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Réponse à la critique de M. A. Goldmann

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00242554

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242554

Submitted on 1 Jan 1912

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Tcheslas Bialobjeski

To cite this version:

Tcheslas Bialobjeski. Réponse à la critique de M. A. Goldmann. Radium (Paris), 1912, 9 (6), pp.227-

230. �10.1051/radium:0191200906022701�. �jpa-00242554�

(2)

Pour le potassium et le caesium, on tombait au- dessous de cette limite, et le courant ne dépasse

vraisemblablement pas 0,5.10-15 ampère, ceci pour des surfaces de 514 cm2.

Une limite supérieure de l’émission serait donc de

5,!)2.10-18 ampère par centimètre carré pour le sul- fate de potassium et de caesium. Le courant est vrai- semblablement compris entre ces nombres et ceux

obtenus plus laut : 10-18 ampère par centimètre carré pour le rubidium et 10-19 pour le potassium.

Il s’agit donc d’un phénomène extrêmement faible, qui correspond à peine à l’émission de quelque élec-

trons par seconde et par unité de surface.

M. Me Lennan aurait mis en évidence une telle émission de charges avec les sels de potassium, mais

dans quelques cas, la déviation du spot n’est que de 20 mm en 9 heures. Je n’ai pas cru pouvoir pousser aussi loin la confiance dans les mesures électromé-

triques et faire état de résultats aussi faibles. Je doute qu’on puisse accorder une grande confiance

aux nombres obtenus dans ces conditions, et je me

contente de considérer des résultats de cet ordre

comme une limite supérieure et non comme une

évaluation.

Les courants mesurés avec les métaux semblent être du même ordre. Les surfaces sont plus petites,

mais l’émission est mieux utilisée.

De tout ce qui précède je crois qu’on peut consi-

dérer comme établie I*existence d’une émission extrê- mement faible de charges par les métaux alcalins et

leurs sels. Le courant d’ionisation fourni par centi- mètre carré de surface par le sulfate de rubidium est

5,64.10-16ampère, l’émission de charges dans le vide

serait de 10-18 ampère. Ces charges sont-elles les

rayons 8 ou vient-il s’y ajouter des rayons lents, je

ne pense pas qu’il soit possible de répondre nettement

à cette question.

Si les charges émises dans le vide étaient intenses,

comme le donnaient à penser certains travaux, la

question eût été tranchée, on devrait admettre l’exis-

tence de rayons 03B2 lents. C’est pour cela que j’ai tenu

à préciser l’ordre de grandeur des phénomènes.

I,e courant d’ionisation serait environ 500 ou

1000 fois plus fort que les charges émises; ce qui

ferait 105 ions pour une charge environ, ceci est compatible avec le fait que ces charges sont les

rayons 03B2, et je ne crois pas qu’il soit nécessaire d’admettrc l’existence de rayons lents.

Résumé.

Les résultats exposés dans ce travail amènent aux

conclusions suivantes :

1° Deux éléments, le potassium et le rubidium, se distinguent nettement, par un rayonnement ana- logue à celui des corps radioactifs, des substances

communes dont l’activité est douteuse ;

2° Le potassium possède un rayonnement 03B2 approxi-

mativement homogène et facilement déviable, d’une

pénétration voisine des rayons 03B2 de l’uranium. Ce

rayonnement est une propriété normale, atomique et spontanée;

3° Le rubidium émet également des rayons 03B2 plus lents, assez homogènes, possédant une absorption du

même ordre que les rayons 03B2 du radium. Ce rayonne-

ment se présente avec les mêmes caractères généraux

que le précédent;

4° Le potassium, le rubidium et leurs sels émettent, spontanément dans le vide, des charges dont une

notable partie au moins doit être attribuée aux rayons

03B2 ionisants. L’existence d’une émission de charges

lentes n’a pu être mise en évidence.

[15 mai 1912].

Réponse à la critique de M. A. Goldmann

Par Tcheslas BIALOBJESKI [Université de Kieff.

2014

Laboratoire de Physique 1.]

Je vais examiner la validité des notes critiques de

lJ. Goldmann sur mes recherches en suivant l’ordre des idées de l’auteur. Mais je crois utile auparavant de donner quelques explications sur le but et les

1. M. Koz-sonogoIT, le directeur du laboratoire de Kieff. m’au- torise à déclarer que 31. Goldmann n’est plus au laboratoire de Kieff depuis le mois de mai 1911. Aussi la parenthèse qui se

trouve à la tète de son article est une erreur.

De mon travail avant sa publication au mois d’août 1911, M. Goldmaim n’a pu rien connaître.

résultats de mon travail. Le Radium, 8 (1911) 295].

Les conclusions que j’ai tirées de mes expériences

sont réunies au § 4, « Discussion des résultats » ; il

n’y a pas lieu de les reproduire ici. En deux mots

elles sont les suivantes : Les mobilités des ions dimi-

nuent régulièrement à mesure que la température

d’ébullition s’élève dans la série de carbures d’hy- drogène liquide. Le nombre des ions produits par

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:0191200906022701

(3)

le rayonnement du radium est indépendant, an moins approximativement, du liquide étudié.

De plus, mes résultats confirment une analogie

très large entre l’ionisation des gaz et celle des

liquides diélectriques.

M. Goldmann n’a pas fait d’objections h ces con-

c.lusions.

-

En ce qui concerne le calcul des mobilités, je l’ai a,jouté aux résultats précédents en l’accompagnant de

restrictions très précises. Je dis dans mon article :

« Il résulte de ce qui précède qu’on ne peut pas faire

un calcul exact des mobilités des ions par la méthode dont se sont servis Böhm-Wendt et von Schweidler....

Sous toutes réserves nous allons appliquer leur formule

pour calculer au moins l’ordre de grandeur de la

somme des mobilités ». Au sujet de la comparaison

des mobilités avec les coefcicients du frottement inté-

rieur, je dis : « 11 serait important d’établir une re1a-

tion entre les lobilités d’une part et les coefficients du frottement intérieur de l’autre. Actuellement, cela paraît impossible faute de données expérin1entales

suffisantes. »

Ce qui n1’ empêcha d’atteindre dans la détermination des mobilités une exactitude plus grande, c’est que

j’avais cu a ma disposition une préparation de radium

faible (1/2 mgr de Ra Br2). Aussi m’était-il impos-

sible de réaliser dans des liquides une ionisation uni- forme qui constitue la condition principale pour

I*applicabilité des formules tfléoriques. J’indique tout

cela dans mon article.

Or lI. Goldmann tire ses arguments exclusivement de la comparaison des courants obtenus pour les différentes épaisseurs des couches diélectriques. La

théorie élémentaire des ions montre que cette com-

paraison ne peut pas conduire à des conclusions déterminées dans le cas oil l’ionisation n’est pas uniforme.

Pour rappeler au lecteur 1 influence du manque d;

l’uniformité dans la distribution des ions, je prendrai

un cas extrême en supposant que les ions sont con-

centrés dans une couche mince près d’une électrode

plane.

Conformément a la formule de 1I. Rutherford, les

intensités du courant pour une faible différence de

potentiel donnée varient cn raison inverse du cube de l’épaisseur.

Il. Goldmann, en faisant ses calculs, ne tient pas

compte de la circonstance indiquée et il suppose par

conséquent que l’intensité du courant doit varier en

raison inverse de l’épaisseur.

Je vais maintenant considérer les trois points de la critique de M. Goldmann. Il trouve d’abord incon1-

préhensible que pour trois substances liquides « très

voisines chimiquement et physiquement », l’éther de pétrole, la ligroïne et le pétrole lan1pant les variations du courant en fonction de l’épaisseur ne sont pas les

marnes. Eh bien ! ces liquides voisins sans doute au point de vue chimique se distinguent essentiellement

en ce qui concerne l’ionisation. L’état d’un liquide

ionisé dépend de ses propriétés cinétique, qui duter-

minent mobilité, diffusion et recombinaison des ions.

A cet égard deux liquides mobiles chimiquement éloignés, l’éther de pétrole et le benzène, par exemple,

sont beaucoup plus proches que l’étller de pétrole et

le pétrole lanlpant, ce dernier étant incomparable-

ment plus visqueux.

Aussi l’étonnement de )1. Goldmann n’a pas de raison suffisante. Il est d’ailleurs possible d’expliquer

le caractère de la variation du courant en tenant

compte de la diffusion des ions aux électrodes. Je crois inutile d’entrer ici en détails.

M. Goldmann fait ensuite le calcul des mobilités en

utilisant les nombres relatifs aux différentes épaisseurs

de couches liquides. Il applique dans ce calcul la

formule de Böhm-Wendt et von Schweidler déduite pour le cas de la distribution uniforme des ions.

Les nombres obtenus diFfèrent considérablement.

D’après ce qui précède, cela montre que l’ionisation n’est pas uniforme et rien de plus.

Il sera intéressant de remarquer que M. Jaffé qui

tachait d’olJtenir une ionisation uniforme, a’ ail

trouvé une relation assez conlpliquée entre l’inten-

sité clu courant et la distance des électrodes [Ann.

der Ph., 25 (1908) 269].

De plus si l’on fait avec mes données un calcul d’une façon correcte les différences ne seront pas

trop grandes.

Voici la formule de Bôhm-Wendt et v. Schwei- dler :

où Ki et Ii, représentent les mobilités des ions po- sitif et négatif, K - constante diélectrique, B - la

distance des électrodes planes, S

-

la surface, frap- pée par les rayons, I

-

le courant de saturation, i - le courant correspondant à la force électromotrice X faible.

On ne peut pas d’abord calculer les mobilités au

moyen des nombres qui correspondent à l’épaisscur

de 1/2 n1n1. En effet, la formule contient l’intensité du courant dans la période où la loi d’Ohn1 est satisfaite.

Or les nombres du tableau IV de mon article montrent que dans la couche de 1/2 mm, le courant ne suit pas complètement la loi d’Ohm des le potentiel de

4 voltes. Aussi les résultats de calculs relatifs à cette

épaisseurs doivent être rejetés.

M. Goldmann n’indique pas d’une manière détaillée le modc de son calcul (tableau Il de son article). Re-

prenons le cas de l’éther de pétrole où il avait trouve

les plus grandes différences. Il est évident qu on ne

peut pas prendre les valeurs du courant de satura-

(4)

tion pour la même différence de potentiul, si l’on

veut comparer les données relatives aux diverses

épaisseurs.

Cela résulte de ce que le courant dans un liquide

ionisé se divise en deux parties : l’une d’elles atteint la saturation, l’autre croît uontinuellement avec la force électromotrice. La saturation est atteinte d’au- tant plus vite que l’épaisseur est plus petite.

Voici les résultats qu’on trouve pour trois épais-

seurs, 1 mm, 2 mm, 4 mm. Les courants de satu-

ration sont successivement à 54, 216 et 86 Í volts

(près de ces potentiels les variations du courant sont

les plus faibles). Les courants, qui suivent la loi

d’ohm, correspondent à 4, 8 et 16 volts.

Les rapports des mobilités se trouvent égaux à

i : 1,4 : 1, tandis que M. Goldmann avait calculé 1 : 2,6 : 13 (les rapports des nombres du tableau II).

D autres liquides donnent pour trois épaisseurs les

nombres qui différent moins.

On voit bien que le calcul permet de déterminer l’ordre de grandeur de la somme des mobilités. Le passage de mon mémoire cité plus haut niontre

que c’est tout ce que je prétendais atteindre.

Le degré d’approxilnation dépend du choix con-

venable de l’épaisseur d’une couche liquide. En fai-

sant le calcul j’ai choisi l’épaisseur de 2 mm et dans

mon mémoire j indique, pourquoi, à mon avis, la dis- tribution des ions est plus uniforme pour cette épais-

seur. Si le choix est bien fait, les nombres obtenus

s’approchent de la réalité et encore plus leurs rapports.

En effet, la détermination absolue des lrlobilitcs

au moyen de la formule de Bôhm-Wendt et v. Sch- veidler est difficile même dans de meilleures con-

ditions. Avant la publication de mon article il existait

deux mesures de mobilités des ions dans des diélec-

triques liquides. MM. Bühlll-Wcndt et v. Schweidler

ont trouvé pour l’éther de pétrole la valeur de la

somme des mobilités égale à 3, 8 X 10-4 cm : sec voit : cm.

et M. Jaflë

-

pour l’hexane 10, 2x10 B Ce der-

nier auteur appliqua la méthode directe de M. Lan-

gevin et pris des précautions spéciales pour atteindre la précision. Cln ne peut guère douter que la mobi- lité des ions dans 1 éther de pétrole, qui est le mé- lange du pentanc et de l’hexane, doit êtrc plus grande

que dans l’hexane pur.

Passons au dernier point de la critique de M. Gold-

mann, Il estime « tou a fai incompréhensible » mon

affirmation que mes nombres ne confirment pas la relation entre l’intensité du courant et la force élec-

tromotrice, établie par M. Jaffé.

D’après cette relation u partir de la valeur du

champ à peu près 1000 volts cm on a i = a + ce (2),

Ull i est l’intensité du courant, e - la force électro- motrice, a et c

-

les constantes.

Je ne nie pas du tout que cette formule ne soit

applicable dans certaines llulltes et je ne doute en

aucune façon de l’exactitude des résultats de M. Jaffé.

Fig. 1.

C’est précisément aux champs plus élevés que ceux de ses expériences duc les écarts de la formule (2)

deviennent très sensibles.

Pour s’en rendre compte, il faut se reporter au cas

où l’on aura le plus grand nombre de données pour vérifier la formule (2), c’est-à-dire à celui de la moindre épaisseur de la couche liquide. Voici les

valeurs du courant observées et calculées pour l’épais-

seur de 0,5 111II1 (voir aussi le diagramme).

La coïncidence de deux premières valeurs du cou- rant proMent de ce que je m’en suis ser%i i pour cal- culer les constantes a et c. On voit que le courant

dans l’éther de pétrole croît d’abord un peu plus len-

tement qu il le faut d’après (2), mais aux potentiels

(5)

élevés il commence à croître plus rapidement. Les

écarts de la formule dans le sens de l’augmentation plus rapide du courant sont très marqués pour la

ligroïne.

Le lecteur demandera sans doute, comment on doit expliquer le désaccord entre mon calcul et diagramme

d’une part et les diagrammes de M. Goldmann de

l’autre. La cause principale du désaccord consiste en ce que M. Goldmann avait omis les derniers membres

qui correspondent à 864 volts. En même temps, le

critique n’a pas cru nécessaire de prévenir le lecteur

qu’il a rejeté les nombres incommodes et d’expliquer pourquoi il l’a fait.

Je ne prétends pas d’ailleurs que la question de l’ap- plicabilité plus ou moins étendue de la formule de M. Jaffé soit tranchée par mes expériences, c’est pour-

quoi dans mon mémoire me suis-je borné à une

remarque à ce sujet.

Il sera utile d’ajouter que les champs les plus éle-

vés dans mes expériences sont encore éloignés des champs disruptifs.

En résumé : 10 l’affirmation que mes mesures du courant d’ionisation aux champs faibles conduisent à des résultats contradictoires, n’a aucun fondement;

2° les résultats du calcul des mobilités correspondent

aux conditions d’expérience et si l’on fait ce calcul correctement les différences ne seront pas excessives : 3° mes données pour les champs élevés s’écartent de la formule de M. Jaffé. M. Goldmann a pu tirer la conclusion opposée, ayant rejeté les nombres qui sont

en désaccord le plus marqué avec cette formule.

Ainsi aucune des objections de M. Goldmann a

mon travail ne me paraît justifiée.

J’ai donné dans mon mémoire les explications et

restrictions nécessaires en ce qui concerne la signi-

fication des résultats, et je n’ai pas de bonne raison d’en changer un mot.

[Manuscrit reçu le 25 mai 1912].

Transformation de l’amidon en dextrine par les rayons X

Par H. A. COLWELL et S. RUSS

Les résultats d’essais faits en vue de déceler quel-

ques transformations physiques ou chimiques perma- nentes dans les fluides organiques complexes après

irradiation par les rayons X ont montré que, parmi

les nombreux fluides expérimentés, les solutions d’amidon manifestent ces transformations à un degré

tel qu’il a été possible de montrer que l’amidon,

sous l’influence des rayons X, est graduellement con-

verti en dextrine et d’établir ce fait quantitativement.

Méthode expérimentale.

On a préparé des solutions d’amidon à la façon

ordinaire. Elles contenaient 4 grammes d’amidon dans 250 cm3 d’eau distillée.

Environ 50 cm3 de solution étaient versés dans un

disque de Pétri, fermé hermétiquement par une feuille mince de mica pour éviter l’évaporation, et placés à environ 2 cm au-dessous d’une ampoule à

rayons X, conduite de façon à donner des radiations de pénétration moyenne (environ 8 cm d’étincelle). Un couple thermo-électrique placé sur le mica et relié à

un galvanomètre de faible résistance mesurait le faible accroissement de température occasionné par l’échauffement graduel de l’ampoule. L’élévation de température n’excédait jamais quelques degrés.

Transformations physiques.

Après des périodes d’irradiations comprises entre

2 heures et 8 heures 1/2, il s’est manifesté deux trans-

formations dans la solution : unc diminution nette de sa viscosité et une décroissance de son opacité quand on comparait à une portion de la solution ori-

ginale.

Les viscosités des solutions expérimentées et origi-

nales ont été comparées au moyen d’un appareil con-

sistant en un tube capillaire horizontal scellé à un

cylindre de verre vertical ; on mesurait le temps

nécessaire pour que le liquide tombe d’une quantité

donnée indiquée sur le cylindre.

Après des irradiations prolongées, on a trouvé que la viscosité de la solution d’amidon avait augmenté de

telle façon que l’écoulement avait une durée moitié

moindre, comme on peut le voir sur le tableau 1 qui représente une série d’observations types.

La calibration de l’instrument avec trois liquides de

viscosité connue a montré que la réduction du temps (environ la moitié), observée pour l’amidon irradié,

correspond à une plus grande diminution de la visco- sité que celle indiquée par ce nombre.

La variation de viscosité et d’opacité indique une

conversion possible de l’amidon en quelque autre pro-

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