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Academic year: 2022

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Texte intégral

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réalitésarchéologiquesethistoriquesDes « Dépôts » Dela préhistoireànosjours

XXIXe rencontres internationales d’archéologie et d’histoire d’Antibes Sous la direction de S. Bonnardin, C. Hamon, M. Lauwers et B. Quilliec Éditions APDCA, Antibes, 2009

Résumé

La consommation des produits remarquables des ateliers du Grand-Pressigny est encore mal connue dans l’aire de production. En prenant en compte l’étude fonctionnelle de produits laminaires provenant de différents types de sites, dont le dépôt de lames brutes de La Creusette, des interprétations sur le statut socio-économique des grandes lames et la place des dépôts dans le circuit économique local sont discutées.

Abstract

The use of remarkably long blades from the Grand-Pressigny workshops is barely known on the production floor. We look at the functional studies done on the blades from different types of sites, including la Creusette blade hoard, interpretations on the long blades social and economical status and the location of the hoards in local economic networks are discussed.

Consommer, stocker et exporter.

Analyse tracéologique de grandes lames livre de beurre de la région des ateliers du Grand-Pressigny au Néolithique final

Jimmy Linton*

* UMR 5594 ARTeHIS, Université de Bourgogne, 6 bd Gabriel, 21000 Dijon. <jimmydlinton@

yahoo.fr>

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Le silex du Turonien supérieur de la région du Grand-Pressigny (Indre-et- Loire) a fait l’objet d’une exploitation intensive pour la production de gran- des lames au cours de la première moitié du troisième millénaire av. J.-C. Une grande partie des lames et des éclats produits ont circulé sur de grandes dis- tances pour approvisionner des sites récepteurs éloignés jusqu’à plusieurs cen- taines de kilomètres (Mallet, 1992 ; Delcourt-Vlaeminck, 1999 ; Ihuel, 2004), mais certaines grandes lames brutes ont été sélectionnées pour être déposées en fagots à proximité des ateliers et des points d’extraction. Deux dépôts de ce type ont été mis au jour dans la vallée de la Creuse, aux Ayez et à La Creusette (fig. 1) (Cordier, 1961 ; Geslin et al., 1970). L’utilisation en amont des circuits de diffusion de ces produits lithiques issus de débitages spécialisés est encore mal connue, alors que des travaux illustrent leur utilisation en contexte d’im- portation (Vaughan, Boquet, 1987 ; Anderson et al., 1992 ; Plisson et al., 2002 ; Beugnier, Plisson, 2004). Quatre sites de la zone de production ont donc fait l’objet d’une analyse tracéologique afin de documenter l’utilisation des gran- des lames : l’aire de débitage de Bergeresse, le dépôt de grandes lames de La Creusette et deux sites ayant livré des vestiges d’occupation domestique : Les Marais et Le Foulon. La méthode utilisée combine classiquement les observa- tions à faible et fort grossissement afin de prendre en compte les caractères macro- et microscopiques des traces d’utilisation.

Organisation de la production

La méthode de débitage livre de beurre nécessite un haut niveau de savoir- faire, car elle met en œuvre une chaîne opératoire complexe avec des stades bien individualisés (Kelterborn, 1981 ; Pelegrin, 1997 ; 2002). La mise en forme des ébauches de nucléus se fait à la percussion directe, mais la préparation proprement dite, l’entretien de la surface de débitage à partir des crêtes laté- rales et le débitage des lames se font par percussion indirecte (Pelegrin, 2002).

Deux modèles d’organisation spatiale de la production ont été reconnus (Millet-Richard, 2006). L’exploitation des nucléus a pu être menée sur le lieu même de l’extraction des dalles, mais la phase de mise en forme des ébauches de nucleus par percussion directe peut aussi être spatialement dissociée de la phase d’exploitation des nucléus. Les ébauches dégrossies font alors l’objet d’une mise en forme finale et les nucléus sont exploités, soit dans des aires de production dédiées, comme à Bergeresse, soit à proximité ou à l’intérieur de zones d’habitat, comme au Foulon et au Petit Paulmy à Abilly. Dans le dernier cas, le débitage réalisé sur place fait alors appel à différents niveaux de savoir- faire, car la production de grandes lames et le débitage sommaire de lames ou d’éclats par percussion directe coexistent pour fournir des supports d’outils.

Les types d’outils les mieux représentés dans ces assemblages sont les racloirs à encoches réalisés sur éclat ou lame large, les éclats retouchés et les « poi- gnards » ou fragments sur grandes lames ; grattoirs, microdenticulés sur peti- tes lames, tranchets, racloirs, burins et pics sont aussi attestés (Millet-Richard,

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1995 ; 1998). Les poignards ne sont pas réalisés sur de très grandes lames, mais sur des supports qualifiés de second choix.

Analyse techno-fonctionnelle

Le site de Bergeresse (Abilly) s’organise en plusieurs zones de débitages (Verjux et al., 2008) et, mis à part quelques outils isolés, l’absence de structu- res et de vestiges d’habitat semblent indiquer que le site est déconnecté de la sphère domestique. Un test tracéologique exhaustif a été réalisé sur l’amas de débitage E_26, qui a livré plusieurs kilos de déchets de taille, et sur un échan- tillon de pièces brutes et retouchées de l’amas H_21. Il apparaît qu’un seul pro- duit laminaire, parmi la quantité importante de déchets de débitage étudiés, est marqué par des stigmates d’utilisation (Ibid.) : un long fragment de grande lame brute issue de nucleus livre de beurre cassée au débitage. Une courte lan- guette supérieure est visible sur la fracture distale qui a eu lieu au niveau d’une géode, et semble être la cause de la fracturation. Les stigmates d’utilisation sont faiblement marqués, mais suffisamment pour affirmer que les deux tranchants ont été utilisés, le diagnostic des matières travaillées doit donc être considéré avec réserve. Le bord droit est affecté par une usure d’action longitudinale sur une matière indéterminée relativement résistante, et le bord gauche par des stigmates d’action longitudinale sur une matière plus dense, comme l’atteste le poli plus marqué et les ébréchures plus nombreuses, il s’agit peut-être du travail de végétal ligneux.

1 km 0

N

M - Linton 01

50 m

120 m

144 m

150 m

132 m

Bergeresse

La Creusette

Les Marais Les Ayez Creuse

Fig. 1. Sites de la vallée de la Creuse étudiés ou mentionnés : aire de débitage de Bergeresse (Abilly), dépôt de La Creusette (Barrou), fosse des Marais (Barrou), dépôt des Ayez (Barrou). Les affleurements de tuffeau jaune à dalles de silex du Turonien supérieur sont figurés en pointillé.

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Le dépôt de La Creusette (Barrou) contenait 134 lames brutes entières et 4 fragments dont l’appartenance au dépôt est incertaine (Geslin et al., 1975 ; Pelegrin, 1997) ; l’incertitude est liée au contexte de mise au jour, car la motte de terre retournée par l’engin agricole à l’origine de la découverte contenait divers fragments, dont la plupart furent ensuite raccordés à des pièces du dépôt à l’exception de quatre éléments. L’analyse tracéologique, qui a porté sur les 138 pièces de l’ensemble, permet d’affirmer que les 134 lames du dépôt stricto sensu sont non seulement brutes, mais dénuées de tout stigmate d’utilisation.

En revanche, il apparaît qu’un des fragments de lame (fig. 2, no 3), parmi les quatre dont l’attribution au dépôt est incertaine, est marqué par des stigmates d’utilisation en action longitudinale. Le fil du tranchant est affecté par des enlèvements marginaux bifaciaux et un poli d’aspect moutonnant. La matière travaillée est relativement dure, peut-être un végétal ligneux. Il faut noter, là aussi, que cette pièce utilisée s’est fracturée au débitage au niveau d’une inclu- sion cristallisée, comme le montre le réfléchissement partiel distal.

Le site du Foulon (Abilly), mis au jour par F. Berthouin, a livré une concen- tration de mobilier qui se composait de rejets domestiques (céramique, faune, industrie sur bois de cervidé, outillage en silex) et d’une quantité importante de déchets de débitage relatifs à la production de grandes lames (Berthouin, 1980). Le site a ensuite fait l’objet d’une fouille programmée (Millet-Richard, 1995 ; 1998). L’étude tracéologique a porté sur 108 pièces brutes et retouchées de la série collectée par F. Berthouin. L’outillage en silex est réalisé sur plusieurs types de supports, ce qui semble attester une gestion complexe des productions intégrant, de manière complémentaire, les produits de différents types de débi- tage (Millet-Richard, 1998 ; Linton, soumis). Les produits du débitage des livres de beurre sont largement sollicités, mais ce sont les éclats de préparation et d’entretien des nucléus qui sont majoritairement transformés en outils. Parmi l’échantillon étudié, il apparaît en effet que seuls deux fragments de grandes lames de livre de beurre sont marqués par des stigmates d’utilisation (Linton, soumis). L’un d’entre eux ayant servi à scier une matière dure, probablement du bois de cervidé, a très certainement été brisé au débitage.

La fosse des Marais (Barrou), qui se situe dans un ancien lit de la Creuse, est large de « trois à quatre mètres » et comblée par une alternance de limons tourbeux, de limons argileux et de fumier lacustre (Alain 1981, Freslier, 1979 ; Mallet, 1986). La fouille, réalisée en urgence, a permis de récolter un matériel abondant qui se compose, là aussi, à la fois de déchets de débitage relatifs à la production de grandes lames et de rejets domestiques. Parmi les outils de l’assemblage, quatre fragments de lame livre de beurre utilisés ont pu être iso- lés. Deux sont affectés par des stigmates de récolte de céréales (fig. 2, no 1 et 2), un autre présente un bord microdenticulé qui a servi en action transversale sur une matière végétale et un dernier fragment est affecté par des stigmates de sciage de matière dure, probablement un végétal ligneux. Une des lames ayant coupé des céréales présente un poli à composante abrasive en partie distale, qui pourrait attester la pratique de la coupe basse (Clemente-Conte, Gibaja, 1998).

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Bilan et discussion

Dans l’aire de production, les grandes lames étaient donc utilisées brutes ou aménagées par une retouche irrégulière, uniquement sous la forme de frag- ments, et cette observation se répète dans les trois types de sites analysés. On remarque aussi que la gestion des supports par la retouche ne semble pas avoir été pratiquée, contrairement à ce que l’on peut observer en contexte d’im- portation. De plus, certains des fragments utilisés ont été brisés au débitage ; ils étaient donc écartés des lames entières et probablement considérés comme des produits secondaires, au même titre que les éclats de préparation et d’en- tretien qui, au côté de produits issus de débitages plus simples, représentent l’essentiel des supports d’outil dans les assemblages domestiques. Les lames brutes entières sont attestées uniquement en contexte de dépôt, et l’analyse de

M - Linton 02

Composante abrasive

A

B

0,2 mm

0 0 0,2 mm

3 cm 0 3 cm

0 A : face inf. x 100 B : face inf. x 100

Zu 1

Zu 2

Zu 3 3

1

2

Fig. 2. Fragments de lames issues de nucleus livre de beurre utilisés bruts. 1 et 2 : Les Marais (Barrou) ; 3 : Dépôt de la Creusette (Barrou). Ombrages M. Brunet.

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celui de La Creusette montre qu’elles ne présentent pas de stigmates d’utilisa- tion. Il y avait donc une différence de statut entre les grandes lames entières et les fragments. Ces derniers pouvant être intégrés à l’outillage de la vie quo- tidienne, ils avaient donc probablement une valeur moins importante que les lames entières qui étaient exportées ou sélectionnées pour être « déposées ». À ce titre, les dépôts semblent avoir eu une valeur socio-économique qui dépas- sait la simple réserve d’outils (Astruc et al., 2003) et constituaient plus certaine- ment des stocks de supports destinés à être exportés (voir également Aubry et al. et Angevin, Langlais, ce volume). Il apparaît ainsi que les différents produits issus des nucleus livre de beurre faisaient l’objet d’une gestion relativement complexe, une économie du débitage (fig. 3), destinée à satisfaire différents niveaux de besoin.

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M - Linton 03

Nucleus Livre de beurre

Éclats de préparation

et d'entretien Grandes lames

cassées au débitage Grandes lames entières

Utilisation sur place Dépôt

Consommer Stocker

? ?

Exportation Exporter

Fig. 3. Gestion des différents produits issus du débitage des nucleus livre de beurre dans l’aire de production.

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