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Exploitation des mollusques marins par les populations précolombiennes insulaires des Petites Antilles. Interactions techniques entre consommation alimentaire et travail de la coquille.

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Systèmes de production et de circulation

I n t e r a c t i o n s

Exploitation des mollusque

populations précolombiennes insulaires des Petites

Interactions techniques entre consommation alimentaire et

travail de

Nathalie Serrand (ESA 8045 CNRS - Archéozoologie et Histoire des Sociétés)

La p ro b lém atiq u e

Les îles des Petites Antilles ont été occupées, à partir de la seconde moitié du premier millénaire avant J.-C. jusqu'à l'arrivée des européens au quinzième siècle, par des populations précolom biennes d'origine sud-américaine. Celles-ci ont d é ve lo p p é une économ ie com binant l'horticulture, la chasse, la pèche et la collecte ainsi que la gestion de diverses ressources alimentaires et matérielles, insulaires et extra-insulaires. En particulier, elles ont utilisé les mollusques marins à la fois com m e ressource alimentaire et com m e matière première (coquille) pour la production d'outils et d'éléments de parure. Si ces deux cham ps d'utilisation d'un m êm e type de ressource ont pu impliquer des pratiques et des techniques spécifiques, on peut toutefois penser que le réseau économ ique dans lequel ils s'intégraient ne présentait pas de rupture intrinsèque et qu'ils constituaient un sous-système technique de transformation de l'animal vivant en produits de consom m ation (Vigne 1998). On doit donc s'interroger :

sur les interactions existant entre les opérations techniques liées à la consom m ation des mollusques, d'une part, et celles liées à la transformation de leur coquille en objets, c'est-à-dire sur les interactions entre les diverses chaînes techniques de transformation de ce tte ressource ;

sur les critères techniques et culturels régissant la valorisation des différentes espèces d e mollusques selon l'une ou l'autre de ces finalités ou les deux ;

sur les interactions entre les opérations techniques de transformation des mollusques et les activités techniques de transformation d'autres ressources alimentaires et/ou matérielles, c'est-à-dire entre plusieurs sous-systèmes techniques.

Interactions entre chaînes techniques d e transformation des mollusques marins

La m êm e forme animale (mollusques marins) pouvant fournir à la fois une chair consom m able et un matériau transformable, les chaînes techniques de sa transformation (pour la consommation alimentaire, d'une part, et pour la production d'objets, d'autre part) ont-elles interagi depuis l'acquisition jusqu'au rejet des produits transformés (chair consom m able ou objets) ? Toutes les étapes de ces chaînes opératoires étaient- elles interdépendantes parce qu'elles impliquaient une même forme animale et le parcours des m êm es biotopes ? Ou, au contraire, impliquaient-elles des modalités très différentes, voire une dissociation de valeur entre alimentaire et matière prem ière? Autrement dit, les activités d'acquisition, de transport, de stockage et de transformation s'organisaient-elles de manière com binée ou dissociée selon les deux grandes finalités ? Pouvaient-elles s'exclure (préparation culinaire rendant impossible l'utilisation d e la coquille ; utilisation du matériau prévalant sur celle de la chair; ressource alimentaire et matière première perçues séparément) ? Comment l'une pouvait-elle conditionner l'autre ? Selon quels critères les différentes espèces de mollusques étaient-elles utilisées dans le dom aine alimentaire et/ou dans celui de la production ?

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Il dem eure d é lica t de résoudre ces questions du fait de nombreuses difficultés m éthodologiques. En particulier, rares ont été, jusqu'à présent, dans les Antilles, les études d'ensembles m alacologiques prenant systématiquement en co m p te la totalité des vestiges aussi bien du point de vue alimentaire que d e celui d e la production d'objets (ces deux aspects sont souvent dissociés de manière arbitraire). En outre, dans c e dernier dom aine, on considère le plus souvent seulement les objets finis et les ébauches. De ce fait, les étapes de transformation (pour la consommation ou pour la production d'objets), leur enchaînem ent en chaîne(s) opératoire(s) et l'affectation des restes à une séquence d e ces chaînes sont rarement considérées. L'identification et la caractérisation des déchets, des sous-produits e t des produits des diverses opérations de transformation dem eurent donc problématiques : si les restes façonnés renvoient clairem ent à une intention de production d'objets, il est plus délicat de distinguer parmi les restes non façonnés, en particulier fragmentés, ceux qui correspondent à des déchets de débitage, à des produits de d é b ita g e non repris, ou à des supports potentiels de production (matière stockée non transformée ou fragm entée), d e ceux qui sont strictement des restes de consommation. Cela d'autant plus que les procédés d e transformation pour la consommation ou pour la production d'objets peuvent faire intervenir des techniques similaires (ex. percussion).

Néanmoins, l'observation, dans plusieurs assemblages des Petites Antilles, de la représentation des taxons en termes de quantité mais aussi de représentation d'individus complets, de parties différenciées d e coquille et/ou d'élém ents de coquille modifiés à différents stades perm et d 'a p p o rte r quelques éléments à la discussion. On observe ainsi :

(1) des taxons (nombreux petits gastéropodes: nérites, astrées, fissurelles, etc.) dont les restes, présents en grandes quantités, ne témoignent jamais d'une utilisation de la coquille pour la production d'objets. Ils ont souvent une valeur alimentaire indéniable et semblent n'avoir été collectés que pour la consommation alimentaire.

(2) quelques taxons (notamment le burgo), quantitativement bien représentés, dont la valeur alimentaire est indéniable et dont la coquille a été utilisée occasionnellement pour la production d'objets peu nombreux, variés et rarement standardisés. Ces taxons ont plus vraisemblablement été collectés à des fins alimentaires et ramenés dans leur coquille sur les sites pour des raisons de conservation de la chair et d e préparation culinaire. Leur coquille, ainsi disponible sous diverses formes, a pu être sélectionnée a posteriori pour les besoins de la production d'objets.

(3) quelques taxons (porcelaines, olives, chames, etc.), présents en faibles quantités, dont la coquille a été utilisée assez systématiquement pour la production d'objets standardisés. Les chaînes opératoires d e production sont com plètem en t représentées sur les sites pour peu que l'on dispose d 'a ssem blages suffisamment importants. La valeur alimentaire de ces taxons ne peut être exclue mais leur transformation quasi systématique et la relative standardisation des objets produits am ènent à penser qu'ils ont avant tout été valorisés pour leur coquille.

(4) au moins un taxon, le strombe (le plus gros gastéropode des herbiers infralittoraux des Antilles) dont la valeur alimentaire est indéniable et qui constitue, par ailleurs, le support privilégié d'objets à la fois standardisés dans le dom aine de l'outillage et variés dans le dom aine ornemental. Ce taxon apparaît d o n c hautement valorisé et bivalent (ressource alimentaire et matière première). Il est toutefois faiblem ent représenté dans les assemblages, rarement sous forme com plète, et le plus souvent sous forme d e fragments ou d'objets en cours de façonnage ou finis. Dans la mesure où il est pourvu d'une coquille volumineuse et lourde qui n'est pas nécessaire à la conservation de la chair, il semble que des choix aient été opérés dès son acquisition en vue du transport des portions de coquille entre les lieux de collecte et les sites.

Seules ont manifestement été sélectionnées les coquilles complètes et/ou les portions de coquille satisfaisant les besoins de la production d'objets. Avec des variations selon les sites, il est donc probable que la majorité des fragments représentés correspond à des sous-produits et à des déchets de production sans que l'on puisse toujours les identifier clairement.

(5) enfin, des taxons d'origine exogène (moules d 'e a u douce Unionidés sud-américaines) présents sur un site sous la forme d'objets finis qui n'ont aucune implication dans le cham p alimentaire mais dont l'acquisition suppose un investissement économ ique et/ou social particulier (acquisition à longue distance, via des réseaux d'é ch a n g e s spécialisés ?).

Trois cas de figure se d é g a g e n t: (a) une utilisation de taxons spécifiquement à des fins soit d e consommation alimentaire, soit de production d'objets ; (b) une utilisation de taxons essentiellement à des fins de consom m ation alimentaire et accessoirement de production d'objets ; (c) une utilisation de taxons à des fins à la fois de consommation alimentaire et de production d'objets (strombe). Ces cas de figure suggèrent plusieurs degrés d'interaction.

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• D a n s le p r e m ie r c a s , on observe que les taxons do n t la coquille a systématiquement été utilisée proviennent de plusieurs milieux (fonds sableux, coralliens et d'herbiers) à l'exception du médiolittoral rocheux. Ce dernier a, en revanche, livré, en quantités, des taxons jamais ou très rarement utilisés à des fins d e production. Ces différences de provenance des taxons en relation avec leur utilisation préférentielle suggèrent-elles une dissociation des chaînes de transformation selon les deux finalités majeures, et ce, dès l'acquisition (spécificité des taxons, des espaces, voire des collecteurs donc des chaînes techniques) ? À ce propos, il faut souligner que la collecte d'animaux vivants peut satisfaire à la fois les besoins de la consom m ation et de la production d'objets. À l'inverse, la collecte de m atière première peut éventuellement ne porter que sur des coquilles de mollusques morts, voire déjà naturellement modifiées, qui n'intéressent en rien la c o lle cte alimentaire. La part de coquilles modifiées, qui ont été ramassées mortes, n'est pas prépondérante dans les matériels étudiés mais il dem eure difficile de les identifier strictement (stigmates parfois difficiles à distinguer d'altérations post-dépositionnelles). On ne peut donc totalem ent exclure que l'acquisition de matériau, à l'état vivant ou mort, ait pu être plutôt associée a v e c d'autres activités d'acquisition d e matériaux sur le littoral (bois flotté, corail, etc.) tandis que la collecte à des fins alimentaires pourrait, plutôt, avoir été associée avec d'autres activités d'acquisition de ressources alimentaires sur ou à proximité du littoral. Malgré tout, on est am ené à supposer l'existence d'interactions entre ces deux cham ps d'opérations au niveau des stratégies d'acquisition et des représentations mentales, ne serait-ce que, com m e on l'a dit, parce que ces activités impliquent une même forme animale et le parcours de biotopes proches.

• D a n s le s e c o n d c a s (taxons dont la coquille a été utilisée de manière occasionnelle), il semble que les coquilles aient été ram enées sur les sites pour satisfaire avant tout des exigences d e préparation culinaire.

Elles ont pu ensuite constituer une matière première disponible et utilisable. La coquille de ces taxons est, d e fait, le plus souvent utilisée sous forme de fragments pouvant aussi bien résulter de la manipulation culinaire (fracturation accidente lle ou volontaire) que d'un débitage intentionnel. Ces coquilles ou portions d e coquilles ont-elles fait l'objet d 'u n stockage organisé après consommation ou ont-elles été prélevées après leur rejet ? Quels ont été les critères organisant leur choix ? À quelle é tape de transformation, les deux finalités ont-elles pu interagir ?

• D a n s le tro is iè m e c a s (utilisation à des fins à la fois de consommation alimentaire et de production d'objets), les interactions apparaissent plus directes mais sont complexes à mettre en évid e n ce : la double valorisation détermine-t-elle systématiquement chacune des étapes opératoires depuis l'acquisition jusqu'au rejet des parties molles et/ou dures, ou seulement dans certains cas? L'exploitation des coquilles ou des résidus d e celles-ci peut-elle, par exemple, n'intervenir que com m e une activité secondaire, conditionnée par les activités culinaires ? Si, pour le strombe, les restes présents sur les sites peuvent tém oigner d'une sélection par d é b ita g e de portions de matière adéquates et transportables dès après la collecte et l'extraction de l'animal, est-il possible que certaines de ces portions aient été prélevées dans des amas côtiers constitués par les rebuts de collectes antérieures qui auraient fonctionné com m e des réserves fixes d e matériau sec, exploitable a posteriori (il est, dans ce cas, utile mais délicat de différencier si le matériau archéologique a été travaillé frais ou sec) ? Quelles ont donc été les stratégies d 'é co n o m ie de matière ?

D'une manière générale, donc, il reste difficile d'identifier les interactions techniques entre les deux cham ps majeurs de transformation des mollusques marins et d'appréhender la combinaison des facteurs liés à l'éco logie des différents taxons, à leur morphologie, au poids, au volume et à la taille des différentes parties molles et dures, à la valeur alimentaire de la chair, à la valeur matérielle de la coquille ou de certaines parties, aux possibilités ou exigences de la préparation culinaire, à la distance entre lieux de collecte, d e stockage et d'utilisation, aux valorisations culturelles et/ou à l'organisation technique et sociale des activités.

Cela est d 'a u ta n t plus difficile que certaines étapes des chaînes opératoires ont pu être dissociées dans le temps et/ou l'esp ace et ne sont alors pas appréhendables sur les sites étudiés (essentiellement des sites d'h abitat) : les données sur la consommation de certaines collectes et/ou la production organisée ou expédiente d'objets sur des lieux 'intermédiaires' (zones d'activités halieutiques, occupations temporaires, jardins horticoles, etc. ; voir Meehan 1988), pourtant essentielles à la définition du sous-système d'exploitation,

font d o n c encore défaut.

Interactions entre sous-systèmes techniques d e transformation : mollusques e t autres ressources La com paraison des sous-systèmes techniques de transformation des diverses ressources alimentaires (vertébrés, végétaux, etc.) et matérielles (coquille, lithique, corail, etc.) est, à présent dans les Antilles, peu d é v e lo p p é e (voir Rostain et Dacal Moure 1997). La distribution géographique et les qualités des diverses ressources utilisées par les populations précolom biennes antillaises doivent encore être précisées a v a rt d 'a p p ré h e n d e r com m ent et selon quels critères elles ont été respectivement valorisées. Par ailleurs, la compréhension technique de chaque économ ie de production étant différem m ent a va n cé e et la fonction des objets produits sur divers matériaux rarement connue et vérifiée au travers d'expérim entations et

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d'analyses tracéologiques, on peut difficilement évaluer le rôle respectif de ces productions, donc les critères (techniques, fonctionnels, culturels, etc.) intervenant dans le choix des matériaux. Enfin, les données sur les chaînes opératoires de transformation de chacune des matières dures ne perm ettent pas e n co re d'identifier sûrement des interactions techniques entre les différents sous-systèmes (entre processus opératoires ; dans l'organisation sociale, spatiale ou temporelle, com binée ou hiérarchisée des activités d'acquisition et de transformation). On peut toutefois suggérer, pour les ressources matérielles :

- des interactions entre des processus opératoires de transformation de plusieurs ressources matérielles : utilisation de la coquille dans les activités de production céram ique (coquille pilée c o m m e dégraissant cé ra m iq u e ; Grandberry et Winter 1995; com m e pigm ent colorant d e certains d é c o rs ; Convertini 1995); utilisation d'objets façonnés sur coquille dans la production d'objets composites im pliquant d'autres matériaux (éléments d'incrustation en coquille com plétant des statuettes en bois) ; utilisation d'objets en coquille dans les procédés de transformation d'autres matériaux (possibles brunissoirs ou supports grossièrement façonnés porteurs de résidus de bitume qui ont pu intervenir dans la production céram ique).

Inversement, des objets façonnés sur d'autres matériaux (lithique, corail, ...) peuvent intervenir dans les opérations d'acquisition (outils de collecte) et de transformation (outils pour l'extraction de la chair ou le fa ço n n a g e de la coquille) des mollusques ou d'utilisation des objets finis en coquille (em m anchem ents). Peu d'élém ents d'analyse sont toutefois disponibles : pour exemple, jusqu'à présent, l'outil et le matériau engag és dans la réalisation des perforations des perles discoïdes en coquille n'ont pas été identifiés ; de m êm e l'utilisation probable de pièces de corail (limes ou meules ?) pour le façonnage d'objets en coquille n 'a pas encore été vérifiée au travers d'expérimentations.

- des similarités m orpho-typologiques observées entre des outils et des éléments de parure façonnés sur des coquilles et d'autres matériaux, lithiques notamment (outils tranchants, haches ou herminettes). Ces similarités ne tém oignent pas nécessairement d'une fonction identique des objets e t posent des questions de valorisation différentielle des matériaux durs.

- enfin, des similarités observées dans la gestion extra-insulaire (acquisition à moyenne et longue distance à l'intérieur de l'archipel et avec le continent sud-américain) de ressources lithiques (silex et roches semi-précieuses) et de certaines coquilles (moules d 'e a u douce Unionidés sud-am éricaines; Serrand 2001).

Peut-être ces ressources s'y articulent-elles selon des valorisations complémentaires ?

Eléments bibliographiques

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