professionnels de la santé de quelque 165 pays échangent des connaissances et des données d'expérience en vue de faire accéder d'ici l'an 2000 tous les habitants du monde à un niveau de santé qui leur permette de mener une vie socialement et économiquement productive.
Grâce à la coopération technique qu'elle pratique avec ses Etats Membres ou qu'elle stimule entre eux, l'OMS s'emploie à promouvoir la mise sur pied de services de santé complets, la prévention et l'endiguement des maladies, l'amélioration de l'environne- ment, le développement des personnels de santé, la coordination et le progrès de la recherche biomédicale et de la recherche sur les services de santé, ainsi que la planifi- cation et l'exécution des programmes de santé.
Le vaste domaine où s'exerce l'action de l'OMS comporte des activités très diverses:
développement des soins de santé primaires pour que toute la population puisse y avoir accès; promotion de la santé maternelle et infantile; lutte contre la malnutrition; lutte contre le paludisme et d'autres maladies transmissibles, dont la tuberculose et la lèpre; la variole étant d'ores et déjà éradiquée, promotion de la vaccination de masse contre un certain nombre d'autres maladies évitables; amélioration de la santé mentale; appro- visionnement en eau saine; formation de personnels de santé de toutes catégories.
Il est d'autres secteurs encore où une coopération internationale s'impose pour assurer un meilleur état de santé à travers le monde et l'OMS collabore notamment aux tâches suivantes: établissement d'étalons internationaux pour les produits biologiques, les pesticides et les préparations pharmaceutiques; formulation de critères de salubrité de l'environnement; recommandations relatives aux dénominations communes interna- tionales pour les substances pharmaceutiques; application du Règlement sanitaire inter- national; révision de la Classification internationale des maladies, traumatismes et causes de décès; rassemblement et diffusion d'informations statistiques sur la santé.
On trouvera dans les publications de l'OMS de plus amples renseignements sur de nombreux aspects des travaux de l'Organisation.
mondiale de la Santé
Manuel de Technique radiographique
par
T. Holm
Hôpital Universitaire, Lund, Suède
P.E.S. Palmer
Université de Californie, Davis, Californie, Etats-Unis d'Amérique
E. Lehtinen
Unité de Médecine radiologique, Organisation mondiale de la Santé, Genève, Suisse
ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ •
GENÈVE
1986
Les publications de l'Organisation mondiale de la Santé bénéficient de la protection prévue par les dispositions du Protocole N° 2 de la Convention universelle pour la Protection du Droit d'Auteur. Pour toute reproduction ou traduction partielle ou inté- grale, une autorisation doit être demandée au Bureau des Publications, Organisation mondiale de la Santé, Genève, Suisse. L'Organisation mondiale de la Santé sera toujours très heureuse de recevoir des demandes à cet effet.
Les appellations employées dans cette publication et la présentation des données qui y figurent n'impliquent de la part du Secrétariat de l'Organisation mondiale de la Santé aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites.
La mention de firmes et de produits commerciaux n'implique pas que ces firmes et produits commerciaux sont agréés ou recommandés par l'Organisation mondiale de la Santé de préférence à d'autres. Sauf erreur ou omission, une majuscule initiale indique qu'il s'agit d'un nom déposé.
Les auteurs sont seuls responsables des vues exprimées dans la présente publica- tion.
IMPRIMÉ EN SUISSE
86/6669 - Atar - 3000
Pages
Introduction 7
Radioprotection: risques auxquels exposent les R.X . . . . 11 Réactions aux produits intraveineux utilisés en urographie 12 Premiers secours et soins aux malades, à l'intention du manipula-
teur de la SRB 15
Explications 25
Thorax . . . 27
Poumons et cœur 30
Côtes . . . 44
Nourrissons jusqu'à 10 kg 48
Abdomen 51
Examen d'ensemble . . 54
Appareil urinaire (reins, uretères, vessie) 60 Vésicule biliaire (cholécystographie) . . . 73
Grossesse . . . 80
Nourrissons et jeunes enfants jusqu'à 15 kg - généralités 86 Tête
Crâne . . . . Sinus, face et nez Maxillaire inférieur Colonne vertébrale (rachis)
Rachis cervical . . . . . Région cervico-thoracique Rachis dorsal . . . . Rachis lombo-sacré Membre supérieur
Clavicule Omoplate Epaule ..
Humérus Coude ..
Avant-bras Poignet ..
Scaphoïde Main . . . . Pouce et doigts
89
92 100 106 115 118 130 132 136 147 150 152 156 164 170 176 184 188 190 192Fémur Genou Rotule Jambe Cheville Pied et orteils Talon (calcaneum)
Nourrissons et jeunes enfants - bassin et articulation de la hanche . . . .
Tables des constantes radiographiques
210
216
224
226
232
236
244
248
251
répondre aux exigences particulières des divers spécialistes.
Les membres du groupe de consultants SRB-OMS remercient tous ceux qui par leurs conseils et leurs remarques ont contribué à l'élaboration de ce manuel, et en particulier l'équipe du Département de Radiologie de l'Université de Lund (Lund, Suède), et celle du Département de Radiologie de l'Université de Californie (Davis, CA, Etats-Unis d'Amérique).
RADIOPROTECTION
RISQUES AUXQUELS EXPOSENT LES RAYONS X
LES RAYONS X NE SONT DANGEREUX QUE SI VOUS NE PRENEZ PAS DE PRt:CAU- TIONS.
Prendre des pr{Jcautions, c'est respecter les régIes suivantes:
Se tenir derrière le panneau de commande quand l'appareil de radiographie est en fonction.
S'assurer que des tabliers et des gants plombés sont portés si le malade doit être soutenu.
Si possible, ne laisser pénétrer personne dans la salle de radiogra- phie. Si quelqu'un doit s'y trouver, demandez-lui de se tenir der- rière le panneau de commande lors de la prise du cliché.
Toujours porter votre dosimètre quand on vous en a distribué.
Faites-le vérifier régulièrement.
Ne jamais effectuer une radiographie sans qu'elle ait été demandée par un Mt:DECIN ou toute autre personne qualifiée.
Les rayons X peuvent être dangereux. Vous ne pouvez ni LES SENTIR, ni
LES VOIR. Vous pouvez ignorer que vous êtes dans le champ des rayons X, mais l' exposition Rt:~Tt:E aux rayons X, même
à
ceux qui sont diffusés par le malade ou par l'équipement radiographique, et même à petites doses, peuvent provoquer des lésions permanentes chez le manipulateur ou toute autre personne. Encore une fois, rappelez-vous que ce ne sont pas seulement les rayons X directs qui peuvent être dangereux, mais aussi les rayons diffusés.Vous ne devez JAMAIS effectuer une radiographie quand vous vous tenez près du tube: vous devez toujours être derrière le panneau de commande. Là, vous êtes en sécurité ..
Vous ne devez permettre à personne, excepté au malade, de se trouver dans la salle de radiographie, à moins que le malade ne doive être soutenu ou qu'il faille tenir un enfant. Quand cela est nécessaire, le parent ou l'ami doivent porter un tablier et des gants plombés chaque fois qu'ils se trouvent près du malade pendant la prise du cliché. Ne laissez PAS une infirmière ou tout autre membre du personnel hospitalier tenir un malade pendant la prise du cliché.
Le risque encouru par les malades radiographiés est très faible parce qu'ils sont exposés peu fréquemment aux rayons, et que seule une petite partie de leur corps est exposée
à
chaque cliché. Néanmoins essayez d'obtenir tous les renseignements désirés dès le premier cliché de façon à éviter d'en refaire un second.C'est le manipulateur, le médecin et les infirmières qui sont les plus exposés aux rayons X, car ils le sont de façon répétée, pendant des années, lors de leur travail. Mais ceci peut être évité si VOUS et EUX I:TES PRUDENTS.
LES RAYONS X PEUVENT I:TRE DANGEREUX BIEN QUE VOUS NE LES SENTIEZ NI NE LES VOYIEZ.
RESPIRATION ARTIFICIELLE Dégager les voies aériennes
Les muscles d'un sujet inconscient sont complète- ment détendus. La langue, qui est un muscle fixé à la mâchoire inférieure, bascule en arrière et obstrue la gorge du malade si on le laisse sur le dos.
Pour dégager cet obstacle:
1) Agenouillez-vous près de la tête du malade.
2) Placez une de vos mains sur le front du malade et l'autre sous le menton.
3) Soulevez la mâchoire inférieure du malade vers le haut et placez la tête en arrière jusqu'à ce que le menton soit à un niveau supérieur à celui du nez.
4) Ceci permet de passer en dégageant la langue de la paroi postérieure de la gorge.
5) Maintenez la tête dans cette position, écoutez et regardez pour vérifier si la respiration a repris.
Si la respiration reprend, placez le malade en position latérale de sécurité (voir pages 22-23).
Sinon, commencez la respiration artificielle.
SI LE CŒUR CESSE DE BATTRE
IL FAUT IMMIËDIATEMENT:
RECHERCHER LE POULS CAROTIDIEN AU NIVEAU DU COU. SI VOUS NE LE TROUVEZ PAS:
1) Placez le malade sur le DOS - décubitus dorsal.
2) Dégagez les voies aériennes (utilisez une canule avec ballon et masque à oxygène, si vous disposez de cet équipement et si vous savez vous en servir).
3) Placez les deux mains à plat sur la partie inférieure du sternum (une main par-dessus l'autre).
4) Maintenez vos bras étendus au-dessus du sternum.
Exercez une pression.
80 PRESSIONS PAR MINUTE (ADULTES) avec un relâchement complet entre chaque pression.
5) POUR LES NOURRISSONS. 100 PRESSIONS PAR MINUTE SONT NIËCESSAIRES: utilisez le bout des doigts. NE PRESSEZ PAS TROP FORT quand il s'agit d'un petit enfant ou d'un jeune enfant.
Ventilez (avec de l'air ou de l'oxygène) toutes les 5 pressions cardiaques (davantage chez les enfants).
POSITION LATÉRALE DE SÉCURITÉ
Quand une personne est inconsciente, ses muscles sont complètement relAchés. La langue (qui est aussi un muscle fixé au plancher de la cavité buccale) bascule en arrière si le malade est étendu sur le dos, bloque la gorge et rend la respiration impossible.
Pour dégager les voies aériennes, tournez le malade sur le cOté en l'inclinant en avant comme indiqué sur les dessins. Dans cette position, la langue ne peut pas basculer en arrière et du sang, des mucosités ou des vomissements peuvent sortir de la bouche sans obstruer les voies aériennes.
Voici comment il faut déplacer le malade:
1) Agenouillez-vous du cOté où vous aller tourner le malade.
2) Etendez le bras du malade le plus proche de vous le long du corps et placez la paume de sa main sous ses fesses.
3) Fléchissez la cuisse et la jambe du malade qui sont de votre cOté, en plaçant votre main sous le genou et en le soulevant. En même temps, pliez l'autre bras (celui qui est du côté opposé), et croisez-le sur la poitrine du malade de façon
à
ce que les doigts touchent presque le cOté de la tête le plus proche de vous.4) Empoignez avec l'une de vos mains l'épaule du malade et placez l'autre main sous sa hanche, du côté opposé au vÔtre. Tournez le malade vers vous, en le tirant régulièrement et en le faisant rouler sur le bras qui est le plus proche de vous.
5) Quand le malade repose sur le côté (vous faisant face), dégagez votre main de son épaule et soulevez la tête pendant que vous amenez le reste du corps vers vous.
6) Quand le malade est étendu sur le ventre, tirez le bras sur lequel le malade repose et allongez-le. Placez l'autre main sous sa joue.
7) Déplacez alors la tête du malade pour qu'elle soit inclinée en arrière, avec le cou étendu, ceci pour maintenir les voies aériennes libres.
Placez les jambes du malade l'une sur l'autre comme indiqué sur le dessin.
NOTES
THORAX
POUMONS ET CŒUR
Malade capable de se tenir debout 1. Thorax - PA . . . . 2. Thorax - profil . . . .
Malade incapable de se tenir debout mais pouvant rester assis 3. Thorax - AP . . . .
4. Thorax - profil gauche . . . . Malade couché, incapable de se tenir debout ou assis
5. Thorax - AP . . . . Autres incidences complémentaires
6. Thorax (sommets) - AP en lordose 7. Thorax - décubitus latéral - AP ou PA
CÔTES
Toujours effectuer en premier lieu une incidence Thorax - PA 1, Thorax - AP 3 ou Thorax - AP 5 décrites ci-dessus.
Malade capable de se tenir debout ou assis 8. Côtes - oblique AP . . . .
Prendre 2 clichéi~
Malade couché, incapable de se tenir debout ou assis 9. Côtes - oblique AP . . . . NOURRISSONS JUSQU'À 10 KG
POUMONS ET CŒUR 10. Thorax - AP
Pages
30-31 32-33
34-35 36-37
38-39
40-41 42-43
44-45
46-47
48-49
TÊTE
CRÂNE
Les radiographies du crâne sont toujours effectuées sur des malades allongés.
1. Crâne - profil . . . . 2. Crâne - PA . . . .
NE JAMAIS UTILISER cette position si possibilité de fracture des os de la face ou si le malade a perdu connaissance.
3. Crâne - AP . . . . A utiliser quand le malade ne peut être radiographié en procubitus (voir TÊTE 2 ci- dessus).
4. Crâne (Occipital) - Semi-axial (projection de Townes).
SINUS ET OS DE LA FACE
Malade assis
5. Sinus et face - PA . . . . 6. Sinus et face - semi-axial ou nez - PA 7. Sinus, face ou nez - Profil . . . . Malade allongé, incapable de rester assis Sinus, face ou nez - AP
Sinus, face ou nez - profil
MAXILLAIRE INFÉRIEUR
Malade assis
8. Maxillaire inférieur - PA . . . . 9. Maxillaire inférieur - profil oblique .. . Malade allongé, incapable de s'asseoir 10. Maxillaire inférieur - AP . . . . 11. Maxillaire inférieur - profil oblique
Utiliser Crâne - AP (TÊTE 3 ci-dessus) Utiliser Crâne - profil (TÊTE 1 ci-dessus)
Pages
92-93 94-95
96-97
98-99
100-101 102-103 104-105
106-107 108-109
110-111 112-113
COLONNE VERTÉBRALE (RACHIS)
RACHIS CERVICAL
Malade pouvant se tenir assis 1. Rachis cervical - PA . . . 2. Rachis cervical - profil . . . . 3. Rachis cervical - oblique
Malade couché, ne pouvant se tenir assis
4. Rachis cervical - AP: après traumatisme . . . . 5. Rachis cervical - profil: après traumatisme . . . . 6. Apophyse ondotoïde - AP: 10 et 20 vertèbres cervicales
RÉGION CERVICO-THORACIQUE
7. Région cervico-thoracique - profil . . . . En cas de traumatisme, la même incidence peut être réalisée avec le malade en décubitus dorsal.
RACHIS DORSAL
Les clichés du rachis dorsal sont toujours pris sur un malade couché.
8. Rachis dorsal - AP ..
9. Rachis dorsal - profil . . . .
RACHIS LOMBO-SACRÉ
Les clichés du rachis lombo-sacré sont toujours pris sur un malade couché.
10. Rachis lombaire - AP . . . . 11. Rachis lombaire - profil: en l'absence de traumatisme 12. Rachis lombaire - profil: après traumatisme . . . '.
A utiliser SEULEMENT après traumatisme.
13. Sacrum - AP: charnière lombo-sacrée et articulations sacro-iliaques 14. Charnière lombo-sacrée - profil . . . .
Pages
118-119 120-121 122-123
124-125 126-127 128-129
130-131
132-133 134-135
136-137 138-139 140-141 142-143 144-145
MEMBRE SUPÉRIEUR CLAVICULE
1. Clavicule - AP
OMOPLATE
2. Omoplate - AP 3. Omoplate - profil
ARTICULATION DE L'ÉPAULE
Les radiographies de
r
épaule sont effectuées sur un malade allongé sauf si cette position est douloureuse.4. Epaule - AP
Prendre
2
clichés avec2
rotations différentes du bras.5. Epaule - AP en abduction . . . .
Malade
avec
membre supérieur douloureux (après traumatisme) 6. Epaule - AP7. Epaule - profil
HUMÉRUS
Les radiographies de l'humérus sont effectuées sur un malade allongé sauf si cette position est douloureuse.
8. Humérus - AP et profil . . . . Prendre
2
clichés avec2
rotations différentes du bras.Malade
avec
membre supérieur douloureux (après traumatisme) 9. Humérus - AP ..10. Humérus - profil . . . .
COUDE
11. Coude - AP . . . . 12. Coude - profil . . . . 13. Coude - AP en demi-flexion: traumatisme
Prendre
2
clichés.AVANT-BRAS
14. Avant-bras - AP . . . . 15. Avant-bras - profil . . . . 16. Avant-bras - PA: après traumatisme 17. Avant-bras - profil: après traumatisme
POIGNET
18. Poignet - PA et inclinaison cubitale
2
incidences distinctes.19. Poignet - profil . . . . 20. Scaphoïde: après traumatisme
MAIN
21. Main - PA et obliques
• 3 incidences distinctes.
22.
Pouce - Ap1 23. Pouce - profil1 24. Doigt - profil .1 On peut utiliser un film coupé en 2 pour prendre ces deux clichés.
Pages
150-151
152-153 154-155
156-157
158-159
160-161 162-163
164-165
166-167 168-169
170-171 172-173 174-175
176-177 178-179 180-181 182-183
184-185 186-187 188-189
190-191 192-193 194-195 196-197
MEMBRE INFÉRIEUR
Sauf quelques exceptions, les radiographies du membre inférieur sont effectuées sur un malade en décubitus dorsal.
BASSIN ET ARTICULATIONS DE LA HANCHE
1. Bassin - AP . . . . 2. Hanche - AP . . . . 3. Hanche - profil: sans traumatisme . . . . 4. Hanche - profil: si suspicion de fracture
FÉMUR
5. Fémur - AP
6. Fémur - profil: sans traumatisme 7. Fémur - profil: après traumatisme
GENOU
8. Genou - AP
9. Genou - profil: sans traumatisme . 10. Genou - profil: après traumatisme 11. Genou - espace intercondylien 12. Rotule - vue axiale . . . .
JAMBE
13. Jambe - AP
14. Jambe - profil: sans traumatisme 15. Jambe - profil: après traumatisme 16. Cheville - oblique interne et AP ..
17. Cheville - profil et oblique externe
PIED
18. Pied et orteils - AP 19. Pied - profil . . . . . 20. Pied - AP oblique 21. Pied - PA oblique
22. Talon - semi-axial: décubitus dorsal 23. Talon - semi-axial: procubitus . . .
NOURRISSONS ET JEUNES ENFANTS
24. Bassin et hanches - AP . . . .
Pages
202-203 204-205 206-207 208-209
210-211 212-213 214-215
216-217 218-219 220-221 222-223 224-225
226-227 228-229 230-231 232-233 234-235
236-237 238-239 240-241 242-243 244-245 246-247
248-249