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Giovanni Balcet L'ÉCONOMIE DE L'ITALIE

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Academic year: 2022

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Giovanni Balcet

L'ÉCONOMIE L'ITALIE DE

ÉDITIONS LA DÉCOUVERTE

9 bis, rue Abel-Hovelacque 75013 Paris 1995

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Le logo qui figure au dos de la couverture de ce livre mérite une explication Son objet est d'alerter le lecteur sur la menace que représente pour l'avenir de l'écrit tout particulièrement dans le domaine des sciences humaines et sociales, le déve loppement massif du photocopillage.

Le code de la propriété intellectuelle du 1 juillet 1992 interdit en effet expres- sément la photocopie à usage collectif sans autorisation des ayants droit. Or, cette pratique s'est généralisée dans les établissements d'enseignement supérieur, provo- quant une baisse brutale des achats de livres, au point que la possibilité même pour les auteurs de créer des œuvres nouvelles et de les faire éditer correctement est aujourd'hui menacée.

Nous rappelons donc que toute reproduction, partielle ou totale, du présent ouvrage est interdite sans autorisation de l'auteur, de son éditeur ou du Centre français d'exploitation du droit de copie (CFC, 3, rue d'Hautefeuille, 75006 Paris).

Si vous désirez être tenu régulièrement informé de nos parutions, il vous suffit d'envoyer vos nom et adresse aux Éditions La Découverte, 9 bis, rue Abel-Hove- lacque, 75013 Paris. Vous recevrez gratuitement notre bulletin trimestriel A la Découverte.

@ Éditions La Découverte, Paris, 1995.

ISBN 2-7071-2470-2

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En mémoire de Mario Balcet (1908-1984) et de Jean Balcet (1591-1665).

« Il faut une plus profonde recherche pour découvrir les trésors secrets des nations que pour apercevoir leurs plaies. »

F. LULLIN DE CHÂTEAUVIEUX, Lettres sur l'Italie, Paris, 1834.

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Remerciements

Je tiens à remercier les collègues qui ont lu le manuscrit et m'ont aidé de leurs critiques et suggestions : en particulier Mau- rice Baslé, Michel Rainelli et Vittorio Valli. Certains chapitres ont bénéficié d'un apport précieux de la part de Silvia Bruschieri, Aldo Enrietti, Anna Giunta, Roberto Maglione, Anna Maina, Roberto Marchionatti et Nicole Rousier. Muriel Augry m'a patiemment aidé dans la révision du français. Patience et dispo- nibilité ont aussi été montrées tout au long de notre collaboration par l'équipe de « La Découverte ».

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Introduction

Économie italienne, ou économies italiennes ? Le problème de la cohérence et de la différenciation des structures économiques de la péninsule se pose dès les débuts de son histoire en tant qu'État unitaire. C'est en effet à partir d'un patrimoine génétique non homogène que le tissu économique du nouvel État s'est formé.

Les particularismes et les diversités semblent souvent l'empor- ter sur l'homogénéité, et le cadre d'ensemble est riche de contrastes et de paradoxes. Ainsi, les spécificités régionales et locales caractérisent des phénomènes typiquement italiens, tant positifs que négatifs. Deux exemples, parmi d'autres, en sont les districts industriels, d'un côté, et l'économie mafieuse, de l'autre.

Les premiers, s'articulant sur des systèmes de PME fortement spécialisées et enracinées dans les milieux locaux, expliquent en grande partie la flexibilité et la capacité d'adaptation dont ont fait preuve les filières industrielles traditionnelles ainsi que la méca- nique spécialisée, deux secteurs qui sont à l'origine de remar- quables performances à l'exportation.

La seconde, intimement liée aux structures socio-politiques et aux traditions culturelles de certaines régions du Sud, tend à se substituer tant au marché qu'aux pouvoirs publics, et à les affai- blir après les avoir pénétrés.

Il est donc nécessaire, pour comprendre l'économie et les éco- nomies italiennes, de prendre en compte, d'une part, les spécifi- cités de la société italienne et de ses institutions, et, d'autre part, les racines historiques des problèmes actuels.

On ne comprendrait pas aujourd'hui le dualisme et le problème

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du Mezzogiorno (le Midi) sans se référer aux périodes qui pré- cèdent et qui suivent l'unification politique au XIX siècle ; on ne comprendrait pas non plus le rôle du secteur public dans l'indus- trie et la banque sans considérer la période de l'entre-deux-guerres et la politique économique du fascisme.

Dans une perspective de longue durée, le développement de l'Italie au XIX et au XX siècle se présente comme le mouvement de retour vers l'Europe d'un pays qui avait connu un long déclin vers la périphérie de l'économie mondiale à partir du XVI et jusqu'au milieu du XIX siècle.

Nous allons donc aborder notre sujet avec une double démar- che, historique et thématique, en croisant les deux plans afin de dégager et de développer les problématiques majeures d'une réa- lité complexe et souvent contradictoire, où les problèmes typiques des pays industrialisés se superposent parfois à des caractères for- tement arriérés.

L'analyse de l'évolution des agrégats macroéconomiques sera accompagnée par celle de certains aspects microéconomiques, et par des cas spécifiques qui peuvent illustrer des problématiques plus générales. Tout d'abord, nous esquisserons un profil histo- rique de l'unification jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, qui mettra l'accent sur les grands thèmes de la « question méridio- nale », l'émigration, la première phase de la révolution indus- trielle, les conditions économiques et les conséquences du fascisme. Ensuite, l'évolution des décennies de l'après-guerre sera présentée de manière critique, sans oublier les débats de politique économique et les interprétations divergentes du « miracle écono- mique », la crise des années soixante-dix, les effets de l'adhésion au SME, la dette du secteur public et les dilemmes des années quatre-vingt-dix.

L'approche thématique des chapitres suivants s'articule sur trois questions essentielles. En premier lieu, l'anomalie du Midi, les politiques de développement, la diversification actuelle des réa- lités régionales, la pénétration des mafias dans la vie économique.

En deuxième lieu, la vitalité extraordinaire des PME, en ce qui concerne la décentralisation économique et les systèmes productifs locaux. Le modèle de la troisième Italie sera examiné au-delà des idées reçues. Finalement, la compétitivité internationale de l'éco- nomie italienne sera abordée sous la double optique des échanges commerciaux et de l'internationalisation des entreprises ; ce qui nous permettra de mettre en lumière les facteurs de force et de

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faiblesse, et les profondes différences de l'Italie par rapport aux autres pays industrialisés.

Un ouvrage de ce genre ne pourrait prétendre à l'exhaustivité.

Les choix et les intérêts de recherche de l'auteur y sont bien pré- sents. Toutefois, nous espérons donner au lecteur une vision suf- fisamment large des problématiques, des contradictions et des perspectives pour qu'il puisse mieux comprendre l'économie ita- lienne aujourd'hui.

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Source : ISTAT.

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PREMIÈRE PARTIE / LES DONNÉES DE L'HISTOIRE

I / Une unification difficile,

une industrialisation tardive (1861-1914)

« Ma tâche est plus laborieuse et plus pénible maintenant que par le passé. Constituer l'Italie, fondre ensemble les éléments divers dont elle se compose, mettre en harmonie le Nord et le Midi, offre autant de difficultés qu'une guerre avec l'Autriche et la lutte avec Rome. »

Camillo BENSO, comte de Cavour, 1862*.

1. Unification politique, héritages du passé, diversités économiques

Pendant une longue période, s'étendant du XII au XV siècle, des villes italiennes (telles que Venise, Gênes, Florence, Milan et Sienne) ont occupé une position centrale dans l'économie mon- diale. Si, dans les termes de Ferdinand Braudel, on peut définir Venise comme l'économie-monde au XIV siècle, on ne pourrait pas oublier non plus que le développement marchand des autres villes et des petits États indépendants a été une composante de la civilisation italienne entre le Bas Moyen Age et la Renaissance, strictement liée à son développement culturel, artistique et scien- tifique. Les « Lombards », venant des centres marchands d'Italie du Nord et du Centre, ont développé et diffusé en Europe occi- dentale les techniques modernes de la finance, du crédit et de la comptabilité.

* Original en français.

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Toutefois, au moment de la création d'un État unifié, en 1861, l'Italie apparaît comme un pays sous-développé : son revenu par habitant est un tiers environ de celui de la France, un quart de celui de la Grande-Bretagne. Entre-temps, une période séculaire de décadence s'est écoulée, qui a engendré la dérive de l'écono- mie italienne du centre de l'économie mondiale vers sa périphérie.

Quelles ont été les raisons de cette tendance de longue période, qui s'est aggravée en particulier au cours du XVII siècle ? On en peut citer plusieurs : le déclin des échanges commerciaux médi- terranéens, concurrencés par les courants transatlantiques, la fai- blesse politique de la péninsule, fragmentée en plusieurs États pour la plupart minuscules, la petite dimension du marché inté- rieur, la situation archaïque d'une grande partie de l'agriculture, due à la reféodalisation des campagnes, et, plus généralement, la sclérose des institutions économiques issues du Moyen Age, telles que les corporations, qui ont longtemps continué à façonner la vie économique du pays.

L'histoire économique des cent trente dernières années est donc l'histoire d'un rattrapage et d'un retour vers l'Europe de la part d'un système économique au départ profondément arriéré.

Malgré les retards et la marginalisation séculaires, certaines tra- ditions d'artisanat urbain et de manufactures survivaient, notam- ment en Italie du Nord et du Centre. Elles avaient même connu une reprise dans le climat du réformisme éclairé de la seconde moitié du XVIII siècle. Un exemple significatif est celui de la reprise vigoureuse, dans le même siècle, de l'industrie de la soie.

Cette matière première, orientée vers l'exportation, notamment vers les manufactures textiles lyonnaises, donne lieu en Lombar- die et au Piémont à un tissu productif répandu et intégré aux acti- vités agricoles [Cafagna, 1989]*. Parmi ses impacts positifs, on peut citer sa contribution à la balance commerciale, la création d'économies externes et la diffusion territoriale de nombreuses petites entreprises. Dans les régions citées, on assiste, entre le XVII et le XIX siècle, à la naissance d'une bourgeoisie rurale et mar- chande moderne. La Lombardie, en particulier, peut être consi- dérée comme le « noyau originaire » du développement économique italien.

La situation était bien différente au sud du pays, dans le Mez-

* Les références entre crochets renvoient à la bibliographie en fin d'ouvrage.

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zogiorno, où la grande aristocratie rurale absentéiste dominait la vie économique, à travers les grands domaines ou latifundia.

Le profond dualisme qui caractérise depuis longtemps l'écono- mie italienne et, en particulier, la désarticulation Nord/Sud était donc une réalité profondément enracinée bien avant l'unification politique du pays. Au milieu du XIX siècle, le Nord était plus intégré à l'Europe centre-occidentale qu'au sud du pays : au moment de l'unification, moins de 20 % du commerce extérieur des États de la péninsule était « intra-italien ».

2. Les premières décennies : l'âge du libéralisme (1861-1878) La création du nouvel État italien en 1861 ne représente pas le début de l'industrialisation ni du développement économique du pays. Au lendemain de l'unification, les espoirs d'un progrès social et économique rapide, découlant presque automatiquement de l'indépendance politique, sont vite déçus. Les deux premières décennies du nouvel État sont en effet une période de stagnation économique et de turbulences sociales. L'accroissement de la pro- duction agricole ne dépasse pas 1 % par an en moyenne, celui de la production industrielle 1,8 %. Les retards vis-à-vis de la France et l'Angleterre s'accentuent. Selon la phrase célèbre du Premier ministre Cavour, génial bâtisseur de l'unité, « l'Italie est faite ; il faut maintenant faire les Italiens ».

Les modalités de l'unification n'ont pas été étrangères à ces performances décevantes. L'État unitaire, fortement centralisé, se bâtit plutôt comme annexion des autres territoires au Piémont que comme agrégation équilibrée de réalités différentes. Ainsi, le sys- tème fiscal national reproduit en grande partie le système pié- montais, ce qui implique une augmentation remarquable de la pression fiscale pour les régions du Sud. Les nouveaux impôts sur la consommation, comme celui sur la farine, aggravent ulté- rieurement le poids de la fiscalité pour les classes populaires, alors que les dépenses publiques ne dépassent pas 12 % du PIB.

Encore, le tarif douanier piémontais de 1851, pièce centrale de la politique de libre-échange soutenue par Cavour, est-il appliqué d'emblée au pays tout entier, sans qu'aucune période de transition ne soit prévue pour en atténuer les conséquences sur les régions et les secteurs les plus faibles. Par conséquent, pendant cette

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période, le dualisme originaire et préexistant entre les deux parties du pays s'aggrave.

Les années 1860 et 1870 sont marquées par le triomphe des idées libérales en économie. Le choix du libre-échange, renforcé par des traités de commerce, dont celui de 1863 avec la France, ouvre ou élargisse les débouchés aux exportations agricoles et à certaines matières premières, comme le soufre sicilien et la soie.

Celle-ci continue d'être un moyen puissant d'intégration écono- mique de la plaine du Pô à l'Europe occidentale. Par ailleurs, cette politique décourage le secteur industriel naissant, incapable de faire face à la compétition des produits d'importation, et que la première enquête industrielle en 1871 nous décrit faible et pres- que stagnant.

L'agriculture ne connaît pas non plus de véritable essor pro- ductif, ni d'accumulation primaire, malgré des progrès technolo- giques, surtout dans la plaine du Pô.

Cette première phase est caractérisée par l'hégémonie des capi- taux français en Italie, qui sont investis massivement en titres de la dette publique et dans la construction d'infrastructures, notam- ment ferroviaires. A l'époque, la péninsule représente environ 30 % des investissements français à l'étranger. Mais une part importante des ressources est absorbée par la spéculation finan- cière et foncière.

La lire italienne est créée en 1862 sur la base du bimétallisme or/argent sur le modèle français. Le corso forzoso, introduit en 1866, et en vigueur jusqu'en 1883, comporte la suspension de la convertibilité-or de la lire et une forte expansion de la monnaie- papier, ce qui implique de facto sa dévaluation.

Les politiques économiques intérieures des gouvernements de cette période, formés par la droite libérale, sont orientées selon trois objectifs majeurs : la mise sur pied d'une administration cen- trale, l'assainissement des finances publiques, lourdement endettées à la suite des guerres d'indépendance, et la création d'un réseau national d'infrastructures, essentiellement des chemins de fer. Le deuxième objectif est atteint dès les années 1870, à travers des politiques budgétaires strictes (sous l'impulsion du ministre Quintino Sella), et la vente de terres domaniales et ecclésiastiques (voir tableau I). Il faut noter que le développement du réseau fer- roviaire, bien qu'important, ne dégage pas en Italie les effets d'entraînement qu'on pouvait en attendre.

Dans la seconde moitié des années 1870, le climat politique et

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social change : l'option libre-échangiste est progressivement remise en question, et la demande de protectionnisme s'accentue à la suite du poids croissant de la bourgeoisie industrielle et de l'attrait du modèle allemand d'industrialisation et de développe- ment. En 1876, la droite est remplacée au gouvernement par la gauche, plus favorable aux intérêts industriels.

TABLEAU I. — DÉFICITS BUDGÉTAIRES ET DETTE PUBLIQUE (1866-1913)

Source : V. ZAMAGNI [1993], p. 226 et p. 230.

3. Protectionnisme, croissance et crises (1878-1897) Le tournant protectionniste se réalise en deux étapes. En 1878, une première loi établit des tarifs, notamment sur le textile et le sucre, avec des finalités tant de soutien aux producteurs que fis- cales. En 1887, le choix protectionniste se confirme et se précise, surtout en faveur des céréales, du textile, de la sidérurgie nais- sante et de certains produits mécaniques. L'attitude intervention- niste de l'État se manifeste aussi par d'autres mesures, complémentaires des barrières tarifaires : les subventions aux chantiers maritimes et à la métallurgie, la création de grandes aciéries à Terni, en Italie centrale, la demande publique pour les chemins de fer et l'armée. Par conséquent, au cours des années

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Giovanni Balcet L'économie de l'Italie

Comment expliquer les paradoxes de l'économie ita- lienne, où des districts industriels dynamiques et des firmes multinationales performantes coexistent avec une administration publique inefficace et avec un vaste sec- teur d'économie souterraine ou même illégale ? Quels sont ses points forts et ses faiblesses ? L'Italie est-elle en train de s'éloigner du noyau dur de l'Europe ?

Ce livre propose un bilan détaillé, illustré par des exemples concrets, de la vitalité et des défaillances d'un système économique complexe et très diversifié. Il ana- lyse le problème du Mezzogiorno, la vitalité extraordi- naire des systèmes de petites et moyennes entreprises, les retards technologiques du cœur oligopolistique de l'industrie, la spécialisation internationale de l'Italie, l'aggravation du poids de la dette publique, etc.

Sur la base de cette analyse, on pourra mieux appré- cier les enjeux des politiques économiques des années quatre-vingt-dix et l'insertion de l'Italie en Europe et dans l'économie mondiale.

Giovanni Balcet est professeur d'économie internatio- nale à l'université de Turin. Ses travaux de recherche por- tent sur les firmes multinationales, les politiques écono- miques face à la globalisation, les accords coopératifs entre firmes et l'insertion internationale de l'économie ita- lienne.

Collection Repères

ISBN 2-7071-2470-2 P 33175-1 06-95

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