TH. VAUTIER. — Sur un bec type à acétylène (1896). — Sur l'enrichissement du gaz de l'éclairage par l'acétylène (1896-1897). - Etude expérimentale du bec A. Lecomte (1898). — Etude photométrique du bec Auer n° 3 (1898).- (Compte rendu de la Société techni

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Submitted on 1 Jan 1901

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TH. VAUTIER. - Sur un bec type à acétylène (1896). - Sur l’enrichissement du gaz de l’éclairage par l’acétylène

(1896-1897). - Etude expérimentale du bec A. Lecomte (1898). - Etude photométrique du bec Auer n° 3 (1898).- (Compte rendu de la Société technique de

l’Industrie du gaz en France)

G. Roy

To cite this version:

G. Roy. TH. VAUTIER. - Sur un bec type à acétylène (1896). - Sur l’enrichissement du gaz de l’éclairage par l’acétylène (1896-1897). - Etude expérimentale du bec A. Lecomte (1898). - Etude photométrique du bec Auer n° 3 (1898).- (Compte rendu de la Société technique de l’Industrie du gaz en France). J. Phys. Theor. Appl., 1901, 10 (1), pp.408-409. �10.1051/jphystap:0190100100040801�.

�jpa-00240526�

408

normaux à ces

spectres-éclairs ^{», a} imaginé ^une disposition plus maniable, qui ^{lui a} donné, pour le potassium ^{et le thallium, des}

résultats analogues ^{il a} également entrepris des déterminations exactes de la dispersion des vapeurs métalliques ^au moyen d’ion

prisme de 45, muni de fenêtres en mica, rempli d hydrogène ^dans lequel ^on vaporise ^le sodium ; ^les conditions bien déterminées de

l’expérience permettent ^une exactitude très supérieure ^à celle que donnent les flammes prismatiques. Les résultats indiquent, ^{dans le} voisinage des bandes d’absorption, ^uoe courbure du spectre ^très supérieure ^{à celle} qu’indique ^{M. Julius} (Voir ^Revue générale ^des Scie;2ce.s, ^t. II).

TH. VAUTIER. 2014 Sur

bec type ^à acétylène (1896).

^Sur l’enrichissement du _{gaz de} l’éclairage par l’acétylène (1896-1897).

^Etude expérimentale ^du

bec A. Lecomte (1898).

Etude photométrique du bec Auer n° 3 (1898).

(Compte rendu de la Société technique de l’Industrie du gaz

France).

M. Th. Vautier a étudie le bec à acétylène, ^au point ^{de vue de son} emploi ^{comme étalon} secondaire ; ^{mais il} einployait ^{le bec} papillon, qui ^est aujourd’hui remplacé ayantageuselllent par le bec 1VlanclieÇ- ter modifié. L’étude spectrophotométrlque ^{a montré} que le rapport

de l’intensité de la flamme de l’acétylène ^à l’intensité de la lampe

Carcel dans les différentes régions ^du spectre, ^un peu inférieur ^a l’unité dans le rouge, augmente ^à partir ^{du vert et atteint 1,5 dans}

le bleu.

L’étude de l’enrichissement du gaz d’éclairage par l’addition de

l’acétylène ^montre que l’opération ^{serait onéreuse. C’est vers 4} 0/0 d’acétylène que l’on obtient ^le meilleur rendement.

Le bec Auer n° 3 à manchon de 12 centimètres se montre excel- 1 ent pour les pressions élevées ^{d’e 40 a 60} millimètres d’eau. Le bec

Lecomte, ^au contraire, ^aurait l’avantage pour les ^hasses pressions,

mais ne gagne rien ^à la comparaison ^{avec le bec Auer aux} pressions

élevées.

Pour rendre comparables les essais des becs à flamme éclairante,

on ramène toujours l’intensité 1 obtenue ^{avec un} gaz ^au titre T (c’est-

à-dire exigeant ^T litres de gaz pour donner 1 carcel-heure) ^{à l’inten-}

sité i qu’aurait ^{ce bec avec} du gaz ^au titre t

105 litres ,par ^la

simple proportion ^{i -} T ~ t _t

Cette formule est-elle applicable ^aux

becs à incandescence oiz le pouvoir calorifique intervient surtout?

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0190100100040801

409 On peut écrire, d’après ^ftI. ¡Bguitton (~)

^{Ct et CT, étant les} pou- voirs calorifiques des gaz ^au titre t et ’1’

et b des constantes dé-

pendant ^{du bec :}

d’où

dans le cas d’une flamme éclairante, ^{on a} également ^d’où

formule parfaitement vérifiée par l’expérience. ^{Dans le}

cas du bec Auer, M. Vautier a calculé par la ^formule -,-=== 2013 ^{1 t les rap-}

ports des intensités du bec avec des gaz ^au titre 1 et T et, comparant

ces rapports ^{à ceux obtenus} expérimentalement par l~’I. Aguitton, ^il

trouve qu’il ^{y a une} différence de 12/100 pour le gaz ^{au titre} ~~U, ^ra-

rement employé, ^{et seulement} 2/100 pour ^le gaz ^{au titre} 113, et conclu que; ^{dans la} pratique, ^{le calcul} ainsi fait est suffisamment approché.

G. ROY.

V. SCHAFFERS. 2014 Les plaques ^sensibles

champ électrostatique (Annales ^de la Société scientifique ^de Bruxelles, ^t. XXIV, ^2e partie; 1900).

L’auteur rappelle ^une expérience ^très curieuse de 11~.. Stéphane ^Le-

duc (2).

I. On placeune plaque photographique ^{ordinaire au} gélatinobromure d’argent ^{sur une lame} métallique; puis, ^{sur la face} sensibilisée on

appuie ^les pointes de deux fines aiguilles ^bien polies, disposées per-

pendiculairement ^{à la} plaque, ^{et distantes de 5 à 10} centimètres. On les met en rapport ^{avec les} pôles d’une machine électrostatique. ^Au pôle négatif, ^{on voit} bientôt le globule lumineux terminal se détacher de la pointe, qui ^demeure obscure, ^{et se mettre en marche vers le} pôle positif ^{en suivant} la couche sensible. Le chemin décrit est irré-

gulier, ^sinueux, coupé par des arrêts plus ^{ou moins} prolongés. ^Sou-

vent le globule ^{se divise en} plnsieurs ^autres. Quand il atteint le pôle

(1) Coinpte rendu de la Société technique de l’Industrie du gaz

Franche, 20e Congrès, ^1893.

(2) Éclciii,cige éleetl’ique, ⁹ septembre 1899 et 28 octobre 1899.