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part intérêt atteinte test latex d'untest interprétation adaptation introduite ET L'IMMUNOÉLECTROPHORÈSE TEST

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(1)

LE TEST AU LATEX APPLIQUÉ

AU DIAGNOSTIC SÉROLOGIQUE DE L'AMIBIASE : VALEUR COMPARÉE

A CELLE DE L'IMMUNOFLUORESCENCE

ET

DE L'IMMUNOÉLECTROPHORÈSE(*)

Par G. NIEL, M. GENTILINI, G. CHARMOT (**) et Mme J. COUTURE (***) (****)

INTRODUCTION

L'agglutination des particules de latex sensibilisées, le plus récent

des tests sérologiques diagnostiques de l'amibiase, a été introduite

en 1970 (3) et particulièrement étudiée par MORRIS, POWELL et ELS-

DON-DEW en Afrique du Sud (4-5).

Les servitudes techniques de la double diffusion en gélose, mise au point et utilisée par ces auteurs depuis 1961, son adaptation

difficile aux enquêtes de masse et son interprétation parfois délicate, justifiaient la recherche d'un test rapide, simple et néanmoins témoin

fidèle de l'invasion amibienne. Le test au latex répond partiellement

à ces critères. Selon MORRIS et al. il est apte à révéler une atteinte tissulaire — non exclusivement hépatique évolutive ou non, présente ou passée, caractère qui marque d'emblée son intérêt et

ses limites. A l'occasion de sa récente diffusion aux U. S. A, et en Afrique du Sud, sous une forme commercialisée, nous croyons utile d'inventorier ses possibilités, dans le cadre de notre expérience, confrontées à celles de l'immunofluorescence et de l'immunoélec- trophorèse.

MATÉRIEL ET MÉTHODES

Sérums. — 162 sérums ont été examinés parallèlement en latex et en immunofluorescence, et 72 d entre eux également en immuno- électrophorèse. Ils provenaient pour une large part de notre recru-

(*) Travail du laboratoire Central de Parasitologie (Professeur Agrégé M. GEN-

TILINI). C. H. U. Pitié-Salpêtrière, 83, Boulevard de l'Hôpital, 75-Paris (13e).

(**) Ancien Professeur du Service de Santé des Armées, attaché à l'Hôpital Claude-Bernard et à l'Hôpital Pasteur (Paris).

(***) Nous remercions tout particulièrement Mlles DE WAEGENEER, M. VATEL

et Mme B. LECLERC pour leur aide technique.

(****) Séance du 14 juin 1972.

(2)

tement hospitalier. Certains nous furent adressés par nos corres-

pondants en Afrique de l'Ouest (*).

Ils comprennent (tableau I) :

74 amibiases hépatiques confirmées

avant

ou après

traitement

;

36 amibiases coliques dysentériques ou non ;

52 sérums témoins provenant d'affections diverses : hydatidoses, distomatoses, hépatites virales, bilharzioses, filarioses.

TABLEAU 1

Répartition des 162 sérums étudiés.

Nombre

T_ Latex Latex

Renseignements6

,

de serums IE

-

IE + IF

-

IF + (—)

( ,

+ ).

Amibiase hépatique avant trai-

tement 47 o 29 o 47 5 42

Amibiases hépatiquesaprès trai-

tement 27 o 24 o 27 11 16

Amibiases dysentériques

...

21 0 12 0 21 12 9

Amibiases coliques non dysenté- riques et colopathies post-ami-

biennes 15 1 2 6 9 11 4

Affections non amibiennes 52 3 1 48 4 47 5

Total

...

162 4 68 54 108 86 76

ANTIGÈNES ET MÉTHODES

Pour

le test au latex, les réactifs utilisés proviennent de trois sources.

d'une

part,

nous devons à l'amabilité des Docteurs POWELL et

Mc FADZEAN plusieurs échantillons, sous forme précommercialisée, d'antigènes de culture axénique d'origine sud-africaine.

d autre

part,

nous avons bénéficié de lots récemment commer-

cialisés aux U. S. A. d'antigènes de même type et préparés selon

les auteurs sud-africains (—) (**).

De présentation comparable, les nécessaires comportent

l'anti-

gène lyophilisé et la suspension de latex à mélanger extemporanément

ainsi que des témoins négatif et positif. Chacun d'eux nous a permis

de réaliser douze à quatorze tests qualitatifs.

— Enfin ce travail a également utilisé un antigène personnel

(*) Nous remercions tout particulièrement le Professeur Agrégé M. BOUVRY

(Abidjan), les Docteurs ROUSSILHON (Yaoundé) et ALBERT (Bobo-Dioulasso).

(**) « Seramœba» laboratoires Ames, département des laboratoires Miles (51, rue Cardinet, Paris) auxquelsnous adressons nos remerciements.

(3)

dont nous donnons ci-après les caractéristiques, une suspension de

latex 0,81 [1. (Difco) et un tampon glycocolle.

Ces sérums ont été examinés pour 1/3 d'entre eux avec chacun des lots d'antigène. A partir d'une solution mère comportant 2 mg. 5/ml.

d'antigène brut, titrée selon BENEX (*) (I), la réaction est effectuée par mélange à parties égales de sérum inactivé, et de latex sensi- bilisé sous agitation pendant 5 minutes.

Pour l'immunoélectrophorèse

(I. E.).

— Nous avons utilisé notre antigène (**) développé en culture monoxénique (clostridium welchii)

sur milieu diphasique EGG-LOCKE et préparé par congélations et décongélations successives, centrifugé, dialysé et lyophilisé.

Il comporte environ 5 X 106 amibes par milligramme et sa solu- tion mère : pour l'immunoélectrophorèse; environ 500 X 106 amibes par millilitre (40 mg. de protéine/ml.) et pour le latex 12 X 106

amibes/ml. (i mg. de protéine/ml.).

La migration électrophorétique est effectuée en gel d'agarose

à 0,90 0/0 en tampon véronal sodique pH 8,2 Fi 0,1 sous une DDP de

22 volts pendant 2 heures.

Pour l'immunofluorescence

(I.

F.) — La même souche est traitée

selon la technique de GOLDMAN (2), conservée sur lame à 20° et

soumise à la méthode indirecte classique. L'antiglobuline fluorescente de lapin est préparée par nos soins, et diluée en présence de TWEEN 80 et de bleu Evans. L'équipement optique, sur LABORLUX LEITZ, comporte une lampe HBO 200, un filtre BG 12-4 mm. et un con- denseur à fond noir.

Les sérums sont étudiés en dilutions de raison 3 à partir de 1/50.

RÉSULTATS

47 amibiases hépatiques avant traitement ont été examinées parallèlement en latex et en immunofluorescencedont 29 en immuno- électrophorèse. Toutes sont positives en immunofluorescence de 1/150 à 1/8.000. 42 d'entre elles montrent un titre supérieur ou égal

à 450. 5 sont négatives en latex dont deux présentent des titres

élevés en immunofluorescence — de 3 à 13 arcs sont révélés en immunoélectrophorèse (tableau II).

S'y ajoutent 27 amibiases hépatiques après traitement, toutes

examinées, à distance variable de celui-ci, en immunofluorescence

(*) Nous sommes reconnaissants à Mlle BENEX d'avoir bien voulu nous con- seiller.

(**) Souche N 68 due à l'amabilité du Docteur Mc FADZEAN.

(4)

TABLEAU II

Répartition des sérums positifs.

I. — 47 amibiases hépatiques avant taitement

I. F. titres 150 300 450 900 1.350 2.700 4.000 8.000 Total

Latex positif

....4066

13 5 7 1 42

Latex

négatif. 012 0

1 1 o o 5

1. E. — nombre d'arcs

moyen (*)

....

5,2 5 4,8 4,7 6 6,5 29

II. 21 amibiases dysentériques

I. F. Titres o 50 100 150 300 450 1.350 2.700 Total LatexLatex positif.

négatif. ....0004 070 2

11 o2 21 o1 129

I. E. — nombre d'arcs

moyen

(*)....

1 4,4

6 4

6 5 12

III. 15 amibiases coliques non dysentériqueset colopathies post-amibiennes

Latex positif

....1100

2 o o o 4

Latex négatif.I. E. — nombre

533

d'arcs

0

0 0 0 0 il

moyen

(*)....

o 5 3

(*) I. E. : immunoélectrophorèse.

et

titrant

de 50 à 2.700 24

d'entre

elles, contrôlées en immuno- électrophorèse ont montré de 3 à 9 arcs. 16 sont positives en

latex

(tableau I).

Les 36 amibiases coliques ou colopathies post-amibiennes, toutes étudiées en immunofluorescence, se répartissent en deux groupes (tableau II).

21 sujets

présentant

un syndrome dysentérique aigu ou subaigu

titrant

de 50 à 2.700 en immunofluorescence, dont 9 sont positifs

en latex (42,8 0/0). Les 12 sérums examinés en immunoélectropho- rèse ont montré de l à 7 arcs.

15 amibiases coliques et colopathies post-amibiennes dont

4 positives en latex et 6 en immunofluorescence.

(5)

Les 52 témoins comportent 13 hydatidoses, 3 distomatoses, 10 bil- harzioses, 10 hépatites virales et divers sérums d'abcès hépatiques non amibiens, d'hépatomégalies non fébriles, de filarioses toxoplas- moses, infections pleuropulmonaires, etc...

49 sont négatifs en immunofluorescence 5 dont 2 d'origine africaine,

titrant

50 en immunofluorescence, sont positifs en latex.

COMMENTAIRES

Ces résultats appellent les commentaires suivants :

Nous nous sommes limités au test qualitatif. Bien qu utilisable dans une gamme de titres jusqu'à 64, la technique quantitative nous

semble inadaptée aux buts de ce test, sa reproductibilité se montre

en défaut et sa signification discutable. Bien que les résultats des deux types d'antigènes soient proches, le produit de cultures mixtes

a fait preuve d'une moindre sensibilité traduite par une apparition

plus lente des agglutinations. L'antigène de culture axénique lui doit être préféré.

La plupart des amibiases hépatiques (89,3 0/0) sont positives à

des degrés divers. Il existe une certaine concordance entre l'agglu- tination exprimée en et le titre de l 'immunofluorescence. Cepen-

dant, les dissociations ne sont pas rares.

-

D'une part, les 5 sérums négatifs présentent des titres notables, dont 2 élevés, en immunofluorescence, et 3 fortes réponses en immuno- électrophorèse (tableau II).

D'autre part, pour 5 immunofluorescences de titre faible, difficilement interprétables, 3 se voient confirmées par l agglutination et 2 par l'immunoélectrophorèse.

A considérer les sérologies dissociées, la valeur diagnostique des couples (IF-IE) et (IF-latex) est comparable.

30 Le comportement du test au latex dans les amibiases dysenté- riques aiguës ou subaiguës, comme celui de l'immunofluorescence,

est variable, et leur confrontation parfois déroutante. Une gamme très large de positivités est observée en immunofluorescence. Elle inclut des titres élevés — chez l'africain essentiellement — confirmés

par l'immunoélectrophorèse et interprétés comme traduisant le

degré de l'atteinte tissulaire.

Il existe un pourcentage plus faible de latex

+,

dans le groupe

des amibiases non dysentériques, dysentéries anciennes, porteurs

de kystes ou de formes minuta, colopathies post-amibiennes. Il

faut y noter, la présence de quelques positivités isolées. L 'immuno-

fluorescence s'y montre plus sensible.

40 L'étude de 52 témoins est insuffisante pour apprécier la spéci-

(6)

ficité de ce test. Elle révèle néanmoins 5 positivités anormales, sans correspondance en immunofluorescence, dont deux très franches dans une hydatidose et une encéphalite toxoplasmique.

Notées en présence de l'antigène d'origine axénique elles ne peu-

vent

être attribuées aux contaminations par la flore microbienne et justifient une enquête plus complète, notamment au cours de néo-

plasies, et de syndromes infectieux. Elles conduisent à critiquer

la signification des positivités même associées à une immunofluores- cence positive. Le

titre

de cette dernière nous semble

d'autant

plus

important

à préciser.

Evolution post-thérapeutique (tableau III).

TABLEAU

III

Test au latex : Evolution après traitement.

Immuno- Immuno-

Renseignements électrophorèse fluorescence Latex

Arcs Titres

3125 Abcès amibien du foie 3 150 +

id. 6 jours après début du traitement. 4 1-350 + + +

id. 15 jours après début du traitement. 5 2.700 + +

3303 Abcès amibien du foie 6 + + +

id. fin du traitement 6 1-350 + + +

3651 Abcès amibien du foie 12 150 + + +

id. 10 jours après traitementmédical et

chirurgical 10 1.350 + + +

3815 Amibiase hépatique 1 mois après trai-

tement 9 1-350 + + +

3439 1 mois 1/2 après Flagyl 5 ï-SS0 0

3152 1 mois 1/2 après Émétine

....

5 1-350 + + +

3921 Abcès amibien du foie opéré 3 mois

auparavant 5 900 + + +

3782 Amibiase hépatique 6 mois après trai-

tement 3 450 0

3832 Amibiase hépatique 7 mois après trai-

tement 4 300 ±

3021 Abcès amibien du foie 6 mois après

traitement 2 150 0

3534 Abcès amibien du foie 10 mois après

traitement 3 150 0

3955 Abcès amibien du foie opéré 1 an aupa-

ravant

...

2 450 + +

Dans les amibiases viscérales, si l'agglutination n'est pas maximale d'emblée, la thérapeutique majore les positivités parallèlement à l'élévation des titres en immunofluorescence. Les tests initialement

négatifs le demeurent après

traitement.

Les positivités persistent au moins 3 mois après celui-ci. Dans notre expérience, le latex est habituellement négatif à

partir

du 6e mois alors que

l'I.

F. et l'1. E.

restent

positives. Dans un cas l'agglutination est encore présente

I an après

traitement.

(7)

La confrontation des trois tests révèle notamment au cours des amibiases hépatiques une grande variété de tableaux sérologiques

comportant tous les types de dissociations (tableau IV). Le lien

fréquemment observé entre le taux des anticorps en immunofluores- cence et le degré de l'atteinte clinique parait inconstant pour le test

au latex. Certaines amibiases anciennes présentent une positivité

isolée et des abcès confirmés se montrent négatifs. Par ailleurs, sa spécificité peut être en défaut.

TABLEAU IV

Sérologie amibienne. Réponses dissociées.

N•m Renseignements électrophorèse fluorescenceImmuno- Immuno- Latex

3651 Abcès amibien du foie avant traitement. 12 150 + + +

3117 Abcès amibien du foie 3 150 + + +

3125 Abcès amibien du foie 3 150 +

3034 Abcès amibiendu foie 5 150/300 ±

2488 Amibiase hépatique 2.700 0

3038 Hépatomégaliedouloureuse fébrile

..

6 1-350 0

3468 Amœbome au 10e jour de traitement. 9 1-350 0

3121 Amibiase intestinale3 mois auparavant. 0 50 + + +

3386 Amibiase intestinale glairo-sanglante

depuis 3 mois 5 150 +-H +

3407 Diarrhée fébrile depuis 3 jours. Enta-

moeba histolytica + 5 2.700 o

Un tel comportement semble témoigner du caractère propre des anticorps étudiés. Selon BÉNEX (i), ceux-ci répondent essentiellement

à la première fraction éluée d'un antigène brut sur colonne de Sepha- dex G. 200 comme ceux révélés par la déviation du complément, l'hémagglutination, la précipitation en gel.

Relevant des taux élevés de positivité 98 0/0 dans les amibiases hépatiques, 96 0/0 dans les dysentéries amibiennes. MORRIS et al. (4)

attribuent à ce test une sensibilité et une spécificité comparables

à celle de la double diffusion. Notre expérience, encore limitée, diffère de celle des auteurs sud-africains sur plusieurs points : le pour- centage plus élevé d'amibiases dysentériques négatives dont certaines malgré des taux notables d'anticorps en immunofluorescence et en immunoélectrophorèse, et les défaillances plus nombreuses dans les

amibiases viscérales. De plus, la longue persistance des anticorps après traitement, confirmée en immunoélectrophorèse et en immuno- fluorescence est inconstamment vérifiée en latex. Pour ces raisons, dans nos conditions personnelles, ce test ne peut être tenu pour un témoin fidèle de l'atteinte tissulaire, et sa négativité n'a pas valeur

(8)

d'exclusion. De même que les autres méthodes immunologiques,

il ne peut donc toujours répondre à la question majeure posée à la sérologie : l'existence ou non d'une

atteinte

viscérale évolutive.

Leur association

apparaît d'autant

plus justifiée.

CONCLUSIONS

Les constatations précédentes mesurent

l'intérêt

du

test

au latex.

Il reste critiquable dans sa négativité, comme dans sa positivité, et ne peut donc aucunement constituer une méthode exclusive de diagnostic.

Sauf dans l'optique d'enquêtes de masse, son

interprétation

exige

qu'il s'inscrive dans un ensemble sérologique, l'associant à l'immuno-

fluorescence ou aux deux techniques de diffusion en gel, l'immuno- électrophorèse notamment.

C'est dire qu'il requiert l'expérience et les moyens de laboratoires

spécialisés. Le couple (immunofluorescence

quantitative

latex),

sous le contrôle de l'analyse immunoélectrophorèse

peut

répondre

de manière satisfaisante, aux besoins du clinicien. Ceci mérite

d'être

rappelé, alors que l'évolution se dessine vers la diffusion commer- cialisée de réactifs et de techniques simplifiés.

Dans les conditions et les limites précisées, le

test

au

latex

peut

être

tenu

pour un appoint de valeur au diagnostic immunologique, parfois incertain, de l'amibiase viscérale.

RÉSUMÉ

L'introduction en pratique courante du

test

au latex proposé par les auteurs sud-africains, justifie sa confrontation aux deux techniques majeures appliquées au diagnostic de l'amibiase, l'immuno- fluorescence et l'immunoélectrophorèse. Séduisant par sa simplicité

et sa rapidité, il n'échappe pas à certaines critiques. En dehors des

enquêtes de masse auxquelles il est particulièrement adapté, il reste indispensable de lui associer l'une des techniques précédentes.

SUMMARY

The introduction into routine practice of the latex

test

proposed by the Sud-African authors justifies its comparison with the two main techniques of amoebian diagnostic: immunofluorescence and immunoelectrophoresis. Its simplicity and

rapidity

make it enticing,

(9)

but it does not escape certain criticism. If it is particularly adapted to mass surveys, it should be associated in all other cases with one

of the preceding techniques.

BIBLIOGRAPHIE

(1) BENEX (J.). :— Extraits antigéniques spécifiques obtenus à partir

d'Entamoeba histolytica maintenues en culture mixte. I. Ann.

parasit. hum. et camp., 1971, 46, 533-544 ; II. Id., 1971

?

46, 545-552.

(2) GOLDMAN (M.). Evaluation of a fluorescent antibody test for ame-

biasis using two widely differing ameba strains as antigen. Amer.

Jal trop. med. hyg., 1959, 15, 694-700.

(3) MORRIS (M. N.), POWELL (S. J.) and ELSDON-DEW (R.). A rapid latex - agglutination test for invasive amœbiasis. S. Afric. med.

Jal, 1970, 44, 594.

(4) MORRIS (M. N.), POWELL (S. J.) and ELSDON-DEW (R.). — Latex agglutination test for invasive amœbiasis. Lancet, n° 7661, 1970,

1362-1363.

(5) MORRISamœbiasis(M. N.), POWELL (S. J.) and ELSDON-DEW (R.).

-

Invasive

: circulating antibody levels by latex agglutination test. S. Afric. med. Jal, 1971, 45, 1206-1208.

(6) THOMPSON(P. E.), GRAEDEL (S. K.), SCHNEIDER (C. R.), STUCKI (W. P.) and GORDON (R. M.). Preparation of standardized amœba antigen from axenic cultures of Entamoeba histolytica. Bull.

0. M. S., 1968, 39, 349-365.

TECHNIQUE COPROLOGIQUE NOUVELLE

ESSENTIELLEMENT DESTINÉE A LA CONCENTRATION DES TROPHOZOÏTES D'AMIBES

Par CH. JUNOD (*)

Les trophozoïtes d'amibes sont généralement détruits par les procédés classiques de concentration parasitaire, méthodes physico- chimiques à l'éther (TELEMANN, BAILENGER, CARLES-BARTHÉLÉMY, THÉBAULT, RITCHIE, M. I. F. C., etc.) ou flottations (méthodes de

FAUST, WILLIS, JANECKSO-URBANYI, etc.). Il nous paraît donc utile

de faire connaître la technique que nous utilisons quotidiennement depuis deux ans pour la concentration des trophozoïtes amibiens.

Elle est probablement perfectible, mais en

l'état

actuel elle peut déjà rendre de notables services en coprologie pratique.

(*) Séance du 14 juin 1972.

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