Organisation mondiale de la Santé Genève
1999
La lutte
antivectorielle
Méthodes à usage individuel et communautaire
Sous la direction de Jan A. Rozendaal
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Organisation mondiale de la Santé, 1999
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Composé à Hong Kong Imprimé à Hong Kong
98/12303 — Best-set/Speedflex — 2600 Catalogage à la source: Bibliothèque de l’OMS
La Lutte antivectorielle: méthodes à usage individuel et communautaire / sous la direction de J. A. Rozendaal.
1.Lutte contre insecte — méthodes 2.Lutte contre animaux nuisibles — méthodes 3.Vecteur maladie 4.Manuel I.Rozendaal, Jan Arle
ISBN 92 4 254494 9 (Classification NLM: QX 600)
Table des matières
Avant-propos ix
Préface xi
Remerciements xi
Introduction 1
Historique et cadre général de la lutte antivectorielle 1
Substituts à l’emploi d’insecticides 1
Réorganisation de la lutte antivectorielle 2
La lutte antivectorielle au niveau communautaire 2
Choix des mesures de lutte appropriées 3
Protection individuelle 4
Lutte au sein de la communauté 4
Chapitre 1 Moustiques et autres diptères piqueurs
Biologie 9
Caractères distinctifs des diptères piqueurs 9
Moustiques 12
Simulies 20
Phlébotomes 23
Cératopogonides 25
Taons (tabanidés) 26
Stomoxes 27
Importance pour la santé publique 28
Nuisance 28
Paludisme 28
Filariose lymphatique 33
Maladies virales transmises par des moustiques 38
Onchocercose (cécité des rivières) 46
Leishmaniose 51
Mansonellose 57
Loase 58
Tularémie 58
Mesures de lutte 58
Choix des mesures de lutte appropriées 58
Protection individuelle 60
Les répulsifs 60
Vêtements protecteurs 65
Vaporisateurs d’insecticides 70
Mesures de protection pour les hamacs 79
Suggestions pour se protéger en l’absence de moustiquaire 79
Moustiquaires 80
Imprégnation d’un tissu à l’aide d’un insecticide 94
Les insecticides 94
Les meilleurs tissus et insecticides pour les moustiquaires
traitées 95
Doses recommandées 96
Précautions 96
Précautions à prendre avec les moustiquaires traitées 97 Comment préparer une solution convenable et traiter puis
faire sécher le tissu 97
Quand faut-il renouveler le traitement? 104
Elimination de l’insecticide 107
Protection des abris et des habitations contre les insectes 108
Architecture de la maison 108
Grillage anti-moustiques 109
Protection des tentes 113
Feuilles traitées pour la protection d’abris temporaires 115 Evitement et détournement des dipères piqueurs 116
Evitement 116
Détournement vers les animaux 116
Epandage d’insecticides 117
Pulvérisations d’insecticides sur les murs 117 Pulvérisations spatiales d’insecticides 122
Elimination des gîtes larvaires 123
Réduction des sources de prolifération 125
Lutte biologique 135
Les larvicides 141
Biotopes situés à l’intérieur et à l’entour des habitations 151
Habitats naturels des moustiques 169
Bibliographie 180
Pour en savoir plus 193
Jeux de diapositives pour la formation à la biologie des vecteurs et à la
lutte antivectorielle 194
Chapitre 2 Glossines
Biologie 195
Cycle de développment 195
Lieux de repos 195
Alimentation 197
Importance pour la santé publique 197
Trypanosomiase 197
Mesures de lutte 203
Pièges et écrans imprégnés d’insecticides 203
Mode d’action et conception 203
Modèle de pièges et écrans 204
Installation 207
Entretien 214
Montage 214
Imprégnation 222
Pulvérisation d’insecticide 225
Pulvérisations au sol 226
Pulvérisations aériennes 226
Bibliographie 227
Chapitre 3 Réduves ou triatomes
Biologie 229
Cycle de développement 229
Comportement 229
Lieux de repos habituels 230
Importance pour la santé publique 232
Nuisance 232
Maladie de Chagas 232
Mesures de lutte 236
L’application d’insecticides sur les murs des habitations 236
Insecticides 238
Formulations à libération lente (peintures insecticides) 238
Détermination de la rémanence 241
Amélioration du logement 242
Maisons existantes 243
Maisons neuves 247
Amélioration de l’environnement péridomiciliaire 249
Moustiquaires imprégnées 250
Cartouches ou pots fumigènes 251
Mode opératoire 252
Sécurité d’emploi 253
Surveillance 253
Méthodes de surveillance 253
Bibliographie 256
Chapitre 4 Punaises de lit, puces, poux, tiques et acariens
Punaises de lit 259
Biologie 259
Dispersion 259
Importance pour la santé publique 260
Mesures de lutte 261
Dépistage 261
Répulsifs 262
Mesures simples utilisables par les ménages 262
Moustiquaires imprégnées 262
Générateurs de fumée 262
Insecticides à effet rémanent 263
Puces 265
Biologie 266
Comportement 267
Importance pour la santé publique 268
Nuisance 268
Peste 268
Typhus murin 269
Autres maladies 269
Mesures de lutte 270
La puce en tant que nuisance 270
La puce en tant que vecteur de maladies 272
Chiques 275
Biologie 275
Importance pour la santé publique 275
Poux 278
Biologie 278
Poux de corps 279
Poux de tête 280
Poux de pubis 281
Importance pour la santé publique 281
Nuisance 281
Typhus exanthématique 281
Récurrente à poux 282
Fièvre des tranchées 283
Mesures de lutte 283
Poux de tête 283
Poux de pubis 286
Poux de corps 286
Tiques 288
Biologie 288
Tiques molles 289
Tiques dures 290
Importance pour la santé publique 293
Nuisance 293
Récurrente à tiques 293
Paralysie ascendante à tiques 293
Rickettsioses à tiques 293
Maladie de Lyme 294
Tularémie 296
Viroses neurotropes à tiques 296
Autres arboviroses 297
Mesures de lutte 297
Protection individuelle 297
Protection communautaire 300
Acariens 302
Acariens piqueurs 302
Biologie 302
Importance pour la santé publique 303
Mesures de lutte 304
Sarcopte de la gale 306
Biologie 306
Importance pour la santé publique 306
Acariens contenus dans la poussière des maisons 309
Prévention et lutte 310
Bibliographie 310
Chapitre 5 Blattes
Biologie 315
Cycle de développement 317
Comportement 317
Dispersion 318
Importance pour la santé publique 318
Nuisance 318
Maladies 319
Mesures de lutte 320
Aménagement de l’environnement 320
Propreté et hygiène 320
Limitation de l’accès 320
Lutte chimique 320
Résistance 322
Application 322
Pièges et appâts 327
Répulsifs 328
Bibliographie 328
Chapitre 6 Mouches communes
Biologie 330
Cycle de développement 330
Nourriture 332
Gîtes larvaires 332
Ecologie des mouches adultes 333
Importance pour la santé publique 335
Nuisance 335
Maladies 335
Mesures de lutte 336
Amélioration de l’assainissement et de l’hygiène 336 Réduction ou élimination des gîtes larvaires 336 Elimination de tout ce qui attire les mouches 340 Prévention des contacts entre mouches et agents pathogènes 340 Protection contre les mouches des aliments, des ustensiles de
cuisine et des personnes 340
Méthodes de destruction directe des mouches 341
Méthodes physiques 342
Méthodes chimiques 343
Bibliographie 353
Pour en savoir plus 353
Chapitre 7 Cyclops
Biologie 354
Importance pour la santé publique 355
Dracunculose 355
Mesures de lutte 363
Eviter que les patients n’entrent en contact avec l’eau 363 Assurer la sécurité de l’approvisionnement en eau 363
Filtration de l’eau de boisson 363
Lutte chimique 365
Utilisation d’eau bouillie pour la boisson 366
Bibliographie 366
Chapitre 8 Gastéropodes d’eau douce
Biologie 368
Cycle de développement 369
Ecologie 369
Importance pour la santé publique 371
Schistosomiase 371
Trématodoses d’origine alimentaire 380
Mesures de lutte 382
Eviter d’entrer en contact avec des eaux infestées de gastéropodes 382
Améliorer l’assainissement 383
Détruire les gastéropodes 383
Aménagement de l’environnement 385
Capture et destruction 385
Lutte biologique 385
Lutte chimique 386
Bibliographie 389
Pour en savoir plus 389
Chapitre 9 Traitement des habitations au moyen d’insecticides à effet rémanent
Les problèmes du traitement des habitations dans les programmes
de lutte antipalustre 390
Organisation des opérations de pulvérisation 391 Insecticides pour pulvérisations à effet rémanent 393 Caractéristiques des bons insecticides à effet rémanent 393
Résistance 394
Formulations 394
Doses et cycles de traitement 396
Nature de la surface traitée 397
Insecticides d’usage courant 397
Préparation d’une suspension d’insecticide 401
Pulvérisateurs actionnés à la main 402
Pulvérisateur à pression préalable 404
Les traitements insecticides 417
Où faut-il traiter? 417
Quand faut-il traiter? 417
Bibliographie 420
Pour en savoir plus 420
Chapitre 10 Sécurité d’emploi des pesticides
Précautions 421
Etiquetage 421
Stockage et transport 421
Elimination 421
Hygiène générale 425
Vêtements de protection 425
Mesures de sécurité 428
Mesures d’urgence 430
Symptôme d’intoxication 430
Premiers soins 430
Suite du traitement 433
Bibliographie 434
Pour en savoir plus 434
Index 435
Avant-propos
L’élaboration et la production du présent manuel ont représenté une tâche considérable. Il a fallu rassembler toutes les données nécessaires concernant la lutte contre les vecteurs de maladies, les animaux réservoirs et la vermine domestique en ayant pour ligne de conduite la rédaction d’un guide pratique utilisable par tout un chacun. Les espèces décrites, de même que les méthodes de lutte proposées, ont été sélectionnées à l’intention de personnes ou de collectivités qui pourraient apporter beaucoup à la lutte antivectorielle mais qui en sont plus ou moins empêchées par le manque de moyens financiers ou une formation insuffisante. Le choix d’une méthode de lutte dépend aussi, pour une grande part, de la structure de décision des collectivités et des activités de lutte antivectorielle déjà entreprises par les services de santé locaux.
C’est principalement Jan A. Rozendaal qui, entre 1988 et 1991, s’est chargé des recherches, du recueil des données et des visites sur le terrain nécessaires à la préparation de l’ouvrage. Le manuscrit a ensuite été examiné par plusieurs spécialistes de la lutte antivectorielle, qui ont proposé un certain nombre de changements. Lors de la rédaction du manuscrit définitif, Jan Rozendaal a ajouté des données relatives aux dernières acquisitions en matière de lutte antivectorielle, afin que le texte soit le plus à jour possible.
Cet ouvrage arrive vraiment à point nommé, car il semble désormais que la lutte antivectorielle va consister beaucoup moins en vastes programmes organisés par les pouvoirs publics qu’en initiatives locales impliquant une participation accrue de la communauté. Par ailleurs, il est désormais bien clair que nombre de méthodes traditionnelles uilisées pour prévenir ou combattre les maladies transmises par des vecteurs et autres maladies infectieuses sont mal appliquées ou ont perdu leur efficacité. Par suite du développement économique, de l’évolution démographique et de la modification de l’environnement ou encore de l’augmentation des migrations humaines, des maladies réapparaissent dans de nouveaux contextes ou sous des formes plus virulentes. Nombreux sont maintenant les agents pathogènes qui résistent aux médicaments courants et leurs vecteurs ont également acquis une résistance aux insecticides. Les méthodes décrites dans cet ouvrage, et tout spécialement celles qui consistent à modifier de façon permanente les habitations et d’autres éléments du cadre de vie, peuvent contribuer à la lutte contre ces maladies qui font obstacle au progrès économique et au bien-être de la population dans de nombreuses régions du monde.
Dr K. Behbehani
Directeur de la Division de la Lutte contre les Maladies tropicales
Préface
Les maladies transmises par les arthropodes et les gastéropodes d’eau douce sont parmi les principales causes de morbidité et de mortalité dans de nombreux pays tropicaux et subtropicaux et même, quoique dans une moindre mesure, dans les zones tempérées. En plus du tribut qu’elles prélèvent sous la forme de décès prématurés et d’invalidités, ces maladies — paludisme, filariose, leishmaniose, schistosomiase, dengue, trypanosomiase etc. — constituent un obstacle important au développement économique par suite de la perte d’innombrables heures de travail, du coût élevé du traitement et des dépenses occasionnées par la lutte contre les vecteurs.
Outre qu’elles peuvent être préjudiciables à l’environnement, les campagnes de lutte antivectorielle à grande échelle sont souvent irréalisables pour des raisons financières ou simplement pratiques. C’est pour cette raison qu’on en est venu à envisager des méthodes que les particuliers et les communautés puissent eux-mêmes mettre en œuvre pour se prémunir contre les maladies transmises par des vecteurs. Il n’existe malheureusement que très peu de documentation susceptible d’être utilisée avec profit par les non spécialistes. Le présent ouvrage s’efforce de combler cette lacune en proposant des méthodes de protection individuelle utilisables par les particuliers et les collectivités, méthodes qui ne demandent qu’un minimum d’organisation et de formation de la part des services de santé locaux. En général, il s’agit de techniques simples et peu coûteuses, ne nécessitant qu’un niveau minimum et qui sont sans danger pour l’usager et l’environnement.
Ce manuel donne des renseignements pratiques sur la totalité des principaux vecteurs de maladies et autres genres de vermine, même si pour une communauté donnée, seuls certains d’entre eux pourront entrer en ligne de compte. Il convient donc d’adapter les indications du manuel à la situation locale et aux groupes de population en cause, voyageurs par exemple. L’Organisation mondiale de la Santé accueillera avec plaisir les remarques des lecteurs, surtout en ce qui concerne l’utilisation du manuel sur le terrain. Toutes les observations ou propositions d’amélioration doivent être adressées à la Division de la Lutte contre les Maladies tropicales, Organisation mondiale de la Santé, 1211 Genève 27, Suisse.
Remerciements
La rédaction du présent manuel n’a été possible que grâce à la contribution et aux efforts d’un certain nombre de personnes.
Dr J.A. Rozendaal, Cadre associé auprès de l’ancienne Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle (OMS), a effectué l’essentiel du travail:
recherche, collecte des données et visites sur le terrain.
Dr R. Slooff, Directeur de l’ancienne Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle (OMS), et le Dr C.F. Curtis, du Department of Entomology, London School of Hygiene and Tropical Medicine, ont revu le manuel et fait un certain nombre d’observations sur son contenu et sa structure.
L’OMS exprime sa reconnaissance aux spécialistes dont les noms suivent pour leur précieuse contribution aux différents chapitres.
Chapitre 1
Dr C.F. Curtis, London School of Hygiene and Tropical Medicine, Londres, Angleterre
Dr C.E. Schreck, United States Department of Agriculture, Gainesville, FL, Etats-Unis d’Amérique
Dr V.P. Sharma, Malaria Research Centre, Delhi, Inde
Professeur Yap Han Heng, Malaysia Sains University, Penang, Malaisie Chapitre 2
M. J. Lancien, Institut français pour la recherche et le développement en coopération (ORSTOM), Entebbe, Ouganda
Dr C. Laveissière, Institut Pierre Richet, Organisation pour la coopération contre les grandes endémies (OCCGE), Bouaké, Côte d’Ivoire
Chapitre 3
Dr R. Bricèno-León, Université centrale du Venezuela, Caracas, Venezuela Dr A.M. Oliveira Filho, Université fédérale de Rio de Janeiro, Rio de Janeiro,
Brésil
Dr I. Paulone, Institut national pour le diagnostic et l’étude de la maladie de Chagas, Institut Dr Mario Fatala Chaben (INDIECH), Buenos Aires, Argentine
Dr E. Segura, INDIECH, Buenos Aires, Argentine Chapitre 5
Dr D.G. Cochran, Department of Entomology, Virginia Polytechnic Institute and State University, Blacksburg, VA, Etats-Unis d’Amérique
Chapitre 6
M. J. Keiding, Laboratoire danois d’étude de la vermine, Lyngby, Danemark Chapter 8
Dr R.K. Clumpp, ancien membre de la Division of Vector-borne Diseases, Ministère de la Santé, Nairobi, Kenya
Dr R. Slootweg, Centre d’études écologiques, Université d’Etat de Leyde, Leyde, Pays-Bas
Les membres suivants du personnel de l’OMS ont également contribué à la rédaction des divers chapitres: M. R. Bos, Division du Soutien opérationnel à l’Hygiène du Milieu; Dr A.W.A. Brown, ancienne Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle; M. P.D. Cattand, ancienne Division de la Lutte contre les Maladies tropicales; Dr N.G. Gratz, ancienne Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle; Dr A.B. Knudsen, ancien membre de la Division de la Lutte contre les Maladies tropicales; Dr K.E. Mott, Division de la Lutte contre les Maladies tropicales; Dr P.J.A. Ranque, Division de la Lutte contre les Maladies tropicales; Dr C. Schofield, ancien fonctionnaire
au Programme spécial de recherche et de formation concernant les maladies tropicales; Dr A.R. Seim, Division de la Lutte contre les Maladies tropicales;
M. G. Shidrawi, ancien membre de la Division de la Lutte contre les Maladies tropicales.
L’OMS remercie également les personnes suivantes de leur appui et précieux conseils: Dr P. Carnevale, Institut Pierre Richet, OCCGE, Bouaké, Côte d’Ivoire;
M. R. Carroll, Building Research Establishment, Watford, Angleterre; Dr M.
Coosemans, Institut de médecine tropicale, Anvers, Belgique; M. M. Dubbelman, Siamdutch Mosquito Netting Co., Bangkok, Thaïlande; Dr A. Fenwick, Schistosomiasis Research Project, Ministère de la Santé, United States Agency for International Development, le Caire, Egypte; Dr J. Goose, Cambridge Animal and Public Health Ltd, Hauxton, Cambridge, Angleterre; Dr G. Hesse, Bayer AG, Leverkusen, Allemagne; Dr T.W. Hofman, Cyanamid International, Louvain-la- Neuve, Belgique; M. J.F. Invest, Roussel Uclaf, Berkhamsted, Angleterre;
Professeur J.J. Laarman, Université d’Amsterdam, Amsterdam, Pays-Bas; M. S.
Matsuo, Sumitomo Chemical Co., Osaka, Japon; M. G.A. Matthews, Interna- tional Pesticide Application Research Centre, Sunninghill, Berkshire, Angleterre;
Professeur D.H. Molyneux, Liverpool School of Tropical Medicine, Université de Liverpool, Liverpool, Angleterre; Professeur M.S. Mulla, Université de Californie, Berkeley, CA, Etats-Unis d’Amérique; Dr R. Sonneck, Bayer AG, Leverkusen, Allemagne; Dr R. Sturrock, Department of Medical Helminthology, London School of Hygiene and Tropical Medicine, Londres, Angleterre; M. Teoh Kim Teik, Fumakila, Malaisie; Professeur H.J. Van Der Kaay, ancien professeur à l’Université d’Etat de Leyde, Leyde, Pays-Bas; Professeur G. Webbe, ancien professeur au Department of Medical Helminthology, London School of Hygiene and Tropical Medicine, Londres, Angleterre; Dr G.B. White, Zeneca Public Health, Fernhurst, Haslemere, Angleterre.
Les membres suivants (en poste ou retraités) du personnel de l’OMS ont également fourni conseils et suggestions: Dr J. Akiyama, Dr D. Barakamfitiye, Dr P.F. Beales, Dr P. de Raadt, Dr C.W. Hays, Dr P.R.J. Herath, Dr R.L.
Kouznetsov, M. F.A.S. Kuzoe, Dr R. Le Berre, Dr S. Litsios, Dr A. Moncayo, Dr J. Najera Morrondo, Dr M. Nathan, Dr R. Plestina, M. G. Quélennec, Dr H.R. Rathor, Dr C. Ravaonjanahary, Dr A.E.C. Rietveld, Dr L. Self, Dr J. Storey, Dr J. Verhoeff and Dr M.H. Wahdan.
Sauf indication contraire, les illustrations du texte et de la couverture sont dues à Lois Robertson, Amsterdam, Pays-Bas.
Une grande reconnaissance est due au Ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas pour son appui financier à cet ouvrage.