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Arithmologie. Théorème. <span class="mathjax-formula">$a$</span> étant un nombre positif ou négatif de la forme <span class="mathjax-formula">$\dot{6}+1$</span> ; <span class="mathjax-formula">$b$</span> un nombre positif de la forme <span class="mathjax-

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Texte intégral

(1)

N OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES

Arithmologie. Théorème. a étant un nombre positif ou négatif de la forme ˙6 + 1 ; b

un nombre positif de la forme ˙2 + 1 et x une quantité quelconque on a l’équation

∑(−1)

a−b2

b(a

2

− b

2

)x

a2+3b2

= 0

Nouvelles annales de mathématiques 1

re

série, tome 9

(1850), p. 174-177

<http://www.numdam.org/item?id=NAM_1850_1_9__174_1>

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(2)

ARITHiMOLOGIE.

THÉORÈME, a étant un nombre positif ou négatif de la f orme 6 4- i ; b un nombre positif de la f orme 2 4 - 1 et x une quantité quelconque, on a Véquation

a — b

(JACOBI. Crelle, tome XXI, page i 3 ; 1840.) Démonstration. Il suffit de démontrer que la somme des termes où x a le même exposant est nulle. Faisons

on satisfait, comme on sait, à cette équation par les huit valeurs suivantes :

a — ob , t a + b

a ~ ± 5 b = ± • 5

Mais, d après 1 hypothese, pour que x appartienne à la série, il faut que a'', positif ou négatif, soit de la forme 6— 1, et que V soit positif et de la forme 2 4 - 1 5 ces conditions vont réduire le nombre de ces valeurs à

une seule.

En effet, a étant impair, il n'y a que ces deux cas pos-

(*) Nous mettons le point leibnitzien pour indiquer un multiple.

(3)

( *?*) sibles :

a -\- b . a — b . Premier cas. Pa*rj impair,

a -+- b . . a — b Deuxième cas. impair, pair.

T» a-\-eb , . j

Representons par les impairs de ces quatre nombres : alors à £ = -h i correspond le deuxième cas, et à s = — i correspond le premier cas ; donc

a — h

Comme b' est impair , on a donc

le nombre correspondant de a! est donc

a — 3 e b

c = ± -—

2

(on change b en — eb) : mais b( devant être positif, nous pouvons écrire

_, ur t 3s& ^ ,fl-|-£6

/ , i a-\-tb . . ,P ,

Er étant = -h i lorsque est positif, et s == — i , a-k-tb , -c

lorsque est négatif.

Si dans a! nous prenons le signe supérieur, alors ia1—a devient divisible par 3 : mais a et a' étant tous de la forme 6 H- i , ia — a divisé par 3 laisse pour reste i \ le signe supérieur doit donc être rejeté \ on a donc

(4)

( ' 7 6 )

2 a'-f- a est divisible par 3 , et a étant de la forme 6 + i , 2 a' est de la forme 3 + 2, et par conséquent a' de la forme 3 -f- i. Or on a

2bfe = a^-bs (carg/2=ij, et z a'= 3 be — a;

donc

a' -{- b e' — 2 b e.

b étant impair, a! est donc aussi impair; donc a' est de la forme 6 -f- i . Ainsi

, v , 3 s b — a f a -r- eb

on en déduit

Zb'z'—a a'-+-z b'

•s i

Les équations (2) sont de la même forme que les équa- tions (1), £ et ef ont changé de rôle ; et comme b doit être impair, on voit que, pour e ' = -f- 1, est impair,

a' — b' , a—b'

et — pair-, et pour e = — 1, est impair et est pair ; donc

a' — h'

Les équations (2) montrent que les mêmes opérations par lesquelles on a déduit a' et b' de a et de b, conduiraient de a' et V vers a e\b\ les deux systèmes de valeurs a , b et a et bf ont donc une relation de réciprocité, et, en continuant les opérations, on reviendrait aux précédentes valeurs. Il suffit donc, pour la démonstration, que les deux coemcients de x et de a: soient égaux et de signes opposée

(5)

La somme de ces coefficients est

a — b -+-a'—&'

Substituant pour a' et b' les valeurs tirées de l'équa- tion ( i ) , on a

fl'2 — b'7 — — izb[a — s b),

et de là

la somme des coefficients devient donc

[

a — b a'—b'l

( - 0 ° -««'(-0

9

J.

Mais

a — b af— b'

* = ( - 0 ° ' , «' = ( - ! ) ^ >

d'où

ar— f c ' a—b

donc cette somme est nulle. C Q. F . t).

Observation. Le cas peut se présenter o ù a ' = a e t bf= b; alors la première des équations (2) donne

az=zbe-, donc a2—&2=o;

ce qui vérifie évidemment le théorème.

Ann. de Mathémat., t. I X . (Mai i85o.)

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