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LES SECRETS DU PRINT DES CHOSES À SAVOIR

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Academic year: 2022

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PAO la Publication Assistée par Ordinateur est un procédé utilisé par les graphistes pour assembler des images et des textes à l’aide d’un ordinateur.

La PAO permet de faire de la composition graphique à partir d’éléments fournis ou à créer, en vue de les envoyer en impression.

Prépresse

Le prépresse est l’ensemble des opérations, mise en page et assemblage des documents graphiques, qui précèdent l’impression d’un document.

Les documents graphiques sont assemblés sur ordinateur à l’aide de logiciels de PAO et sont ensuite acheminés vers une imageuse à films (flashage) ou à plaques (CTP) si impression offset.

technique de la typographie dans l’utilisation des logiciels de PAO et l’impression de documents. On parle de “police” de caractères, d’alignement en “fer à droite” ou de “bas de casse”. La casse désignait la boîte dans laquelle les typographes rangeaient leurs lettres, les minuscules y étaient rangées en bas. Les règles actuelles de composition sont également basées sur celles de la typographie.

La photocomposition a permis ensuite le passage de l’édition à l’ère du numérique. C’est un procédé de composition de lignes de texte en qualité typographique par un principe photographique. Selon des indications fournies lors de la commande (corps, graisse, alignement, etc.), les textes étaient tapés “au kilomètre” sur du papier en noir et blanc. Ces colonnes de texte partaient sur des tables de montage où elles étaient le plus souvent assemblées par des maquettistes avec de la colle et des ciseaux ! La calibration était primordiale et toute correction d’auteur provoquait des sueurs froides.

Et au final, la PAO :

La typographie classique et la photocomposition d’usage complexe, et l’avènement de l’informatique ont permis de créer, dès la fin des années 1960, des systèmes de composition électronique des textes. Ces systèmes étaient encombrants et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux professionnels.

Un peu

d’histoire

Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

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Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

LES SECRETS DU PRINT… DES CHOSES À SAVOIR

(3)

PAO la Publication Assistée par Ordinateur est un procédé utilisé par les graphistes pour assembler des images et des textes à l’aide d’un ordinateur.

La PAO permet de faire de la composition graphique à partir d’éléments fournis ou à créer, en vue de les envoyer en impression.

Prépresse

Le prépresse est l’ensemble des opérations, mise en page et assemblage des documents graphiques, qui précèdent l’impression d’un document.

Les documents graphiques sont assemblés sur ordinateur à l’aide de logiciels de PAO et sont ensuite acheminés vers une imageuse à films (flashage) ou à plaques (CTP) si impression offset.

technique de la typographie dans l’utilisation des logiciels de PAO et l’impression de documents. On parle de “police” de caractères, d’alignement en “fer à droite” ou de “bas de casse”. La casse désignait la boîte dans laquelle les typographes rangeaient leurs lettres, les minuscules y étaient rangées en bas. Les règles actuelles de composition sont également basées sur celles de la typographie.

La photocomposition a permis ensuite le passage de l’édition à l’ère du numérique. C’est un procédé de composition de lignes de texte en qualité typographique par un principe photographique.

Selon des indications fournies lors de la commande (corps, graisse, alignement, etc.), les textes étaient tapés “au kilomètre” sur du papier en noir et blanc.

Ces colonnes de texte partaient sur des tables de montage où elles étaient le plus souvent assemblées par des maquettistes avec de la colle et des ciseaux ! La calibration était primordiale et toute correction d’auteur provoquait des sueurs froides.

Et au final, la PAO :

La typographie classique et la photocomposition d’usage complexe, et l’avènement de l’informatique ont permis de créer, dès la fin des années 1960, des systèmes de composition électronique des textes. Ces systèmes étaient encombrants et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux professionnels.

PAO la Publication Assistée par Ordinateur est un procédé utilisé par les graphistes pour assembler des images et des textes à l’aide d’un ordinateur.

La PAO permet de faire de la composition graphique à partir d’éléments fournis ou à créer, en vue de les envoyer en impression.

Prépresse

Le prépresse est l’ensemble des opérations, mise en page et assemblage des documents graphiques, qui précèdent l’impression d’un document.

Les documents graphiques sont assemblés sur ordinateur à l’aide de logiciels de PAO et sont ensuite acheminés vers une imageuse à films (flashage) ou à plaques (CTP) si impression offset.

technique de la typographie dans l’utilisation des logiciels de PAO et l’impression de documents. On parle de “police” de caractères, d’alignement en “fer à droite” ou de “bas de casse”. La casse désignait la boîte dans laquelle les typographes rangeaient leurs lettres, les minuscules y étaient rangées en bas. Les règles actuelles de composition sont également basées sur celles de la typographie.

La photocomposition a permis ensuite le passage de l’édition à l’ère du numérique. C’est un procédé de composition de lignes de texte en qualité typographique par un principe photographique.

Selon des indications fournies lors de la commande (corps, graisse, alignement, etc.), les textes étaient tapés “au kilomètre” sur du papier en noir et blanc.

Ces colonnes de texte partaient sur des tables de montage où elles étaient le plus souvent assemblées par des maquettistes avec de la colle et des ciseaux ! La calibration était primordiale et toute correction d’auteur provoquait des sueurs froides.

Et au final, la PAO :

La typographie classique et la photocomposition d’usage complexe, et l’avènement de l’informatique ont permis de créer, dès la fin des années 1960, des systèmes de composition électronique des textes. Ces systèmes étaient encombrants et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux professionnels.

Un peu d’histoire / Guide PAO / 8 - 9

Un peu

d’histoire

_ D’OÙ VIENT LA

MISE EN PAGE ?

À l’origine, nous utilisions la typographie pour la confection des livres. Ne pas confondre typographie, la police de caractère et presse typo qui est l’ancêtre de la PAO. Ce terme recouvre à la fois le procédé de composition de textes et un système d’impression.

Ce procédé de composition de textes utilise les caractères séparés en relief. Cette technique a été mise au point par Gutenberg vers 1440, qui n’a pas inventé l’imprimerie (comme on le pense souvent) mais l’utilisation de caractères mobiles et le système d’impression associé, la presse typographique. En résumé, la typographie est l’art d’assembler ces caractères dans des “formes” servant à l’impression.

La typographie est maintenant une technique d’impression peu utilisée, bien que parfois encore employée pour l’impression de cartes de visite ou la fabrication de beaux livres. Les presses “typo” servent également encore pour la découpe d’imprimés ou de fi nition particulière. Si cette technique d’impression est devenue obsolète, son infl uence est en revanche toujours bien présente. On retrouve le vocabulaire Le travail de réflexion et l’idée étant

achevés, on prépare les éléments qui vont constituer la maquette, comme un peintre qui s’apprête à commencer une œuvre, comme un artisan qui démarre un chantier, on prépare d’abord son matériel.

Avec quels logiciels dois-je travailler ? Quelles sont les mentions obligatoires et pour quelle utilisation ? Mes sources images sont-elles exploitables ?

Ai-je bien les bonnes valises typos ?

Je place les marges, convertis les photos…

En bref… je prépare le « matériel » qui va me servir à faire la mise en page. En gérant en amont, par de petites astuces simples, j’améliore la qualité du rendu final mais surtout je gagne du temps tout au long du processus de maquette !

PAO la Publication Assistée par Ordinateur est un procédé utilisé par les graphistes pour assembler des images et des textes à l’aide d’un ordinateur.

La PAO permet de faire de la composition graphique à partir d’éléments fournis ou à créer, en vue de les envoyer en impression.

Prépresse

Le prépresse est l’ensemble des opérations, mise en page et assemblage des documents graphiques, qui précèdent l’impression d’un document.

Les documents graphiques sont assemblés sur ordinateur à l’aide de logiciels de PAO et sont ensuite acheminés vers une imageuse à films (flashage) ou à plaques (CTP) si impression offset.

technique de la typographie dans l’utilisation des logiciels de PAO et l’impression de documents. On parle de “police” de caractères, d’alignement en “fer à droite” ou de “bas de casse”. La casse désignait la boîte dans laquelle les typographes rangeaient leurs lettres, les minuscules y étaient rangées en bas. Les règles actuelles de composition sont également basées sur celles de la typographie.

La photocomposition a permis ensuite le passage de l’édition à l’ère du numérique. C’est un procédé de composition de lignes de texte en qualité typographique par un principe photographique.

Selon des indications fournies lors de la commande (corps, graisse, alignement, etc.), les textes étaient tapés “au kilomètre” sur du papier en noir et blanc.

Ces colonnes de texte partaient sur des tables de montage où elles étaient le plus souvent assemblées par des maquettistes avec de la colle et des ciseaux ! La calibration était primordiale et toute correction d’auteur provoquait des sueurs froides.

Et au final, la PAO :

La typographie classique et la photocomposition d’usage complexe, et l’avènement de l’informatique ont permis de créer, dès la fin des années 1960, des systèmes de composition électronique des textes. Ces systèmes étaient encombrants et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux professionnels.

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Un peu d’histoire / Guide PAO / 10 - 11

Flashage

Le flashage est un procédé dans lequel un périphérique informatique insole des films d’après un fichier fourni (PAO), un film par couleur, cyan, magenta, jaune et noir,

destinés ensuite à la fabrication des plaques pour les presses offset.

Les plaques offset

Les plaques sont revêtues d’une couche photosensible, elles sont composées d’une partie qui retiendra l’encre, l’autre qui la laissera passer. Les plaques sont ensuite fixées sur la presse offset et sont conformes à la forme voulue sur les fichiers.

Le CTP

(Computer To Plate)

Procédé qui permet d’obtenir directement les plaques sans passer par le film (flashage).

Il y a seulement 30 ans, pour un « S » à changer sur une page il fallait

recomposer la page entière, ligne par ligne au scotch et aux ciseaux pour ensuite être “flashée” et être apposée sur des systèmes de films transparents, qui eux-mêmes servaient à l’impression… Ce métier de maquettiste, était d’une telle anticipation de la

commande client, d’une telle précision, qu’aujourd’hui, à l’heure où on clique en moins d’une demi-seconde, on ne peut plus l’imaginer.

La publication assistée par ordinateur a connu un tournant majeur avec l’arrivée des ordinateurs Macintosh en 1984. L’utilisation du Macintosh par un large public (agences, studios, indépendants) et les premiers ordinateurs personnels, aussi puissants que les grosses machines informatiques de photocomposition, ont offert deux avantages certains : l’utilisation d’une interface ludique et surtout la simplification de la visualisation du travail sans se préoccuper de la technique. Son utilisation a séparé les activités de “prépresse”

(studios, indépendants) de celle du “flashage”

(ateliers de photocomposition, imprimeurs).

Enfin, même si l’apparition historique des logiciels de PAO s’est produite sur des plateformes Apple en 1984, il a fallu quelques années avant que cela ne devienne la norme, on peut ainsi dire que l’on est passé de la composition à la main à la composition assistée par ordinateur en seulement 25 ans alors que les anciens procédés étaient installés depuis plus de 500 ans !

Un peu d’histoire / Guide PAO / 10 - 11

Flashage

Le flashage est un procédé dans lequel un périphérique informatique insole des films d’après un fichier fourni (PAO), un film par couleur, cyan, magenta, jaune et noir,

destinés ensuite à la fabrication des plaques pour les presses offset.

Les plaques offset

Les plaques sont revêtues d’une couche photosensible, elles sont composées d’une partie qui retiendra l’encre, l’autre qui la laissera passer. Les plaques sont ensuite fixées sur la presse offset et sont conformes à la forme voulue sur les fichiers.

Le CTP

(Computer To Plate)

Procédé qui permet d’obtenir directement les plaques sans passer par le film (flashage).

Il y a seulement 30 ans, pour un « S » à changer sur une page il fallait

recomposer la page entière, ligne par ligne au scotch et aux ciseaux pour ensuite être “flashée” et être apposée sur des systèmes de films transparents, qui eux-mêmes servaient à l’impression… Ce métier de maquettiste, était d’une telle anticipation de la

commande client, d’une telle précision, qu’aujourd’hui, à l’heure où on clique en moins d’une demi-seconde, on ne peut plus l’imaginer.

La publication assistée par ordinateur a connu un tournant majeur avec l’arrivée des ordinateurs Macintosh en 1984. L’utilisation du Macintosh par un large public (agences, studios, indépendants) et les premiers ordinateurs personnels, aussi puissants que les grosses machines informatiques de photocomposition, ont offert deux avantages certains : l’utilisation d’une interface ludique et surtout la simplification de la visualisation du travail sans se préoccuper de la technique. Son utilisation a séparé les activités de “prépresse”

(studios, indépendants) de celle du “flashage”

(ateliers de photocomposition, imprimeurs).

Enfin, même si l’apparition historique des logiciels de PAO s’est produite sur des plateformes Apple en 1984, il a fallu quelques années avant que cela ne devienne la norme, on peut ainsi dire que l’on est passé de la composition à la main à la composition assistée par ordinateur en seulement 25 ans alors que les anciens procédés étaient installés depuis plus de 500 ans !

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Un peu d’histoire / Guide PAO / 10 - 11

Flashage

Le flashage est un procédé dans lequel un périphérique informatique insole des films d’après un fichier fourni (PAO), un film par couleur, cyan, magenta, jaune et noir,

destinés ensuite à la fabrication des plaques pour les presses offset.

Les plaques offset

Les plaques sont revêtues d’une couche photosensible, elles sont composées d’une partie qui retiendra l’encre, l’autre qui la laissera passer. Les plaques sont ensuite fixées sur la presse offset et sont conformes à la forme voulue sur les fichiers.

Le CTP

(Computer To Plate)

Procédé qui permet d’obtenir directement les plaques sans passer par le film (flashage).

Il y a seulement 30 ans, pour un « S » à changer sur une page il fallait

recomposer la page entière, ligne par ligne au scotch et aux ciseaux pour ensuite être “flashée” et être apposée sur des systèmes de films transparents, qui eux-mêmes servaient à l’impression… Ce métier de maquettiste, était d’une telle anticipation de la

commande client, d’une telle précision, qu’aujourd’hui, à l’heure où on clique en moins d’une demi-seconde, on ne peut plus l’imaginer.

La publication assistée par ordinateur a connu un tournant majeur avec l’arrivée des ordinateurs Macintosh en 1984. L’utilisation du Macintosh par un large public (agences, studios, indépendants) et les premiers ordinateurs personnels, aussi puissants que les grosses machines informatiques de photocomposition, ont offert deux avantages certains : l’utilisation d’une interface ludique et surtout la simplification de la visualisation du travail sans se préoccuper de la technique. Son utilisation a séparé les activités de “prépresse”

(studios, indépendants) de celle du “flashage”

(ateliers de photocomposition, imprimeurs).

Enfin, même si l’apparition historique des logiciels de PAO s’est produite sur des plateformes Apple en 1984, il a fallu quelques années avant que cela ne devienne la norme, on peut ainsi dire que l’on est passé de la composition à la main à la composition assistée par ordinateur en seulement 25 ans alors que les anciens procédés étaient installés depuis plus de 500 ans !

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Les logiciels

_

En préambule, il faut dissocier les logiciels de PAO destinés aux professionnels de ceux à l’usage du grand public. On oublie donc Publisher, Word et Corel Draw pour réaliser des documents destinés à l’impression professionnelle.

Réservez-les à la composition des textes, de préférence, pour ensuite l’importer dans un logiciel de mise en page. Préférez travailler sur des logiciels vectoriels (InDesign ou Illustrator), car la plupart des finitions sont demandées ainsi.

Les principaux logiciels standards

professionnels sont regroupés dans la suite Adobe ou Creative Suite. Chacun d’eux est spécialisé dans son domaine, l’erreur consistant à ne pas respecter cette règle :

InDesign ou Xpress pour la mise en page (texte et composition de l’ensemble de la mise en page);

Photoshop pour la retouche et le montage photographique (image Bitmap) ;

Illustrator pour le dessin et les illustrations (visuel en vecteur) ou pour certains types de produits ou fi nitions (packaging, fi nitions, découpes à la forme...)

Acrobat est venu s’ajouter à ces trois

standards pour la gestion des PDF, (Portable document format). Néanmoins, dans la mesure où vous fournissez des fi chiers PDF (répondant aux critères de l’imprimerie), vous pouvez exploiter les logiciels de votre choix, sur les plates-formes de votre choix.

Les

logiciels

Un peu d’histoire / Guide PAO / 10 - 11

Flashage

Le flashage est un procédé dans lequel un périphérique informatique insole des films d’après un fichier fourni (PAO), un film par couleur, cyan, magenta, jaune et noir,

destinés ensuite à la fabrication des plaques pour les presses offset.

Les plaques offset

Les plaques sont revêtues d’une couche photosensible, elles sont composées d’une partie qui retiendra l’encre, l’autre qui la laissera passer. Les plaques sont ensuite fixées sur la presse offset et sont conformes à la forme voulue sur les fichiers.

Le CTP

(Computer To Plate)

Procédé qui permet d’obtenir directement les plaques sans passer par le film (flashage).

Il y a seulement 30 ans, pour un « S » à changer sur une page il fallait

recomposer la page entière, ligne par ligne au scotch et aux ciseaux pour ensuite être “flashée” et être apposée sur des systèmes de films transparents, qui eux-mêmes servaient à l’impression… Ce métier de maquettiste, était d’une telle anticipation de la

commande client, d’une telle précision, qu’aujourd’hui, à l’heure où on clique en moins d’une demi-seconde, on ne peut plus l’imaginer.

La publication assistée par ordinateur a connu un tournant majeur avec l’arrivée des ordinateurs Macintosh en 1984. L’utilisation du Macintosh par un large public (agences, studios, indépendants) et les premiers ordinateurs personnels, aussi puissants que les grosses machines informatiques de photocomposition, ont offert deux avantages certains : l’utilisation d’une interface ludique et surtout la simplification de la visualisation du travail sans se préoccuper de la technique. Son utilisation a séparé les activités de “prépresse”

(studios, indépendants) de celle du “flashage”

(ateliers de photocomposition, imprimeurs).

Enfin, même si l’apparition historique des logiciels de PAO s’est produite sur des plateformes Apple en 1984, il a fallu quelques années avant que cela ne devienne la norme, on peut ainsi dire que l’on est passé de la composition à la main à la composition assistée par ordinateur en seulement 25 ans alors que les anciens procédés étaient installés depuis plus de 500 ans !

Les logiciels

_

En préambule, il faut dissocier les logiciels de PAO destinés aux professionnels de ceux à l’usage du grand public. On oublie donc Publisher, Word et Corel Draw pour réaliser des documents destinés à l’impression professionnelle.

Réservez-les à la composition des textes, de préférence, pour ensuite l’importer dans un logiciel de mise en page. Préférez travailler sur des logiciels vectoriels (InDesign ou Illustrator), car la plupart des finitions sont demandées ainsi.

Les principaux logiciels standards

professionnels sont regroupés dans la suite Adobe ou Creative Suite. Chacun d’eux est spécialisé dans son domaine, l’erreur consistant à ne pas respecter cette règle :

InDesign ou Xpress pour la mise en page (texte et composition de l’ensemble de la mise en page);

Photoshop pour la retouche et le montage photographique (image Bitmap) ;

Illustrator pour le dessin et les illustrations (visuel en vecteur) ou pour certains types de produits ou fi nitions (packaging, fi nitions, découpes à la forme...)

Acrobat est venu s’ajouter à ces trois

standards pour la gestion des PDF, (Portable document format). Néanmoins, dans la mesure où vous fournissez des fi chiers PDF (répondant aux critères de l’imprimerie), vous pouvez exploiter les logiciels de votre choix, sur les plates-formes de

votre choix.

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LES SECRETS DU PRINT… DES CHOSES À SAVOIR

(6)

Les mentions légales

_

Les mentions obligatoires d’un document imprimé sont aujourd’hui incontournables.

Il est donc nécessaire de les maîtriser pour adapter votre communication à la loi française.

LES MENTIONS GÉNÉRIQUES

Les mentions obligatoires génériques concernent les produits imprimés à caractère commercial, principalement les fl yers et les dépliants et plus largement tout imprimé dont la nature est d’être distribuée.

La première règle, quel que soit le support de la publicité, est d’être lisible dans des conditions normales de lecture. Bien sûr cela dépend de la police de caractère et de la taille du document fi nal.

De manière générale, le corps 6pt est un minimum sur un document visible de près (type brochure) et proportionnellement plus grand sur une affi che.

La mention « Ne pas jeter sur la voie publique » est rendue obligatoire par la loi L. 541-10-1 du Code de l’environnement. Vous ne devez pas participer à la pollution et devez inciter vos lecteurs à respecter l’environnement. Elle est utile sur les produits destinés à être distribués.

Vous devez faire fi gurer le nom de l’imprimeur et/ou de l’annonceur. Chez Exaprint, vous utiliserez la marque blanche. Vous notifi erez donc votre nom ou celui de votre client mais un n° de SIRET peut aussi être suffi sant. Si vous possédez une éco-certifi cation, vous ajouterez la mention dans l’ours, la légende ou en petits caractères perpendiculairement à votre texte principal.

Les mentions légales

_

Les mentions obligatoires d’un document imprimé sont aujourd’hui incontournables.

Il est donc nécessaire de les maîtriser pour adapter votre communication à la loi française.

LES MENTIONS GÉNÉRIQUES

Les mentions obligatoires génériques concernent les produits imprimés à caractère commercial, principalement les fl yers et les dépliants et plus largement tout imprimé dont la nature est d’être distribuée.

La première règle, quel que soit le support de la publicité, est d’être lisible dans des conditions normales de lecture. Bien sûr cela dépend de la police de caractère et de la taille du document fi nal.

De manière générale, le corps 6pt est un minimum sur un document visible de près (type brochure) et proportionnellement plus grand sur une affi che.

La mention « Ne pas jeter sur la voie publique » est rendue obligatoire par la loi L. 541-10-1 du Code de l’environnement. Vous ne devez pas participer à la pollution et devez inciter vos lecteurs à respecter l’environnement. Elle est utile sur les produits destinés à être distribués.

Vous devez faire fi gurer le nom de l’imprimeur et/ou de l’annonceur. Chez Exaprint, vous utiliserez la marque blanche. Vous notifi erez donc votre nom ou celui de votre client mais un n° de SIRET peut aussi être suffi sant. Si vous possédez une éco-certifi cation, vous ajouterez la mention dans l’ours, la légende ou en petits caractères perpendiculairement à votre texte principal.

6

Les

mentions légales

Les mentions légales

_

Les mentions obligatoires d’un document imprimé sont aujourd’hui incontournables.

Il est donc nécessaire de les maîtriser pour adapter votre communication à la loi française.

LES MENTIONS GÉNÉRIQUES

Les mentions obligatoires génériques concernent les produits imprimés à caractère commercial, principalement les fl yers et les dépliants et plus largement tout imprimé dont la nature est d’être distribuée.

La première règle, quel que soit le support de la publicité, est d’être lisible dans des conditions normales de lecture. Bien sûr cela dépend de la police de caractère et de la taille du document fi nal.

De manière générale, le corps 6pt est un minimum sur un document visible de près (type brochure) et proportionnellement plus grand sur une affi che.

La mention « Ne pas jeter sur la voie publique » est rendue obligatoire par la loi L. 541-10-1 du Code de l’environnement. Vous ne devez pas participer à la pollution et devez inciter vos lecteurs à respecter l’environnement. Elle est utile sur les produits destinés à être distribués.

Vous devez faire fi gurer le nom de l’imprimeur et/ou de l’annonceur. Chez Exaprint, vous utiliserez la marque blanche. Vous notifi erez donc votre nom ou celui de votre client mais un n° de SIRET peut aussi être suffi sant. Si vous possédez une éco-certifi cation, vous ajouterez la mention dans l’ours, la légende ou en petits caractères perpendiculairement à votre texte principal.

Les mentions légales

_

Les mentions obligatoires d’un document imprimé sont aujourd’hui incontournables.

Il est donc nécessaire de les maîtriser pour adapter votre communication à la loi française.

LES MENTIONS GÉNÉRIQUES

Les mentions obligatoires génériques concernent les produits imprimés à caractère commercial, principalement les fl yers et les dépliants et plus largement tout imprimé dont la nature est d’être distribuée.

La première règle, quel que soit le support de la publicité, est d’être lisible dans des conditions normales de lecture. Bien sûr cela dépend de la police de caractère et de la taille du document fi nal.

De manière générale, le corps 6pt est un minimum sur un document visible de près (type brochure) et proportionnellement plus grand sur une affi che.

La mention « Ne pas jeter sur la voie publique » est rendue obligatoire par la loi L. 541-10-1 du Code de l’environnement. Vous ne devez pas participer à la pollution et devez inciter vos lecteurs à respecter l’environnement. Elle est utile sur les produits destinés à être distribués.

Vous devez faire fi gurer le nom de l’imprimeur et/ou de l’annonceur. Chez Exaprint, vous utiliserez la marque blanche. Vous notifi erez donc votre nom ou celui de votre client mais un n° de SIRET peut aussi être suffi sant. Si vous possédez une éco-certifi cation, vous ajouterez la mention dans l’ours, la légende ou en petits caractères perpendiculairement à votre texte principal.

LES SECRETS DU PRINT… DES CHOSES À SAVOIR

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Les mentions légales

_

Les mentions obligatoires d’un document imprimé sont aujourd’hui incontournables.

Il est donc nécessaire de les maîtriser pour adapter votre communication à la loi française.

LES MENTIONS GÉNÉRIQUES

Les mentions obligatoires génériques concernent les produits imprimés à caractère commercial, principalement les fl yers et les dépliants et plus largement tout imprimé dont la nature est d’être distribuée.

La première règle, quel que soit le support de la publicité, est d’être lisible dans des conditions normales de lecture. Bien sûr cela dépend de la police de caractère et de la taille du document fi nal.

De manière générale, le corps 6pt est un minimum sur un document visible de près (type brochure) et proportionnellement plus grand sur une affi che.

La mention « Ne pas jeter sur la voie publique » est rendue obligatoire par la loi L. 541-10-1 du Code de l’environnement. Vous ne devez pas participer à la pollution et devez inciter vos lecteurs à respecter l’environnement. Elle est utile sur les produits destinés à être distribués.

Vous devez faire fi gurer le nom de l’imprimeur et/ou de l’annonceur. Chez Exaprint, vous utiliserez la marque blanche. Vous notifi erez donc votre nom ou celui de votre client mais un n° de SIRET peut aussi être suffi sant. Si vous possédez une éco-certifi cation, vous ajouterez la mention dans l’ours, la légende ou en petits caractères perpendiculairement à votre texte principal.

Les mentions obligatoires / Guide PAO / 16 - 17

Le logo Triman

Le logo Triman est obligatoire sur tous les produits relevant d’une consigne de tri. En vigueur depuis le 1er janvier 2015, il concerne tous les documents papiers et doit faire partie des mentions légales obligatoires de vos documents.

Alcool

La mention “ L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération ” est obligatoire.

De plus les bouteilles doivent comporter la phrase

“ La consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant ” ou un pictogramme. Plus spécifi quement il faut tenir compte des contraintes liées aux étiquettes de vin :

⚫ Nom du producteur, de l’embouteilleur ou du vendeur de vin

⚫ Nom du pays d’origine pour tous les vins destinés à l’exportation.

⚫ Dénomination (AOC, Vin de Pays ou de table, …)

⚫ Quantité du contenu

⚫ Pourcentage du volume d’alcool pour les spiritueux supérieurs à 1,2 %.

⚫ Le pictogramme “déconseillé aux femmes enceintes”.

Médicaments, crédits bancaires et jeux d’argent

La publicité pour les médicaments (Art R 5122- 3 et L 5122-6 du Code de la Santé Publique), les crédits bancaires (Art L 311-4 et L 311-5 du Code de la Consommation) et les jeux d’argent (Art 1 et 4 du Décret n° 2010-624 du 8 juin 2010) ont également des spécifi cités obligatoires et doivent comporter des informations détaillées et précises en fonction du produit, de la nature de la publicité et du canal de diffusion, renseignez-vous !

Alimentation

Les mentions obligatoires (“messages sanitaires”) sont :

⚫ «  Pour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour »,

⚫ «  Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière »,

⚫ « Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »,

⚫ « Pour votre santé, évitez de grignoter entre les repas ».

Produits et prix

La réglementation française fourmille de lois, arrêtés et circulaires imposant aux annonceurs la plus grande clarté dans la présentation des prix au consommateur. Chaque infraction à cet article est susceptible d’être sanctionnée par une

contravention de cinquième classe.

Pour tous les imprimés promotionnels comportant des images produits et/ou des prix associés, il est conseillé de noter « Photos non contractuelles » et

« Prix sous réserve d’erreur typographique ». Cela peut éviter des recours qui peuvent coûter très cher.

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Les mentions obligatoires / Guide PAO / 16 - 17

Le logo Triman

Le logo Triman est obligatoire sur tous les produits relevant d’une consigne de tri. En vigueur depuis le 1er janvier 2015, il concerne tous les documents papiers et doit faire partie des mentions légales obligatoires de vos documents.

Alcool

La mention “ L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération ” est obligatoire.

De plus les bouteilles doivent comporter la phrase

“ La consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant ” ou un pictogramme. Plus spécifi quement il faut tenir compte des contraintes liées aux étiquettes de vin :

⚫ Nom du producteur, de l’embouteilleur ou du vendeur de vin

⚫ Nom du pays d’origine pour tous les vins destinés à l’exportation.

⚫ Dénomination (AOC, Vin de Pays ou de table, …)

⚫ Quantité du contenu

⚫ Pourcentage du volume d’alcool pour les spiritueux supérieurs à 1,2 %.

⚫ Le pictogramme “déconseillé aux femmes enceintes”.

Médicaments, crédits bancaires et jeux d’argent

La publicité pour les médicaments (Art R 5122- 3 et L 5122-6 du Code de la Santé Publique), les crédits bancaires (Art L 311-4 et L 311-5 du Code de la Consommation) et les jeux d’argent (Art 1 et 4 du Décret n° 2010-624 du 8 juin 2010) ont également des spécifi cités obligatoires et doivent comporter des informations détaillées et précises en fonction du produit, de la nature de la publicité et du canal de diffusion, renseignez-vous !

Alimentation

Les mentions obligatoires (“messages sanitaires”) sont :

⚫ «  Pour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour »,

⚫ «  Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière »,

⚫ « Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »,

⚫ « Pour votre santé, évitez de grignoter entre les repas ».

Produits et prix

La réglementation française fourmille de lois, arrêtés et circulaires imposant aux annonceurs la plus grande clarté dans la présentation des prix au consommateur. Chaque infraction à cet article est susceptible d’être sanctionnée par une

contravention de cinquième classe.

Pour tous les imprimés promotionnels comportant des images produits et/ou des prix associés, il est conseillé de noter « Photos non contractuelles » et

« Prix sous réserve d’erreur typographique ». Cela peut éviter des recours qui peuvent coûter très cher.

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LES MENTIONS SPÉCIFIQUES

Flyers & dépliants

Pour l’impression de fl yers et de dépliants

(documents à des fi ns de promotion) la législation est pointilleuse. Rajoutez au minimum le n°

de SIRET ou/et l’identifi cation de l’entreprise concernée, “ Ne pas jeter sur la voie publique ” ainsi que le logo Triman. Ces mentions, en petit, à la verticale de votre document sont obligatoires.

Livres et périodiques

Pour les livres ou tous les périodiques (magazine, journaux, presse…) les mentions légales se veulent plus complètes que pour les autres documents imprimés. Certaines obligations sont les mêmes pour toutes les publications, d’autres sont spécifi ques aux livres ou aux périodiques.

La publication des journaux et des revues est libre, sans autorisation préalable. Cependant, chaque parution d’un nouveau numéro est soumise à un dépôt légal obligatoire, complété par un dépôt administratif.

Sur le document imprimé, livre ou périodique, il doit comporter :

Mentions obligatoires Livre Périodique

Nom (ou raison sociale) et adresse de l’éditeur ✓ ✓ Nom (ou raison sociale) et adresse de l’imprimeur ✓ ✓

Nom du directeur de la publication ✓

Nom du responsable de la rédaction ✓

Prix de vente en euros ✓ ✓

Date du dépôt légal (mois et année) ✓ ✓

Date de parution ✓

Date de fi n du tirage ✓

Date de réimpression ✓

N°ISBN ✓

N° ISSN ✓ ✓

Les mots “ Dépôt légal ” suivis de l’indication de l’année et du mois de l’exécution du dépôt.

Il existe aussi quelques mentions facultatives telles que les droits réservés, la reproduction interdite ou l’interdiction de reprographie.

Pour plus d’infos :

www.service-public.fr/professionnels- entreprises/vosdroits/N18471

Affiches

Concernant les affi ches, vous devez vous soumettre à la réglementation en matière d’affi chage de publicités extérieures. La loi appliquée est celle du 29 juillet 1881, elle implique que le maire de chaque commune désigne par arrêté les lieux exclusivement destinés à recevoir des affi chages.

De plus, l’affi chage administratif doit être effectué sur un papier blanc. L’affi chage publicitaire peut être imprimé sur papier blanc mais il devra obligatoirement comporter des caractères ou illustrations en couleurs pour éviter toute confusion avec les affi chages administratifs.

Attention : L’absence d’une signature ou même d’un simple N° de tel peut entraîner une amende de la gendarmerie

Toute publicité doit mentionner, selon le cas, le nom et l’adresse ou bien la dénomination ou la raison sociale, de la personne physique ou morale qui l’a apposée ou fait apposer.

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Les mentions obligatoires / Guide PAO / 18 - 19

Billetterie

L’émission de billets de spectacles, ainsi que leur commercialisation obéit à des règles juridiques, fi scales, contractuelles bien particulières. Par ailleurs, le billet est obligatoire lorsque le spectacle est payant.

En outre toutes les informations obligatoires à faire fi gurer sur le billet ; nom de l’exploitant, du spectacle, le numéro de billet, catégorie, prix… il faut également faire une déclaration d’existence et de livraison des billets (sous 8 jours) auprès des services fi scaux du département où est organisé l’événement.

La déclaration doit comporter :

⚫ Le nom et les coordonnées de l’organisateur

⚫ Les caractéristiques des billets imprimés

⚫ Le prix et le nombre de billets par catégorie de places.

Vitres

Les adhésifs destinés à être collés sur un vitrage de véhicule ne doivent pas réduire ou déformer la visibilité du conducteur. La loi française interdit le collage de fi lms adhésifs sur les vitres latérales avant. Votre vitre doit conserver une transparence permettant au conducteur de bien voir mais aussi d’être vu par les autres utilisateurs de la route.

Crédit photo

Attention si vous vous servez d’images trouvées sur le net ou autres, souvent, elles sont soumises à Copyright ©. D’ailleurs, par défaut, toute œuvre est sous copyright. Soit vous trouvez des images libres de droit (banque d’images gratuites ou payantes), soit vous demandez l’autorisation à son auteur de l’utiliser. Le risque est que l’auteur demande des droits pour l’utilisation et la reproduction de son œuvre si vous n’avez pas pris les devants. Tout n’est pas libre de droits. Une seule image utilisée sans autorisation dans une seule publication peut coûter cher si son auteur se manifeste.

Le crédit photo est une mention légale obligatoire pour chaque publication que celle-ci soit numérique ou papier.

Produits PEFC

La marque PEFC™ est une certifi cation forestière qui garantit que le papier provient de forêts gérées durablement : respectueuse de l’environnement, socialement bénéfi que et économiquement viable.

Toute la chaîne de distribution doit détenir la certifi cation pour garantir un produit certifi é au consommateur fi nal. Exaprint est certifi é et fait partie des 340 imprimeurs en France à s’engager sur les problématiques des gestions des forêts. Toute commande certifi ée PEFC doit être marquée avec le logo et le numéro de certifi cation (Voir page 54)

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Les mentions obligatoires / Guide PAO / 18 - 19

Billetterie

L’émission de billets de spectacles, ainsi que leur commercialisation obéit à des règles juridiques, fi scales, contractuelles bien particulières. Par ailleurs, le billet est obligatoire lorsque le spectacle est payant.

En outre toutes les informations obligatoires à faire fi gurer sur le billet ; nom de l’exploitant, du spectacle, le numéro de billet, catégorie, prix… il faut également faire une déclaration d’existence et de livraison des billets (sous 8 jours) auprès des services fi scaux du département où est organisé l’événement.

La déclaration doit comporter :

⚫ Le nom et les coordonnées de l’organisateur

⚫ Les caractéristiques des billets imprimés

⚫ Le prix et le nombre de billets par catégorie de places.

Vitres

Les adhésifs destinés à être collés sur un vitrage de véhicule ne doivent pas réduire ou déformer la visibilité du conducteur. La loi française interdit le collage de fi lms adhésifs sur les vitres latérales avant. Votre vitre doit conserver une transparence permettant au conducteur de bien voir mais aussi d’être vu par les autres utilisateurs de la route.

Crédit photo

Attention si vous vous servez d’images trouvées sur le net ou autres, souvent, elles sont soumises à Copyright ©. D’ailleurs, par défaut, toute œuvre est sous copyright. Soit vous trouvez des images libres de droit (banque d’images gratuites ou payantes), soit vous demandez l’autorisation à son auteur de l’utiliser. Le risque est que l’auteur demande des droits pour l’utilisation et la reproduction de son œuvre si vous n’avez pas pris les devants. Tout n’est pas libre de droits. Une seule image utilisée sans autorisation dans une seule publication peut coûter cher si son auteur se manifeste.

Le crédit photo est une mention légale obligatoire pour chaque publication que celle-ci soit numérique ou papier.

Produits PEFC

La marque PEFC™ est une certifi cation forestière qui garantit que le papier provient de forêts gérées durablement : respectueuse de l’environnement, socialement bénéfi que et économiquement viable.

Toute la chaîne de distribution doit détenir la certifi cation pour garantir un produit certifi é au consommateur fi nal. Exaprint est certifi é et fait partie des 340 imprimeurs en France à s’engager sur les problématiques des gestions des forêts. Toute commande certifi ée PEFC doit être marquée avec le logo et le numéro de certifi cation (Voir page 54)

Les mentions obligatoires / Guide PAO / 18 - 19

Billetterie

L’émission de billets de spectacles, ainsi que leur commercialisation obéit à des règles juridiques, fi scales, contractuelles bien particulières. Par ailleurs, le billet est obligatoire lorsque le spectacle est payant.

En outre toutes les informations obligatoires à faire fi gurer sur le billet ; nom de l’exploitant, du spectacle, le numéro de billet, catégorie, prix… il faut également faire une déclaration d’existence et de livraison des billets (sous 8 jours) auprès des services fi scaux du département où est organisé l’événement.

La déclaration doit comporter :

⚫ Le nom et les coordonnées de l’organisateur

⚫ Les caractéristiques des billets imprimés

⚫ Le prix et le nombre de billets par catégorie de places.

Vitres

Les adhésifs destinés à être collés sur un vitrage de véhicule ne doivent pas réduire ou déformer la visibilité du conducteur. La loi française interdit le collage de fi lms adhésifs sur les vitres latérales avant. Votre vitre doit conserver une transparence permettant au conducteur de bien voir mais aussi d’être vu par les autres utilisateurs de la route.

Crédit photo

Attention si vous vous servez d’images trouvées sur le net ou autres, souvent, elles sont soumises à Copyright ©. D’ailleurs, par défaut, toute œuvre est sous copyright. Soit vous trouvez des images libres de droit (banque d’images gratuites ou payantes), soit vous demandez l’autorisation à son auteur de l’utiliser. Le risque est que l’auteur demande des droits pour l’utilisation et la reproduction de son œuvre si vous n’avez pas pris les devants. Tout n’est pas libre de droits. Une seule image utilisée sans autorisation dans une seule publication peut coûter cher si son auteur se manifeste.

Le crédit photo est une mention légale obligatoire pour chaque publication que celle-ci soit numérique ou papier.

Produits PEFC

La marque PEFC™ est une certifi cation forestière qui garantit que le papier provient de forêts gérées durablement : respectueuse de l’environnement, socialement bénéfi que et économiquement viable.

Toute la chaîne de distribution doit détenir la certifi cation pour garantir un produit certifi é au consommateur fi nal. Exaprint est certifi é et fait partie des 340 imprimeurs en France à s’engager sur les problématiques des gestions des forêts. Toute commande certifi ée PEFC doit être marquée avec le logo et le numéro de certifi cation (Voir page 54)

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Au départ,

préparez vos marges

C’est la marge intérieure de vos documents, appelée zone tranquille ou encore blanc tournant pour les brochures, où vous éviterez de placer des textes ou des logos.

Celle-ci est de 3 mm au minimum, mais elle est plus agréable à 5 mm. Et si pour les formats supérieurs à 15x21 cm vous poussez jusqu’à 1 cm c’est encore mieux.

Ceci évitera les mauvaises surprises liées à la chasse papier, au pliage ou à la coupe massicot de vos documents. Pour les

documents de type brochure, nous conseillons une zone tranquille d’au moins 1 cm

(comptez un peu plus pour le petit fond)

Les fonds perdus

Dans InDesign ou Illustrator, vous pouvez aussi spécifier la dimension des bords perdus de la page à la création du document (ou dans le menu

“ Format de document ”). Dès lors qu’un élément (image, bloc ou texte) se situe au bord d’une page, il est indispensable de prévoir des fonds perdus. Le fond perdu consiste à faire déborder l’image ou le bloc en dehors de la page (2 mm minimum sur de nombreux produits, mais cela peut-être plus), de façon à prévenir les imperfections de pli ou de coupe. Sans fond perdu, le risque de voir apparaître un liseré blanc entre l’image et le bord de page est très important. Cela vaut aussi pour les bendays (fonds de couleur).

FORMAT FINI

exemple : carte de visite

FONDS PERDUS 2mm

ZONE TRANQUILLE 3mm

2 mm 3 mm

_

Petit rappel des formats normés :

La mise en page

Quel support pour quel format de fichier ?

La forme finale d’une maquette est déterminée par son format et par conséquent par son support.

Renseignez-vous sur les contraintes techniques avant de commencer vous permettra de bien gérer votre format de fichier.

S

S

A1

A2

A3

A4 A5

A6

± 600x800 mm

± 400x600 mm

± 420x297 mm

± 210x297 mm

± 100

DL

x210 mm

± 150 x210 mm

± 100 x150 mm

La Mise En Page

(MEP)

10

_

Petit rappel des formats normés :

La mise en page

Quel support pour quel format de fichier ?

La forme finale d’une maquette est déterminée par son format et par conséquent par son support.

Renseignez-vous sur les contraintes techniques avant de commencer vous permettra de bien gérer votre format de fichier.

S

S

A1

A2

A3

A4 A5

A6

± 600x800 mm

± 400x600 mm

± 420x297 mm

± 210x297 mm

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x210 mm

± 150 x210 mm

± 100 x150 mm

La mise en page, ou mise en pages, est l’opération de disposition graphique d’un contenu informationnel dans un espace donné (feuille de papier, planche de bande dessinée, pages web, etc.).

Elle succède au travail de collecte

et de composition du contenu (composition de texte «au kilomètre», collection des compo- sants), et précède souvent le travail d’impres- sion. Elle peut le précéder dans la mesure où elle est prédéfinie (dimensions des colonnes, styles du texte, placement des illustrations, etc.).

Elle vise à représenter le contenu (textes, images, animations…) de manière hiérarchique et harmonieuse (équilibre des zones,

des couleurs et des espaces, contrastes), afin de faciliter un parcours de lecture à plusieurs niveaux, avec un souci constant d’ergonomie.

LES SECRETS DU PRINT… DES CHOSES À SAVOIR

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