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DOSSIER DE RÉVISIONS : LIRE ET ÉCOUTER

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Academic year: 2022

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DOSSIER DE RÉVISIONS : LIRE ET ÉCOUTER

Savoir Lire n°1

Lis attentivement le texte ci-texte ci-dessous puis réponds aux questions qui le suivent.

Réponds par des phrases complètes aux questions suivies d’un*.

Au temps où le monde était encore jeune et que toutes les choses étaient différentes, la terre ne connaissait pas la nuit. Le soleil brillait constamment dans le ciel et bêtes et gens ne pouvaient pas dormir. Si, par hasard, ils fermaient l’œil, tout de suite l’éclat et la chaleur du soleil les réveillaient. Seuls les serpents se trouvaient bien et étaient toujours frais et dispos.

Pour la bonne raison que c’étaient eux qui détenaient la nuit et les ténèbres.

5

Mais un jour, les Indiens apprirent que les serpents recelaient la nuit et les ténèbres. Ils envoyèrent alors leur plus grand chef au chef suprême des serpents pour le prier de leur donner au moins un petit peu de la nuit et des ténèbres.

Le grand chef des Indiens s’enfonça donc loin au cœur de la forêt, là où le grand chef des serpents avait sa résidence. Le grand chef des serpents l’accueillit fort peu civilement : 10

« Qui ose troubler ma quiétude ? »

« Je suis le chef de tous les Indiens, répondit le visiteur, et je viens te demander un peu de nuit et de ténèbres. En échange, je t’offre notre meilleur arc et des flèches. »

Mais le chef des serpents n’avait que faire d’un arc et des flèches :

« Comment m’en servirais-je, je n’ai pas de mains ! Donne-moi autre chose ! » 15

Le grand chef des Indiens s’en retourna donc bredouille. Il convoqua le Grand Conseil et raconta ce qui était arrivé. Ils discutèrent longtemps et décidèrent d’offrir au grand chef des serpents une crécelle. Un grand chef avait toujours besoin d’une crécelle pour présider aux danses rituelles.

Donc, le chef des Indiens s’enfonça pour la seconde fois au cœur de la forêt. Le chef 20

des serpents attendait sa visite. Quand il vit la crécelle, il hocha la tête et dit :

« C’est une bien belle crécelle, mais qu’en pourrais-je faire, moi qui n’ai pas de mains ? »

« Si tu veux, proposa le chef des Indiens, je peux te l’attacher à la queue. »

Il la lui attacha effectivement. Le grand chef des serpents agita sa queue et la crécelle grinça, quoiqu’assez faiblement. Le grand serpent fut assez content : « Ce n’est pas exactement ce que 25

j’aurais souhaité, mais je puis quand même te donner un peu de nuit et de ténèbres. » Et il fit apporter au chef indien un petit sac de cuir.

« Merci, grand chef, dit celui-ci, pour ce quelque peu de nuit et de ténèbres. Mais dis-moi ce que tu voudrais pour nous donner la nuit tout entière et toutes les ténèbres. »

« La nuit entière et toutes les ténèbres, cela vaut un grand prix, reprit le grand serpent. Une 30

crécelle n’y suffit pas. Il faudrait m’apporter une grande cruche de ce poison dont vous enduisez vos flèches. »

Le grand chef indien ne voyait pas pourquoi les serpents avaient besoin de ce poison, mais il ne posa pas de question. Il emporta son petit sac et l’ouvrit dès qu’il fut arrivé au village.

La nuit et les ténèbres se répandirent sur le monde et tous les Indiens goûtèrent un délicieux 35

repos. Mais il fut de courte durée. Le sac ne contenait que très peu de nuit et de ténèbres et, bientôt, la lumière du soleil vint les réveiller. Et tout recommença, le jour était long et la nuit bien courte.

Dès que bêtes et gens avaient goûté un court instant de sommeil, le soleil ramenait un nouveau jour. Cela ne faisait pas le compte des Indiens qui convoquèrent le Grand Conseil et 40

y décidèrent de recueillir le poison demandé par les serpents. Ce fut une longue tâche car ils

(2)

ne recueillaient le poison que goutte à goutte, mais ils parvinrent enfin à en emplir une grande cruche. Et le grand chef des Indiens s’enfonça pour la troisième fois au cœur de la forêt. Le grand serpent attendait sa visite et il dit :

« Je savais bien que tu reviendrais. Je t’ai fait préparer dans ce sac une longue nuit et les 45

ténèbres. Cela vous suffira sûrement. »

Le grand chef des Indiens remit la cruche de poison au grand serpent, prit le sac et dit :

« Merci, grand serpent. Mais je voudrais savoir pourquoi tu as besoin de ce poison. »

« Parce que, répondit le grand serpent, la plupart des miens sont petits et faibles. Tout le monde les persécute. Quand nous aurons du poison, nous pourrons nous défendre. Va, 50

maintenant, mais n’ouvre pas ce sac avant d’être arrivé dans ton village. Si tu le faisais trop tôt, les ténèbres envahiraient le monde avant que j’aie pu répartir convenablement le poison entre tous les serpents. Et il n’en résulterait rien de bon, ni pour les tiens, ni pour les miens ! » Le grand chef indien promit de ne pas ouvrir son sac avant d’être arrivé chez lui et s’en fut, tout à fait satisfait, vers son village.

55

Mais sur sa route, il rencontra le perroquet qui se mit à crier à tous les échos :

« Le grand chef indien revient de chez les serpents, il rapporte dans son sac la longue nuit et les ténèbres ! » Aux cris du perroquet, toutes les bêtes de la forêt accoururent et supplièrent le grand chef d’ouvrir tout de suite son sac pour qu’en sortent la longue nuit et les ténèbres.

Le grand chef essaya de les raisonner : « Attendez un moment que j’aie rejoint mon village. Je 60

l’ai promis au grand serpent ! »

Mais les animaux ne voulurent pas l’écouter, ils ne voulaient pas attendre une minute de plus, ils lui arrachèrent son sac des mains et l’ouvrirent. Immédiatement le monde ne fut plus que nuit et ténèbres. C’était juste le moment que le grand serpent avait choisi pour distribuer le poison aux siens. Mais dans la nuit profonde, il ne voyait plus ce qu’il faisait, les 65

serpents se bousculèrent, renversèrent la cruche et le poison s’en échappa. Si bien que certains serpents s’emparèrent d’une grande quantité de poison, d’autres en eurent peu et d’autres encore n’en eurent pas du tout.

Désormais, il y eut donc des serpents venimeux et d’autres qui ne l’étaient pas. La famille du grand chef faisait partie des serpents venimeux, mais tout le monde pouvait s’en 70

garder car ils portaient tous une crécelle à la queue.

1. a) De quel type de texte s’agit-il ? Coche la bonne réponse.

 Descriptif

 Informatif

 Argumentatif

 Injonctif

 Poétique

 Narratif b) De quel genre de texte s’agit-il ? Sois précis(e) !*

………

2. Retrouve le titre de ce conte. Veille à la formulation !

………

3. a) Recopie, entre guillemets, la phrase qui correspond à l’élément modificateur.

(3)

4. A quelle étape du schéma narratif correspond chacun de ces épisodes du récit ? Écris le nom des étapes en entier !

a) Le chef des Indiens offre du poison au Grand Serpent.

………

b) Les serpents possèdent la nuit.

………

c) La cruche de poison se renverse.

………

d) Le chef des Indiens rencontre le perroquet.

………

e) Le chef des Indiens accroche une crécelle à la queue du Grand Serpent. ………

f) Certains serpents prennent beaucoup de poison, d’autres peu et d’autres pas du tout.

………

5. Cite 3 changements entre le début et la fin de l’histoire.*

………

………

………

6. Pourquoi le grand serpent refuse-t-il l’arc et les flèches offerts par l’Indien ?*

………

………

7. a) Pourquoi les serpents veulent-ils avoir du poison ?*

………

b) Pourquoi le chef des Indiens n’apporte-t-il pas tout de suite le poison aux serpents ?*

………

………

8. a) Une fois le poison en sa possession, quelle recommandation le grand serpent fait-il au chef des Indiens ?*

………

………

(4)

b) Cette recommandation a-t-elle été respectée ? Explique.*

………...

………...

………...

………...

………...

………...

………

9.Quel mot ou groupe de mots du texte les pronoms suivants remplacent-ils ? Les mots sont en gras et soulignés dans le texte.

a) Ils envoyèrent alors leur plus grand chef au chef suprême des serpents pour le prier de leur donner au moins un petit peu de la nuit et des ténèbres. (l. 6-8) ………

b) Il la lui attacha effectivement. (l. 24) ………

c) Cela ne faisait pas le compte des Indiens qui convoquèrent le Grand Conseil et y décidèrent de recueillir le poison demandé par les serpents. (l. 41) : ………

d) Le grand chef essaya de les raisonner […] (l. 60) : ………

10. Donne un synonyme des mots suivants.

Les mots sont en italique et soulignés dans le texte.

a) receler (ligne 6) : ………

b) sa résidence (ligne 10) : ………

11. a) A quel niveau de langue appartient la phrase ci-dessous ? Complète la réponse.

« Qui ose troubler ma quiétude ? » (ligne 11)

Cette phrase appartient au niveau de langue ……… . b) Que signifie cette phrase ? Complète la réponse.

Cette phrase signifie « Qui ose ………. ? »

(5)

Savoir Lire n°2

Consulte les documents en annexe et réponds aux questions ci-dessous.

Réponds par des phrases complètes aux questions suivies d’un *.

1. Dans l’Antiquité, pourquoi le serpent était-il considéré comme un dieu ?*

………

………

………

………

2. Précise si l’affirmation est vraie ou fausse. Corrige la phrase si elle est fausse.

a) Les opistoglyphes n’ont pas de crochets et ne sont pas dangereux pour l’homme. V - F

………

b) Les sérums anti-venins sont fabriqués à partir de plantes tropicales. V - F

………

c) Au Japon, on mange du serpent selon les phases de la lune. V - F

………

d) Les serpents constricteurs tuent leurs proies en les étouffant. V - F

………

e) Les serpents marins peuvent cracher leur venin à distance et aveugler leur adversaire. V - F

………

f) Les couleuvres sont utiles car elles mangent les rats et les souris. V - F

………

3. Les affirmations sont-elles vraies ou fausses ?

Entoure la bonne réponse et justifie-la en recopiant, entre guillemets, un extrait du texte.

a) Un serpent venimeux auquel on a retiré les crochets n’est plus dangereux. V - F

………

………

………

(6)

b) Les serpents ont un sens développé de la musique. V - F

………

………

………

c) Lorsqu’ils sont attaqués par un animal plus gros, les serpents élapidés se jettent sur leur adversaire et tentent de les étrangler. V - F

………

………

………

4. Quelle est la particularité des serpents dans la manière de manger leur proie ?*

………

………

5. Qu’est-ce que la « fossette faciale » dont les serpents à l’appareil venimeux le plus développé sont équipés ? Sois complet(e) !*

………

………

………

………

………

6. Complète la phrase suivante.

Les morsures de serpents empoissonnent le ……… ce qui provoque un arrêt du ….………… .

(7)

Savoir Lire n°3

Lis attentivement le texte ci-texte ci-dessous puis réponds aux questions qui le suivent.

Réponds par des phrases complètes aux questions suivies d’un*.

Les fées de Charles Perrault

Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l’aînée lui ressemblait si fort et d’humeur et de visage, que qui la voyait voyait sa mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu’on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et pour l’honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu’on eût su voir.

Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en 5

même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.

Il fallait entre autres choses que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l’eau à une grande demi-lieue du logis, et qu’elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu’elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à 10

boire. « Oui-da, ma bonne mère », dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l’eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu’elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : « Vous êtes si belle, si bonne, et si honnête, que je ne puis m’empêcher de vous faire un don (car c’était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme de village, pour voir jusqu’où irait l’honnêteté de cette jeune 15

fille). Je vous donne pour don, poursuivit la Fée, qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche une Fleur, ou une Pierre précieuse. » Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. « Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d’avoir tardé si longtemps » ; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants. « Que vois-je là ! dit sa mère tout 20

étonnée ; je crois qu’il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants ; d’où vient cela, ma fille ? » (ce fut là la première fois qu’elle l’appela sa fille). La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants. « Vraiment, dit la mère, il faut que j’y envoie ma fille ; tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d’avoir le même don ? Vous n’avez qu’à aller 25

puiser de l’eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. – Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine. – Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l’heure. »

Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus gros flacon d’argent qui fût dans le logis. Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu’elle vit sortir du bois une Dame 30

magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire : c’était la même Fée qui avait apparu à sa sœur, mais qui avait pris l’air et les habits d’une Princesse, pour voir jusqu’où irait la malhonnêteté de cette fille. « Est-ce que je suis venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire ? Justement j’ai apporté un flacon d’argent tout exprès pour donner à boire à Madame ! J’en suis d’avis, buvez à même si vous voulez. - Vous n’êtes guère honnête, 35

reprit la Fée, sans se mettre en colère ; hé bien ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud. » D’abord que sa mère l’aperçut, elle lui cria : « Hé bien, ma fille ! – Hé bien, ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères et deux crapauds. – Ô ciel ! s’écria la mère, que vois-je là ? C’est sa sœur qui en est cause, elle me le paiera » ; et aussitôt elle courut 40

pour la battre.

(8)

La pauvre enfant s’enfuit et alla se sauver dans la forêt prochaine. Le fils du Roi qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu’elle faisait là toute seule et ce qu’elle avait à pleurer. « Hélas ! Monsieur, c’est ma mère qui m’a chassée du logis. » Le fils du Roi en devint amoureux, et considérant qu’un tel don valait mieux que tout 45

ce qu’on pouvait donner en mariage à un autre, l’emmena au palais du Roi son père, où il l’épousa. Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d’un bois.

1. a) De quel genre de texte s’agit-il ? Sois précis(e) !*

……….

……….

b) Prouve ta réponse précédente par trois éléments différents du texte.

Formule ta réponse avec tes propres mots.*

………

………

………

2. « Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu’on ne pouvait vivre avec elles. » (lignes 2 et 3). De qui parle-t-on dans la phase ci-dessus ?*

………

3. a) Recopie entre guillemets l’élément modificateur.

………

………

………

b) Entoure, dans la phrase que tu as recopiée, deux indices qui t’ont permis d’identifier cet

élément modificateur.

(9)

4. Quel changement surprenant se produit dans le comportement de la mère vis-à-vis de la cadette quand elle constate son don ?

Réponds en recopiant entre guillemets une phrase du texte.

………

………

………

5. Qui est Fanchon ?*

………

6. Pourquoi la mère envoie-t-elle l’aînée à la fontaine ?*

………

7. Pourquoi la fée punit-elle l’aînée ? Coche la bonne réponse.

o Elle a désobéi à sa mère et ne s’est pas rendue immédiatement à la fontaine.

o Elle n’est pas polie.

o Elle a volé un flacon d’argent.

8. Pour la mère, qui est responsable du mauvais sort infligé à l’aînée ?*

………

………

9. Que se passe-t-il pendant que la cadette raconte son histoire au prince ? Cite deux éléments différents.*

- ………

- ………

………

10. Quelle morale pourrait résumer ce conte ? Coche-la.

o En étant honnête et serviable, on n’obtient rien de bon.

o L’argent ne fait pas le bonheur.

o La gentillesse est toujours récompensée, parfois plus vite qu’on ne l’imagine.

11. Précise à quelle étape du schéma narratif appartiennent les phrases suivantes.

La mère envoie l’aînée puiser de l’eau à la fontaine : ………..

L’aînée est chassée de chez elle par sa mère : ………..

Le fils du roi rencontre la cadette et lui demande ce qu’elle fait seule ds les bois : ………

Deux fois par jour, la cadette se rend à la fontaine pour puiser de l’eau : ……….

Des vipères et des crapauds sortent de la bouche de l’aînée : ………..

(10)

Savoir Lire n°4

Procure-toi le roman intitulé « Simple » de Marie-Aude Murail, paru à l’Ecole des Loisirs, et réponds au questionnaire ci-joint à l’aide de ton livre. Rédige une phrase complète quand la question est suivie d’un *.

1. Rédige correctement les références bibliographiques du livre.

………

………

2. Place les épisodes suivants par ordre chronologique, en les numérotant.

Simple s’enfuit de Malicroix. ………

Kléber voit l’annonce pour une colocation à la supérette. ………

Simple se déguise et se maquille dans une chambre de fille. ………

Kléber fête ses dix-huit ans. ………

Les deux frères s’installent chez leur grand-tante. ………

Simple oublie Monsieur Pinpin à la messe. ………

3. Dans quelle ville se déroule le récit ?

Réponds en recopiant un extrait du texte dont tu indiques la page.

………

………

………

4. Résume en une phrase le lien précis qui existe entre les personnages suivants.*

a) Simple et Pinpin : ………

………

b) Simple et Kléber : ………

………

c) Aria et Corentin : ………

………

d) Aria et Emmanuel : ………

………

5. Explique pourquoi Kléber et Simple ne vivent pas chez leurs parents.*

(11)

6. Lis l’extrait suivant.

Et tout se compliqua en fin d’après-midi quand le vieux voisin du dessous sonna à la porte. […]

- Vous m’avez encore bloqué le vide-ordures. Je vous ai déjà dit de ne rien jeter de volumineux.

Il entra, la canne pointée vers Enzo, laissant à penser qu’il n’en avait guère besoin. (pp. 54-55) Le comportement du voisin envers les colocataires changera au fil de l’histoire.

Relève un épisode dans les chapitres 4, 7 ou 13 qui montre que M. Villededieu n’est pas si méchant que cela. Tu le résumes en quelques phrases et tu notes la page.

………

………

………

………

7. a) Avec quel membre de la famille de Zhara Simple s’entend-il le mieux ?*

………

b) Quelle est la particularité de cette personne ?*

………

8. a) D’où vient le surnom de Madame « Sossio » ?*

………

………

b) Quel est son véritable nom ?*

………

c) Par quels arguments persuade-t-elle Kléber de placer à nouveau Simple à Malicroix ? * - ………

………

- ………

………

9. a) Pendant le récit, le narrateur est-il un personnage de l’histoire ? Entoure ta réponse.

OUI- NON

b) Comment peut-on dès lors appeler ce type de narrateur ?*

………

10. a) À qui appartient le cahier à petits carreaux qu’Aria trouve dans sa chambre ?*

………

b) Comment expliquer la présence de ce cahier dans la chambre d’Aria ?*

………

………

………

(12)

c) Que contient ce cahier ?*

………

………

d) Quelle phrase écrite dans ce carnet hante les pensées d’Aria ?

………

………

11. Complète le tableau ci-dessous.

Qui est l’émetteur ? Qui est le récepteur ?

« Je veux que la princesse embrasse le prince. » p.92

« Mais un cirque, je te dis ! Il criait, il tapait, il a essayé de s’enfuir. Ils ont dû le tenir à plusieurs. » p.160

« T’es une sorcière ! Je vais te tuer moi ! » p.91

12. Explique pourquoi Simple casse les G.S.M. et les montres.*

………

………

13. Vrai ou faux ? Entoure la bonne réponse et corrige la phrase si elle est fausse.

a) Simple a vingt-deux ans d’âge civil et trois ans d’âge mental. VRAI - FAUX

………

b) Kléber est l’aîné des frères Maluri. VRAI - FAUX

………

c) Simple vole et collectionne les GSM. VRAI - FAUX

………

d) Le père de Zhara s'appelle papa Larbi. VRAI - FAUX

………

14. a) Aux pages 200 à 202, qui essaye de tuer Monsieur Pinpin ?*

………

(13)

Savoir Écouter

Lis les questions puis cache-les.

Écoute une fois la piste audio en suivant ce lien : https://www.conte-moi.net/contes/araignee- et-serpent Tu peux prendre des notes au brouillon pendant l’écoute mais ne fais pas de pause.

Réponds aux questions à l’aide de ta feuille de brouillon.

Rédige une phrase complète quand la question est suivie d’un *.

1. Quel est le genre de ce texte ? Sois précis(e).*

……….

2. Quel est le problème des animaux au début du récit ? Sois précis(e).*

……….

……….

……….

……….

3. Pourquoi Serpent accepte-t-il d’attendre le lendemain pour mordre Anansi ?*

………

4. Pourquoi Anansi propose-t-elle à Maïpouri de dormir chez elle, près de l’entrée ?*

………

………

………

5. Qu’est-il arrivé au tapir après sa mort ?*

………

………

6. Anansi dit à Tatou : « J’ai peine à te voir. » Est-ce la vérité ? Explique.*

………

………

………

7. Par quelle ruse Anansi échappe-t-elle à Serpent ?*

………

………

………

(14)

8. Pourquoi les animaux de la forêt n’en veulent-ils pas à Anansi de ses méfaits?*

………

………

Acquérir du vocabulaire

Associe chaque expression de la colonne de gauche à sa signification dans la colonne de droite.

A B C D E F G H I J

Expressions Significations

A. Avoir une araignée au plafond

1. Situation embrouillée où il vaut mieux se garder de participer et se tenir loin car rien de bon ne peut en sortir

B. Avaler des couleuvres 2. Être fainéant

C. Cracher son venin 3. Être malhonnête, mentir

D. Un nœud de vipères 4. Subir des humiliations sans protester

E. Une langue de serpent

5. Si l’on voit travailler une araignée le matin, cela sous-entend qu’aucune rosée ne la gêne donc la pluie va venir : tristesse. Si l’on voit une araignée se balader tranquillement le soir, c’est que le beau temps devrait persister : espoir.

F. Avoir la langue fourchue 6. Dire du mal de quelqu’un

G. Une langue de vipère 7. Être fou

H. Araignée du matin, chagrin ; araignée du

soir, espoir 8. Un menteur, une menteuse

I. Répandre du venin contre quelqu’un 9. Dire des méchancetés sur un excès de colère J. Être paresseux comme une couleuvre 10. Personne qui se plait à dire du mal des

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