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Une microsporidiose des salmonidés dans le Sud-Ouest de la France

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Academic year: 2021

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https://hal.inrae.fr/hal-02730398

Submitted on 2 Jun 2020

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Une microsporidiose des salmonidés dans le Sud-Ouest de la France

M. Porte, Stefan Chilmonczyk

To cite this version:

M. Porte, Stefan Chilmonczyk. Une microsporidiose des salmonidés dans le Sud-Ouest de la France.

Bulletin francais de Pisciculture, 1974, 253, pp.158-163. �hal-02730398�

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UNE MICROSPORIDIOSE DES SALMONIDES DANS LE SUD-OUEST DE LA FRANCE.

M. PORTE (1) et S. C H I L M O N C Z Y K (2)

D e p u i s q u e l q u e s années on constate un taux de mortalité anormalement é l e v é , au sein des populations de Salmonidés du Sud-Ouest de la France. C e fait, o b s e r v é dans les piscicultures expérimentales de l'INRA (St-Pée sur Nivelle, L é e s - A t h a s ) et dans les piscicultures privées, est largement confirmé par les p ê c h e u r s de la région. C e u x - c i signalent en effet, dans l'ensemble du réseau h y d r o g r a p h i q u e , une mortalité inquiétante des Salmonidés.

C e s constatations nous ont amené à aborder l'étude de l'étiologie et de la p a t h o l o g i e de ce p h é n o m è n e qui semble prendre une ampleur croissante.

MATERIEL ET M E T H O D E S

L'étude de la maladie a été effectuée sur différentes espèces de Salmonidés t r u i t e fario {SaImo trutta fario), truite arc-en-ciel (Sa/mo gairdneri), saumon atlantique {SaImo salar), omble de fontaine {Salvelinus fontinalis) provenant d ' é l e v a g e s et de peuplements sauvages des cours d'eau du département des Pyrénées Atlantiques et des Hautes Pyrénées.

Les frottis effectués à partir d'oeufs et d'organes de poissons malades ont été colorés par les techniques de M a y - G r u n w a l d - G i e m s a , de V a g o - A m a r g i e r et par la réaction de Feulgen. Les c o u p e s histologiques, réalisées à partir d ' a l e v i n s ou d ' o r g a n e s d e p o i s s o n s malades f i x é s par les liquides d e Bouin o u de C a r n o y , ont été colorées par l'hémalun-picro-indigo-carmin, l'hémalun-éosine, la réaction de Feulgen, le bleu de méthyle (après coloration de masse par le carmin boracique).

Institut National de la Recherche Agronomique

(1) Station d'Hydrobiologie Continentale, BP. 79, 64200 BIARRITZ (2) Laboratoire d'Ichtyopathologie, 78850 THIVERVAL GRIGNON

Article available at http://www.kmae-journal.org or http://dx.doi.org/10.1051/kmae:1974017

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RESULTATS

La maladie atteint plus particulièrement : l'adulte en période de repro- d u c t i o n , l'oeuf et l'alevin à la r é s o r p t i o n .

A — Pathologie des adultes

a) c o n d i t i o n s d'apparition

C'est surtout en période de r e p r o d u c t i o n que les Salmonidés sont frappés par la maladie. Mais on constate également une augmentation des mortalités à la suite d'une rapide élévation de la t e m p é r a t u r e de l'eau.

b) Lésions

Les poissons malades présentent d e s lésions externes importantes : exophtalmie, ulcères de la cornée, nécrose des nageoires, ulcérations musculaires

et c é p h a l i q u e s , inflammation de la région péri-anale ( f i g . 1 et 2 ) . Les lésions ulcératives sont similaires à celles d'une maladie décrite en Grande-Bretagne et en Irlande sous le nom d ' U l c e r a t i v e D e r m a l N e c r o s i s (U.D.N.). A u s s i cette même appellation a-t-elle souvent été utilisée à p r o p o s des individus atteints. Les plaies cutanées sont rapidement recouvertes par une prolifération mycelienne.

L'examen nécropsique révèle une vacuité du t u b e digestif avec inflam- mation à proximité de l'anus. Le foie, d é c o l o r é , présente des plages hémorra- giques et la vésicule biliaire est dilatée.

c) Etude histologique

L'observation en m i c r o s c o p i e p h o t o n i q u e d e c o u p e s d ' o r g a n e s prélevés sur d i f f é r e n t e s espèces de Salmonidés p r é s e n t a n t les lésions décrites plus haut, montre la présence d'un parasite dans les tissus atteints. Chez le poisson adulte, il apparaît principalement sous l'aspect de s p o r e s piriformes ( 3 n x 2 / i ) qui infectent plus particulièrement :

— le derme et la musculature sous-jacente, elles y exercent une action lytique importante ( f i g . 4 ) .

— le rein où elles détruisent à la fois le tissu interstitiel et les t u b e s urinifères (fig. 3).

— l'intestin postérieur où elles envahissent la sous-muqueuse intestinale, ne pénétrant que rarement dans les cellules épithéliales.

— les gonades des deux sexes. Chez le mâle elles abondent dans les c y s t e s testiculaires où elles se c o n f o n d e n t avec les spermatozoïdes. Leur p r é s e n c e induit la f o r m a t i o n d'un sperme g r u m e l e u x à faible p o u v o i r f é c o n d a n t Le s p e r m e de plusieurs mâles est en effet nécessaire pour assurer la f é c o n d a t i o n d'une ponte.

Dans l'ovaire, les spores pénètrent dans les ovocytes et se répartissent dans le vitellus.

Chez les géniteurs la maladie se déclare brusquement au moment de la r e p r o d u c t i o n .

Exceptionnellement, dans la musculature d'une truite arc-en-ciel, n o u s avons observé, outre de nombreuses s p o r e s , une f o r m e végétative ( 2 5 / i . x 1 5 //.) à 4 noyaux, c o r r e s p o n d a n t p r o b a b l e m e n t à un schizonte en voie d e m u l t i p l i - cation (fig. 5 ) .

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B — Pathologie des œufs

La présence de s p o r e s dans les ovocytes réduit considérablement la fer- tilité en rendant de n o m b r e u x œufs inaptes à la fécondation.

a) A s p e c t des pontes

Les pontes issues des femelles malades se présentent sous divers aspects ;

— Les œ u f s a d h é r a n t les uns aux autres s o n t émis en g r a p p e s ; après la

— Les œufs présentent une tache orangée et ne sont pas fécondés.

— Les œufs adhérant les uns aux autres sont émis en grappes, après la f é c o n d a t i o n la plupart d ' e n t r e eux deviennent blancs et opaques.

— Dans certains cas, il y a rétention totale de la ponte.

b) Incubation

De nombreux œufs « avortent » en cours d'incubation, en fait parmi ceux- c i , b e a u c o u p n'ont pas été f é c o n d é s .

c) Etude des frottis de vitellus

Les prélèvements de vitellus sur des œufs non fécondés nous ont permis d e constater, après étalement sur lame et coloration, que celui-ci renfermait u n g r a n d n o m b r e de s p o r e s .

C — Pathologie des alevins

C ' e s t parmi les alevins que le taux de mortalité est le plus élevé.

a) Eclosion

A u lieu d e se d é r o u l e r en 3 ou 4 jours, l'éclosion peut s'étendre sur 2 semaines, les alevins issus de ces pontes sont chétifs.

b) Résorption de la v é s i c u l e vitelline

La résorption de la vésicule vitelline se fait mal et on enregistre une f o r t e mortalité d'alevins principalement chez les truites fario et les ombles de fontaine. Chez ces d e r n i e r s , la vésicule vitelline reste très grosse et p r e n d une teinte foncée. C e t t e même lésion se retrouve dans une maladie décrite aux U S A sous le nom de « Blue sac disease » ( W O L F 1969).

c) Etude h i s t o l o g i q u e

Les c o u p e s effectuées sur des alevins de truite fario et d'omble de f o n - taine montrent également des parasites dans la masse vitelline. La m i c r o s p o r i d i e se présente sous une f o r m e végétative amiboïde, le pansporoblaste, qui mesure de 7 à 10 ju de diamètre (fig. 6).

A u c u n e f o r m e parasitaire n'a pu être mise en évidence chez l'alevin de t r u i t e arc-en-cief.

d) Evolution de la maladie pendant la croissance

A p r è s la r é s o r p t i o n , phase critique du développement, la croissance se p o u r s u i t normalement. C e p e n d a n t on note sporadiquement une r e c r u d e s c e n c e de la mortalité coïncidant avec les poussées de chaleurs printanières et estivales.

D — Agent pathogène a) Détermination

Les frottis et les c o u p e s histologiques révèlent d o n c une i n f e c t i o n parasitaire. Le parasite nous est apparu sous 3 aspects :

— spore et schizonte dans les tissus de l'adulte.

— forme amiboïde dans le vitellus de l'alevin.

Les s p o r e s sont binucléées et possèdent une capsule polaire, elles appar- t i e n n e n t donc à un Protozoaire de la classe des M i c r o s p o r i d i e s .

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Les M i c r o s p o r i d i e s sont des parasites intra-cellulaires qui, au cours de leur c y c l e évolutif, passent par d i v e r s stades végétatifs ( f i g . 5-6). L e s formes amiboïdes du vitellus des alevins ( f i g . 6) c o r r e s p o n d e n t à des pansporoblastes jeunes. La détermination s p é c i f i q u e des M i c r o s p o r i d i e s est basée essentielle- ment sur le nombre de noyaux c o n t e n u s dans le pansporoblaste. Le matériel à notre disposition ne nous a pas e n c o r e permis d ' o b s e r v e r des pansporoblastes mûrs aussi ne pouvons-nous actuellement d é t e r m i n e r l'espèce responsable de cette parasitose.

b) Transmission

Si les M i c r o s p o r i d i o s e s ont été largement étudiées chez les insectes (Pébrine du ver à soie, N o s é m o s e des abeilles) et les crustacés (écrevisse), nous n'avons que peu de données c o n c e r n a n t cette parasitose chez les poissons.

Nous pouvons cependant e n v i s a g e r 2 modes de transmission. La présence du parasite dans les œufs fait naturellement s o n g e r à une transmission t r a n s - ovarienne. C e type de transmission a e f f e c t i v e m e n t été d é m o n t r é dans les M i c r o s p o r i d i o s e s d'insectes. A cette t r a n s m i s s i o n verticale, il faut ajouter une p r o p a g a t i o n par les spores libérées dans l'eau par le poisson malade (urine, plaies cutanées).

E — Espèces atteintes

Toutes les espèces de Salmonidés sont sensibles. C o m m e la maladie s'extériorise surtout en période d e r e p r o d u c t i o n , elle p r e n d u n caractère s a i - s o n n i e r variant avec les espèces. Les ombles de fontaine, les truites fario et arc-en-ciel sont donc atteints au d é b u t d e l'hiver. Les truites arc-en-ciel paraissent p l u s résistantes à la maladie. En p i s c i c u l t u r e , nous avons en effet noté que d e n o m b r e u x géniteurs survivent après a v o i r été atteints.

Les saumons atlantiques et les truites de mer s o n t p a r t i c u l i è r e m e n t sensibles à deux périodes de leur vie : au cours de la remontée sur les f r a y è r e s et pendant la smoltification. Dans ce dernier cas, seuls les saumons mâles sont atteints.

D I S C U S S I O N — C O N C L U S I O N

En comparant le tableau clinique et lésionnel de la M i c r o s p o r i d i o s e , d u point de vue de la seule o b s e r v a t i o n , avec certains stades évolutifs de 1' « U.D.N. », du S y n d r o m e mycosique, de la « Blue sac disease » ou de la Furonculose, il existe des similitudes. Mais la mise e n é v i d e n c e des s p o r e s ou de leurs f o r m e s germinatives chez les malades, distingue nettement la M i c r o s p o r i d i o s e des entités pathologiques p r é c é d e n t e s .

En effet, ni les travaux de ROBERTS (1972) sur l'U.D.N., fondés e s s e n - tiellement sur l'histologie, ni ceux de B A U D O U Y et TUFFERY (1973) sur le S y n d r o m e m y c o s i q u e et d e W O L F (1954) sur la Blue sac disease, a c c o m p a g n é s également de contrôles h i s t o l o g i q u e s , n'ont d é m o n t r é l'infection par les s p o r e s . Dans le cas de la Furonculose, l'isolement d'Aeromonas salmonicida per- met le diagnostic différentiel. Chez les animaux dont l'étude a fait l'objet de ce travail (pendant l'hiver 1973-74), lAeromonas salmonicida n'a pas été isolée.

En revanche, au cours des 2 années précédentes cet isolement a été effectué à partir de poissons de la pisciculture de St-Pée-sur-Nivelle lors de l'élévation thermique de l'eau. Il n'est donc pas e n c o r e p o s s i b l e de savoir si la r e c r u - descence des mortalités à ces périodes est le fait de la bactérie, du parasite, ou de l'action associée des deux.

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S U M M A R Y

A t présent, Salmonids f r o m the S o u t h W e s t of France are heavily affected by a microsporidian disease.

The lésions resemble t h o s e of Ulcerative D e r m a l Necrosis or S y n d r o m e m y c o s i q u e , but light m i c r o s c o p i e examinations of histological sections and smears of eggs and organs show that it is a parasitical disease. Tbe pathogenic agent, a M i c r o s p o r i d e a , has not yet been c l a s s i f i e d .

D i v e r s e s e s p è c e s de Microsporidies parasitant les poissons des rivières f r a n ç a i s e s ont été décrites ( K U D O - 1924), mais jusqu'ici il n'a été fait état d'aucune M i c r o s p o r i d i o s e .

La parasitose touche principalement le Sud-Ouest de la France mais son extension g é o g r a p h i q u e est possible du fait du c o m m e r c e des œufs entre les d i v e r s e s piscicultures françaises et étrangères.

D e s traitements antifongiques ont été appliqués, sans succès, aux pois- sons parasités.

A u c u n e mesure t h é r a p e u t i q u e n'a encore été utilisée contre les M i c r o s - p o r i d i e s d e s poissons. Nous envisageons une thérapeutique à partir de produits a n t i - c o c c i d i e n s (nitrofural, sulfadimerazine, framycetine).

La transmission transovarienne étant le mode de propagation le plus d a n g e r e u x , il est primordial de s'assurer de l'état sanitaire des géniteurs. M a l -

heureusement, nous avons remarqué que les géniteurs malades ne présentent pas tous les lésions externes de la maladie.

C ' e s t donc par un c o n t r ô l e strict d e s œufs et l'élimination de toute ponte o ù une partie d e s œ u f s ne présente p a s d ' a p p a r e n c e normale q u e cette M i - c r o s p o r i d i o s e peut actuellement être enrayée. Ur«e méthode de diagnostic rapide sur f r o t t i s est à l'étude. Elle devrait p e r m e t t r e la reconnaissance précise des sujets parasités et faciliter ainsi le contrôle des œufs dont la libre circulation est un important facteur de propagation du parasite.

R E S U M E

U n e M i c r o s p o r i d i o s e p r o v o q u e actuellement de fortes mortalités dans les p o p u l a t i o n s de Salmonidés du Sud-Ouest de la France. Les lésions de c e t t e maladie ont fait penser à une atteinte d'Ulcerative Dermal Necrosis ou de S y n d r o m e mycosique. En fait, l'observation en microscopie photonique de c o u p e s h i s t o l o g i q u e s et de frottis d ' œ u f s et d ' o r g a n e s (fig. 3-4-5-6), montre qu'il s'agit d'une parasitose, dont l'agent pathogène, une M i c r o s p o r i d i e , n'est pas e n c o r e d é t e r m i n é spécifiquement.

L'infection se localise surtout à la peau, au rein, à l'intestin et eux g o n a d e s . Au niveau des ovaires elle se traduit par la ponte soit d'œufs abortifs soit d'œufs féconds donnant naissance à des alevins parasités qui r é s o r b e n t d i f f i c i l e m e n t leur vitellus. C e t t e transmission verticale est un facteur de dissémi- nation très important du f c i t du c o m m e r c e des œufs. Aussi des mesures p r o p h y l a c t i q u e s visant à s'assurer de l'état sanitaire des géniteurs et des œufs doivent-elles être p r i s e s pour éviter une extension géographique de la parasitose.

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B I B L I O G R A P H I E

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W O L F K., 1969. Blue sac disease of fish. U.S. Bur. S p o r t Fish. and W i l d . FDL-15, 4 p.

Skin, kidney, gut and gonads are particularly infected. Infection of the ovaries gives rise t o parasitized eggs w h i c h on hatching p r o d u c e alevins having extrême difficulty a b s o r b i n g the yolk.

This direct t r a n s m i s s i o n is a very important disease scattering factor due to the large trcffic in fish eggs. So prophylactic measures c o n c e r n i n g b r o o d s t o c k and eggs must be a d o p t e d t o avoid w i d e s p r e a d dispersai of this parasitical disease.

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Fig. 1 — S a u m o n atlantique (Salmo salar) : hémorragies pelviennes précédant l'ulcération.

Fig. 2 — S a u m o n atlantique : lésions ulcéreuses d e la région céphalique.

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Fig. 3 — Rein de t r u i t e arc-en-ciel (Salmo gairdneri) infesté par des s p o r e s (flèches) très abondantes dans le tissu interstitiel.

Fig. 4 — M u s c l e strié de la région médio dorsale d'une truite fario (Salmo trutta fario.). Les spores (flèches) sont très n o m b r e u s e s dans les parties musculaires lysées.

Fig. 5 — Forme végétative (schizonte) à 4 noyaux, insérée entre les f i b r e s de la musculature dorsale d'une truite arc-en-ciel adulte.

Fig. 6 — Jeune p a n s p o r o b l a s t e en voie de division dans le vitellus d'un alevin de truite arc-en-ciel.

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