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Sur la chasse en forêt en Europe

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HAL Id: hal-03397279

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03397279

Submitted on 22 Oct 2021

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Sur la chasse en forêt en Europe

Christian Guiraud

To cite this version:

Christian Guiraud. Sur la chasse en forêt en Europe. Revue forestière française, AgroParisTech, 1981,

33 (6), pp.514-521. �10.4267/2042/21538�. �hal-03397279�

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SUR LA CHASSE EN FORET EN EUROPE

.:,l,l,lllll IIllllll l, : C . GUIRAUD

Note de la rédaction : Christian Guiraud, chef de la Division «Loisirs et Chasse» du C .T.G .R.E.F.

(maintenant C .E .M.A,G .R .E.F . : Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts) a été chargé en 1976 par la F .A .O . d'une mission de consultant sur les aspects socio- économiques de la chasse en forêt.

Le but recherché était d'évaluer au niveau de l'Europe l'importance de la chasse parmi les activités de loisir pratiquées en forêt en essayant de cerner les conflits possibles avec d'autres formes de récréation et de connaître les revenus que l'État et les propriétaires forestiers peuvent tirer de la chasse.

Une enquête à laquelle 18 pays ont bien voulu répondre a fourni les bases d'un rapport* présenté le 16 septembre 1977 à Rome devant la Commission européenne des forêts de la F .A .O.

En 1979 une seconde étude** de caractère plus technique a servi d'introduction à une séance de travail sur l'amélioration des rapports entre l'aménagement cynégétique et l'aménagement fores- tier lors de /a XIX* session de ladite Commission.

Les renseignements obtenus ne sont certes pas complets et quelques incertitudes ont subsisté dans leur interprétation. Il nous a cependant paru intéressant de faire bénéficier /es lecteurs de la Revue forestière française des informations contenues dans les deux rapports.

Nous remercions bien vivement la F.A .O . et plus particulièrement M . E . Kalkkinen, Directeur de la Division de l'Agriculture et du Bois et M . J .J . Peck, Fonctionnaire régional « foresterie» pour l'Europe d'avoir bien voulu autoriser cette publication.

• Rapport sur l'importance de la chasse dans la foresterie européenne — document FO : EFC/77/8 — juillet 1977.

Problèmes économiques et écologiques qui doivent être résolus pour assurer une meilleure harmonie entre les besoins de la chasse et ceux de la sylviculture — document FO : EFC/79/8 — juillet 1979.

515 Cette rubrique est dirigée par

J . MAZODIER

Ingénieur du G .R .E .F.

Chef du Bureau de l'Aménagement foncier Ministère de l 'Agriculture

Service des Forêts 1 ter, avenue de Lowendal

75007 PARIS

R .F .F . XXXIII• 6 . 1981

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C .GUIRAUD ORGANISATION DE LA CHASSE A L'ÉCHELLE NATIONALE

L'organisation de la chasse peut être centralisée au niveau de l'État (Finlande, France, Hongrie, . . .) ou au contraire largement décentralisée au niveau régional (Autriche, Confédération helvétique, . . .).

Le ministère responsable, aussi bien dans les pays occidentaux que dans les pays de l'Est est le plus souvent celui qui a la charge de l'Agriculture et des Forêts (Autriche, Belgique, Bulgarie, Fin- lande, Hongrie, Pays-Bas, Portugal, . . .) . En Grande-Bretagne il n'y a pas de ministère globalement responsable, chaque département ministériel (Intérieur, Environnement et Protection de la Nature, Agriculture, . . .) intervenant pour les questions de sa compétence ; la Forestry Commission pos- sède une assez large autonomie pour l'organisation et la réglementation de la chasse dans les forêts domaniales . De tous les pays ayant répondu à l'enquête, la France est le seul où la chasse soit confiée au ministère chargé de l'Environnement.

Sauf dans les pays de l'Est, le droit de chasse appartient au propriétaire avec le plus souvent des restrictions liées à la nécessité de disposer d'une superficie permettant une gestion rationnelle de la chasse (Autriche 115 ha, Belgique 25 ha ou 50 ha, Pays-Bas 40 ha, France 20 ha dans les dépar- tements où la création d'« Associations communales de chasse agréées » est obligatoire).

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Nature,loisirsetforât

Les associations de chasseurs jouent un rôle important dans la plupart des pays ; elles permettent le regroupement des droits portant sur des superficies trop faibles pour constituer des unités de gestion cynégétique ; elles sont fédérées au niveau régional (ou départemental) et national : le

poids » de ces organismes dans l'élaboration des décisions et de la réglementation varie d'un pays à l'autre dans une mesure qu'il est difficile d'apprécier.

Le propriétaire — que ce soit l'État, une collectivité ou un particulier — peut amodier le droit de chasse sur ses terres ou, sous réserve de posséder une superficie suffisante, exploiter directe- ment sa chasse par licences individuelles ou collectives . Le second système lui permet plus facile- ment de jouir de sa chasse à titre personnel tout en lui assurant un revenu . Les deux systèmes coexistent dans la plupart des pays (Autriche, Bulgarie, Finlande, France) . En Confédération helvé- tique, c'est l'un ou l'autre système qui est pratiqué selon le canton.

La pression de chasse est très variable suivant les pays . Le tableau ci-après indique le nombre de chasseurs en regard de la superficie sur laquelle la chasse s'exerce.

La comparaison est difficile car elle porte sur des territoires de chasse totalement différents ; il n'est pas toujours apparu possible de faire la part des chasseurs en forêt et les chiffres de la der- nière colonne du tableau sont seulement des ordres de grandeur . On peut distinguer les pays où les chasseurs représentent une fraction relativement faible de la population (Autriche, République fédérale d'Allemagne, . . .) et disposent de ce fait de territoires de chasse relativement vastes, de ceux où, du fait d'un taux de peuplement plus faible, une plus grande partie de la population a la possibilité de chasser sur d'assez vastes territoires (Finlande, Norvège, Suède) et ceux où de très

nombreux chasseurs se concentrent sur des territoires relativement réduits (France, avec des dis- parités à l'intérieur même du pays).

Pays

Surface du territoire de chasse national

(millions d'ha)

Nombre de chasseurs

total en forêt total chassant

en forêt

Autriche 8 3,7 100 000 95 000

Belgique 22 0,6 30 000 —

Bulgarie 10 3,8 82 000 —

Chypre 0,9 — 31 000 26 000

R .F .A 23,7 7,2 243 000 —

Espagne 50 26 930 000 930 000

France 50,3 13,3 2 220 000 —

Finlande 33,7 21,6 250 000 —

Grande-Bretagne — 2 — 5 500

Hongrie 8,9 1,6 26 000 8 000

Irlande 7 0,3 46 000 10 000

Luxembourg 0,2 0,08 2 850 —

Norvège 25 5,5 160 000 100 000

Pays-Bas 2,4 0,3 40 000 —

Portugal 7,5 — 212 000 —

Suède 45 — 240 000 —

Confédération helvétique 3,4 1 31 000 26 000

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R.F .F . XXXIII . 6.1981

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C .GUIRAUD

Bon nombre de pays (Autriche, Belgique, Confédération helvétique dans la plupart des cantons, République fédérale d'Allemagne dans la plupart des lànder, France, Hongrie, Pays-Bas, . . .) subor- donnent l'exercice de la chasse à un examen de capacité.

REVENUS TIRÉS PAR L'ÉTAT DES PERMIS DE CHASSE ET DES TAXES SUR LA CHASSE Les systèmes de permis de chasse diffèrent avec les pays . Certains (Bulgarie, République fédérale d'Allemagne, Chypre, Hongrie, . . .) ne connaissent qu'un seul permis valable sur tout le territoire pour toute la saison de chasse et pour tous les gibiers . D'autres (Autriche, Belgique) délivrent en plus des permis de durée limitée . D'autres (France, Espagne, Portugal), délivrent un permis valable pendant toute la saison de chasse soit sur la totalité soit sur une partie du territoire (avec en plus, pour la France, un permis spécial pour le gibier d'eau) . Pour d'autres, enfin, toutes les combinai- sons sont possibles.

Le prix du permis varie, pour un an, de 10 FF (Hongrie) à 400 FF (Luxembourg) et même 800 FF (Belgique) avec un certain groupement autour de 100/150 FF (République fédérale d'Allemagne,

Finlande, Pays-Bas, France pour le permis départemental, . . .).

Le tableau ci-après indique le montant total des revenus tirés par l'État de la délivrance du permis de chasse et éventuellement des taxes sur les chasses gardées . Dans quelques cas il a été diffi- cile de faire la part entre ces recettes (c'est-à-dire celles provenant de l'impôt) et celles provenant de l'exploitation de la chasse par l'État sur les terrains domaniaux.

Pays

Montant des recettes tirées

du permis de

Montant reversé aux organismes s'occupant

de la chasse

chasse en 1976 en 1976

(FF) * (FF)

Belgique 24 000 000 90 000

Autriche 3 500 000 —

Confédération helvétique 20 000 000 —

République fédérale d'Allemagne 30 000 000 —

France . . . 275 000 000 240 000 000 Finlande . . . 8 500 000 7 500 000

Hongrie 350 000 —

Luxembourg 1 000 000 750 000

Norvège 3 000 000 —

Pays-Bas 5 600 000 —

Portugal 10 000 000 10 000 000

Espagne 26 000 000 26 000 000

- Chiffres arrondis obtenus en utilisant un taux de conversion moyen pour l'année considérée pour les monnaies non conver- tibles, les taux suivants ont été utilisés : 1 Lev . = 4.55 FF : 1 Forint = 0,2 FF.

La totalité (Espagne, Portugal) ou la quasi-totalité (Finlande, France) des sommes ainsi perçues par l'État peut être reversée aux organismes s'occupant de la chasse . II est vraisemblable que cer- tains des pays qui ne font pas état de tels reversements prennent directement en charge sur le budget de l'État tout ou partie des dépenses d'études et d'organisation concernant la chasse.

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Nature, loisirs et forêt

REVENUS PROCURÉS PAR LA CHASSE AU PROPRIÉTAIRE FORESTIER

Le tableau ci-après concerne les revenus de tous genres procurés par la chasse au propriétaire forestier : montant des baux de location ou des licences, redevances liées aux trophées, etc.

L'enquête demandait d'y inclure le revenu « fictif ,, correspondant à la jouissance de sa chasse par le propriétaire lui-même.

Pays

Revenu moyen à l'ha en 1976

(FF)

Belgique 60 à 120

Autriche 13

Confédération helvétique 15

R .F .A 17

France 15

Finlande 1

Hongrie 18

Luxembourg 40 à 100'

Espagne 3

Forêts louées par des associations de chasseurs.

Si l'on excepte d'une part l'Espagne, la Finlande (et vraisemblablement les autres pays du Nord de l'Europe qui n'ont pas fourni d'indications chiffrées) et d'autre part la Belgique et le Luxembourg, on constate un bon groupement du revenu moyen à l'hectare autour de 15 FF ( 1 ) . Dans certains pays ce montant se trouve être du même ordre de grandeur que celui de l'impôt foncier payé par le propriétaire (France : 18 FF/ha) . Il convient normalement de déduire de ce revenu les dépenses incombant au propriétaire du fait de la chasse : taxes spéciales sur les chasses gardées, protec- tion de la forêt elle-même et des cultures voisines contre le gibier. Mais, selon les règlements et les usages ces dépenses sont à la charge soit du propriétaire soit du bénéficiaire du droit de chasse.

ANALYSE DES RELATIONS ENTRE LA CHASSE ET LES AUTRES FONCTIONS DE LA FORET Fonction production

De nombreux pays (Autriche, Confédération helvétique, République fédérale d'Allemagne, France, Hongrie, Norvège) insistent sur les dégâts causés par les grands animaux aux régénérations fores- tières (abroutissement) ou aux jeunes peuplements (écorçage, frottis) . Les dommages sont évalués en Autriche à un montant supérieur au revenu apporté par la chasse . En Suisse, ils représente- raient localement une perte de 12 % sur le revenu bois (perte sur la qualité des produits) . Il faut également prendre en considération le coût des mesures de protection (engrillagement, protection

individuelle) ou de dissuasion (cultures à gibier, affouragement hivernal) atteignant facilement 5 à 10 FF/ha.

(1) En France on dispose maintenant des chiffres résultant des adjudications de 1979 pour les forêts domaniales soit 35 F/ha . Le revenu moyen peut être estimé à 18 F/ha . chiffre couvrant des disparités importantes.

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R .F .F. XXXIII -6-1981

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C .GUIRAUD

Enfin les dommages aux cultures voisines, généralement pris en charge par les chasseurs avec éventuellement (France, Luxembourg), l'intervention d'un fonds de garantie, sont loin d'être négli- geables : République fédérale d'Allemagne 10 000 000 FF, France 26 000 000 FF, Hongrie 6 000 000 FF.

En contrepartie les pratiques sylvicoles modernes (enrésinement intensif, augmentation de la sur- facedes unités de gestion, travail du sol dans les régénérations) ont une influence défavorable sur le gibier et la vie sauvage en raison de la diminution des couverts et des gagnages et surtout de leur mauvaise répartition dans l'espace . Cet inconvénient n'est cependant pas jugé très grave . Cer- tains pays mentionnent même un effet positif (Norvège, Finlande : amélioration du gagnage liée à la fertilisation).

Fonction sociale

L'incompatibilité entre l'exercice simultané de la chasse et de la promenade en forêt sur un même territoire est évidente et notée par la plupart des pays, mais elle ne semble conduire à des situa- tions de conflit que dans des cas limités . La solution préconisée est la séparation de deux types d'activité dans le temps (Pays-Bas, Confédération helvétique, France) et dans l'espace (Luxem- bourg) . L'observation du gibier en forêt est un élément positif pour le promeneur.

On pourrait craindre que la fréquentation du public en forêt perturbe le gibier . Sauf cas particulier (France : disparition du grand tétras sur certaines zones à la suite de l'ouverture de routes pour l'exploitation forestière) il apparaît que le gibier parvient à s'accommoder de la présence du pro- meneur. Une certaine sensibilité est cependant notée lors des périodes de reproduction ( . brame du cerf attirant les curieux en forêt) de nidification ou de mise bas . De même l'afflux des chas- seurs photographiques peut s'avérer néfaste.

En définitive, il apparaît possible de concilier chasse et promenade en forêt, sous réserve d'une certaine réglementation de la chasse et aussi de l'éducation des promeneurs qui — de façon inconsciente — dégradent parfois le milieu dont ils disposent gracieusement.

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Nature,loisirsetforet RECHERCHE D'UN ÉQUILIBRE SYLVO-CYNÉGÉTIQUE

La forêt constitue un milieu en équilibre entre différents facteurs : sols, flore herbacée et arbus- tive, arbres, animaux . La sylviculture vise à maintenir cet équilibre tout en permettant à la forêt de remplir ses différentes fonctions . S'il est normal que le propriétaire forestier cherche à tirer de son bien un revenu maximum et si, à l'évidence, la production ligneuse est dans la plupart des cas le meilleur moyen de parvenir à ce but, si dans le contexte économique actuel la production de bois, matière renouvelable, doit conserver notre faveur, on ne peut pour autant négliger les autres fonc- tions de la forêt . La chasse présente l'originalité de ressortir à la fois de la fonction production et de la fonction loisir . Elle peut constituer pour le propriétaire forestier un revenu d'appoint intéres- sant . Encore faut-il éviter de perdre d'un côté ce que l'on gagne de l'autre . Il apparaît donc néces- saire de rechercher un équilibre entre la forêt et les animaux qu'elle abrite, surtout les grands ani- maux.

Les travaux amorcés en Allemagne par le Docteur Ueckermann et poursuivis maintenant dans d'autres pays, dont le nôtre, visent à définir la densité écologiquement supportable » correspon- dant à la population maximale pouvant subsister dans un milieu sans compromettre sa pérennité et la « densité économiquement supportable » qui est celle n'entraînant que des dégâts insigni- fiants aux forêts et aux cultures.

Sauf lorsque l'option cynégétique devient prioritaire c'est la deuxième qui est à prendre en consi- dération . La densité économiquement supportable peut varier, selon le biotope, de 2 à 4 animaux aux 100 ha pour le cerf et de 4 à 15 animaux aux 100 ha pour le chevreuil . Dans notre pays, cette limite est atteinte et bien souvent dépassée dans la plupart des grands ensembles forestiers suffi- samment vastes pour constituer le support d'une population de cerfs ; il existe en revanche encore de très nombreuses possibilités de développement du cheptel chevreuil puisque le prélèvement moyen par la chasse sur l'ensemble du territoire n'est que de 0,4 tête aux 100 ha boisés alors qu'il atteint et même dépasse le décuple dans certains pays voisins, ce qui est d'ailleurs excessif.

Il faut certes avoir conscience de ce que, même avec une bonne gestion de la population, des dégâts localisés sont inévitables : le gibier est une partie intégrante de l'écosystème forestier ; il est normal qu'il y prélève sa nourriture, qu'il y imprime ses marques . Mais dans bien des pays d'Europe la surpopulation est manifeste et il semble même qu'elle se soit aggravée ces dernières années . Les moyens de protection et de dissuasion sont insuffisants si l'on n'agit pas en priorité sur l'effectif des populations.

Il n'est pas toujours possible d'attendre les résultats de la recherche pour prendre les mesures pratiques de réduction des effectifs . La solution pragmatique consiste alors à moduler en fonction des dégâts constatés les prélèvements fixés par le plan de chasse.

En France, les textes réglementaires récents imposant un prélèvement minimum facilitent cette action qui doit parfois être assez brutale : c'est le cas notamment pour les populations ayant un rapport des sexes déséquilibré au bénéfice des femelles . On risque de rencontrer alors l'incom- préhension, aussi importe-t-il d'informer largement le public aussi bien que les chasseurs des pro- blèmes écologiques et économiques posés par la conservation du gibier dans l'aménagement forestier .

Christian GUIRAUD

Ingénieur en Chef du G .R .E .F.

Chef de la Division „LoisirsetChasse»

du C .E .M . A .G .R. E . F.

Les Barres 45290 NOGENT-SUR-VERNISSON

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