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Sommaire

La scolarité, une période remplie de hauts et de bas… et nécessitant bien ce guide (3)

Problème numéro 1 : perspective inadaptée (5) Mes conseils

Problème numéro 2 : mauvaise compréhension du « raisonnement scolaire » (7)

Mes conseils

Problème numéro 3 : la sensation de longueur (10) Mes conseils

Problème numéro 4 : l’impression d’être débordé(e) (12) Mes conseils

Problème numéro 5 : l’impression de ne pas être à la hauteur (14) Mes conseils

Problème numéro 6 : les réactions de l’entourage (17) Mes conseils

Problème numéro 7 : la crise de sens (19) Mes conseils

Conclusion & et maintenant ? (21)

Qui suis-je ? (22)

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La scolarité, une période remplie de hauts et de bas… et nécessitant bien ce guide

La scolarité est comme un long chemin, enneigé et brumeux.

Tu ne parviens pas à retirer tes pieds de la solide neige, tenace et cruelle, et tu échoues à avancer. Tu aimerais bien aller jusqu’au bout, atteindre cet arbre et entamer l’escalade finale pour décrocher le sésame, mais de multiples obstacles semblent t’en empêcher.

Après quelques années de marche et de lutte contre la peur de la chute et de la honte, tu sens que quelque chose coince et que tu ne pourras plus

avancer.

Les autres marcheurs, eux, semblent y arriver mieux que toi. Certains

ignorent les difficultés que tu vis, d’autres veulent t’aider, le reste les occulte.

Mais beaucoup sont comme toi, et tu arrives à les apercevoir. Certains ont chuté, quelques-uns ont renoncé, les autres ont fini par arriver jusqu’au bout.

Mais à quel prix ?

Cette histoire décrit brièvement ce que mes parents et moi avons pu ressentir durant ma scolarité. Je pense que, comme moi, tu as déjà dû vivre quelque chose de similaire.

Le fameux sésame, qu’on appelle le baccalauréat, est toujours à la fois très loin et très proche.

Loin, car on se dit généralement qu’il nous reste encore énormément de cours à faire, de devoirs à rendre, ou encore de contrôles académiques à faire dans le cadre de l’IEF.

Proche, car cet examen qui se rapproche sans cesse nous rappelle que nous devons absolument savoir ce que nous voulons faire plus tard, et que nous devons nous tenir prêts pour le réussir.

C’est ce paradoxe qui est pour moi à l’origine d’énormes pertes de

motivations, pouvant parfois amener au décrochage scolaire. La sensation d’ennui et de longueur se heurte aux injonctions des personnes nous

ordonnant de ne rien lâcher et de continuer à travailler dur, sans

généralement d’autres explications que celle de décrocher un diplôme dont

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l’utilité est de plus en plus remise en cause.

Pourtant, malgré tous ces problèmes internes au système scolaire, il existe de nombreuses solutions pour mener à bien tes objectifs et ne pas te laisser démotiver.

J’en ai choisi 7, simples et facilement applicables, qui t’aideront particulièrement à mieux escalader le ardu « mont Scolarité » !

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Problème numéro 1 : perspective inadaptée

Les crises économiques de ces dernières années ont pour beaucoup remis en question la légitimité et la capacité du système scolaire à offrir un réel avenir aux élèves.

Il semble en effet qu’il soit devenu périlleux de simplement compter sur les compétences acquises pendant la scolarité, ainsi que sur la valeur du bac en lui-même, pour espérer décrocher un emploi qui nous plaise et qui soit bien rémunéré.

Cette question fait débat, et mon but n’est pas ici d’y répondre. C’est avant tout à l’élève de réfléchir à la pertinence de ce qu’il fait et de ce qu’on lui propose.

Mais quoiqu’il en soit, ce problème est plus une raison d’être prudent que de renoncer à tout travail scolaire. En effet, l’apprentissage scolaire ne vise pas juste à être apte à s’insérer sur le marché du travail mais aussi à travailler pour soi.

Plus que jamais, je pense qu’il est temps de redécouvrir cette notion qui est essentielle et de se déconnecter un peu des exigences extérieures et de la crainte de l’avenir. En bref, se recentrer sur ses propres objectifs est

essentiel.

Image par 15299 de Pixabay

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Mes conseils :

1. Fixer ses propres objectifs

1. Se demander quelles sont les matières qu’on aime le plus et se concentrer dessus. Oublier pendant quelques instants l’aspect

« débouchés ».

2. Ne pas calquer ses objectifs sur les résultats de personnes qu’on connaît si ce n’est pas pertinent

3. Prendre en compte les remarques et conseils (des professeurs, des amis, etc.) pour progresser mais les relativiser s’ils ne sont pas en accord avec nos objectifs personnels

2. Voir le système scolaire autrement

1. Ne pas se mettre trop de stress ni d’enjeux pour le choix de son baccalauréat ni pour le passer. Le choix doit toujours se faire en accord avec soi-même

2. … et ne pas s’imaginer que tout notre avenir repose dessus (rien n’est gravé dans le marbre). La vie est pleine de surprises et la reconversion professionnelle est toujours possible

3. Se concentrer avant tout sur les apprentissages et non sur les débouchés professionnels

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Problème numéro 2 : mauvaise compréhension du « raisonnement scolaire »

Ce point est souvent un grand problème pour certains hauts-potentiels,

surefficients, hypersensibles et autres « neuro-droitiers », qui ont une pensée en arborescence.

Pour avoir moi-même ce type de raisonnement, je peux aujourd’hui affirmer qu’il joue énormément de tours dans le travail scolaire, en particulier à partir du lycée.

J’ai notamment vécu quelques échecs dans le fameux exercice de la

dissertation, réputé pour sa méthodologie assez spéciale, en faisant des hors sujets partiels, voire totaux.

Mais je me suis progressivement rendu compte que la fameuse méthodologie prime sur les savoirs. Même avec une connaissance très moyenne du sujet à aborder, on peut s’en sortir avec une note correcte en faisant un plan

académique et adapté aux exigences du correcteur.

En revanche, l’inverse ne marche pas, et on ne peut pas être bien noté en présentant un travail considéré comme « mal rédigé », quand bien même il posséderait des idées révolutionnaires.

À l’école primaire et au collège, dériver du sujet est étrangement beaucoup plus accepté, comme si le fait de savoir aller au-delà des simples questions qu’on nous pose était quelque chose d’enfantin dont il fallait se débarrasser.

Le peu de pensée en arborescence qui pouvait exister est de plus en plus écrasé par la pensée linéaire, ce qui explique d’ailleurs selon moi beaucoup de décrochages à partir du lycée.

Mais il est possible d’adopter ce type de raisonnement sur commande, sans tomber dans l’impression d’être incapable de faire ces exercices ou d’aller à l’encontre du fonctionnement naturel de son cerveau.

En fait, il suffit d’apprendre à recadrer et trier les nombreuses idées telles qu’elles viennent. Il faut garder celles qui répondent précisément à la question donnée, et s’efforcer de ne pas mettre les autres dans son travail quand bien même on aurait très envie de le faire.

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En prenant les choses ainsi, avoir une pensée en arborescence devient un énorme avantage, car on pourra travailler plus vite et avoir plus de contenu à mettre dans notre exercice que les personnes qui n’ont pas ce type de

pensée.

En bref, ne prends pas trop ce genre d’activités comme un supplice. Mets-toi juste en mode académique (qu’on pourrait un peu grossièrement appeler

« bête et méchant »), et tu n’auras aucune raison de ne pas y arriver.

Dis-toi bien aussi que la pensée linéaire a certains avantages, et qu’elle permet de traiter les choses de façon plus « carrée ».

La pensée en arborescence (Image par Biljana Jovanovic de Pixabay)

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Mes conseils :

1. Faire ce genre d’exercices sans peine

1. Filtrer les idées qui viennent : ne garder que celles qui répondent à la question posée, et uniquement à cette question. Ici mieux vaut pas assez que trop.

2. Ne pas surinterpréter les sujets donnés. Encore une fois mieux vaut faire quelque chose de rébarbatif que de trop original (pour la

notation j’entends !).

3. Avoir un style académique, éviter les fautes d’orthographe. Écrire de façon simple et lisible et ne pas partir dans un délire artistique en faisant ses lettres ou même ses chiffres. Utiliser beaucoup de mots soutenus, quitte à exagérer.

2. Voir le bon côté des choses pour rester motivé

1. Avoir une pensée en arborescence aide beaucoup pour ces exercices si on sait la gérer et surtout qu’on ne met pas le

raisonnement tel quel sur la copie ! (le risque : faire un hors sujet, le pêché capital)

2. Cela permet d’apprendre à trier ses idées pour obtenir quelque chose de synthétique et d’organisé (compétence nécessaire à la rédaction de ce guide, entre autres)

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Problème numéro 3 : la sensation de longueur

Pour la plupart des gens, la scolarité dure 15 ans, allant de la petite section de maternelle à la Terminale.

Dans un système scolaire réputé pour sa linéarité et l’ennui que ses élèves y ressentent, on peut facilement comprendre qu’une telle période donne une grande impression de longueur et de monotonie.

Les élèves français passent en moyenne 100 heures de plus en classe que ceux des autres pays de l’OCDE, mais dans le même temps les vacances scolaires en France sont en moyenne plus longues et plus fréquentes [1].

On comprend donc que les journées scolaires sont très lourdes en France, et peuvent facilement donner l’impression aux élèves qu’ils passent leur temps à étudier.

Même si en IEF on peut s’organiser autrement, on doit parfois un peu se conformer aux emplois du temps des autres pour pouvoir les voir.

Et dans tous les cas, il y a toujours ce même problème : ce bac, on nous en parle sans cesse, mais on a constamment l’impression qu’il est très loin ! Encore une fois, la principale clé pour aller à l’encontre de ce problème est de retrouver le plaisir d’apprendre et de travailler pour soi.

Image par Free-Photos de Pixabay

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Mes conseils :

1. Le remède à l’ennui

1. Voir l’apprentissage comme un jeu, un plaisir et non une contrainte.

2. Porter son attention sur le cours et sur l’enseignant s’il y en a un et s’il nous correspond. Poser toutes les questions pertinentes dont on veut la réponse, même si personne d’autre ne le fait, car ça pourrait aussi aider.

3. Si le contact ne passe pas avec un enseignant, essayer de trouver un professeur particulier, un coach ou une autre personne qui pourra t’inspirer et te motiver.

2. Remplir sa vie d’autres choses

1. Faire du sport quotidiennement (intérieur ou extérieur)

2. Faire des pauses régulières, et ne pas les interrompre par des sollicitations parasites (réseaux sociaux, etc.) qui empêchent tout

« repos cérébral »

3. Avoir des loisirs (en groupe ou non)

3. Un peu radical mais efficace : si l’élève se sent vraiment prêt à passer son bac et qu’il arrive à gérer le programme de Terminale, il peut le passer en candidat libre. Ça pourra lui faire gagner quelques années !

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Problème numéro 4 : l’impression d’être débordé(e)

Comme on le sait, les vacances passent souvent très vite. Si en plus on manque d’organisation (ou qu’on n’a pas la possibilité) de pouvoir avancer un maximum durant cette période, on se retrouve à avoir l’impression de ne faire que travailler, d’avoir constamment un devoir à rendre, une tâche à finir.

Le pire reste de vivre constamment au jour le jour, alors que certains enseignants continuent à donner des devoirs pour le lendemain.

En IEF, ce sentiment n’est pas absent, et est généralement pire. Ne pas savoir où commencer, se demander si on va réussir à s’en sortir avec les programmes sont des pensées fréquentes.

Dans ce cas, il est nécessaire de planifier à plusieurs échelles, comme j’en ai parlé dans mon article 5 règles d’or pour étudier à distance avec succès.

Il faut d’ailleurs se rappeler que malgré tout, les journées font tout de même 24 heures et qu’on peut apprendre à les gérer efficacement. Les techniques de gestion du temps ne manquent pas, et il faut apprendre à apprivoiser celles qui

marchent le plus pour nous.

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Mes conseils :

1. Définir des objectifs

1. Utiles (servant directement tes projets scolaires et même au-delà) 2. Réalisables et réalistes

2. Travailler plus efficacement

1. Se couper des distractions pendant les sessions de travail, à

l’exception de celles qui t’aident à travailler (par exemple la musique, si ça t’aide et ne te déconcentre pas)

2. Déterminer ses horaires de productivité maximale et essayer de travailler dans ce créneau

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Problème numéro 5 : l’impression de ne pas être à la hauteur

Les occasions sont très nombreuses pour douter de soi durant sa scolarité : 1. L’impression que ses amis progressent alors que ce n’est pas notre cas 2. Un changement important (passage en IEF, changement

d’établissement, déménagement…)

3. Une impression de décalage entre ses ambitions pour plus tard et le travail qu’on arrive à fournir maintenant

4. Une dégradation des interactions (amis en moins, mauvais contact avec un enseignant, etc.)

5. Une réforme remettant totalement les programmes ou un examen en question

6. Et bien d’autres…

Image par HolgersFotografie de Pixabay

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Ce point est bien connu des individus qui ont une faible estime d’eux-mêmes.

Si tu ressens cela, la priorité est de travailler là-dessus et non directement sur tes résultats ou même sur toute forme de travail.

Douter de soi en permanence empêche d’ancrer les bonnes habitudes de travail et d’avoir un regard objectif sur ce qu’on fait, puisqu’on considère tout comme mauvais.

Enfin, avancer sans objectifs est également un facteur qui nuit à la confiance en soi, puisqu’on n’a aucun critère de référence pour évaluer nos progrès.

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Mes conseils :

1. Sentiment d’infériorité : cesser de se comparer aux autres (ou si tu ne peux pas t’en empêcher, ne te compare pas juste aux meilleurs.

D’ailleurs, eux ont sûrement d’autres aspects de leur vie moins intéressants que les tiens)

2. Les objectifs

1. Encore une fois, définir des objectifs clairs et réalistes

2. Une fois atteints, se contenter d’être fier/fière de soi et ne pas minimiser la qualité de ses efforts.

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Problème numéro 6 : les réactions de l’entourage

Ce problème ressemble un peu au précédent, mais comme je trouve son impact énorme à lui seul, je l’ai séparé du numéro 5.

L’entourage est un facteur capital dans tous les aspects de la vie, que ce soit pour la réussite ou encore le bonheur.

Les remarques de certaines personnes peuvent parfois partir d’un bon sentiment, mais avoir un fort impact négatif sur toi. Par exemple, comparer quelqu’un avec son grand frère en lui disant qu’il a de meilleurs résultats, car il est plus sage ou qu’il travaille plus est contre-productif et n’amènera rien à part éventuellement du conflit.

Cette remarque-là ou ses dérivés peuvent avoir des conséquences

psychologiques graves sur le long terme, pourtant la plupart des personnes qui les prononcent sont bien loin de s’imaginer avoir cet impact.

Le but ici n’est pas de juger pourquoi ils agissent ainsi. Contente-toi juste d'ignorer ces remarques, voire si tu le peux de leur demander d'arrêter. De plus, souviens-toi que tu ne vis pas en fonction de telle ou telle personne.

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Mes conseils :

1. Ne plus prendre en compte les critiques non constructives 1. Rester focalisé sur ses propres objectifs

2. Faire « ce qu’on a à faire », ne pas sombrer dans l’absurdité de la compétition avec les autres

2. Faire le tri dans son entourage

1. Moins fréquenter (voire cesser de fréquenter) les anciens amis qui ne correspondent plus à la personne qu’on est désormais

2. En IEF, rester calme face aux personnes qui ont des tonnes de remarques ou de leçons à donner plus ou moins censées.

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Problème numéro 7 : la crise de sens

Ce dernier problème est en quelque sorte la conséquence de tous les précédents.

Incompréhension du raisonnement scolaire, sensation de longueur ou encore un contexte économique et des résultats scolaires nationaux mauvais

entraînent beaucoup de décrochages (qui sont plus étendus que le simple

« décrochage scolaire », car ils ne concernent pas que les notes).

Ainsi, pourquoi perdre mon temps à étudier les matières scolaires si je vais sûrement tout oublier après avoir passé mon bac, ou pourquoi passer de longues années à être plus ou moins assidu au niveau des programmes scolaires si ça ne mène de toute façon à rien ?

Enfin, à partir de la préadolescence puis encore plus à l’adolescence, de

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nombreux autres questionnements apparaissent, et sont renforcés par l’attention particulière que la société leur apporte.

Si la plupart des questions étaient surtout basées sur les notes étant plus petits, énormément d’autres surgissent et exercent une pression sociale d’autant plus importante sur les jeunes. Le problème de ce qu’on veut savoir faire plus tard qui presse, l’indépendance vis-à-vis des parents, les relations avec les autres qui perdent souvent de leur spontanéité, remplacées par des réseautages d’influence intéressés…

En bref, les diverses exigences tendent souvent à augmenter avec l’âge.

Mais le bon côté des choses est celui-ci : plus on grandit, plus on peut se détacher de ces influences, car dans le même temps la société nous voit de plus en plus comme des êtres responsables.

Je l’aurai sûrement répété de très nombreuses fois dans ce guide : il faut rester focalisé sur ses objectifs. Faire ce qu’on a à faire, retrouver le simple plaisir d’apprendre et avoir confiance en soi.

Enfin, comme le disait Jack London : « Ce n’est pas la destination qui compte, c’est le voyage ».

Mon seul et unique conseil : s’éclater !

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Conclusion

J’espère que ce guide a apporté la réponse à beaucoup de tes questions, et surtout qu’il t’a donné de nombreuses pistes pour te remotiver et travailler encore plus efficacement, que tu sois en IEF ou non !

Et maintenant ?

Si tu es au moins en 3ème (ou as plus de 14 ans), que tu souhaites aller plus loin et que tu es motivé(e) pour acquérir une vraie méthode de travail sur mesure qui te permettra d’aller de l’avant, de travailler sur toi afin de définir des objectifs clairs, adaptés à toi et pour les atteindre, je t’invite à réserver une session stratégique offerte de 45 minutes par téléphone avec moi. Pour cela, clique ici et sélectionne un créneau sur mon agenda.

Nous ferons le point sur ta situation et nous verrons des méthodes concrètes pour arriver à tes fins.

Le mieux, s'ils sont d'accord, c'est de passer cet appel avec tes parents ;).

Tu peux également consulter les modalités de mon offre ici.

Mais avant cela, tu souhaites peut-être savoir un peu plus sur moi. Laisse- moi donc l'honneur de me présenter à toi !

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Qui suis-je ?

Je suis Pablo Jean, coach scolaire spécialisé IEF et hauts potentiels et blogueur.

Comme celle de beaucoup d’individus, ma scolarité n’a pas été un long fleuve tranquille. Entrecoupée de divers problèmes de harcèlement, de solitude et de crises de sens, j’ai fini par me lancer dans l’instruction en famille dès la 4e.

Si les difficultés se sont d’abord révélées grandes, j’ai appris à m’organiser et à travailler seul.

Comme beaucoup de parents très investis, les miens s’étaient organisés pour pouvoir m’aider dans différentes matières, mais avec la grande autonomie que j’ai rapidement acquise, j’en ai moins eu besoin que prévu !

Mes résultats scolaires (ainsi que mon bien-être) ont considérablement augmenté, et j’ai décroché mon brevet des collèges avec mention bien puis mon bac S avec mention bien également, ayant passé ces deux examens en candidat libre.

Le fait de me rendre compte de mon expertise et surtout la volonté d’aider les autres jeunes à réussir leur scolarité dans les meilleures conditions m’a

amené à me lancer dans l’aventure de Scolarité au top.

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J’ai en effet la conviction que tout individu motivé peut atteindre ses objectifs scolaires avec une méthode sur mesure efficace et adaptée à lui, sans laisser les problèmes du système scolaire ou encore les blessures mentales laissées par du harcèlement ou autres traumatismes nuire à sa réussite.

Sur mon site ainsi que sur mes différents médias sociaux, je te propose des contenus fréquents qui ont pour but de t'apporter de la valeur régulièrement.

Et j'ai réservé du temps pour te parler personnellement, discuter de tes problématiques et établir un plan pour les résoudre.

Il te suffit donc de cliquer ici pour réserver ton appel offert :)

Je te souhaite une très belle journée,

Bonne continuation !

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Liste des sources

[1] https://www.francetvinfo.fr/societe/education/rythmes-scolaires/education- les-journees-des-ecoliers-francais-plus-chargees-que-celles-des-autres-pays- de-l-ocde_2935275.html

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