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Conseil de quartier Jean Moulin Beaumonts Réunion plénière du 4 juin 2014

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Conseil de quartier Jean Moulin — Beaumonts Réunion plénière du 4 juin 2014

La séance est ouverte à 20 heures 35 en présence d’une trentaine d’habitants ainsi que de Tania ASSOULINE, adjointe à la démocratie locale et à la vie des quartiers ; Belaïde BEDHREDDINE, élu du quartier, adjoint au Maire en charge de l’éducation, de l’enfance et de la petite enfance ; Gaylord LE CHEQUER, adjoint au Maire en charge de l’aménagement, de l’urbanisme, des espaces publics et des grands projets ; et Catherine PILON, adjointe au Maire en charge des transports, des mobilités, de la circulation et du stationnement.

Nabil RABHI, élu du quartier, adjoint au Maire délégué aux commerces, à l’artisanat et au tourisme, ainsi que Jean-Charles Nègre, conseiller général, sont excusés.

Comme le rappelle l’animateur de la séance, le Conseil de quartier avait été à l’origine d’une demande de commission extra-municipale pour traiter des deux voies de circulation sur l’avenue du tramway. Un courrier a été envoyé Patrice BESSAC pour l’alerter du problème que représente la suppression de ces deux voies. En réponse, le Maire a adressé au Conseil de quartier un courrier signalant qu’il avait informé Stéphane TROUSSEL, Président du Conseil général de Seine-Saint-Denis, du souhait de la Municipalité de Montreuil de voir rétablies ces voies latérales de circulation. Le Conseil de quartier se félicite de cette réponse.

1. Reliquat des travaux et de l’aménagement de l’avenue Jean Moulin dans sa partie haute

L’animateur de la séance souligne que l’aménagement de l’avenue Jean Moulin s’est fait sans concertation. Les quatre voies ont certes été transformées en deux voies, conformément à la demande des habitants, mais elles aboutissent directement au pied des tours RIVP, ce qui rend cette avenue extrêmement dangereuse. La circulation n’a aucunement été déportée du côté du cimetière.

L'argument mis en avant par les services du CG 93 et de la Ville est le suivant : le positionnement de voies de circulation à cet endroit n’aurait pas laissé au bus 122 un espace suffisant pour tourner en sécurité. Il a été rappelé que les habitants des tours RIVP et le Conseil de quartier n'ont pas à l'époque jugé cette réponse ni convaincante, ni pertinente ; et c'est toujours le cas !

L’idéal aurait été de prévoir une dérivation avant la fin de la descente. Mais devant le coût très élevé des travaux, les habitants de la RIVP et le Conseil de quartier ont demandé que deux feux soient installés afin de casser la circulation, et qu’un des feux soit reculé.

Des représentants des habitants ont participé à une réunion avec les services de la voirie de la Ville ainsi que du Conseil général pour traiter de ce problème. Depuis, ils n’ont plus de nouvelle !

Par ailleurs et dans l'attente de ces travaux il avait été demandé que la traversée de l'avenue Jean Moulin par les nombreux enfants de la RIVP qui se rendent aux écoles primaires Diderot 1 et 2 soit sécurisée par la présence d'un personnel qualifié. La Ville a alors accepté de faire appel à l'association d'insertion LADOMIFA qui a mis en place pendant un an un agent aidant les enfants à traverser le matin et l’après-midi. Ce service a pris fin en Juin 2014 alors que la dangerosité pour les enfants et les parents reste la même puisqu'aucun aménagement n'a été réalisé !

Une participante précise que les demandes d’aménagement de l’avenue Jean Moulin datent de 2008. Les municipalités successives ont été relancées régulièrement à ce sujet. Il a été promis que les habitants seraient associés aux concertations, mais ils ont découvert le lancement de travaux sans en être prévenus. Les habitants réitèrent leur demande d’être partie prenante de la suite des aménagements de la portion de l’avenue Jean Moulin comprise entre l'entrée de la résidence RIVP

jusqu'à l'intersection avec la rue Gaston Lauriau.

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Une habitante souhaite savoir si des travaux sont toujours prévus rue Molière. Elle signale que malgré la zone 30 dans le haut de la rue Molière, les voitures y roulent extrêmement vite. Certaines sont en outre garées sur les trottoirs des deux côtés de la rue, devant les entrées des maisons. Enfin, cette rue est régulièrement empruntée en sens interdit, entre les rues Francisco Ferrer et Rapatel.

Gaylord LE CHEQUER en prend note. Il reconnaît que le dossier d’aménagement de l’avenue Jean Moulin, ouvert de longue date, devra être résolu rapidement. La mise en stationnement payant du bas de l’avenue Jean Moulin avait été envisagée provisoirement il y a quelques années pour résoudre un problème de parking à la résidence Les Ormes, mais elle s’est prolongée. Le secteur constitué par la rue des Charmes, la rue des Ormes, la rue Molière et une partie de la rue Gaston Lauriau est utilisé essentiellement comme lieu de stationnement par des personnes venant travailler à proximité.

Au sujet du déplacement des deux feux demandé par les habitants, Gaylord LE CHEQUER propose de convenir d’une rencontre afin d’examiner sur les lieux ce qu’il serait envisageable de réaliser. Catherine PILON suggère que cette rencontre se fasse avec des représentants du Conseil Général, de la Municipalité et du Conseil de quartier.

Pour ce qui est de l’aménagement de l’avenue Jean Moulin, il semble que la réduction de la part des voitures sur la descente de l’avenue ait entraîné une certaine régulation de la vitesse dans ce tronçon. Le problème est que les voitures reprennent de la vitesse au passage du collège, jusqu’à l’angle Molière/Jean Moulin/Rapatel. Il importera de travailler sur cette portion, pour casser la montée en vitesse des véhicules.

Quant au devenir de la rue Molière, un arpentage réalisé en novembre 2013 avait donné lieu à des hypothèses d’aménagement, en particulier la mise en voie douce. L’inscription des crédits permettant d’engager les marchés et travaux est toujours en suspens. La concertation sera poursuivie sur ce dossier. Il conviendra de surcroît de résoudre la question du stationnement qui s’opère sur ce tronçon.

2. Aménagement du restant de l’avenue Jean Moulin, de la résidence RIVP à la rue Rapatel

Il semble que l’avenue Jean Moulin, voie départementale et municipale, fasse l’objet de projets. Les habitants espèrent qu’ils ne seront pas placés devant le fait accompli. Ils souhaitent en particulier que soit étudiée la possibilité que cette avenue relie les deux parties du quartier, plutôt qu’elle ne les sépare comme aujourd’hui.

3. Circulation dans les quartiers de contournement de la zone piétonnière de cœur de Ville — rue Rapatel

Les habitants déplorent que le quartier Jean Moulin-Beaumonts, et notamment la voie ave.

Jean Moulin/rue Rapatel, baptisée voie de contournement lors de la décision de mettre le « cœur de ville » en zone piétonnière subisse depuis début 2008 un afflux de circulation. A l’occasion d’une réunion les habitants (quasiment tous représentés) de la rue Rapatel et du bas de l’avenue Jean Moulin s'étaient accordés sur la pose de ralentisseurs. Des propositions avaient été transmises en ce sens à Fabienne Vansteenkiste. Seule l’inscription de mentions « zone 30 » a été réalisée à la fin de l'année 2013. Elle avait donné l'assurance que le lancement des autres aménagements (surélévation de la chaussée à l’angle Lauriau/Rapatel et à l’angle Molière/Rapatel, installation d’un ralentisseur avant le virage) avait été inscrit au budget 2014 voté en décembre 2013. De fait, la rue Rapatel reste extrêmement dangereuse. Des véhicules y circulent en double file et grillent les feux. Des accidents graves s’y sont même produits. De façon plus générale, les habitants avaient demandé une

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Catherine PILON reconnaît qu’une solution devra être trouvée pour ralentir la circulation rue Rapatel. Cette question renvoie au plan de circulation général. Celui-ci n’a pas été réalisé durant la mandature précédente car, le centre-ville n’ayant pas encore été livré et les tours étant vides, il n’était pas possible d’anticiper le comportement des futurs habitants. En outre, les travaux du tramway et de la ligne 11 doivent débuter en 2015. Des travaux de démolition de l’autoroute, en vue du tramway, nécessiteront de mettre en place des plans de circulation provisoires. Il en sera de même dans le quartier de La Boissière dans la perspective des travaux de la ligne 11. Dans ce contexte, le plan de circulation à l’échelle de la ville sera provisoirement remanié, et il n’est pas certain que tous les problèmes soulevés par les habitants puissent être traités dans l’immédiat. Cela étant, il importera de faire un effort de fléchage et de jalonnement pour annoncer les voies alternatives. En particulier, la réouverture en double sens de la rue Franklin n’est pas encore très connue des Montreuillois.

Les habitants réitèrent leur demande de ralentisseurs. Par ailleurs, ils demandent que l’interdiction de la rue Rapatel aux poids lourds supérieurs à 15 tonnes soit rappelée, et de fait respectée.

Une habitante ajoute que, peut-être du fait du passage des poids lourds, des fissures se produisent dans les pavillons de la rue Rapatel. Pire, le bâtiment du 5 rue Rapatel est barré par une longue crevasse et menace de s’écrouler. Jérôme PILON, responsable de l’Antenne de quartier, indique que les services municipaux sont tenus informés de cette situation. La Ville effectue des contrôles réguliers sur le risque que peut présenter ce bâtiment. Gaylord LE CHEQUER s’engage à étudier cette situation dans les plus brefs délais.

Un habitant signale que la traversée de l’avenue Gabriel Péri depuis la rue Rapatel est extrêmement dangereuse. De nombreux accidents sont déjà survenus. Le passage piétons étant dans un angle, et n’est pas visible des voitures. Il faudrait au moins le reculer.

Catherine PILON propose de mettre ce sujet à l’arpentage qui vient d’être décidé, auquel sera convié le Conseil Général.

Gaylord LE CHEQUER ajoute que ce carrefour situé en entrée de ville fait partie d’un périmètre d’étude mis en place dans le cadre du PLU. A ce stade, compte tenu de l’arrivée du tramway (qui conduira à réfléchir à l’entrée de ville côté Romainville), de l’aménagement du pôle proche de Mozinor et de la connexion avec la partie basse des Murs à Pêches, il semble préférable de stabiliser la situation à l’entrée de ville côté Fontenay, sans lancer d’opération majeure. Cela donnera le temps de réfléchir à un aménagement d’entrée de ville dans ce secteur.

Parallèlement, une révision du PLU sera engagée. Les services de la Ville font en effet le constat que Le PLU est trop permissif et a donné lieu à des débordements. Il sera remis à plat sereinement, dans le dialogue avec les services et en s’appuyant sur une expertise citoyenne (notamment de Béton de la colère).

Un habitant remarque que la rue Rapatel côté impair est extrêmement sale. Les cantonniers y passent très rarement. Catherine PILON explique que l’adjoint au Maire en charge de ces questions est en train de travailler à un plan de propreté pour la ville, avec Est Ensemble. La possibilité d’obtenir un budget supplémentaire sur ce sujet est à l’ordre du jour du Conseil municipal. Il est notamment question d’augmenter très considérablement les amendes pour les entreprises qui déposent leurs déchets sur la voirie.

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4. Autres questions

1. La place de la voiture en ville

Catherine PILON observe que de façon générale, les villes sont frappées par un accroissement de la pollution et une dégradation de la qualité de l’air. C’est pourquoi depuis une dizaine d’années, les grandes villes cherchent des solutions pour réduire la place de la voiture en ville. Cela implique de trouver des moyens de transport en commun alternatifs et de faire évoluer les comportements. Or, il s’avère que les habitants ne sont pas encore prêts à renoncer à la voiture, comme en témoigne à Montreuil la circulation dans les voies latérales. Il faudra du temps pour enclencher une dynamique contraire. Cela étant, la voiture occupe aujourd’hui trop de place. Des solutions doivent être trouvées rapidement. A cet égard, les zones 30 ont véritablement ralenti la circulation à Montreuil. Des comptages ont permis de constater que très peu de voitures dépassaient la vitesse maximale autorisée. Par ailleurs, le fait d’autoriser le stationnement des deux côtés des rues constitue une façon peu onéreuse de faire ralentir les voitures, car les conducteurs craignent de rayer leur carrosserie. Cette solution, précise Catherine PILON, concerne plutôt des voies étroites comme la rue Francisco Ferrer ou la rue Emile Zola, et non pas la rue Rapatel par exemple. Une autre solution, enfin, réside dans les radars pédagogiques qui alertent des dépassements de vitesse.

Reconnaissant que le rétrécissement des voies peut être une solution intéressante, un habitant regrette toutefois qu’il ne soit pas accompagné par l’aménagement nécessaire de la route : marquage de la ligne centrale au sol, entretien des trottoirs pour permettre le passage des poussettes, etc.

2. La gratuité de stationnement

Selon plusieurs habitants, l’afflux de voitures dans le quartier est causé par la gratuité du stationnement, tandis que les places de stationnement sont payantes aux alentours. On peut d’ailleurs se demander pourquoi le stationnement est payant dans l’avenue Jean Moulin, qui est une zone résidentielle. Cette modalité se justifie plutôt dans les zones commerciales, souligne un participant.

Belaïde BEDHREDDINE observe que d’autres quartiers résidentiels à Montreuil sont en stationnement payant, comme la rue Beaumarchais, la rue de la Révolution et la partie du Bas Montreuil comprise entre la rue de Paris et Vincennes. L’enjeu est surtout d’éviter que les véhicules ne se déportent depuis le centre-ville, où le stationnement est payant, vers des rues où il est gratuit, et de remédier aux « voitures-ventouses ». Cela demande d’engager une réflexion plus large sur le stationnement payant et le stationnement résidentiel.

Un habitant souligne combien les « voitures-épaves » et les « voitures-ventouses » pénalisent les riverains, en occupant des places de stationnement non payant. On en trouve notamment rue Charles Infroit et rue Francisco Ferrer. Le problème se pose depuis que les alentours sont devenus payants. Les signalements à Sésam ne sont guère suivis d’effet, ou très tardivement. Il conviendrait au moins de mettre certaines rues en zone bleue. Un dossier avait d’ailleurs été adressé à Fabienne Vansteenkiste en ce sens. Une habitante ajoute que les riverains se montrent généralement satisfaits des formules de stationnement résidentiel payant, qui sont peu onéreuses (60 centimes la journée).

Catherine PILON propose de mettre à l’étude la possibilité d’un stationnement payant dans ce quartier.

3. Rues Gaston Lauriau et Désiré Chevalier

Un habitant signale que la rue Gaston Lauriau et la rue Désiré Chevalier, entre les rues Eugène Varlin et Rapatel, deviennent des autostrades de contournement que les voitures empruntent à très

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hautement dangereuses. De façon générale, il semble que les rues Gaston Lauriau, Eugène Varlin et Désiré Chevalier soient délaissées. La voirie et les trottoirs y sont très dégradés.

Catherine PILON en prend note. La voirie étant en mauvais état de manière générale dans la ville, explique-t-elle, une priorité a été donnée à la réfection des artères les plus empruntées (rue Ernest Savart et rue Parmentier notamment). Il n’empêche que certaines petites rues nécessitent des travaux.

4. Entretien des espaces verts

Un habitant s’inquiète des conséquences du transfert de compétences de la Ville vers Est Ensemble en ce qui concerne les espaces verts. Ceux-ci sont extrêmement mal entretenus.

Gaylord LE CHEQUER signale qu’il travaille en lien avec Claire Compain, conseillère municipale déléguée à la nature en ville, en particulier sur les sujets des aménagements de proximité et du Parc des Beaumonts.

Belaïde BEDHREDDINE ajoute qu’en tant qu’élu de quartier, il a notamment pour rôle de faire le relais entre les habitants et Est Ensemble, de même qu’avec le Département, la CAE ou la Ville. Il lui revient de solliciter les bons interlocuteurs pour résoudre les problèmes des habitants.

5. Installations sportives

Un habitant souligne que les installations sportives sont vétustes et peu praticables, avec un particulier un terrain en pente. L’animateur de la séance indique que les jeunes qui occupent le terrain prévoient justement de faire entendre ce message lors de la fête du quartier.

6. Rue Francisco Ferrer

Une habitante signale que dans la rue Francisco Ferrer, les voitures stationnent des deux côtés du trottoir, ce qui oblige à marcher au milieu de la rue lorsqu’on a une poussette. Or les voitures y circulent très vite. Peut-être le problème tient-il à l’entrepôt situé dans la rue, dont les clients ou les livreurs occupent des places de stationnement. Un habitant ajoute que les ordures ne sont plus ramassées depuis quinze jours rue Francisco Ferrer, car les stationnements liés à l’entrepôt bloquent le passage des éboueurs au petit matin.

Catherine PILON s’engage à envoyer la Police municipale surveiller régulièrement le comportement des camions qui livrent dans cette rue. Pour leur part, Gaylord LE CHEQUER et Belaïde BEDHREDDINE rencontreront l’entreprise en question pour envisager des solutions, par exemple une modification de ses horaires de livraison.

7. Feux de circulation à l’ange des rues Gaston Lauriau et Rosny

Une habitante indique qu’à l’ange des rues Gaston Lauriau et Rosny, les feux ne sont pas concordants. Cela présente un risque, en particulier pour les enfants qui se rendent à l’école. Gaylord LE CHEQUER indique qu’il étudiera cette question.

8. Dalle Galilée

Un habitant (membre du Conseil syndical de la co-propriété) rappelle qu’avenue Jean Moulin, la dalle dite « Galilée », à l’entrée du cimetière, était censée être rétrocédée à la Mairie et entretenue par celle-ci. Toutefois, la convention devant y procéder n’a jamais été signée.

D’importantes fuites se produisent sur ce parking. Il est rétorqué aux habitants que cette dalle appartient à la copropriété Jean Moulin. Si rien n’est fait, ceux-ci n’auront d’autre choix que de fermer cet espace par un mur de brique.

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Gaylord LE CHEQUER propose de rencontrer rapidement les membres de la copropriété Jean Moulin pour traiter de ce problème.

9. Passage devant la résidence La Frégate

Une habitante demande que le passage qui a été aménagé devant la résidence La Frégate (dans laquelle sont logés des retraités du BTP) soit signalé par un marquage au sol. Catherine PILON s’engage à y procéder.

10. Dépôts d’ordures

Un habitant observe que l’angle des rues Charles Infroit, Molière et Gaston Lauriau devient un dépotoir à ordures. Cela tient notamment au fait que la benne à ordures n’a plus la place de passer rue Molière et rue Charles Infroit. Des sacs de déchets verts sont restés quinze jours à cet endroit. A ce sujet, il est à signaler des dysfonctionnements dans le ramassage de déchets verts par Est Ensemble. Est-il prévu d’instaurer à nouveau le ramassage des encombrants à date fixe, demandent les habitants ?

Belaïde BEDHREDDINE confirme que cela fait partie des réflexions en cours. Cela étant, les avis des habitants semblent très partagés à ce sujet. Il conviendra de trouver la solution la plus pertinente, dans la concertation. Le problème est notamment qu’avec ce système, les déchets ne sont pas triés.

Les habitants observent que plus aucun service n’accepte de ramasser les gravats et les pots de peinture. Il faut les emmener à la déchetterie. Comment faire lorsqu’on ne dispose pas d’un véhicule ? Gaylord LE CHEQUER confirme que les déchets de nature particulière (gravats, produits toxiques, peintures) ne sont plus ramassés, ce qui présente l’avantage de ne pas exposer à l’amiante les agents de la déchetterie. Une information devra être communiquée aux habitants sur le mode de collecte des déchets toxiques. La Municipalité prendra ce sujet à bras-le-corps avec Est Ensemble, pour apporter des solutions pratiques.

Une habitante souhaite savoir à qui appartient le terrain situé devant les projets de piscine et de collège. En effet, de nombreuses entreprises y déversent leurs déchets.

Gaylord LE CHEQUER répond que cette parcelle comprend des terrains appartenant à la Ville, au Conseil général et à l’Etat. Des déchets ont été retirés de ces parcelles il y a une semaine. Il conviendra aussi de sanctionner les entreprises qui se livrent à ces dépôts sauvages. A plus longue échéance, ces espaces feront l’objet d’une requalification complète en accompagnement de l’arrivée du tramway.

11. Enveloppes participatives

Tania ASSOULINE indique que des budgets restent non consommés sur les enveloppes participatives pour 2014. Elle invite les habitants ayant des projets correspondant aux critères de cette enveloppe à s’en saisir.

Fin de la séance à 22 heures 30.

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