• Aucun résultat trouvé

PROGRAMMES OFFICIELS L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "PROGRAMMES OFFICIELS L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE"

Copied!
31
0
0

Texte intégral

(1)

REPUBLIQUI: TUNISIENNE

SECRETARIAT D'ETAT A L'EDUCATION NATIONALE

PROGRAMMES OFFICIELS

DE

L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE

FASCICULE XIV

PHILOSOPHIE ET ETUDE DE LA PENSEE ISLAMIQUE

1963

lmp. du Nord - Tunis

(2)

Hrsg . : Staatssekretariat für die off entlichen Schulen

Offizielles Programm für die Oberstufe . (Oberschule)

Philosophie und islamisches Denken.

Bd . 14 Aufl . 1963

Tunis : Padagogisches Amt

,•'

(3)

't

1

PROGRAMME DE PHILOSOPHIE ET PENSEE ISLAMIQUE

Internationales Schulbuchinstitut t

Braunschweig

- Bibliothek -

(4)

TABLE DES MATIERES

PAGE MATIERE

3 CHAPITRE PREMIER BUTS.

7 CHAPITRE 11 HORAIRES ET PROGRAMMES.

7 Section l : Horaire

8 Section 2 : Programme

15 CHAPITRE 111 Dl RECTIVE&.

1

(5)

CHAPITRE PREMIER BUTS

L'esprit des programmes o été défini en fonction des exigences particulières du monde actuel, dont Io principale est Io nécessité d'une information scientifique ainsi que d'une spécialisation poussée en vue de répondre à l'appel d'une civili- sation c technicienne •. Sons doute, est-ce surtout pour cette raison que l'ensei- gnement traditionnel de Io philosophie est le plus attaqué on se demande si Io classe de philosophie, en particulier, héritière directe de l'antique conception des c humanités ,., n'est pas devenue anachronique. Il est alors paradoxal d'ob- server que, pendant le même temps, de nombreux pays étrangers son!Je.,t à ins- taurer un enseignement philosophique conséquent ou niveau du secondaire; qu'on s'occupe d'élaborer un programme de connaissances philosophiques étendues exi- gibles ou baccalauréat européen récemment institué. Lo contradiction n'est qu'apparente : c'est précisément parce qu'il est occupé à enfanter une science et une technique universelles que notre monde moderne est vivement préoccu- pé, simultanément, d'élaborer une réflexion générale de même dimension pour s'en rendre maitre, comme cela se voit à Io pénétration de Io philosophie dons Io littérature, le théâtre et outres disciplines. C'est pourquoi, comme le souligne un pédagogue contemporain, c Le problème central de Io philosophie n'est ni psychologique, ni logique, ni sociologique; il est métaphysique et il est moral : étant donné ce que nous sommes et ce qu'est Io réalité des choses, que devons- nous devenir et que devons-nous foire pour que soit réalisé ce qui mérite d'être?

Un mathématicien, un physicien, un biologiste qui ne se seraient jamais posé ce problème... seraient des robots plutôt que des hommes. le robot peut aligner de&

chiffres, échafauder des hypothèses, foire des expériences. Mois l'homme un jour

(6)

E.S. - PHILOSOPHIE - 4 -

s'affronte ou problème de Io destinée et du devoir de l'homme, qui est le problè- me de savoir pourquoi on aligne des chiffres, on fait des hypothèses et des expé- riences, et s'il y a un but à Io vie par delà ces occupations. Toutes ic>~ connais- sances et toutes les teclirnques sont utiles pour foire progresser l'homme. Mois Io philosophie est indsipensoble pour foire occéder l'être pensant et agissant à Io dignité de l'être moral, qui met en question le sens à donner ou progrès. Lo classe de philosophie est précisément une année d'arrêt, une halte entre i'enfonce foi te de spontanéités irréfléchies et l'âge adulte fait trop souvent d'habitudes ac- quises et conservées sans réflexion. Il est indispensable, pour cet éveil à la dimen- sion humaine de la réflexion, que cette pouse soit marquée en quelque sorte offi- ciellement, que les questions soient nettement formulées par le professE'ur. Et que l'en ne dise pas que cela est prématuré. L'adolescence, « l'inquiète adolescence •, est précisément l'age où spontanément se pose, parfois jusqu'à l'ango1sse1 le problème philo5oph1que du sens de la vie. Notre enseignement n'a d'autre but que de poser ouvertement et méthodiquement les questions qui se posent d'elles-mê- mes dons l'esprit et le cœur des jeunes gens. · Monsieur !'Inspecteur général PERRET, Education Nationale, du 13 mars 1958). Ajoutons à cela aue « l'an entend, en Amérique et en Europe, les voix autorisées de certains chefs d'entre- prise s'élever pour dénoncer les méfaits de la spécialisation prématurée dans les collèges et dire : c Donnez-r.ous des esprits cultivés, qui sachent poser un pro- blème, construire un raisonnement, faire un rapport et, en deux ons, nous en ferons un bon ingénieur • (ibid) : an comprendra, dès lors, que les objections ne sauraient porter contre Io philosophie; mais contre les insuffisances et inconvé- nients attachés à la manière traditionnelle de l'enseigner.

On peut formuler ainsi les nouvelles exigences de l'enseignement de la philo- sophie :

1. Les progrès de Io pensée scientifique et le succès des techniques ont déplacé l'objet de l'étonnement philosophique et apporté de nouveaux thèmes de réflexion.

2. - Au milieu naturel de l'homme se substitue de plus en plus un milieu nouveau, résultat de son progrès. C'est dans la méditation de ce nouveau monde

(7)

1 l

1

1

1 1

l

1 1

1

- 5 - E.S. - PHILOSOPHIE

que Io philosophie doit puiser Io force de son inspiration.

3. - Lo pensée pphilosophique garde son autonomie et son originalité parce qu'elle est indispensable à Io prise de conscience des problèmes fondamentoux.

C'est pour répondre à ces exig.mces que les nouveaux programmes présentent les caractères suivants :

1. - Le programme de psychologie a été, d'une port, allégé, d'autre port, rojeuni et modernisé, les questions étant présentées du plus près possible sous l'aspect qu'elles revêtent concrètement au niveau de Io recherche objective.

Par ailleurs, tout en donnant à Io psychologie Io place qui lui revient, il a été mis fin à ce curieux porodoxe de la situation privilégiée qui lui était faite dons les progrommes traditionnels, tandis que la sociologie y était ignoree. Il fut un temps, en effet, où, dans le cadre des humonités classiques, les problèmes humains se centraient sur un c moi ,. abondamment commenté par une littérature qui foiso1t simultanément office de psychologie. Cette option implicite est devenue aussi dangereuse qu'injust1fiée : privée de toute référence aux cadres soc.ioux de Io vie psychique, l'analyse psychologique classique échoppe difficilement aux pos- tulots individualistes, aux options métaphysiques, quand elle ne sombre pas dons un parti-pris de biologisme. Une initiation des élèves à Io sociologie semble, dès

lors, indispensable.

2. - Leur place étant faite nettement aux disciplines positives, l'esprit phi- losophique a été maintenu de façon prédominante. Son but est de répondre aux exigences humaines précédemment formulées, d'éveiller et de former l'esprit cri- tique de !; élève, de lui donner l'aptitude au jugement conscient et personnel ainsi qu'au maniement des idées générales.

Pour lui permettre de répondre ou souci de formation qui doit être le sien et d'éviter les graves inconvénients rapportés plus haut, le programme de ces disciplines a été débarrassé de tout ce qui n'était que survivance traditionnelle, concentré autour des questions et problèmes les plus authentiques et demeurés actuels, comme en témoignent les réactions des jeunes gens, pour les professeur.>

oyant une longue pratique de l'enseignement selon les anciens progrom:nes.

Pour accentuer ce caractère de réflexion longue et approfondie, qui doit

(8)

E.S. - PHILOSOPHIE - 6 -

donner à la classe de philosophie son originalité 1rremploçoble, cette poriie du programme sera complétée par un recours eux sources de Io pensée créatrice avec laquelle il est indispensable que l'élève soit directement confronté. Il se maté- rialisera par le commentaire en profondeur de textes suivis choisis dans des auteurs jugés particulièrement marquants.

On remorquera, par ailleurs, que l'élaboration de cette partie du programme a été inspirée par le souci de ne pas mettre l'élève brutalement en contact avec les problèmes théoriques : dans Io vie de l'individu, comme dons celle des collec- tivités, les problèmes surgissent du contact quotidien avec les réalités du milieu;

ils ne sont compris et n'acquièrent toute leur densité que dons la mes•Jre où leur formulation pédagogique épouse autant que possible cet aspect génétique.

3. - On s'est enfin préoccupé d'harmoniser, dons la mesure du poss1ole, le programme des connaissances philosophiques avec celui des autres disciplines fondamentales des classes terminales. Un souci sesentiel sur lequel on reviendra lonquement par ailleurs, o été d'obtenir, selon l'esprit général de Io réforme de l'enseignement, l'articulation Io plus satisfaisante des études de philosophie avec l'enseignement de Io pensée islamique, pour mettre fin ou paradoxe de deux en- seignements qui s'ignorent et ne présentent aucun point commun, ni dons l'es- prit, ni dons les méthodes; dualité qui n'était pas comprise par l'élève et intro- duisait la confusion dans son esprit. D'autre part, en ce qui concerne les sections Lettres Modernes et Lettres Classiques, les programmes de Sciences Naturelles et de Mathématiques ont été dressés de façon à favoriser la convergence des préoccupations des élèves sur le fait humain et sa problématique.

En cor>clusion, étant ainsi allégés et modifiés, ces programmes doivent lais- ser au maître suffisamment de temps et de liberté d'esprit pour qu'il puisse appro- fondir son enseignement dans le sens de la vraie culture philosophique, sans le stérilisant souci de terminer son enseignement pour l'examen : c'est Io condition indispensable pour que le trouble inévitablement jeté dans l'esprit de l'élève par le contact avec Io philosophie soit commué en cette inquiétude lucide, positive et créatrice qui doit marquer la réussite de cet enseignement.

(9)

CHAPITRE Il

HORAIRES ET PROGRAMMES

SECTION 1. - HORAIRE

Sous-Sechon 1. - SECTIONS LETTRES MODERNES LETTRES CLASSIQUES ET NORMALE

Horaire total : 7 heures hebdomadaires :

Lo répartition de l'horaire selon les disciplines est laissée à l'initiative du professeur.

Sous-Section 2 . - SECTIONS SCIENCES ET MATHEMATIQUES

Horaire total : 4 heures hebdomadaires.

Lo répartition de l'horaire selon les disciplines est laissée à l'initiative du professeur.

Sous-Section 3. - ECONOMIQUE

Horai re total : 5 heures hebdomadaires.

La répartition de l'horaire selon les disciplines est laissée à l'initiative du professeur.

5ous-Section 4. - SECTION TECHNIQUE-MATHEMATIQUES Horaire tota l : 3 heures.

(10)

E.S. - PHI LOSOPHIE - 8-

Lo réport1tion de l'horaire selon les disciplines est loissée à l'initiotive du professeur.

Sous-Section S. - SECTlON TECHNIQUE-INDUSTRIELLE SECRETARIAT • COMPTABILITE

Horaire totol : 2 heures.

Lo réportition de l'horaire selon les disciplines est loissée à l'initiot1ve du professeur.

SECTION 11. - PROGRAMME

Porogrophe A. - Sections Lettres Modernes et Lettres Classiques

PREMIERE PARTIE - PHILOSOPHIE

1. - LOGIQUE

1. - Lo Science comme fait de civ1lisotion. Le problème de sa genèse historique et sociole. Science et Morole. Science et Culture.

2. - Lo structure de Io connoissonce scientifique. Ses relations ovec Io connois- sonce commune et Io technique. Ses principes.

3. - Problèmes de philosophie des sciences : ol Les Mathématiques et Io réolité;

bl Les Sciences physiques et Io matière ; cl Les Sciences biologiques et Io finalité.

4. - Exemple de Méthodologie :

Les Sciences humaines : leur originalité; leurs difficultés; ieurs pro- blèmes. Ploce particulière des sciences humaines par rapport à Io réflexion philosophique.

N.-B. - En troitont de ce chopitre le professeur fera les rapprochements qui s'imposent avec Io méthodologie des outres sciences.

(11)

- 9 - E.S. - PHILOSOPHIE

fi. - MORALE

Première Partie. - La Vie Morole

1. Naissance du problème moral. Tradition et vie morale.

2. Le~ cadre~ de Io vie morale :

o) Les groupes sociaux. Lo famille. Les classes sociales.

b) Les cadres économiques. Le travail. Lo propriPté.

c) Les cadres politiques. Nature et fondement de l'Etat;

d l Les rapports entre notions.

Deuxième Partie. - La Conscience Morale 1. Voieur et bien.

2 Droit et justice.

3. Devoir et responsabilité.

Troisième Partie. - Problème du fondement de la Morolc Expêrience morole et système de voleurs

Ill. - PHILOSOPHIE GENERALE

1. - Signification de Io philosophie. Philosophie et religion. Philosophie et science.

2. - Problèmes de philosophiP générale Lo raison et Io vérité.

Lo liberté.

L'idée de Dieu.

IV. - AUTEURS PHILOSOPHIQUE~

:-1.·B. - L'un des textes sera pris obl1gotoirement dons Io liste sui- vante; l'outre est laissé à l'init1ot1ve du professeur.

Platon : Phédon. Gorgias. Lo République (un livr1?l. Apologie de Socrate, le banquet.

Aristote : Ethique à Nicomoque (un livre). Lo politique (un livre).

(12)

E.S - PHILOSOPHIE

Epictcte : Manuel (un livre).

Ciceron : De foto.

-10 -

Scneque : Lettres à Lucilius (choix ..

Lucrèce : De rerum nature (livre 2 ou livre Sl.

Ibn Khaldoun : Prolégomènes (l"' partie).

El Ghazali Critère de l'action.

Machiavel Le Prince.

Erasme : Du libre arbitre.

Descartes : Discours de Io méthode. Les méditations (trois méditations). Les prin- cipes (un livre).

Pascal : Pensée et opuscules (extraits).

Malebranche : Traité de morale.

Spinoza : Ethique (un livre). T raité théologico-politiqua Leibniz : Lo monadologie. Discours de métaphysique.

Berkele y : Dialogues entre Hylas et Philonoüs.

Hume : Traité de Io nature humaine (un livre).

Montesquieu : De l'esprit des lois.

Diderot Lettre sur les aveugles.

Rousseau ; Le Contrat social (un livre).

Kant : Préface à Io deuxième édition de Io Critique de la raison pure. les fon- dements de Io métaphysique des mœurs.

Fichte De la destination de l'homme.

Hegel Esthétique (extraits). Cours de philosophie de l'histoire (extraits).

Comte : Discours sur l'esprit positif. Cours de philosophie positive (deux leçons).

K. Marx : Préface à Io contribution de la critique de l'économiP politique. Solai- res, prix et profits.

Marx et Engels : Ludwig Feuerbach et Io fin de Io philosophie classiquE. alle- mande.

Kierkegaard Cl. Bernard partie).

Le concept d'onqoisse. Journal (extraits).

Introduction à l'étude de Io médecine expérimentale (première

(13)

Stuart Mill : L'utilitarisme.

W. James : Le pragmatisme.

- Il -

Lache lier Du fondement de l'induction.

Boutroux De l'idée de loi naturelle.

Durkheim : Les règles de Io méthode sociologique.

Rauh : L expérience morale.

Lcvy- Bruhl : Morale et science des mœurs.

E.S. - PHILOSOPHIE

Brunschvicq : Héritage de mots, héritage d'idées. Les âges de l'intellig-"nce Eta- pes de Io philosophie mathématique.

Bergson : L'intuition philosophique. Introduction à Io métaphysique. Lo percep- tion du changement. Les deux sources de Io morale et de Io religion.

1.cninc : L'Etat et Io révolution.

Eachelard : Le nouvel esprit scientifique.

Freud : Introduction à Io psychanalyse (extraits). Totem et tabou.

Lavelle : Le moi et son destin.

Max Scheler : Nature et formes de Io sympathie (extraits).

Sartre : L'existentialisme est un humanisme. Esquisse d'une théorie des emotions.

Jaspers : Introduction à Io philosophie.

DEUXIEME PARTIE. - SCIENCES HUMAINES

1. - PSYCHOLOGIE

Introduction. Le comportement et le corps propre. Stimulation et réaction.

Extension de Io notion de comportement. Les niveaux de comportement.

Les automatismes. Réflexes et habitudes. Le conditionnement. lnh1bi11on et contre-1nh1bit1on. Apprentissage et formation des habitudes.

Les motivations élémentaires du comportement et la satisfaction des besoins.

Les formes élémentaires de l'affectivité. Irritabilité et sensibilité; plaisir et douleur. L'émotion.

- Lo perception de l'objet. Lo structuration du champ perceptif et les lois de Io perception.

(14)

ES. - PHILOSOPHIE - 12 -

L'1mag1nat1on et la mémoire : Les conduites temporelles.

Les conduites techniques. Détour, construction, fabrication d'outils. L'intelli- gence.

- Le langage et la pensée. Signes et symboles. Les opérations intellectuelles élémentaires.

Les relations ovPc outrui et Io formation de la personnalité. Rôles et attitudes.

N.-B. - Le professeur reliera chacune des questions aux différents moments méthodologiques de Io psychologie.

Il. - SOCIOLOGIE

Introduction. L'originalité des phénomènes sociaux. Individu et milieu. Con- trainte et pression sociale. La communication. Lo notion de cu'ture.

Notion de structure sociale. Sociétés traditionnelles et sociétés industrielles.

Les classes sociales.

Les techniques d'Î<lvestigotion en soc alogie.

Paragraphe B. - Sections Sciences et Mothémotiques

Programmes de Morale, Logique, Philosophie générale des sections. Lettres Modernes et Lettres Classiques.

Paragraphe C. - Section Economique

1) Psychologie - Programme de Psychologie de la Section lettres modernes et

clo~siques.

2) Elements de philosophie générole l'esprit scientifique;

le problème des sciences humaines : Io sociologie : méthodologie;

l'histoire : analyse et synthèse;

objectivité et vérité ;

(15)

Il

il

Il 1

i!

1

1

- 13- E.S. - PHILO~OPHIE

le problème moral - le droit et le devoir - Io responsabilité et la sar>ction;

notion patrie état ; Io famille;

le travail : problèmes humains et sociaux;

la liberté;

le problème de Dieu.

Paragraphe D. - Section Hormole

1) Psychologie - Programme de psychologie de Io section lettres modcr..,es et classiques.

ADDITIF : A Io question « Le langage et Io pensée; signes et symboles; les opérations élémentaires "• ajouter : « Audition, élocution, lecture, rédoction "·

Ill Sociologie - Introduction. L'originalité des phénomènes sociaux. Individu et milieu. Controinte et pression sociale. Lo communication. Lo notion de culture.

Types de société et types d'éducation. L'importance des !ac- teurs sociologiques dons Io pédagogie.

Les techniques d'investigation en sociologie.

Ill) Logique - Morole - Philosophie gé nérale : programmes de Io section lettres modernes et classiques.

Paragraphe E. - Section Technique Mathématiques 1 ntroduction :

l'esprit philosophique, l'esprit scientifique.

Episté mologie et méthodologie des sciences :

noi ;once et développement de l'esprit scientifique le nouvel esprit scientifique - le rôle de la technique dons le monde moderne.

le problème du déterminisme.

éléments de méthodologie en sciences mathématiques, en sciences expéri- mentales, en biologie, en sciences humaines.

Io psycho-sociologie du travail.

problèmes moraux posés par Io recherche scientifique.

1

(16)

E.S. - PHILOSOPHIE - 14 -

Problèmes de Io morale :

le problème moral : valeur, devoir, droit.

les problèmes moraux particuliers posés par le travail.

Io justice.

Io responsabilité et la sanction.

les grandes conceptions de la vie économique e t de Io vie politique.

Problèmes de philosophie gé nérale : Io vérité.

Io liberté.

Dieu.

Paragraphe F. - Section Tedtnique - Industrielle Secrétariat - Comptabilité

Programme de Io section Technique-Mathématiques moins les prol)lèmes de Philosophie Générale.

(17)

CHAPITRE 111

DIRECTIVES

1. -

Observation gé nérale

L'objectif sera d'instruire les élèves de l'évolution et de l'état actuel des connaissances humaines afin qu'ils puissent suivre et apprécier le progrès des sciences et des techniques et en particulier saisir l'importance des sciences hu- maines qui rendent possible une connaissance positive de l'homme.

Moi outre cet objectif, l'enseignement philosophique doit rester réflexif et critiqu1. Au professeur de philosophie appartient donc Io mission d'i?vei ller et d'exercer l'esprit des jeunes par l'examen des résultats de Io science et par l'ana- lyse exacte des notions fondamentales sur lesquelles repose Io conduite des hommes.

Ce travail réflexif comporte :

Io lecture approfondie de textes philosophiques.

Io référence constante à des situations réelres (cadres sociaux) ou aux résultats des sciences de l'homme.

- l'établissement d'un vocabulaire assez simple pour interdire en classe toute spéculation verbale c'est-à-dire simulacre de Io pensée.

Enfin il est inutile de souligner que Io réflexion philosophique sons vouloir implanter des dogmes doit offrir des solutions ou susciter des impulsions en vue de contribuer à former des hommes et des citoyens dignes de ce nom.

11. - Précisions sur la structure des programmes

A. - Programme de sciences humaines

1. - On remorquera que le nouveau programme distingue deux parties Io

(18)

E.S. - PHILOSOPHIE - 16 -

philosophie et les sciences humaines. Cette distinction n'est pas une coupure mois une simple dissociation à l'intérieur d'une unité théorique et pédagogique réelle.

Il est donc souhaitable que le professeur fosse apparaître cette unité globale de l'ensemble du programme.

Dons Io manière d'aborder les questions de Io psychologie et de Io sociologie, on insistera sur les recherches et les découvertes de ces sciences et tout en signa- lant le caractère, l'intérêt et Io voleur des méthodes on n'oubliera pas de souli- gner que le but de ces entreprises est une question éminemment philo:;ophique : qu'est-ce que l'homme ?

Certes dons l'enseignement des sciences humaines nous ne disposons pas d'un enchainement métaphysique des questions à trotter mois dons leur évolution actuelle elles fournissent des objets de réflexoin susceptibles d'enrichir Io recher- che philosophique.

B. - Programmes de philosophie

l. - Le programme de Morale commence par l'étude des problèmes surgis- sant ou niveau des structures concrètes de Io société où l'homme et ie citoyen modernes sont en situation, ces structures elles-mêmes étant, par ailleurs, décou- vertes de façon positive dons le cours de sociologie (d'où les analogies de formula- tion entre les programmes de sociologie et de morale concrète, qui ne sauraient évidemment foire conclure à une identité de problèmes et de préoccupations).

On prépare, de cette façon, l'explication complète des problèmes théoriques de Io conscience morale, avec ses implications essentielles, et du fondement de Io morale, qui ne sont totalement découverts qu'à Io fin, et doivent ocqi.;ltir, par cette présentation, Io plénitude de leur sens. On respecte ainsi l'allure génétique qui a été défendue dons l'exposé des buts de Io réforme. A été supprimé le cha- pitre immense sur les grondes conceptions de Io vie morale où l'élève se ;>erdoit dons une variété d'ailleurs toute spéculative, et à couse duquel le maitre ne trou- vait jamais le temps de traiter convenablement cette c morale concrète ,. qui est pourtant le support de Io vie et de Io réflexion morales.

2. - Dons le même esprit a été éliminée du programme de logique toute

(19)

- 17 - E.S. - PHILOSOPHIE

la partie dite de c logique formelle >. Le niveau des élèves de Io classe de phi- losophie traditio~nelle astreignait le professeur à se limiter à des considérations très élémentaires, oyant peu de rapports avec les développements difficiles de l'actuelle logique formelle. D'aù, presque inévitablement, l'appel à des considé- rations simplistes, stéréotypées, et n'oyant plus qu'un contenu de tradition. Ce qu'il y avait de valable dans ce chapitre est renvoyé d'une port à Io psychologie de l'intelligence, où l'an étudiera les opérations de Io pensée dans leur sol concret;

d'autre port à Io philasaphie générale où dans le chapitre sur le problème de Io vérité, an examinera la prétention de ces opérations à Io promotion logique et ontologique'.

Le programme de Logique se concentrera danc tout entier sur la révolutiôn de pensée amenée par la science et Io méthodologie scientifique. Lo science sera présentée comme un fait général de civilisation : on ne se contentera donc plus de justifier l'esprit sc1enttf1que par auelques motivations psychologiques artificiel- les et souvent simplistes, mais on se souciera d'aborder le problème dons s'! ge- nèse réelle h1stonco·socialogique, ce qui n'excluero évidemment pas l'étude pro- prement logique de Io structure de Io conno1ssonce scientifique.

D' outre port, les chapitres traditionnels sur les mathématiques et les scien- ces de Io nature ont été transformés dons leur économie. Outre Io réduction des horaires, il a fallu temr compte de Io difficulté pour le professeur de philosophie, de traiter, de façon outre que verbale, les problèmes réels et techniques de mé- thodologie suscités par le développement toujours plus rapide de œs sciences.

Aussi, et étant donné de surcroit l'orientation résolument philosophique du pro- gramme, s'est-on limité aux problèmes philosophiques essentieis suscitf'~ par ce développemerit : raison et réalité, matière, finalité. Autrefois réservés à la pure métaphysique, ces problèmes seront ainsi, dorénavant, rattachés, dans 1' enseigne- ment comme dans la réalité, ou contexte de la recherche scientifique, qui ne les épUJse pas, mois en dehors de laquelle il devient impossible de les aborder de façon sérieuse et efficace.

Enfin, un intérêt tout particulier est accordé, dons ce programme, aux pro-

(20)

E.S. - PHILOSOPHIE - 18-

blèmes posés par l'avènement des sciences humoines. En effet, le professeur de philosophie est en mesure d'aborder leurs difficultés méthodologiques, dont l'exa- men est particulièrement enrichissant pour Io réflexion générale sur les sciences;

d'autre port, étant donné le g ra nd développement qui sera donné dans œs classes à l'étude de la psychologie e t de la sociologie, l'esprit de l'élève réclamera et sera en mewre d'assimiler cette importante matière méthodologique.

3. - Le programme de philosopie générale se trouve ainsi décante et con- centré autour de trois problèmes-clefs qui alimentent la réflexion philosophique Io plus largement humaine et avec lesquels l'adolescent est naturellement aux prises de Io façon la plus vive : problèmes de la vérité, de Io liberté, de la divinité.

111. - Précisions sur fa répartition des programmes à travers les sections

1. - Lo totalité des programmes de philosophie et de sciences huma"nes n'est dispensée qu'aux sections Lettres Modernes et Lettres Classiques. En les rapprochant des programmes de sciences naturelles et de mathématiques, on verra se délimiter et s'accuser Io physionomie originale de ces deux sections : tout y converge vers la prise de conscience de l'homme, de sa situation et de ses pro- blemes, du sens à donner à son existence en fonction des modifications fonda- mentales de sa civilisation.

Ces sections hériteront ainsi de l'un des aspects les plus volables que les anciennes « humanités > ont légués à l'enseignement secondaire.

2. - En ce qui concerne les classes terminales d'orientation scientifique, le choix des programmes a été guidé par diverses considérations :

Pour les sections Sciences et Mothémtaiques, où les élèves sont suffisam- ment initiés, par ailleurs, aux sciences et à l'esprit scientifique, en proposera la

réflexion proprement philosophique qui sous-tend les programmes de Morale, Logique et Philosophie générale des sections Lettres : l'innovation consiste donc dons l'introduction de l'étude des questions importantes de cette dernière discipli-

ne, grâce à l'augmentation de l'horaire traditionnel de philosophie, dans la sec-

(21)

- 19 - E.S. - PHILOSOPHIE tion Mathématiques. Elle réjouira sans doute les maîtres : ceux qui ort enseigné dans cette classe savent qu'il était assez malaisé d'y enseigner Io Logique et Io Morale en s'interdisant de déboucher sur les problèmes de Philosophie générale que certains aspects de ces disciplines appellent (vérité, liberté) ; et surtout, les questions qui leur étaient posées à tout instant par les élèves leur apprenaient combien ceux-ci étaient en somme frustrés par l'impossibilité d'exomint>r de façon approfondie des problèmes que nourrit intensément l'inquiétude de l'adolescent (problème de Dieu en particulier>.

En ce qui concerne Io section Technique-Mathématiques, en vertu des consi- dérations déjà alléguées pour Io section Mathématiques, il a été décidé de main·

tenir l'enseignement des trois disciplines philosophiques dont l'ensemble forme un tout qu'il n'est pas désirable de dissocier. On fera également prendre con!.Cience aux élèves, afin de compléter harmonieusement leur culture scientifiqu~, de l'im- portonce et de l'originalité de Io méthodologie des sciences humaines.

Pour toutes ces sections, il est recommandé aux maîtres de mener leur en- seignement philosophique de façon à amener leurs jeunes élèves à prendre con- science des problèmes posés par les sciences et techniques qu'ils pratiqueront o!:icndomment et à surmonter quelques heures par semaine l'attitude du spécia- liste, pour s'interroger sur le sens que l'homme doit leur donner.

IV. - Directives particulières

1. - 11 est, tout d'obord, bien entendu que l'ordre des questions des pro- grommes officiels n'enchoîne pas Io liberté du professeur, qui pourra les aborder dons celui qu'il jugera préférable, sauf, toutefois, dons les disciplines qui re- quièrent une réflexion s'omorçont à partir de données concrètes, conformément à l'esprit de Io réforme : il en esn ainsi, pour la morale où l'ordre des questions o été suffisamment justifié précédemment.

2. - A l'étude du programme se joindra, pour les seules sections Lettres Modernes et Lettres Classiques, toutes les outres sections en étant dis<Jensées, le

(22)

E.S. - PHILOSOPHIE - 20 -

commentaire en profondeur de deux textes suivis choisis dans des auteurs jugés porticulièrement marquants. L' un sera pris obligatoirement dons Io liste offi- cielle, qui sera soumise à un ré-examen périodique ofin de Io rajeunir et de l'adapter aux besoins du temps; l'autre sera laissé ou choix du professeur à la condition, toutefois, qu'il présente de suffisantes garanties pédogogique.s

3. - Il est impérieux de réaliser une unité suffisante entre les deux ensei- gnements de philosophie et d'étude de Io pensée islamique.

La principale difficulté, pour a tteindre cet objectif, vient de ce que le pro- gramme de philosophie est nécessairement organisé autour d'une problématique laissant de côté les perspectives historiques, tondis qu'au contraire l'optique his- torique sert de fil directeur à l'étude de la pensée islamique. Il appartiendra aux maîtres - dont 11 va sans dire qu'ils devront être au courant des programmes des deux matières - d'infléchir leur enseignement de façon

a

foire $e rejoindre le mieux possible ces deux optiques. Il serait, en effet, extrêmement reg•ettoble que les élèves suivissent les deux enseignements sans parvenir à effectuer la jointure philosophique et il appartiendra aux professeurs de la leur fournir.

Pour ce foire, on ne saurait indiquer de recettes à priori la condition fon- damentale se trouve dans Io nécessité de contacts personnels et d'une coordma tian ininterrompue de travail entre les profes~eurs des deux disciplines. Pour que cc contact ne demeure pas purement formel, on se souciera, par ailleurs, de leur assurer les conditions effectives d'une information réciproque por bibliographies, réunions en commun, exposés, stages d'information et autres moyens. Quand chacun des professeurs aura ainsi une connaissance suffisamment intériorisée de la matière enseignée par l'autre, il lui sera facile d'en tenir compte dons son propre enseignement, ce qui doit contribuer à éliminer progressivement le dualité désastreuse précédemment signalée.

1

1:

1 : .

1 1

(23)

- 8 -

.)

~'

e1.;

..1.

y Wh... 0§: ..;1

c.S")L.'J1 ~' ~l.:...~ .)~J

~J.. ~I ~ ~

e"\,;

_r.ll

clb

~

ct..µ :}"

J.. ~ ~.)L.J\ (.;__J\

JI ~-' , 1-4J cil~

\.r

~

_,i

:JI~ \i,., .S~ ~l cilA,

,sfo

~

;_r.

~ y>~

;_r...}

~ ~;l:.ll ~ ~ ;_,... 'J d'"J-'JI ~I

• .)w\11 Jl~ ~ ~ ~ .:.Jlj loj c..i~Î ._rll ~~l ..jjl_,J.I

~I ~ ~ -L>IJ

e"\,;

..1. c.S""J-'Jl ~l '--....1.P

e"\,;

.r-! ..JI

~-' ~I ~I ~ oj=>:-Y..

<l::-' t"""

~-.JI ~l::...'JI

j..._; :

15_,.;U1

~)ISJI '-:-"\.)\Il ~JI ~~ o.)Ll.1 c~ ~'J 1_):.; <lil 'YI • ~l

~)\;:..}l ~, ~I o..i..., ~, ~7.-"'i

J-S

4..._,L., ~

J-.>..

~}I ~ ..ÙyJ ~11.Â.<> ü~ r+..-11 ._ . .fa~ ....,y~

_,;

~J/-'.

jJL...1.1 ~ 0..i..JJJ 0....,.:Jl

J'

(24)

~\.::JI 1..-Jl__jl . .

~_,::JI ~I

t)l.k'J

~J

d')l...'JI

~I

Gl;.:i

.r.--J _:,\ ~

~

.:..Lo

fo ;_,... \... fo oJ~~ ~)l..,.'JI ~lii..JI

..r"\.b ;_,...

r'-"' fa ~ . d

L...., \Il ~ 1 j> 1 _,.. ;_,... 4..,...\,.. tj_,.. _,.. J

;_,... (',;.;; ~ tjL.a;\ ~ ;_,... d')l....,'J\ ~I l..i,..

JI

~

..Ji

~

•.:.' J->

d..fal

J~l ~ .:,.oi...:.; ;_,... ~ ~

\,e jl_r.)'

~~. fa d)~

_;~IJ ~

;_,... <l:-ll

~Î L. ~ .J"J, ~ ;_,... ~U..,_, ~~Î j~I

~;\.:.:JI

j_,_,kJI JI (..]'"'_,...:JI

.:,.0 0~1 ~ )IJ •

15_,;.i

~

;_,...

~l}o j l_-'.\I

~ ~ ..;.,j_r. ~I (~l...Q;_, ~~J ~.:>) ill.:>J.I ~~'JI tWJ\''J

• _r.WI l..i,.. (')l.&l: .;:.,.k.. JI ~)l....,'JI (:~1 ..::..l.;'-:-:-'.I

~ ~ 0 Î ~ "'~i_, ~I 1..i,.. ..!>1-L>Î

l"""i

Gl;.:i .:.,1 ("

;;_,_D d..fa

JI

~

\...

..k~IJ L._,.:i

..r'

~I

JI

t._,~ )~ .!LI:,_,~~

• ~I ~)lâ.JI ...::..\.:_};.; J (')l....,)11.) (:fa!I ..::,;\.)_fi

d

U.l..:.

~)1 ~J ~

;_,...

~_}:.iJI

...ül_,il j_r.1

<..!"'~!

.ü:.;;1.)

~l_r..

l.ii

o..U.

jJ ~')..ù.l ~.fa.:JI ..,.;._,_..JI JI ·~')JI ~ ")' ._;:- 15_,;.i 4-:- ;_,... ~

~

If'

~I

o..i,..

J::_b; ~

01

~ l.f ·

-::.\:_}à.JI ..!il; JÎ .;:,\.) )-1

~ ~I ~I ~~\ ..r-4~ ~-•:I \._:.. I~ ~ ~ µ

t...~WI

l:...JI .)

~

(25)

- 6 -

~Lli

G

..rJIJ v_,.b)Ljl -

1

~I ~.:,.:JIJ

_,k...._;1 _ '-:"'

~l_,...;.)11 ~ .:,.:JIJ

.:,..1

_,lii - (.

~_,,...;.)!IJ

4.J_r.11 : r)UJI

(I

~ljJIJ ~\...)11 (2

L.O....aJ

1 ..) ')_;..' (3

JJ"YI ~\ .) U!~ ~I JI 1.5..i..SJI '-:'l;S : ~~t (1

• ü...c.WI ~...û.I j><:I •l;Ï _ ~I 1.5i; ~

c-' :

~IJWt (2

. ...,....w1 '-;'L.S : \.:...

~~'

- 3

J)l...2)1

d'

j,Ll\ - ~)\A.li

..;...;4J : JtjAll -

4

• ._..j4;J1

..::..,.;4' _

Jl.A!.1 ~ : .J..;,J ~~1 ( 5

vLW-: .:.,~ ...r- : ~ ~'

(6

• Lc-lAl.1 : e;UI u...J_;J ~j..û> ~~I (7

(26)

·u11.-)L.JI d . .

t~'JI ..) ..:;,~L 3 : ~~1 ~b'.'I ~ _ t .J-:-,....'JI ..) 0~\...

:

~\ .)l~I ~J ~-~\ ':-'b':/1 ~ _ "-:-' ..) o..b-IJ ~\....,. : ~.)\....a;j'JI ~ IJ ('_,.Lli ~J 0~.)\ ~\

- (.

t ...

~'J\

·

tt : a...i L..::Jt ô . ;;,Ht

~

r. .. .;- (...:JI .

~~~

.

.-!) - • )

j:JÎ.::JIJ ~I

J)L!... :

..)Ï~I (I

.:,~)Û..I : ji.:JIJ jiJI ~ ~ ~I ~l..ill (2 : if)L.'JI ~I ..} l...

_dt;

~ ~ ~ t; ~I ~I (3

(27)

-.C-

LI_,~_, u~.A>.ü

ri

~I ..:..1_,~~I

.:,;\.hi

~ ~~I u...WI LIJ~

.J::-'.

· r:..WI

._r'.A,.,.,,\11 ~I

.? y

b' \11

4-:J

1 •

'...l..;S>

\Il ;_;:..,__ \1 <li l,, .!lb J l ...Ï.,.. ...r.' ~ ... --1

w. _,.k

l. 1

• ---:_~I ~I c.r-J.~ ~_,l:.:.11 L1_,..ù1 ~_,k v-'.A,.,.,,\11 .r(;JI ...rJ:> ~ J---1_,..J1 ~

}2-J

1 ~ .JI ~ ._r ":)....,,\Il

..r:-W

1 ..r..J.J.J

..J

1 -.!U

i:

.f'--

~-' ~I l.!U~ J_,~ ~ ~I 4..ùU ~IJ ~IJ ~~YI .jl 4iW

LJ-o 04°

~)>J • _,\J.2.ilJ J..,.b-

LJ-o

~I IJ...w<>I \...JI ..JJ~. <l•'#I ..::.L...1_,..ù1 ~l_r. ~_, .\..:..,1 ~

.rJJ

..;;..\)~')li

c:

~l~\11

§

f"<-... ;.:;

V""'

_f' _,

~

. .rJ

1 .A.iJ 1 J ~Y' _,.tl ~ 1 ..i_.:;.,U" ~

_,k .?

J ~. ~ 1 ~ 1 ' ~I l!l.J~ ~I ~ ~I ~ ~ _,l.1 J-1_,uJI ;f- ..__j_~I J~

v-~\11 ~I LI)~ ..::1 JI )\k.i\11 ..:,.il; .::1 JI ~~ ~

.J>c.i J.><'J

;.r- o:>

~j ~ J' \'I ~ 1 ')Il

4J

.j _,,'-:_ .j 1 .:.,..~ \' e:H..:i

;.r-

~

c J)

1 oJ..t'.

_ 4.JI J~ l.

V:f-

JI

J-43J

~_raoJI ~\ ..:..L...1_,..ÙI ~ ~ ~

f"

V""'~~ l J ..:.. I~ ~ _,

_,...!J

1 <l... l... I b _):.. ~ 1 _,..; ..s--' ... ~ 1 ..l-1.::..lJ :._-.:::.;

• ..::-1.L.l!

(28)

~. ~ ,t· (.. <\.. ·r· r ~ ~

c= ,_

t. i. ~

1

't. l ·V ~ E ("' \. " ( ~ L

G.

~ ~ ; ~· .~. ~ ~ .~ l '.t ~ ~ : ~: '!· - f. 1· 1 ~ t. ~ l -

c;

b .. 1 ~ ~- 'l. ~ \.. ·~ ~ t _

L Ç:_

f ~

Gf.:

f ,l ~ · ~ lt-C-c . E -..-.. c_ ·~r~ J.' <; · r c 'l 1 ~ c;,· c; · r ~· ï ~. [ ft· ~ 1r .r

r. -

~

f. l (;;"

c;, - ~ - · r

ç_ <..-..-, • nl.

C· t_ r ~ \ ~ l ~. ~ c;,· .

1

~

.t' ~ [ : t t ·~ ~ ~ t - C\ ). c S:: 1 . t t ~ ~· -: : 1- ~ t ~ -:t. ~. ~- i ( -r:. r.Z .... .t -:t. ~ ·t

1

·c ~ ~ c. ~ · - r· - - c;,· & 1 ~ ~ . t y ~ '.l· ~· ~ ~ \; ~ .[ .. ~ t t; ' . - b r:- c;, 1· x ·' 1 c. f

_: 1 ~ 1 ~I

S:

r : ; != • l· 1 1._ (" ... ( 1 1 1 ~

·r r .. --; .r-: . fi ' ;t C"[ ~: ~

C· 1·

~ ~ . t ... · ~~

: V

1~

-

l . ~·

'-o

C\ . ~·

t_ 1

• f

G-'-v t;, ' f-'

c,_ l '

--\'> c; .. :-\' -

~ f

,t b

~ -

.f-'

·t. . ,-..

(: '-"f::' 1 ~ -,._ -~ ~-

b

v -(

t :~

o

~ ~~ t )., . c - lr. . c;,· ·f; .r- ~" ~

c:

~-

::;. '"'

c;,· tf ~ t ~ - .. :-

.( /;

~

i.; r l·

l '1

\o

l ..

r-

ç ·~

.c-r:-

·t.' fl.· c.. : ~ J' '.~ ·~· l~ è ~ (.~ , c.· ·L c., [

r_

t r=. . - ).- .~ ~..:. r [' r -

C\

ç .

..ë ·C ·~ t. (. ""t ·:t""' .:: , , ~ ~

C.· ç:::: 1:

~

--

~

: 'f.I

~ f

r.;i . C· ~ ... (;.. ~ 1 : ~ ' -

e:·

i; (. : . ~ [

c.

1 - 1

~

·

~ t t t c; Y \. ~ _ ~ ~ ~ - -

c_ ,

~

t :~ ~ .[

(29)

Il •

1

~I

3

5

1 , - ~~,,

~ _ I

or-- _ 5

5

:

~l:JI ~U1

. . * 7

(30)
(31)

1963

Références

Documents relatifs

- Un groupe ayant la consigne de remplir les deux objectifs, de ne pas se faire renverser et de mettre le moins de temps possible pour gagner le jeu (groupe A3)... La

- Comparaison deux à deux des temps de parcours observés dans les conditions A1, A2 et A3. - Comparaison de la condition A3 à l'ensemble formé par les deux autres conditions. 3)

La colonne &#34;Corrél Partiel.&#34; donne les coefficients de corrélation partielle entre la variable Qual-Glob et chacun des prédicteurs, c'est à dire les

Le parcours de M1 est commun (456h dont 24h mutualisées avec la mention Psychologie de l’éducation et de la formation.. de Nantes) et les parcours de M2 sont différenciés (316h par

Enseignement Secondaire Section masculine. Samedi 25

[r]

* Cursus de psychologie dans un Master délivrant le titre de psychologue (licence de psychologie obligatoire complétée par un Master de psychologie ; loi 85-772 du

Impressionnés par cette nouvelle et désireux d’utiliser la couleur dans une habitation, vous décidez d’expliquer l’impact de la couleur sur la psychologie