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Développement de la production des

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(1)

Les Consulats s u i s s e s à Γ étranger reçoivent le j o u r n a l .

pa

Huitième Année. — N'^â^T <//fi P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s .

Jeudi 5 Avril 1894.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS Un ;in: Six mois:

Suisse . . . . Fi-. 6»— Fr. i!»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a fous les bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la CIianx-de-Fonds.

A N N 0 N 6 E S

ovenant de la Suisse 20 et. la ligne sAi?

» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance.

θι·£:ιιι<· Ue Isi K o c i é t é i i i t e i - c s i i i l o m t l o «le!* ΙΙΗΙΙΙΜ(Ι·ΙΟ «lu J n r n , Uex <Ίι;«ιιιΙ>ο·<>·* d e c o m m e r c e , Uew ! S u r e a u x Ue c o n t r ô l e - ci UeM S y n d i c a t * gtrofcMMioaiiicl.w.

Développement de la production des

montres

par les moyens mécaniques.

L e s t e r m i n e u r s - a c h e v e u r s

Alors· qu'en Suisse el dans les plus anciens centres horlogers en particulier, on considère comme u n malheur la trans- formation de l'ancien système de fabri- cation, en Amérique cl en Angleterre, on s'ingénie à perfectionner toujours plus l'outillage mécanique et on arrive ainsi, à trouver l'écoulement de grandes ([nantîtes de montres qui ne sont pas, connue celles produites par la plupart de nos termineurs, des objets d'échange montrant ou ne montrant pas l'heure, mais qui sont au contraire des montres dignes de ce n o m , que l'acheteur peul mettre en poche en toute contiance.

Kn Angleterre, la Lancashire Waleli Company vient de publier un rapport, qui nous montre que si les Anglais se sont bornés, p e n d a n t longtemps, à pro- duire une quantité relativement restreinte de montres chères, ils sont en train, imitant en cela l'exemple des Améri- cains, de produire sur une grande échelle la montre civile dans des prix abordables p o u r la grande niasse des consomma- teurs, en utilisant un outillage perfec- tionné.

Celte fabrique distribue, pour l'année ISS))I, un dividende de 0°/o à ses action- naires. Fondée à un capital de 1.250000 francs, elle a dépensé l'année dernière :17?)000 francs p o u r machines et outils et va élever son capital à plus de 2.500000 francs, pour perfectionner et augmenter encore son outillage.

Mais ce qui doit surtout attirer notre attention, c'est la progression constante de la production mensuelle. Le tableau suivant l'indique avec une éloquence (pli doit nous faire réfléchir.

La production mensuelle a é t é :

En Septembre de 222 montres.

Ln Octobre de . 40(5 » Ln Novembre de 10(53 » Kn Décembre de 2οΰ3 » Alors ([ue chez nous, certains fai­

seurs, Irop nombreux encore, et les ter­

mineurs qu'ils occupent, s'ingénient à pro- duire toujours à meilleur marché, en tirant la quintessence de la main d'œuvre, p o u r arriver, tout naturellement, à une diminution constante de la qualité, en Angleterre, en Amérique, en Allemagne, où l'on n'en retenu par aucune tradition et paralysé par aucune résistance, on marche carrément dans la voie du pro- grès mécanique, on s'organise en fabri- ques, et l'on peut arriver ainsi, à faire bon el bon marché, tout en maintenant les salaires ouvriers à un taux rémuné- rateur.

La lutte est au fond entre la science mise à Ia disposition de l'industrie et l'étranglement des salaires, entraînant Ia misère des travailleurs, la dépréciation du produit el, finalement, l'exode d'une industrie.

Il est grand temps que nous rompions avec les préjugés el que nous brisons les résistances.

La montre doit être un instrument p o u r la mesure du temps ; on ne saurait trop le répéter.

T r o p de gens considèrent notre indus- trie comme une mine à exploiter jus- qu'au dernier filon, el qu'ils abandon- neront p o u r se jeter sur une autre proie, après l'avoir vilipendée, dépréciée, rui- née. Alors nos concurrents, plus ins- truits, plus honnêtes, plus conscients de la force de cette vérité : qu'en dessous d'un certain salaire l'ouvrier ne se sent plus tenu à être consciencieux dans son travail, nos concurrents nous supplan- teront sur les marchés où nous sommes actuellement les maîtres.

Vraiment, ce ne serait pas la peine d'avoir r e m p o r t é l'énorme succès de Chicago, si, sous prétexte que nous traversons une période d e , crise, nous devions continuer la dégringolade des prix de vente et l'étranglement des salaires.

La montre « p a t r a q u e » avait disparu p r e s q u e ; elle n'était p l u s q u ' u n e quan- tité négligeable dans n o t r e production générale. Si cela continue, n o u s rever- r o n s les tristes j o u r s des ventes à la criée dans une salle d'hôtel ; nous rever- rons les lois de m o n t r e s manquées, inutilisables, qu'on trafique à vil prix et avec lesquelles o n . « e n r o s s e » l'acheteur.

Ce sera alors le triomphe du termi- ncur-acheveur, suçant j u s q u ' à la moelle le salaire de son ancien camarade, l'ouvrier ; mettant au m o n d e des produits quelconques, (pie de gros exportateurs, descendus au rang de gros brocanteurs, jelleront sur le marché, sans souci de

leur renom personnel, sans souci — el c'est ici que le droit de lutter doit s'affirmer — sans souci du bon renom de la montre suisse.

La Iu1Ue sera entre la fabrique, qui veut faire bien, qui entend conserver à l'ouvrier le m i n i m u m de salaire au dessous duquel il ne faut pas descendre, el le termineur, insaisissable parce qu'il peul se dérober, inattaquable parce qu'il ne possède rien, produisant quand même, parce que son c o m p è r e , — l'exportateur qui vend n'importe quoi p o u r v u (pie « ça revienne assez bon marché» — lui fournira m o u v e m e n t s el boites.

Qui l'emportera ?

Si nous n'y p r e n o n s garde, ce sera le termineur. La fabrique, on sail où elle est. Les syndicats ouvriers la surveillent, connaissent les gains réalisés, s'opposent aux baisses, peuvent susciter des grèves, tiennent, en un mot, dans leurs mains,

(2)

114 L A F E D E R A T I O N H O R L O u E R E S U I S S E

( o u i le p e r s o n n e l o u v r i e r d e l ' é t a b l i s s e - m e n t .

L e t e r m i n e u r , il est p a r t o u t e t il n ' e s t m i l l e p a r t . S u r g i s s a n t a u j o u r d ' h u i , d i s p a - r a i s s a n t d e m a i n , a p r è s a v o i r g â c h é , a v i l i , p a t r a q u e , . . . et t r o p s o u v e n t , o u b l i é d e p a y e r s e s o u v r i e r s .

L e t r i o m p h e d u t e r m i n e u r - a c h e v e u r , si n o u s le l a i s s o n s s ' a c c o m p l i r , n e s e r a p a s d e l o n g u e d u r é e .

L e b o n m a r c h é , q u a n d le p r o d u i t e s t m a u v a i s , n e r e t i e n t p a s . l ' a c h e t e u r . L e j o u r o ù n o u s n ' a u r o n s p l u s q u e d e s

t e r m i n e u r s - a c h e v e u r s , p o u r p r o d u i r e la m o n t r e s u i s s e , la m o n t r e s u i s s e a u r a v é c u .

T r a v a i l l o n s d o n c t o u s e n s e m b l e à d é t r u i r e c e l l e r a c e n é f a s t e e t à p a r a l y s e r , d a n s l e u r a c t i o n , c e u x q u i l ' o n t c r é é e , p o u r lui d o n n e r c e t t e m i s s i o n q u ' i l s n ' o s a i e n t a c c o m p l i r e u x - m ê m e s : a v i l i r le p r o d u i t , r u i n e r l ' o u v r i e r , e n a t t e n d a n t d e r u i n e r l ' i n d u s t r i e .

Il esl g r a n d t e m p s cpie n o t r e i n d u s t r i e r e v i e n n e e n d e s m a i n s d i g n e s d e la d é t e n i r .

L u t t o n s c o n t r e les p r é j u g é s q u i s ' o p p o - s e n t à la c r é a t i o n d e s f a b r i q u e s , à l ' e m p l o i d e s p r o c é d é s m é c a n i q u e s . N o u s le d i s o n s t o u t p a r t i c u l i è r e m e n t a u x p r o - d u c t e u r s d e s r é g i o n s h o r l o g è r e s o ù l ' a n c i e n m o d e d e f a b r i c a t i o n d o m i n e e n c o r e .

N o u s l e u r d i s o n s d ' o u v r i r l'œil s u r u n m o u v e m e n t q u i se d e s s i n e d e j o u r e n j o u r : la I r a n s i o r m a t ion d e s f a b r i q u e s d ' é b a u c h e s e n f a b r i q u e s d e m o n t r e s .

Le jour où Ionien les fabriques d'ébauches feront la montre, à quoi oc- cupera-l-on les ouvriers, dans les ré- gions qui n'ont pas de fabriques?

Examens d'apprentis

En exécution du titre 11 de la loi sur la protection des apprentis, du 21 novembre 1890, le département soussigné porte à la connaissance des maîtres et maîtresses d'ap- prentissage, ainsi que des apprenties et apprentis du canton, qu'il organisera dans le courant des mois de juin et de juillet les exa- mens prévus par la loi. Toutefois, ensuite de circonstances particulières, les examens poul- ies apprentis monteurs de boites auront lieu à la fin du mois d'avril. En conséquence, tous les apprentis et apprenties qui désirent obtenir leur diplôme et concourir en même temps pour l'obtention des primes promises par la loi a u x apprentis les plus méritants sont priés de s'adresser jusqu'au 3o avril prochain (20 avril pour les apprentis mon-

teurs de boites) auprès du secrétariat commu- nal ou du président du syndicat de la profes- sion. Ils en recevront un bulletin dont ils voudront bien étudier à loisir les indications:

Conditions d'admission, nature des exa- tnens. etc. Ils pourront ensuite remplir ce formulaire et le remettre au secrétariat de la commune ou au président du syndical dans le délai fixé, soit jusqu'au 30 avril.

La date exacte des examens sera désignée ultérieurement à tous les intéressés, avec l'indication de la localité et des ateliers dans lesquels les apprentis devront se présenter

pour exécuter les travaux fixés par le j u r y de leur profession. '.;

Afin de donner toute l'unité désirable dans le travail des commissions d'examen, en même temps que pour réduire la dépense qui incombe à l'Etat, nous grouperons pour l'exa- men dans une même localité et dans une même série de jours tous les apprentis appar- tenant à la même profession.

P o u r être admis aux examens les apprentis et apprenties devront avoir accompli à l'épo- que de l'examen les deux tiers au moins du temps d'apprentissage fixé par le contrat.

Neuchàtel, le 22 m a r s 1894.

Le chef du Département de l'Industrie et de l'Agriculture :

GOMTKSSK.

Information

L e s f a b r i c a n t s d ' h o r l o g e r i e q u i rece- v r a i e n t d e s d e m a n d e s d ' é c h a n t i l l o n s o u d e p r i x - c o u r a n t , o u d e s c o m m a n d e s , d e s n o m m é s

F r i t z H u o b e r ,

•jq, S. Marco ai Ferrari. Xaples.

E t t o r e R i n a l d i ,

/ . Via S. Guiseppe, Naples.

s o n t i n v i t é s à p r e n d r e d e s r e n s e i g n e - m e n t s a u s e c r é t a r i a t d e Ia C h a m b r e c a n t o n a l e d u c o m m e r c e , r u e d e la S e r r e 27.

à la Ghaux-deT-Fonds.

Secrétariat, de la Chambre.

P r i è r e a u x j o u r n a u x d e la r é g i o n h o r - l o g è r e d e b i e n v o u l o i r r e p r o d u i r e le p r é s e n t a v i s . . . . .

«j ι » ι m —

Les huit heures

Le Times rend compte d'un essai réussi et des plus intéressants de la journée de huit heures. Il s'exprime a i n s i :

M. Mather, membre du Parlement, à fait connaître a u x patrons constructeurs-méca- niciens, ainsi qu'aux syndicats ouvriers de ces industries, le résultat d'une expérience entreprise par sa "itoaison (Mather et Plat, constructeurs en fer à. Salford, prés de Man- chester), pendant une année, au sujet de la journée de huit heures.

A parler plus exactement, l'expérience a ponté s u r la semaine de quarante-huit heures au lieu de cinquante-trois heures, comme auparavant, sans réduction de salaires. La maison emploie 1,200 ouvriers.

L'expérience a pleinement· réussi. S'il y a eu 4,-10 °/i> d'augmentation sur les salaires, cette dépense a été compensée par l'économie réalisée sur le capital fixe: usure des ma- chines, Cy1SUr le combustible et l'éclairage.

L'expérience a été si concluante que les quarante-huit heures de travail y>ar semaine vont être désormais lu règle de l'usine en question, et que M. Mather a cru de son de- voir de communiquer les résultats obtenus dans sa maison aux directeur des principaux départements de l'Etat.

En conséquence, les autorités de l'arsenal militaire de Wophvlch ont déjà adopté le système des quarante-huit heures de travail hebdomadaire, et les directeurs de l'arsenal maritime se proposent de suivre leur exemple.

Le PaII Malt Gazette commente, dans les termes suivants, les résultats de la journée de travail de huit heures faite aux forges de Salford:

Une modification qui a été reconnue si avantageuse a u x forges de Salford, et qui, sur l'instigation de M. Mather, a eu tant de succès parmi les ouvriers du gouvernement.

à Woolwich, devrait certainement être expéri- mentée dans toutes les fabriques du royaume.

Il peut sembler un instant que ces faits viennent à l'appui de ceux qui veulent imposer au pays la journée de travail de huit heures par la voie législative. Mais M. Mather re- pousse; énergiquement tout procédé de cette nature, et l'absurdité de cette manière de faire doit être évidente pour la personne la moins compétente.

Les conditions qui ont fait réussir l'ex- périence de Salford sont celles qui dépendent de la bonne volonté montrée des deux côtés.

Si les ouvriers de M. Mather lui 'avaient im- posé la journée de travail de huit heures, ou s'il la leur avait imposée, il est clair que toute l'expérience aurait été viciée.

Ses ouvriers n'auraient jamais vécu en harmonie et le contentement et les disposi- tions morales qui ont été la cause d'une aug- mentation de la production n'auraient pas eu lieu. Si un système de huit heures de travail n'est pas adopté par un consentement mutuel, c'en est fait de la raison d'être de ce système.

Il repose sur une coopération volontaire, et l'intervention de l'Etat dans cette question aurait simplement pour effet de ruiner pour des années les chances de la journée de travail de huit heures. Le gouvernement a eu raison d'en faire l'expérience à Woolwich. mais il ne doit pas s'arrêter à Woolwich.

Ge n'est qu'en donnant l'exemple dans la pratique, et en répétant au public les avan- tages du système, qu'on arrivera à révolu- tionner l'état de choses actuel. Il ne faut pas s'attendre à une révolution en un j o u r : mais depuis que M. Mallier a montré qu'il était de l'intérêt du capital comme du travail de réduire la journée de travail, il ne peut plus y avoir de doute quant au résultat final.

O s constatations sont intéressantes. Elles prouvent qu'en Angleterre, et dans certaines industries, la journée de huit heures peut être acceptée par les patrons et les ouvriers, qui.

tous, y trouvent un bénéfice.

En Suisse, nous pouvons faire notre profit de cet essai réussi et nous pouvons en tirer des conséquences qui nous soient applicables.

Il faut cependant se garder de généraliser.

Ce qui est possible dans une industrie ne l'est pas dans toutes, et dans chaque spécialité, une expérience devra être faite avant de prendre une détermination. C'est la seule manière d'éviter les erreurs et les excès.

La monnaie italienne

Du Gaulois :

P o u r assurer une complète exécution du retrait des pièces divisionnaires italiennes à partir du 25 juillet prochain, et pour éviter au public des mécomptes ultérieurs, le ministère des finances vient d'inviter les caisses publi- ques et les g r a n d s établissements de crédit el de banque, ainsi que les chambres de com- merce, à retenir dés à présent toute cette monnaie, dont le Trésor leur facilitera aussi- tôt l'échange.

Il est donc utile de s'en débarrasser dans tous les versements effectués aux administra- tions de l'Etat, notamment en payant ses im- positions.

Certificats d'origine pour l'Espagne

Dans notre dernier n u m é r o , nous avons reproduit une disposition de la convention de commerce hispano-suisse suivant laquelle le montant des droits de légalisation du certificat d'origine ne pourra dépasser,en aucun cas, le 2 5 % (lu droit de douane afférant à la mar- chandise pour laquelle :1e certificat aura été expédié. Il ressort de cette disposition que pour

tout envoi dont les driots n'atteignent pas

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE HS

20 francs, les frais de légalisation du certificat d'origine ne s'élèvent pas au droit de 5 francs mais seulement nu quart (2-5 °/o) du montant

•des droits de douane.

Cependant, comme les consulats espagnols ne sont pas toujours à même de fixer les d r o i t s de douane avec certitude, notamment

lorsqu'il s'agit par exemple de tissus, pour lesquels on doit prendre en considération le nombre de fils, il y a lieu de recommander à l'expéditeur, afin d'éviter des calculs erronés, d'indiquer s u r le certificat d'origine non-seule- ment le taux du droit p a r kilogramme mais jiussi le montant total des droits de douane.

(Feuille officielle unisse du commerce.)

Nouvelles diverses.

Le Standard, journal des Tories anglais, déclare qu'aucun désarmement, qu'aucune diminution même des dépenses militaires du

monde n'est possible, parce que la Russie

•convoite Cônstnntinoplc et la France le Rbin.

Tout le monde sait qu'il n'y a pas do politique plus paisible que celle du Tsar, do celui qui

•désire être appelé « l'empereur des paysans» ; aucun gouvernement ne comprend mieux que celui de la Russie la nécessité de consacrer ses forces à son développement intérieur au lieu de chercher des extensions do territoire.

Les Français sont obligés, en tout honneur vi loyauté, de souhaiter la réunion au pays de leurs frères de l'Alsace et "de la Lorraine :

•elle reste fidèle aux principes de liberté et de justice envers les peuples : mais aucun parti influent ne désire, chez nous, commencer une guerre, même pour ce but sacré. En écrivant comme il le fait, c'est le Standard, et non pas nous, qui se montre cbnuvin.

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