Laura Goumillou 1°3
S.E.S
Social : Il deviennent sans abris chaque soir
A Paris, des familles ne peuvent vivre dans des logements précaires, elles dorment donc dans la rue ou vont dans des hôtels, mais c’est souvent à court terme. En effet, son constat a été fait et 12 associations ont manifestés pour signaler une chute des situations familiales avec des enfant, condamnés à ne pas trouver de solutions et de les mener à héberger dans des habitations précaires et même dans la rue.
En Saint-Denis, 160 enfants se retrouvent chaque soir à la rue, plus de 5000 sont hébergés à l’hôtel et la moitié de ces enfants ont moins de 3 ans.
Des associations dénoncent ces actions et demandent l’ouverture de
logements accessibles et d’hébergements pérennes. Par exemple, le plus souvent, les femmes venant d’accoucher sont aussitôt remises à la rue avec leur nouveau né ou encore à Marseille où un nombre considérable de jeunes vivent dans un squat.
Depuis le début de l’année, 8 jeunes seraient morts dans la rue selon le collectif
« Les morts dans la rue ». Les associations veulent clairement introduire dans la loi un « droit à l’unité familiale » et que des logements soient adaptés afin d’accueillir des jeunes et leur famille .
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