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Academic year: 2022

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 1

Rencontres Internationales Habitat coopératif comparé Vendredi 5 Juillet 2013

CHAIRECOOP- Université catholique de Lyon

Face à la crise financière et immobilière internationale que nous disent les pratiques de l’habitat coopératif ?

Comparaisons entre modèles latin et anglo-saxon

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 2

Universités et Organisations Associées à ChaireCoop

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 3 I. Les enjeux.

La montée en puissance de la spéculation immobilière à l’échelle internationale, dont les effets se font notamment sentir aux USA1 et dans bon nombre de pays européens, notamment en Europe du sud (Espagne2, Italie3, France..), se poursuit et s’amplifie. Le

« désencastrement »4 (K. Polanyi. 1944) du marché financier et immobilier du reste de la société, opère à plein : intensification de situations de mal logement, fort renchérissement des coûts de l’habitat vécu comme un bien à « haute intensité capitaliste » (Laville. 2006), éviction de populations fragilisées par le marché des centres urbains vers la périphérie, saisies immobilières, aggravation des situations d’habitat irrégulier ou insalubre - 800 millions de personnes vivent dans un « slum »(bidonville) selon un rapport 2010 de l’ONU5- et au final, inconsistance du droit au logement, que l’on définira comme l’accès effectif pour les habitants à un habitat abordable et à des services urbains de proximité.

1) La réémergence de la coopération habitative

En réponse à ce contexte de pénurie généralisée de l’habitat abordable en milieu urbain, de multiples initiatives en faveur de la promotion d’un habitat coopératif et non spéculatif, issues de la société civile et héritées du courant de pensée de la coopération sociale né à la fin du XIXième siècle (Mauss ; Polanyi ; Owen ; Gide..), opèrent une renaissance au sein des sociétés civiles américaine6 et européenne. Ces pratiques (praxis) sociétales, qui ont pu être occasionnellement relayées par des gouvernements locaux, ont donné lieu à des travaux scientifiques internationaux contemporains7 ; 8 et sont désormais clairement identifiables dans des contextes urbains multiples. Ces pratiques de réinvention coopérative sont repérables à la fois, sur le continent

1 Selon le cabinet américain spécialisé RealtyTrac, les saisies immobilières n’ont jamais été aussi élevées depuis cinq ans aux USA avec 2,8 millions d’habitations saisies en 2009 (+ 21 % par rapport à 2008 et + 120 % par rapport à 2007). http://www.realtytrac.com/trendcenter/

2 Charlotte VORMS.Surproduction immobilière et crise du logement en Espagne. La vie des idées. mai 2009.

3 Adriana Goni Mazzitelli. Rome : l’immigration au secours de la ville éternelle. (traduction par Agnès Sander. Métropolitiques, 25 juin 2012.

http://www.metropolitiques.eu/Rome-limmigration-au-secours-de.html.

4 Cf. Karl Polanyi. 1944. « La grande transformation. Aux origines politiques et économiques de notre temps ». 1983. Gallimard.

5 Collectif. Regards sur la terre. Presses de Sc Po.2010.

6 Voir le site National community land trust network.

http://www.cltnetwork.org/

7 Cf. Yann Maury. « Les coopératives d’habitants. Méthodes, Pratiques et Formes d’un autre habitat populaire» (dir) Bruylant. 2009 ; 2011.

http://fr.bruylant.be/auteurs/123264/yann-maury.html

8 Cf. Hubert Guillaud & Patrice Doat. Dir. « Culture scientifique &

technique de l’éco-habitat solidaire ».Rapport AE.CC.Craterre & Ensag.

Janvier 2012.

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 4 européen (coopératives d’habitants en Italie, Espagne, GB, Pays-Bas…) et

américain (community land trusts aux USA9, coopératives d’habitants en Argentine, Mexique, Uruguay10.) Elles donnent à voir des processus foisonnants : tant sur les modes et registres de la mobilisation des acteurs qui interviennent (associations de défense du droit au logement, gouvernements locaux, collectifs d’habitants, ONG…), des transactions sociales qui sont conduites en faveur d’un droit au logement abordable et non spéculatif (nouvelles articulations entre porteurs de projets et gouvernements locaux), que des normes d’action qui émergent de ces transactions( production de valeur non financière issue de la sociabilité primaire telle que le don, l’entraide mutuelle, la confiance etc…)

2) Les injonctions paradoxales de la coopération sociale

On peut plus précisément noter ici chez ces groupes d’habitants mobilisés, la capacité à produire de la valeur11 à l’occasion des pratiques et transactions coopératives qui se font jour. Précisons qu’il est bien question ici de valeur non financière, dont on peut extraire des composants tels que, la confiance en soi et la confiance dans les autres, l’entraide mutuelle, le partage des bénéfices réalisés, le travail et la sueur mis en commun, l’équité dans les charges à accomplir etc… Cette valeur non financière produite, relève de ce que Marcel Mauss dénomme la sociabilité primaire et qu’il résume dans sa formule désormais célèbre du « donner, recevoir, rendre »12. C’est aussi ce que P. Bourdieu qualifie à sa façon, « d’intérêt au désintéressement » ou de « formes d’intérêt non- utilitariste ».13 Pour illustration, le concept de « banque du temps »14,

9Lire notamment John Krinsky. “Watchful Stewards: Mutual Housing Associations and Community Land Trusts Preserve Affordable Housing” NHI.

March/April 1997

& THADEN E.; Outperforming the market: delinquency and forclosure rates in Community Land Trusts, Lincoln Institute of land policy, 2010.

10 Cf notamment les travaux de Marta Solanas. Thèse de doctorat en cours.« Quelle coopération internationale du mouvement des coopératives de logement en URUGUAY? ».Université de Séville.

11 Cf. A. Orléan. L’empire de la valeur. Refonder l’économie. 2011. Le Seuil. Site des économistes atterrés : http://atterres.org/Lire également : Vers un changement de paradigme en économie ? Franck BESSIS.

La vie des idées.11 juin 2012.

12 Marcel MAUSS. Essai sur le don. Puf. Editions 1950.

13 P. Bourdieu. « Un acte désintéressé est-il possible ? ». Raisons pratiques. 1994. P 160. Lire ici, « L’illusio chez Bourdieu. Les (més)usages d’une notion et son application au cas des universitaires ».Paul Costey. Tracés. 2005.

14 « Mélanger dans une banque un kilo d’échanges avec trois cents grammes de réciprocité et de socialisation. Ajouter une tasse d’amitié, trois cuillerées de sympathie, deux jaunes d’œuf de confiance et épaissir avec un sachet de joie. Bien mixer le tout avec une pincée de folie, une de magie et une de mystère. Asperger de couleur. Enfourner à la bonne température pendant le temps qui convient. Pour finir, saupoudrer de spontanéité, garnir de culture et d’art et servir avec

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 5 auquel s’adossent les coopératives italiennes, produit de la valeur non

financière qui, paradoxalement influe très directement sur la sphère marchande. Plus précisément, la banque du temps impacte les prix, les coûts et la production des biens immobiliers eux-mêmes, alors que son existence est d’emblée niée par les normes comptables et financières issues de l’économie de marché. « Aucun gouvernement, ni aucun marché ne sont en mesure de créer ce type de richesses, car elles reposent sur des relations sociales et morales enracinées dans le partage, la collaboration, la loyauté et la confiance (trust) entre les individus.

Eléments intangibles qui ne sont pas quantifiables et qui, du moins du point de vue des économistes, sont présumés n’avoir aucune espèce de conséquence», analyse avec pertinence D. Bollier, théoricien des biens communs15.

Or cette notion de valeur non financière que l’on retrouve au sein des pratiques de coopération habitative, questionne fortement - au minimum - la « doxa » financière néo-libérale. Doxa qui, dans la rhétorique et les pratiques des acteurs légitimes dans la gestion des biens et des marchés immobiliers, prétend à la conservation d’une situation de monopole. C’est ce que, à l’opposé des « formes d’intérêt non utilitariste », P Bourdieu dénomme « l’intérêt économique, synonyme de calcul intéressé », qui « a fait du calcul le mode de décision principal dans les échanges économiques ».16

En tout état de cause la valeur non financière produite par les coopératives d’habitants à l’occasion des transactions sociales qu’elles engagent, ne saurait être perçue comme de la non-valeur. Que cette sphère de la valeur non financière soit ou non « une sphère subordonnée ou mutilée(…) la servante méprisée et toutefois nécessaire de la splendeur marchande » 17, n’est pas le problème. En aucun cas elle ne peut être présentée comme de la « non-valeur ».

De ce fait même, il apparaît que la production de valeur non financière par les groupes coopératifs nécessite en retour l’invention d’un hybride comptable, qui soit en mesure d’appréhender la question du logement abordable, non pas en termes étroits de financements (qui sont par ailleurs toujours insuffisants lorsqu’il s’agit d’additionner les financements publics), mais en termes de ressources ; concept -clé qui apparaît être mieux à même d’appréhender le concept de valeur non financière, dans toute son envergure. Pour le dire autrement, la nomenclature comptable binaire « Actif/Passif » que l’on retrouve douceur la banque du temps ». Rosi D’Amico. En Italie, une autre économie. Le monde diplomatique oct.2012.

15 Cf. David Bollier.« Rediscovering our Common wealth. » Oregon Humanities. 2003.

16 CF. P Costey. Op cit. P 15.

17 « La valeur ne marche que parce qu’il y a la non-valeur (…) la sphère de la valeur et la sphère de la non-valeur forment ensemble la société de la valeur ». A. Jappe. Crédit à mort.2011. Lignes. p 147.

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 6 classiquement dans toute opération immobilière, devrait ici pouvoir

s’enrichir d’une nouvelle colonne de type « banque du temps ».

Déccoommppoossiittiioonn ppaarr ppoosstteess ddee llaa VVAALLEEUURR ffiinnaannccièrree dd’’uunn bbiieenn iimmmmobobiilliieerr mmaarrcchhaanndd

LLaa « BBaannqquuee dduu tteemmppss »

Comme production de valeur non financière

Second paradoxe, on peut observer parmi ces groupes coopératifs, la capacité à repositionner au sein des transactions sociales, des pratiques d’habitat précédemment illégal, irrégulier, qui se situaient ex ante en deçà des frontières de la légalité (occupations sans droit ni titre, squats...) Pour le dire autrement, opère ici par le biais de contrats coopératifs, un retour ex post à des pratiques « mainstream », qui répondent désormais à la règle de droit, sous ses différentes formes et modalités de normalisation sociale. Il en est ainsi pour illustration des contrats individuels qui sont établis entre chaque auto constructeur et la CSBA18, à l’occasion des chantiers coopératifs que cette ONG anime en

18 Community Self Build Agency.

Profit du marché (20%) Profit entreprise (10%) Coût main d’œuvre (16,5%)

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 7 GB19; il en est de même des contrats collectifs qui définissent avec la plus

grande minutie, les modes de faire et les obligations respectives régies entre coopératives romaines « d’autorecupero » (recyclage de bâtiments publics vacants) et les gouvernements locaux (ville de Rome, région Lazio bailleurs publics…). Au final, l’observation de l’ensemble de ces pratiques coopératives montre que des populations fragilisées par le marché sont en mesure de s’auto-organiser et de produire des biens et de la valeur, que ni les firmes (le marché), ni les agences centrales (l’Etat) ne sont en mesure de générer (Ostrom.2010), tout en inversant les logiques néo- libérales en cours de spéculation financière, de rente immobilière et de prédation capitaliste20.

19Cf. « L’art de refaire son intérieur ».2011.

http://www.youtube.com/watch?v=wyIOiM5GqIk

20 « Le capital est moins un moyen de production qu’un moyen de prédation pour s’approprier privément une richesse produite collectivement(…) Les pratiques d’affaires sont donc des pratiques prédatrices de sabotage industriel et la dynamique économique en cause ici n’est plus un jeu à somme positive ou nulle, mais un jeu à somme négative ». Marc-André Gagnon. Penser le capitalisme cognitif selon Thorstein Veblen. 2007. Revue Interventions économiques. P 8.36. Lire également. Veblen, Thorstein (1970) [1899], Théorie de la classe de loisir. Gallimard, Paris.

A

Auuttooccoonnssttrruuccttiioonn nneeuuvvee aaccccoommpapaggnéee C

Coommmumunnee ddee MMAARRSSCCIINNOO.. «« CCoooopérraattiivvee CCaassa a TTuuaa »».. D

Dooccuummeennttss AALLIISSEEII.. IIttaalliiee..

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 8 II. Les rencontres internationales de Lyon (UCL) 4-5 Juillet 2013) 21 se

proposent d’entamer un travail de comparaison (et non d’opposition) entre les modèles latin et anglo-saxon renaissants de la coopération sociale et leur traduction dans le domaine de l’habitat abordable : Community Land Trust 22 d’un côté et coopératives latines d’habitants de l’autre.

1) Il s’agira de revisiter les principes de fonctionnement, d’en vérifier les bienfondés, mais également d’en pointer les éventuelles limites.

2) On s’intéressera également aux racines historiques de ces mouvements coopératifs latin et anglo-saxon.

3) Enfin, une qualification plus précise des évolutions contemporaines de ces groupes coopératifs (GB, USA, Italie, Espagne, Uruguay…) et des stratégies mises en place par les acteurs mobilisés (agences centrales, autorités publiques locales, acteurs privés etc..) sera engagée. (Politiques fiscales de soutien, délégation du droit de préemption à des groupes coopératifs, fonds de soutien, finance éthique, « banque du temps »…)

Le contexte régional en Rhône Alpes

Pour mémoire rappelons en région Rhône Alpes, l’existence d’un contexte favorable, car sensibilisé à cette thématique de l’habitat coopératif. On peut ainsi identifier principalement les initiatives conduites par la direction régionale des politiques territoriales, les travaux menés par de multiples associations qui œuvrent sur le territoire régional en faveur d’un droit effectif au logement (Compagnons bâtisseurs, Regain, Les Habiles, Quartiers & villages solidaires (APAC) etc…), la création d’un atelier « habitat coopératif » au sein de l’observatoire régional de l’habitat et du logement (ORHL), la production scientifique de différents chercheurs mobilisés sur ces thématiques au sein de différents centres de recherche régionaux (ouvrages collectifs, films documentaires, deux thèses de doctorat sur l’habitat coopératif sous l’égide de Chairecoop & CRATERRE.

ENSAG & Ecole doctorale Science & Territoires & Sociétés), rapprochement avec des écoles doctorales (Séville, Palerme, Barcelone..), enfin des enseignements ciblés et des offres de stages internationaux mis en place à l’ENTPE sur la thématique de l’habitat coopératif. (Londres, Rome, Berlin, New York, Barcelone...)23.

21 Le 4 Juillet 2013 est consacré au comité de pilotage et à une rencontre interne à la chaire internationale avec les institutionnels qui soutiennent CHAIRECOOP. Le vendredi 5 Juillet 2013 auront lieu les rencontres internationales ouvertes au public. (Université catholique de Lyon).

22 Cf. De l’oubli à sa renaissance, le modèle coopératif anglo-saxon des Community Land Truts.2011. In les coopératives d’habitants. Y Maury. Op cit.

23 Diverses initiatives sur cette thématique de l’habitat coopératif et du coopératisme sont intervenues depuis 2005, avec le plein soutien de la région Rhône Alpes (Direction des Politiques territoriales, direction de la recherche), de l’ENTPE (DFC) et du ministère du logement

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 9 III. Quatre tables rondes (5 Juillet 2013) (cf. annexe jointe)

TABLE RONDE 1/ Valeur financière, valeur non financière ou non- valeur ? Face à la spéculation foncière et immobilière, comment appréhender l’apport de l’économie coopérative dans le secteur du logement abordable ?

TABLE RONDE N° 2/ Du squat (ou de l’occupation illégale) à la coopérative d’habitants, comment déplacer les frontières du droit dans la production de logements abordables ?

TABLE RONDE N° 3/ Les coopératives d’habitants, quel renouveau pour la démocratie sociale ?

TABLE RONDE N° 4/ Coopératives d’habitants, du Nord au Sud, des montages et des histoires singulières.

IV. Réseau scientifique, associatif et coopératif invité sous l’égide de la chaire internationale

USA

John Krinsky. Professeur. Département de Science politique. City College of New York. jkrinsky.ccny@gmail.com

Tom Angotti. Professeur. Hunter College – CUNY.

tangotti@hunter.cuny.edu.

Brenda TORPY. btorpy@champlainhousingtrust.org Burlington associates. Burlassoc burlassoc@aol.com

Emily THADEN. emily@cltnetwork.org CLT network. Portland.

www.cltnetwork.org

Kendall Jackman. Picture the homeless (New York) &

www.picturethehomeless.org/blog

GB

John Gillespie. Community Self Build Agency. GB johngillespie@csba.freeserve.co.uk

Leyli Ismail Habitante de la cité coopérative « The Pheonix project ». CSBA. Londres. leylileigh2001@yahoo.com

Maria Brewster maria@biennial.com. “2up-2down” Homebaked

Community Land Trust. Liverpool.

http://www.2up2down.org.uk/about/egestas-elit/

Jayne Lawless. artist, local resident, and member of the Homebaked CLT Board

(direction de la recherche, PUCA etc...) : organisation de colloques internationaux (2005, 2008), programme de recherche (CPVS), dispositifs

« d’éducation populaire » à la question comparée de l’habitat coopératif en Europe (voyages coopératifs à Rome, Londres, Barcelone – 2011/2012).

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http://chairecoop.hypotheses.org/ 10 Italie

Maurizio Crocco. maurizio.crocco@fastwebnet.it Architecte de la coopérative « Vivere 2000 ». Roma.

Salvatore Di Cesare. Habitant de la coopérative Vivere 2000.

(Roma)

Unione Inquilini. Roma. http://www.unioneinquilini.it/

Cesare Ottolini. International Alliance of Inhabitants info@habitants.org

Vincenza Bondi. Doctorante. Chaire “Habitat coopératif” &

Université de Palerme. v.cinziab@gmail.com

Adriana Goni. gonadma@gmail.com Université Roma Tre.

Laboratorio Arti Civiche. via Madonna dei Monti 40 – 00184 – Roma- tel: 0039 06573396-77/2- info@articiviche.net

Espagne

Marta Solanas. Ecole doctorale de l’Université de Séville.

msoldom@upo.es & Coopérative “Mas que un casa”.

Alejandro Muchada. Architecte. amuchada@gmail.com Coopérative “Mas que un casa”.

Emanuela Bove e_b@libero.it Architecte. Membre du collectif « Repensar Bon Pastor » Barcelone.

Luis Nuevo Diaz habitant de Bon Pastor. collectif « Repensar Bon Pastor ». repensarbonpastor@gmail.com

Uruguay

Raúl Vallés. Architecte, directeur de l’Unidad Permanente de Vivienda. Faculté d'Architecture. Montevideo. ravalles@gmail.com / http://www.fucvam.org.uy/

Benjamin Naoum. Ingénieur social. bnahoum@adinet.com.uy Conseiller technique à la FUCVAM. http://www.fucvam.org.uy/

France (conférenciers)

Sophie Cartoux. Les compagnons bâtisseurs.

s.cartoux@compagnonsbatisseurs.org

Hubert Guillaud CRAterre. Directeur. guillaud.h@grenoble.archi.fr)

Eric Ruiz. eric.ruiz@lametro.fr. Directeur du GPV. Métro Grenoble.

(CRAterre)

Bernard Devert. Président fondateur d’Habitat & Humanisme.

b.devert@habitat-humanisme.org

Jean-Paul Sauzede jpsz@free.fr HABICOOP

Olivier David. HABICOOP olivier.david@habicoop.fr

Jean Siry. Militant associatif. Association Habiter Autrement 63.

jsiry@orange.fr

Yann Maury. Chercheur. Docteur d’Etat en Science Politique. ENTPE

& Labex CRAterre. Titulaire de la chaire CHAIRECOOP.

Yann.MAURY@entpe.fr

(11)

http://chairecoop.hypotheses.org/ 11 France (institutionnels soutiens de la chaire & invités)

Marie Odile Novelli. Vice-Présidente Région Rhône Alpes.

Voiturier Luc. Région Rhône Alpes

Marion Dunoyer. Région Rhône Alpes

Christian Laidebeur. Fondation de France

Patrice Cieutat. Fondation de France

Jean Pierre Mongarny. Fondation Crédit Coopératif

Marine Leenhardt. Fondation Crédit coopératif

Thierry Lemant. Scet. CDC.

Isabelle Laudier. Fondation recherche CDC

Laurent Monnin. CDC.

Sylvain Petitet. EGIS France.

Olivier Frerot. Vice-recteur. UCLy

François Victor. DFC. ENTPE.

Clotilde BUOT. Association des Etudes Foncières. ADEF.

Thierry Geoffroy. Craterre. Ensag.

Animations Ateliers

SCOP. ARDELAINE. St Pierre Ville. Ardèche. Gérard & Béatrice BARRAS. bea.barras@ardelaine.fr & http://www.ardelaine.fr/

ARTGRAPHIQUE. Montpellier. 34000. http://www.artgraphique.org/

Références

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