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Définir des priorités?

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Une analyse pour alimenter la réflexion du 47 ième congrès du SNCS (2020)

relative au thème 4 (fonctionnement du syndicat)

Champs d’action du syndicat

1

La défense des intérêts économiques et professionnels, collectifs et individuels, matériels, moraux et civiques, des personnels de la recherche scientifique, ainsi que le développement de la recherche scientifique et de l'Université en tant que services publics.

(Extrait des statuts du SNCS)

Définir des priorités ?

Statut - Recrutement - Précarité - Contractuels

Salaires et carrières - Primes - Egalité femmes / hommes - Action sociale - Retraite

Gestion des personnels - Réorganisation des laboratoire et des structures

(politique de site)

Lieux de travail - Conditions de travail - Relations dans le travail

Fonctionnement des laboratoires et démocratie Défense des personnels

Orientations de la recherche – liberté académique - déontologie

(Objectifs de Développement Durable, Stratégie Nationale de la Recherche, Politique de site, Projets Prioritaires de Recherche, Contrat d’Objectifs et de Performance, Contrats de Plan Etat-Région, ANR – PIA (Labex, Idex, I-site), HCERES, Office Parlementaire d’Evaluation des Choix de la Recherche)

Financement de la recherche (ANR, PIA) - Recherche et innovation - Relations avec l’industrie

Champs d’action du syndicat Déclinaison (non exhaustive)

2

(2)

• Rôles d’un service public

Contribuer à garantir un cadre de vie paisible et sécurisé pour la population (justice, police).

Mutualiser des dépenses qui ne peuvent être supportées par l’économie marchande (éducation, santé, recherche fondamentale)

Investir dans des infrastructures nécessaires pour un temps long (routes, autoroutes, aéroports, réseau ferroviaire, transport de l’énergie, réseaux de télécommunication).

Redistribuer la richesse par des services à la population et l’assistance sociale.

• Utilité de la recherche scientifique publique

Soutenir la démocratie : prise de recul, temps et compétence pour l’analyse ; autorité morale Informer et conseiller le monde politique et la population

Rappeler les leçons de l’histoire et dénoncer les discours idéologiques

(indépendance par rapport au pouvoir politique et aux pressions économiques).

Développer des connaissances et compétences potentiellement utiles sur le long terme.

Soutenir un enseignement en évolution (nouveaux champs disciplinaires, nouveaux contenus)

La recherche scientifique publique : un service public

3

20 ans de récession pour la recherche publique

• Budgets stagnants en contradiction avec l’objectif du 1% du PIB pour la recherche publique

• Volume de personnel en diminution, gel du point d’indice et instauration du RIFSEP

• Disparition du financement récurrent des labos, remplacé par le financement sur projets (ANR, PIA)

Des attaques répétées contre l’université et la recherche

• Loi sur l’innovation et la Recherche – Allègre (1999) => confusion recherche / innovation / start-up

• Loi de Programme Pour la Recherche (2006) => PRES, AERES

• Loi relative aux Libertés et Responsabilités des Universités – Pécresse (2007) => « autonomie des univ. »

• Loi relative à l’Enseignement Supérieur et la Recherche – Fiorasso (2013)

=> fonction.t des universités, contrat doctoral, reconnaissance du doctorat

• Loi Pour la Recherche – Vidal (2020) => précarisation du personnel scientifique public et privé, évolution de l’ HCERES, marchandisation des universités, gestion assouplie des fondations

« En même temps » : CIR = 6 milliards d’euros / an

dilapidés au prétexte de développer la R&D industrielle (2006-2020)

Les doléances des « états généraux de la recherche » (2004)

et de la communauté scientifique nationale (2019-2020) sont restées lettres mortes

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Mise en danger du service public de la recherche : contexte historique

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(3)

• Compétition et prépondérance des objectifs à court-terme

AAP : Aversion au risque (perte de créativité, diversité)

Pilotage : restriction de la liberté académique.

Rotation des personnels : appauvrissement du patrimoine intellectuel de la nation.

Fuite des cerveaux : perte de l’investissement de formation, de savoir-faire, d’expérience

Ethique et déontologie relâchées au nom de l’urgence

• Utilitarisme et prépondérance des objectifs à court-terme

Course au positionnement sur des sujets à la mode = suivisme.

Ralentissement du développement des connaissances fondamentales

La priorité à l’innovation masque qu’elle est le fruit de la connaissance fondamentale.

Prédation capitaliste : le bien commun de la recherche publique détourné et asséché pour servir des intérêts privés.

Ethique et déontologie relâchées au nom de l’utilité économique

Mise en danger du service public de la recherche : système toxique

5

Des métiers abîmés => un secteur professionnel qui a cessé d’être attractif

Précaritélongue. Diminution des perspectives de recrutement pérenne. Parcours sans issue.

Progressions de carrière restreintes et inégalitaires dans un métier où le collectif prédomine.

Salairesinadaptés aux qualifications, disparité de traitement dans la FP, sans perspective d’amélioration.

Primes inéquitables alors que chacun joue son rôle. Aides et prestations sociales en diminution.

Retraitesrabotées pour une majorité.

Conditions de travail insatisfaisantes et stressantes, défavorables aux objectifs métier. Désorganisation.

Contraintes et injonctions en contradiction avec les valeurs du métier. Pénurie. Perte de contrôle.

Relations de travail structurellement dégradées. Evaluation individuelle et violence institutionnelle.

Une exploitation idéologique de « La Science » en contradiction avec les valeurs des métiers scient.

Atteinte à l’image de la communauté scientifique : contenus dénaturés pour l’usage politique(« complexité Création de comités scientifiques ad hoc. (groupes de travail LPR – comité de crise « pandémie ») Prétexte du financement de la R&D industrielle pour détourner les fonds publics.

Des objectifs « sociétaux » contraignants, conjoncturels, opportunistes recherche large, long terme.

Idéologie d’une recherche orientée « pour » l’innovation et le développement économique

Pourquoi l’ « insurrection » tarde-t-elle à venir ?

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Une situation désagréable et pénible pour les personnels

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(4)

• Une pensée dominante matérialiste dominée par l’idéologie néo-libérale

• Humanisme et solidarité => individualisme et concurrence

• Les personnes et la santé => les individus sont « consommateurs », ou « producteurs de richesses » (consommables et jetables)

• La course à la compétitivité et aux profits est le seul horizon politique

• Une démocratie maltraitée

• Un discours politique volontairement manipulateur et trumpeur

• Une presse majoritairement sous emprise

• Des représentants inféodés à l’exécutif (parlementaires et sénateurs)

• Un esprit critique en berne et une répression violente des protestations

• Un dialogue social malmené

• Un MESRI brusque et déloyal

• Un rapport de force défavorable (division du front syndical, un pouvoir autoritaire et sourd)

• Des nouveaux lieux de pouvoirs desquels les syndicats sont exclus.

=> Sentiment d’impuissance et sidération

Valeurs abîmées

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Un pouvoir économique avide

• La course à la compétitivité et aux profitsest le seul horizon politique

Pas de scrupule à puiser dans la caisse commune : CIR, détournement de la recherche publique.

Insatiable(étranglement des services publics, diminution des retraites et chômage, cotisations, CICE, CIR++).

Une clique d’opportunistes prédateurs : la cinquième colonne de la communauté scientifique

Hégémonie: CURIF et UDICE, CPU, « autonomie des université » et « politique de site »

Pas de scrupuleà renforcer sa domination : lobbying politique et exploitation des leviers juridiques et légaux (LPR = exploitation des jeunes + répression de la contestation + assouplissements déontologiques

+ marchandisation de l’université + stagnation des salaires « en bas », et explosion des avantages « en haut »)

Pas de limite à la gourmandise (« autonomie », politique de site, CURIF => UDICE)

Une contexte politique dégradé

• Un exécutif centré prioritairement sur l’économie (priorité à l’innovation) et défavorable aux services publics

• Des modérateurs transparents (parlement, sénat), une justice partisane (gilets jaunes, violences policières)

• Une haute administration imbue d’elle-même, autoritaire et qui ne veut « pas de vague ».

=> Il ne tient qu’à la communauté scientifique d’en prendre conscience et de réagir

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Cette situation n’est pas accidentelle :

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(5)

La mise en compétition par les appels à projets a dégradé « le collectif »

• L’isolement d’une fraction du personnel existait déjà dans les laboratoires

• Le financement par projets parcellise la communauté : - au niveau de l’université : Idex, Labex, …

- au niveau des laboratoires : ANR, ERC, chaires, etc.

• Dégradation du sentiment d’appartenance :

- resserrement du périmètre (financement sur projet, suppression de la CNU, UDICE)

- suppression du statut de fonctionnaire, précarisation (vacataires, CDI de mission, chaires prof. Juniors) - thèses dans l’industrie (effacement de la dimension sociale de la thèse – érosion du compagnonnage)

• Evolution des valeurs:

l’idéologie de l’ « excellence » banalise la marginalisation et « justifie » la maltraitance

La communauté scientifique a favorisé la dérive

• L’appétence pour le progrès, le « toujours meilleur … »

• L’individualisme et l’opportunisme.

• Le goût pour la confrontation, la compétition et la reconnaissance.

• Le sentiment de supériorité.

=> Il ne tient qu’à la communauté scientifique d’en prendre conscience et de réagir

Cette situation n’est pas accidentelle :

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• Le vote de la LPR révèle la force des uns, et les faiblesses des autres

La communauté s’est mobilisée très clairement, très largement, et sur la durée (2 ans)

A la fin, les opportunistes prédateurs gagnent : (la prise de pouvoir ne s’improvise pas) - ils occupaient une position de pouvoir et avaient l’avantage de l’initiative

- ils semblaient disposer d’alliés puissants (exécutif, économie) - ils avaient l’avantage de la communication institutionnelle

- leur ligne de conduite était claire ; elle a été constante ; elle s’appuyait sur une stratégie

• La communauté était divisée (« groupes de travail » adhoc, pas de dénonciation des porteurs de la LPR)

• Le message de la majorité semblait marginal

• Il n’y a pas eu d’action réellement marquante, frappante pour l’opinion publique.

• Avantages des syndicats : représentatifs par nature

+ légitimes pour la coordination de l’action publique + leviers spécifiques pour l’action (rouages des instances)

• Responsabilité et cohérence ?

(Tandis que la communauté protestait, les syndicats « négociaient »)

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Cette situation peut être réparée :

Un syndicalisme actif et volontaire peut jouer un rôle déterminant

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(6)

• La communauté scientifique souhaite-t-elle réagir ?

• Expliquer les enjeux et écouter les besoins

• Vérifier la volonté et évaluer l’engagement potentiel

• Permettre au SNCS d’accéder à une représentativité indiscutable

• Siphonner les adhérents des syndicats « réformistes »

• Elargir la base syndicale

• Le SNCS veut-il intervenir de façon concrète et volontaire ?

• Importance de maintenir un équilibre entre la concertation et la revendication

• Importance du rapport de force (rappel : « négociation du protocole »)

• Comment nous définissons-nous ? « progressiste » ? « réformistes » ou « collabos » ? ?

Obtenir une réponse du congrès sur la posture, ainsi qu’un mandat pour mener l’étude et agir

Questions préliminaires :

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OUI, si le discours du SNCS persiste à faire comprendre que le service public de la recherche ne s’inscrit pas que dans un cadre économique, mais qu’il répond à un besoin de société.

OUI, si la communication du SNCS améliore l’image d’une expertise scientifique

au service de la population.

OUI, si l’adhésion et la participation au SNCS contribue à répondre aux besoins

de sécurité, d’appartenance et d’influence des syndiqués (solidarité).

OUI, si le SNCS travaille efficacement à défendre les personnels et la liberté académique et en particulier, à desserrer l’étau qui se referme sur les nouveaux entrants.

OUI, si l’action du SNCS peut contribuer à ramener des conditions de travail

plus sereines et plus pérennes.

OUI, si l’action collective au sein du SNCS permet d’infléchir les règles imposées par l’état en faveur de tous les travailleurs scientifiques (plutôt qu’au profit d’une poignées d’opportunistes et du pouvoir financier).

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Vivons-nous un moment propice au syndicalisme ? Qu’en pensez-vous?

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(7)

• Présence et implication dans les instances

Continuer à participer et à réagir … (conseiller, négocier, dénoncer)

==================================================================

Elargir le champ d’action et renforcer l’impact dans les instances ?

=> Suivre et accompagner les élus

=> Réfléchir et définir avec nos élus dans les sections CoNRS, les CSI, le CS … des lignes d’action / préconisations collectives et nationales ?

=> Accéder aux nouveaux lieux de pouvoir (locaux) ? (Consultatifs et décisionnaires)

=> ou présence dans les instances de contrôle ?

(parlement universitaire, CS des facs, pôles, HCERES … etc)

• Retravailler les liens entre syndicats et développer l’action intersyndicale

Activité syndicale dans les instances

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• Relancer / développer l’activité des sections locales ?

Quels besoins ? Faire circuler les informations ? Créer du lien ? Rencontrer les élus ? Lieux de parole ? Lieux de conseil ?

Détection des situations difficiles et/ou à risques ? Soutien syndical

Fonctionnement ? Quelles difficultés ? Quelles propositions ? … (locaux syndicaux, syndicalisme téléporté ?) Quelle périodicité ?

Quels moyens ? Télécommunications ?

Journées de formation syndicale ? Journée festive annuelle ?

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Activité syndicale dans les sections locales

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(8)

• Rendre plus compréhensible le rôle du syndicat

• Participations aux rouages (CT, CNESER, CESE, CHSCT, CoNRS, CS / CSI, CAP, CRFP, CR, …)

• Types de négociations

Former et informer nos adhérents

• Instances, procédures et opportunités administratives de notre statut (Memento)

• Rappels historiques – notions économiques et sociologiques

• Objectifs et limites du syndicalisme (droits et obligations)

• Les moyens syndicaux et comment les activer (congés, postes, opportunités, …)

• Formations FSU – études de l’Institut de la FSU.

• Permanence syndicale ? Contacts accessibles et visibles (sur l’affichage syndical) ?

• Rendre plus visible le rôle, les actions et les acquis des syndicats dans les instances

• Produire, capitaliser et distribuer des rapports aux syndiqués,

• Utiliser les nouveaux modes de communication

Actions en direction des adhérents, et avec les élus

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• Contrecarrer la perte de crédibilité du syndicat au sein de la communauté.

Analyser et comprendre le fleurissement des collectifs « indépendants » Elaborer une stratégie pour restaurer l’image du syndicalisme et la confiance.

• Se rapprocher et communiquer avec ces collectifs « adhoc » (SLU, J-P Vernant, … ) ?

• Mener des actions pour recruter - syndicaliser ?

Analyser notre sociologie / représentativité effective (statuts, disciplines, emplois, âges, …) Interroger le recrutement : personnel administratif, technique, chercheurs, enseignants … S’adresser aux entrants et aux précaires (CDI de chantier, chaire prof. Juniors, vacataires, … ) Sensibiliser les doctorants, les post-doctorants … et les chercheurs d’emploi (sci.) ?

S’appuyer sur les sections locales ? Soutenir des actions locales …

(Organiser des journées spéciales ? Par région ou par ville ? Labo par labo ?)

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

Actions en direction de la communauté avec nos adhérents

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Animation de la communauté scientifique

Présence / réseaux sociaux ? Sondages / enquêtes, pétitions, télé-réunion ? Assemblée générale nationale ? Congrès intermédiaires ?

Programme d’information et de formation syndicale ? Université « d’été » ?

Développer une stratégie => objectif spécifique => modifier le rapport de force ? re-prendre l’initiative ? Quel objectif judicieux et utile ? (voir l’exemple pour le thème 1 ci-dessous) Entretenir des liens réguliers : avec la presse,

avec les organes représentatifs, instances de contrôle Mener des actions de lobbying ?

Entreprendre des instances administratives / juridiques, … (fragiliser l’impunité) ?

Nouveaux modes d’action syndicale

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• Une organisation:

• Un responsable (point de contact et organisateur)

• Un collectif resserré (4 - 5 personnes)

• Un calendrier (des objectifs et des échéances)

• Des liens avec les adhérents

• Des rendez-vous avec la CA et le BN

• Une stratégie et des actes (analyse, objectifs, actions : voir plus loin)

• Quelques exemple de champs d’action possibles :

• Conditions de travail dans la recherche publique (ex. développé en partie 2)

• Vision pour un syndicat de la recherche – image et visibilité du syndicat

• Sociologie syndicale et (re)construction d’une base syndicale militante

Thème 4 : Vie et actions du syndicat

« un groupe d’action et d’intervention » , pourquoi et comment ?

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Communiquer pour réactiver « les valeurs » collectives et humanistes

Analyser : identifier des cibles et des objectifs :

• Dédiés à l’exécutif et au législatif

• Dédiés à l’administration

• En direction des opportunistes prédateurs

• Visant les déviances locales

Décider d’agir concrètement et de reprendre l’initiative

Imaginer des structures et des procédures qui constituent des garde-fous (= plateforme)

Co-construire et innover : définir un programme d’action

• Imaginer des actions qui portent et pèsent.

• Vérifier et faire en sorte que les actions soient acceptablespar la communauté et par la population

• Mener ces actions jusqu’à aboutir à un résultat concret.

Obtenir un mandat du congrès pour expérimenter

Que signifie : « développer une stratégie et intervenir concrètement » ?

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OBTENIR DES DELEGUES A L’OCCASION DU CONGRES UN MANDAT POUR :

Elargir le champ d’action du SNCS

activer une coordination active avec les élus dans les instances accéder aux nouveaux lieux de pouvoir

Relancer l’activité des sections locales

Développer l’action intersyndicale

Faire mieux connaître les rôles du syndicat et syndicaliser

Communiquer et agir pour contrecarrer la perte de crédibilité du syndicalisme

Mener une réflexion et expérimenter de nouveaux modes d’actions afin de modifier le rapport de force et reprendre l’initiative

constituer un groupe d’action et d’intervention articulé avec la CA et le BN

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Régénérer la confiance en un syndicalisme volontaire, actif et bienveillant

Définir des priorités et des « premiers pas » ?

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Références

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