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La revue de Paris 1 er janvier 1930 Albert MAJORQUE' MIRAMAR. La «Maison de l Archiduc» est un but d'excursion. Le site, le nom aussi, sans doute,

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La revue de Paris 1er janvier 1930 Albert MAJORQUE'

MIRAMAR. La « Maison de l’Archiduc» est un but d'excursion. Le site, le nom aussi, sans doute, ont fait sa renommée. Et puis, cette sorte de vague légende, dont les voyageurs, deviennent si volontairement complices, sur la foi d'une évocation.

C'est entre Deya et Valdemosa, sur la mer, à quelques quatre cents mètres de haut. Parmi des oliviers superbes, comme sont ici les oliviers.

Une ancienne grande maison de cultivateurs, à un étage, aux murs gravés, dont le rez-de-chaussée tient plus de la ferme que de la maison bourgeoise. Au premier, la salle commune. Sur des étagères en maçonnerie, des plats hispano-mauresques à reflets, de vieilles verreries, des objets qui semblent provenir d'excursions dans le pays. Une longue table de chêne luisant, des fauteuils tendus de cuir brun.

Derrière cette salle commune et prenant vue sur la montagne, une pièce, à moitié salon, au fond de laquelle se trouve un large lit à colonnes et à baldaquin, un ancien lit majorquin. Quelques livres. Mais les sièges, symétriquement disposés, révèlent l'absence de l'habitant. Nous ne visitons plus qu'une ci-devant chambre. On y pourrait encore coucher, évidemment. Mais dans la pénombre grise des pseudo musées.

Alentour, les jardins paraissent à la fois embryonnaires et abandonnés.

Nous nous attendions à des vasques et à des allées de cyprès. A l'abri d'une haie, nous trouvons quelques petits parterres desséchés. L'infini, à la vérité, absorbe toute la pensée, capte l'attention.

L'archiduc Louis-Salvador, passant attristé, chimérique, cosmétique et sentimental, vit la maison et l'acheta. Sans doute y vint-il vivre quelquefois ? La gardienne ne l'a point connu. Elle ne songe qu'à nous entraîner vers le mirador! Une plate-forme, difficilement accessible, à pic sur le roc, au-dessus de la mer, de la mer si profondément lointaine au- dessous de nos yeux qu'on n'en saisit même plus la rumeur. Nous revenons au rez-de-chaussée de l'habitation, dans la salle paysanne voisine de la cuisine. Un perroquet sommeille sur un barreau et, dans une cage à peine plus grande qu'elle, une cage qui a l'air de lui mouler le corps comme une armure, une perdrix rouge. Cet oiseau prisonnier de ce moule en grillage, dans l'obscurité de la pièce basse aux poutres noires, donne un atroce sentiment de captivité. La gardienne semble surprise de notre apitoiement. Puis, derrière le cellier, elle va nous ouvrir une porte, comme s'il lui revenait brusquement le souvenir qu'il reste encore quelque chose à nous montrer là.

Nous entrons. Nous nous trouvons la face contre un groupe de marbre blanc, dressé sur un socle. Un ange de grandeur naturelle, plumes étendues, y domine un homme jeune, affaissé, une main en l'air, la petite moustache roulée, les cheveux, en boucles, très Europe Centrale. Nous reculons surpris. Nous nous inclinons vers les inscriptions dont le socle

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est couvert, comme tout à l'heure, dans la chapelle où nous avons aperçu une réduction de Notre-Dame de la Garde, de Marseille, offerte à l'archiduc, par l'impératrice d'Autriche, Élisabeth, cette Impératrice de la Solitude dont Barrés a parlé d'après les mémoires de son secrétaire. Car elle avait un secrétaire, elle aussi: Comme Louis-Salvador. Ce malheureux mourut à la fleur de l'âge. L'archiduc commanda le monument pour honorer sa mémoire. Je pense qu'il devait se dresser devant la mer, sur le mirador! Et puis, le prince prit un autre secrétaire ou bien il mourut. Explicatif et secret, le monument de-marbre est demeuré là, tout blanc, derrière le cellier.

DIMANCHE. L'après-midi, vers cinq heures de la fin de mai, dans Palma brûlante et torpide du morose ennui des dimanches. L'inexprimable sensation que tissent sur la terre et jusque sur les paquebots en marche, dans la fumée rousse que vomit la cheminée, le ne savoir que faire, le ne pouvoir rien faire hebdomadaire du chrétien. Lorsque la fonction de prier n'était point perdue ou tellement anémiée, le dimanche s'avançait dans une robe de battements de cloches et paré de la flamme des cires brûlant sur l'autel de l'amour divin. Un amour! C'était d'abord la religion. Mais, aujourd'hui, entre la mairie et l'église, entre les cérémonies officielles qu'un gratte-papier enregistre et celles que le vicaire de Dieu accomplit, le peuple ne peut plus faire assez de distinction.

En Espagne, pourtant, et particulièrement dans ces îles, la foi est demeurée vivante, avec ces apparences de damnation redoutée, ces superstitions accumulées, cette peur farouche du lendemain, qui est l'un des plus ardents symboles de l'amour-passion. Jamais une église n'est complètement fermée ni complètement déserte. Il n'est point d'heure à qui veut rencontrer Dieu. Il n'est point d'heure à qui doit rencontrer l'amour.

Cet après-midi de dimanche, le dernier de mai, nous « faisons » les églises de Palma, en nous promenant, à la découverte, en passant de l'obscure fraîcheur des nefs que les lis rendent à l'âme plus divines que toutes les statues et tous les emblèmes accumulés, en passant de l'obscure fraîcheur des nefs à la tiédeur ombrée des ruelles.

J'ai toujours beaucoup plaint les voyageurs. Ils me font l'effet de damnés.

J'en vois, depuis huit jours, défiler à mon hôtel, qui viennent de Barcelone passer-vingt-quatre heures à Majorque. En moins d'une journée, ils veulent avoir tout vu. Ils en pourront parler. Ils ne séjournent pas un instant dans leur chambre, à pic au-dessus de la mer devant Palma étendue et sa cathédrale qui plonge parmi les mâts et les cheminées des navires.

- Chopin?. George Sand et Chopin ?

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On les entraîne à Valdemosa. Ils visitent l'église et le cloître, mais ils n'entrent point dans l'appartement, les trois pièces blanches où les fameux amants ont vécu.

Un voyage, c'est comme un amour, il y faut une mise en train, le premier effleurement, l'abordage et l'étreinte, qui fera redouter l'instant du départ et rendra la séparation douloureuse.

Laissons errer dans leurs autocars ces voyageurs pressés, car nous n'aimons que flâner et attendre que, de chaque porte ouverte sur un patio frais, jaillisse, ce qui n'est précisément pas annoncé sur le baedeker, l'imprévu!

Les petits vestibules dallés, les escaliers aux marches de céramique décorée, les cours ouvrant sur un jardin par une grille de bois, dans des massifs aux hachures de soleil sur des feuillages de bambous, remplissent le quartier voisin de la cathédrale et sont d'une propreté anglaise.

Dans la cathédrale, nous avons vu se rassembler le Chapitre pour vêpres.

Ces messieurs sont arrivés selon leur caractère, leur tempérament, mais tous grands et forts, de noir vêtus, estomac proéminent, le teint couleur de pain de seigle, l’œil noir bilieux, le nez en bec d'aigle. Certains s'inclinent en passant devant l'autel, mais certains très peu. Rien que dans la manière d'aborder Celui au service de qui ils ont consacré leur existence, que de révélations! Derrière les chapelles latérales, des armoires dissimulées servent de vestiaires. Les prêtres noirs ressortent bientôt, affublés d'un camail mi-partie de satin rouge sur la poitrine et d'étoffe taillée en pointe sur le dos, par-dessus un rochet de guipure.

Lorsqu'ils se jugent au complet, ces messieurs se calent les reins dans les stalles luisantes du chœur et commencent leurs chants. Le bedeau vêtu de noir et de blanc porte perruque poudrée, à cadenettes, comme certains juges anglais. Nous sommeillerions bientôt, comme les chanteurs, si nous ne nous levions brusquement de nos bancs. Nous avons assez vu, ici.

SANTA CLARA. Le long de petites rues désertes, qui rappellent Venise, dans l'odeur morte de ses canaux, nous gagnons Santa Clara. Un grand porche d'abord, comme pour une habitation rurale. Une vaste cour plantée d'arbres, mais sans fleurs, devant l'église, dont la façade nue a pour seul ornement la grande ouverture encadre de pierre de son portail.

Sur les flancs de l'église, un couvent de religieuses cloîtrées. La nef, refaite au XVIIIe siècle, est froide et blanche; la partie supérieure garnie d'un clayonnage de bois brun, derrière lequel il est possible d'assister aux offices, sans être aperçu.

A droite, dans un renfoncement, sans symétrie avec la partie opposée, une chapelle profonde et blanche. L'autel est un sarcophage de verre, dans lequel une sainte de cire, vêtue de taffetas rose, est couchée à la renverse, les bras à moitié levés, en extase. Sur cet autel, des masses de

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fleurs d'où émergent des cires et, par terre, sur le dallage, de grands pots remplis de lis et de campanules blanches..

Un sacristain en veston, qui a plutôt l'air d'un valet de chambre argentin bien stylé, arrange les fleurs. La senteur des lis fait un vacarme étouffant.

Du clayonnage qui masque les loggias supérieures, on entend s'échapper une petite toux légère de femme.

Et, près de nous, dans la muraille, à hauteur du visage, une ouverture de deux mètres de large sur un mètre de haut, une ouverture qui doit donner dans une salle d'où les religieuses peuvent suivre l'office sans être devinées. Mais, pour que quelque profane exalté, quelque mère regrettant sa fille, quelque amant pleurant une fiancée, pour que nul ne puisse trop s'approcher pour tenter de voir, que nul ne puisse effleurer des lèvres dans la pénombre l'oreille tendue pour recevoir la plainte, les regrets d'un monde perdu, dix barres de fer plates traversent l'ouverture, sur lesquelles trois rangées de longues pointes coniques sont plantées.

Six fois trois rangées de ces clous de quinze centimètres de long, entre lesquels l'ombre ténue de la chapelle invisible dessine les fils de soie. J'ai visité des navires de guerre à Portsmouth et des escadres françaises, et des donjons, j'ai vu la cage de La Balue et le cachot de Barbès. Et dés forteresses; au seuil des pays qui peuvent devenir ennemis. Je n'ai jamais rencontré ni deviné, non jamais, rien de comparable, de si formidable, de si défensif et de plus anti-humain. Et je ne crois pas, dans le voisinage de ces lis de Majorque, que des lèvres puissent jamais éprouver plus ardemment le désir d'un baiser défendu, que jamais l'oreille ait pu souhaiter d'entendre un mot d'amour, que devant ces clous immenses, cette offensive cloison de fer, cette armature impossible à briser, à laquelle se déchirerait la bouche qui tenterait d'articuler une syllabe qu'on ne voudrait entendue que d'une seule recluse. Et, tandis que nous demeurons immobiles, attirés, dans l'attente d'un appel angoissé qui ne nous parviendra pas, au sommet de l’église, la petite toux légère, légère, se renouvelle.

Devant l'autel, le valet de chambre bien stylé pique, avec la grâce d'un danseur, un lis dans un vase, parmi les roses qui font un bruit de chute charnelle en s'écrasant, comme un bras nu qui s'appuierait sur la dalle fraîche.

IGLESIA DE MONTESION. Autre nef, mais plus obscure que Santa Clara. Au fond du chœur, de grandes bandes d'étoffé blanche et bleu de ciel. Une vaste draperie de satin blanc surmonte le maître-autel derrière des hampes de roses. Aux premiers rangs des bancs, des dames et des petites filles. Les dames font chanter la marmaille, qui répète les cantiques pour l'office de ce soir du dernier dimanche de mai. Celle qui commande agite une sonnette. Pas de prêtre. Des voix enfantines atroces,

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criardes, aiguës, qui arrachent le tympan dans ce même parfum trop violent des lis.

Une sorte d'enfant de chœur à lunettes, épais, vêtu d'un sarrau noir, vient, en trottant comme un gros rat, prendre un vase rempli de roses blanches sur un autel.

SANTO CRISTO DE LA TRINIDAD. C'est le dimanche de la Sainte- Trinité. Devant l'église, la place est couverte d'un véritable plafond fait de bandelettes de papier de couleur, découpé. Le rose y domine. Le sol est jonché du buis foulé qui a fait un tapis pour la procession matinale. Les rues avoisinantes sont pareillement traversées, d'un côté à l'autre, par ces banderolles rapprochées qui créent une sorte de vélum transparent, sous lequel la foule devient bleue. Compliments aux demoiselles. Belles dents blanches dans des visages hâlés, chevelures brunes épaisses. Sourires juvéniles. Marchands ambulants. Objets de plâtre peint. Glaces à la vanille. On s'interpelle, on flirte à visage découvert. Les filles ripostent avec vivacité et, toujours, cette sorte d'alanguissement qui ne consent point, mais qui permet d'espérer. Là-haut, le soleil rayonne. Ah! que j'aime le noir, au pays majorquin!

Des soldats veules, comiques et bleus, dont l'uniforme a l'air d'avoir été dessiné par Marie Laurencin pour un ballet de Francis Poulenc, traversent la foule, sous ces banderoles roses, si « Laurencin » elles- mêmes.

C'est la fête de la Sainte-Trinité. Dans l'église de Santo Cristo de la Trinidad, derrière une table couverte de damas rouge, sur laquelle, entre deux candélabres massifs, un plateau doré attend les offrandes, une duègne, noire et blême sous sa mantille, récite un chapelet en guettant les douros.

LE GRAMOPHONE CHEZ SAINT-FRANÇOIS. Le cloître de San Francisco, où vivent encore les moines gris, est la perle de Palma. C'est, à l'ombre d'une grande basilique ocrée, sous le ciel bleu, un cloître aux arceaux gothiques, entourant un jardin. Les moines ont réuni cet après- midi des jeunes gens, d'anciens élevés. Ils forment, près du parloir, à l'entrée du cloître, sur les sièges de bois, un grand cercle allongé. Un phonographe est au milieu du groupe. Nous connaissons déjà le frère portier qui nous a vus revenir avec plaisir et nous accouder dans son cloître ensoleillé. Le ton du feuillage d'un grand palmier dru et bleu, sur le mur, nous enchante toujours autant à chaque visite. Lorsque nous arrivons, le phonographe joue un air napolitain chanté par Fleta : Ay !ay ! ay !... Évidemment, nous préférerions le silence des visites antérieures.

Les jeunes gens se sont levés, nous ont salués et, nous ayant reconnus pour des Français, accueillis de quelques bonjours sympathiques. Nous nous sommes éloignés vers la partie opposée du cloître et, dans l'ombre, -

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nous sommes assis sous les arceaux, devant le citronnier qui lance déjà des fruits à l'extrémité de-ses branches indisciplinées. Des rosiers, des arums en fleurs, des quarantaines mauves, des géraniums au vermillon violent et, dans des pots droits, de grands lis rouges à l'amère odeur, qui dressent des crêtes de sang sur le mur. Deux moines, la corde aux reins, le chapelet noir le long de la cuisse, lisent leur bréviaire aux accords des chants napolitains. Ils s'éloignent de moins en moins du concert, mais en demeurant le visage baissé sur leur livre et comme s'ils n'entendaient point les chants profanes.

Au ténor succède maintenant, jouée par un orchestre, La Mort du Cygne, de Saint-Saëns, sur laquelle la Pavlowa a dansé dans le monde entier le 'plus célèbre de ses pas. Pavlowa légère, cygne-femme, je vous évoque, je vous vois dans le vieux cloître franciscain, parmi les moines gris en prière, parmi les tounes d'arums en fleurs. Soirs de Paris, ballets russes, Pavlowa! Dans le cloître, on entend rire les jeunes gens. Un moine s'approche du puits au centre du jardin environné d'arceaux.

Mais notre ami le frère portier, qui ne parle pas français, vient nous expliquer qu'il veut nous montrer l'autel dans l'église, l'autel préparé pour l'office du soir, à la Vierge. Marie est vénérée à Palma. Ce peuple éloigné du continent, sans ambitions, sensuel et calme, chérit cette pure image féminine. Nous passons par la sacristie où des mains pieuses viennent de déposer cinq ou six bottes serrées de lis qui vont aller rejoindre ceux de l'autel. Dans la pièce aux boiseries sombres, aux murs blancs, c'est à défaillir, c'est à ne pouvoir demeurer plus de quelques instants. Le petit moine grisonnant et tondu, sa blanche corde aux reins, nous répond que l'odeur ne lui cause pas, comme à nous, cette sorte de malaise enivrant qui fait rester, alors qu'on voudrait fuir. Nous l'entraînons dans son église, où dort le sage et pieux Ramon Llul. Sur l'autel, sur les marches, des femmes ont confectionné avec des fleurs dé véritables coussins aux coloris géométriques. Ils se fanent, ils commencent de pourrir dans la pénombre fraîche, en exhalant une senteur qui fait penser à de jeunes mortes qu'on a vues couchées et blêmes, déjà prêtes à se décomposer, elles aussi, sur leurs lits de roses. Et des lis, des lis, en touffes épaisses, jusque sur le rebord de pierre de la clôture du chœur.

Dans cette orgie de fleurs, devant l'autel, drapé, celui-là aussi, de satin blanc, dans ces senteurs qui vont jusqu'à l'écœurement, un moine prosterné, un jeune moine vêtu de sa robe grise et dont je n'oublierai jamais la courbe du front enfoui dans le creux de la main.

ALBERT FLAMENT

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