (Jijel, Constantine, Guelma et EI-Tarf)

ont été visités mensuellement de 1989 à 1996, durant la période d’émergence des varons c’est-

à-dire de novembre à avril [2]. Chaque mois, pendant cette période 90 à 120 bovins originaires

du Nord-Est algérien ont été examinés.

Le pourcentage d’animaux porteurs de varons

a été calculé sur les 5 mois d’émergence des

varons.

Dans chaque région, annuellement, les relevés ont été effectués sur une moyenne de 588 bovins

(513 3 à 663 par an). Au total, 16 434 animaux ont été examinés.

Au sein des cheptels, dans la région d’El-Tarf, de 1993 à 1997, une visite mensuelle a été effec- tuée dans 107 exploitations en moyenne au moment de la période maximale d’émergence,

(4)

précédemment identifiée, entre les mois de novembre et avril. l .

La prévalence a été calculée chaque année

sur des populations bovines de 623 à 861 tctcs.

2.2. Évolution de l’intensité de l’infesta- tion sur un même lot au cours

de quatre années consécutives

Dans une exploitation de la région de Jijel,

des comptages de varons ont été effectués sur

dix bovins, de race Prim’Holstein. Ces bovins de 3 ans au début de l’étude, ont été examinés mensuellement, de septembre à juin, pendant quatre hivers de 1989 à 1993.

2.3. Effet de l’étage bioclimatique

sur l’espèce parasitaire

et l’intensité d’infestation

Deux lots de dix bovins de race locale, âgés de

3 ans et vivant dans des conditions d’élevage

extensif ont été sélectionnés dans une région se distinguant par un climat semi-aridc (Batna), et

dans une région au climat humide (Jijel). Chaque semaine, d’octobre 1992 à avril 1993, les ani-

maux ont été examinés, les varons extraits, les stades parasitaires et les espèces caractérisés.

En complément, dans ces deux régions, un

contrôle mensuel de l’infestation a été effectué de

septembre 1992 a juin 1993 dans plusieun chep-

tels en élevage extensif, (78 individus à Batna, 103 individus à Jijcl). ).

2.4. Effet de la race sur l’intensité d’infestation

Dans une même exploitation de la région d’El Tarf, trois lots de six vaches laitières toutes âgées

de 2 ans mais appartenant aux races Prim’Hol- stein, Montbéliarde et à la race locale, ont été examinées mensuellement durant la période

d’octobre 1994 à juin 1995 à la recherche des

varons.

2.5. Analyse statistique

Le test du chi-carré a été utilisé pour compa-

rer les prévalcnces des parasites selon les régions

et les années.

L’effet de l’année sur le niveau d’infestation

a été analysé par l’analyse de variance à trois critères. La variabilité du nombre de varons sur

le dos des animaux a ainsi été partagée en une composante liée à l’âge, une composante liée au mois de récolte et une composante individuelle.

L’effet de la race sur la réceptivité des bovins

a été étudié au travers d’une analyse de variance à deux critères (race et mois d’examen des varons).

Pour tous ces tests, une probabilité inférieure

à 0,05 était considérée comme significative.

3.RÉSULTATS

3.1. Étude de la prévalence

de l’hypodermose bovine

Sur les marchés de quatre régions, un

total de 12 490 animaux sur 16 434, soit 76 % des bovins examinés, étaient infestés.

La prévalence variait peu d’une année à l’autre et d’une région à l’autre (tableau I).

Aucune différence significative n’a pu être mise en évidence.

Au sein des cheptels, au cours des visites mensuelles, on a constaté que toutes les

exploitations de la région d’El Tarf étaient

infestées de 1993 à 1997. Le pourcentage moyen d’animaux atteints y était de 61 %

(tableau 11) .

L’analyse statistique n’a pas permis de préciser des différences majeures d’une

année à l’autre. Les jeunes animaux non

infestés étaient toujours ceux qui avaient

moins d’un an. Ils sont nés après la période

du stade imaginal des hypodermes et n’ont

donc pas été exposés à la ponte des adultes d’hypodermes.

3.2. Évolution de l’intensité sur un

même lot d’animaux au cours

de quatre années consécutives

La période d’apparition des varons sur

un même lot de bovins à l’âge de 3, 4, 5 et 6

(5)

ans a été progressivement plus tardive (figure l Les premiers varons sont apparus

respectivement en octobre 1989, novembre 1990 et décembre 1992 et 1993. D’autre

part, le pic d’émergence s’est produit la pre- mière année (animaux âgés de 3 ans), au mois de janvier avec 12 varons en moyenne.

L’année suivante, le pic d’émergence est

intervenu en février avec 13 varons en

moyenne. Les deux années suivantes ce pic

a été enregistré en mars alors que le nombre moyen de varons par bovin a progressive-

ment diminué, pour atteindre neuf varons

pour les animaux de 5 ans et cinq pour ceux de 6 ans.

À partir de mai et juin tous les varons

ont quitté leurs hôtes.

L’analyse de variance a montré une dif- férence de l’intensité d’infestation, entre les

années (p < 0,05). ).

(6)

3.3. Effet de l’étage bioclimatique sur l’espèce parasitaire et l’intensité d’infestation

À Batna (climat semi-aride), 63 % des

varons prélevés chaque semaine d’octobre à avril étaient des larves d’H. liueatum. À Jijel (climat humide), 25 % seulement de larves étaient de l’espèce H. liueatum. Par ailleurs, l’émergence des varons en zone semi-aride

(Batna) est plus précoce, à partir d’octobre, qu’à Jijel (zone humide) à partir de

novembre (figure 2). À Batna, deux pics d’émergence ont été observés ; le premier

situé en décembre ( 14 varons/animal) cor-

respondait à H. lineatum et le second en mars ( 10 varons/animal) et correspondait à

H. bovis. À Jijel, le pic d’émergence s’est produit en février ( 19 varons) et représentait

les deux espèces ( f ïgure 2).

3.4. Effet de la race sur l’intensité d’infestation

L’intensité de l’infestation est plus élevée

chez les animaux de race Prim’Holstein que chez les deux autres races (p < 0,05) (figure 3).

(7)

4. DISCUSSION

Les études épidémiologiques effectuées

dans le Nord-Est algérien sur les marchés et dans les fermes ont montré qu’un fort pourcentage de bovins étaient atteints

d’hypodermose. La prévalence légèrement

inférieure observée dans les exploitations (61 %), par rapport à celle des marchés (76 °lo) relevait d’un échantillonnage diffé-

rent. En effet, dans les cheptels le nombre

d’animaux de moins d’un an, n’ayant pas

encore été exposé à la ponte des adultes d’hypoderme, était plus élevé que sur les marchés. Dans un travail précédent, nous

avons déjà décrit ce faible taux d’infesta-

tion des jeunes bovins de moins d’un an, nés après la saison de vol des adultes

d’hypoderme 13]. ] .

La prévalence de l’hypodermose bovine

observée dans le Nord-Est algérien était plus

élevée que celle observée par Jemli et al.,

en 1996 [11], sur le cheptel tunisien très proche. Notons cependant que la méthode d’évaluation reposait dans ce cas, sur un

seul examen des bovins au cours de la

période de sortie des varons.

Nous retiendrons que dans cette région d’Algérie, la prévalence moyenne de l’hypo-

dermose bovine sur les marchés est de 76 % et ne varie guère d’année en année, ni de région en région et qu’elle atteint 100 °!o des

exploitations visitées. Les conditions géo- climatiques en Algérie apparaissent favo-

rables au développement des populations d’hypodermes. Tarry !17], en Grande Bre- tagne, avait démontré que l’ensoleillement favorisait la survie des adultes d’hypoderme

et que les années pluvieuses avaient un

retentissement négatif sur les taux d’infes-

tation l’année suivante. Les conditions cli-

matiques dans le Nord-Est algérien sem-

blent en revanche, tout à fait favorables au

stade imaginal des hypodermes des bovins.

L’étude de l’évolution de la charge para- sitaire en fonction du nombre de réinfesta- tions au cours de quatre années consécu- tives sur un même groupe d’animaux a fait

apparaître, d’année en année, une augmen- tation de la durée du stade endoparasitaire,

et une période d’émergence des varons de plus en plus tardive au cours des réinfesta-

tions successives. Nous observons égale-

ment dans cette étude une diminution gra- duelle de l’intensité d’infestation au cours de réinfestations successives confirmant les observations de Breyev [5] et Estafjev [8].

Cependant malgré ces infestations répétées qui induisent l’acquisition d’une certaine résistance à l’infestation (nombre réduit de

varons et progression plus lente des larves endoparasites), les animaux âgés ne sont jamais indemnes de varons.

La distribution des deux espèces d’hypo-

derme rencontrées était différente en fonc- tion des étages climatiques. H. lineatum pré-

dominait en région semi-aride (Batna) et

H. bovi.s en zone humide (Jijel). En Amé- rique du Nord, Scholl [15] décrit une situa-

tion très semblable, où H. bovis a une fré- quence élevée au Canada alors que H.

lineatum est seule représentée au Texas.

L’influence du climat se répercute éga-

lement sur le cycle biologique. L’émergence

des varons et le stade imaginal étaient plus précoces en zone semi-aride qu’en zone

humide. Par ailleurs, en zone semi-aride, les cycles parasitaires des deux espèces

étaient bien individualisés. Ainsi à Batna, deux pics d’émergence des varons en

décembre et en mars ont pu être observés. Le

premier ne comportait que des larves d’H. lineatum et le second que des larves d’H bovis. Ce décalage entre les deux cycles d’hypoderme des bovins a déjà été décrit

dans les régions arides comme l’Irak [1].

L’influence des facteurs climatiques et géo- graphiques a été rapportée par Carpenter,

dès 1914 en Irlande !7J et confirmée par la suite aux États-Unis par Bishopp et al. [4], Scharff [14], au Canada par Weintraub et al. [18], Galloway et Harlos [9], Callot et French [6], en Tchécoslovaquie par Minar [ 12] et au Maroc par Sahibi et al. [ 13]. Cette

variabilité chrono et géo-biologique du cycle

des hypodermes nous impose de pratiquer en Algérie jusqu’à dix examens à la recherche

(8)

des varons, de septembre à juin, sur les

mêmes bovins afin d’apprécier avec exac-

titude la prévalence et l’intensité de l’infes- tation pour chaque espèce d’hypoderme.

Dans cette étude nous avons constaté un

effet race pour la sensibilité des bovins à

l’hypodermose. Dans le contexte de l’éle-

vage du Nord-Est algérien, la race Prim’Hol-

stein apparaissait plus réceptive que les autres. Les mécanismes et le support géné- tique de la résistance à l’hypodermose des

races bovines locales et à un degré moindre

des Montbéliardes mériteraient d’être étu- diés.

Ces études confirment l’importance de l’hypodermose dans le cheptel bovin en Algérie et rappellent fortement la nécessité de mettre en place un plan de prophylaxie

contre cette maladie parasitaire en tenant compte des caractéristiques épidémiolo- giques de chaque région.

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