• Aucun résultat trouvé

L accompli emen de ce e profession implique la possession de qualités intellectuelles, morales et sociales de la part du travailleur

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "L accompli emen de ce e profession implique la possession de qualités intellectuelles, morales et sociales de la part du travailleur"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

Dan le domaine de l d ca ion, la d on ologie e l en emble de no me hiq e , de compo emen e de mode d ac ion q n ge ionnai e o in e enan colai e (ma e, CPI, IEPD, Con eille Techniq e ), de ai e pec e dan l e ercice de ses fonctions.

Cet aperçu concernant les généralités sur la morale professionnelle nous montre bien que le métier d en eignan a e e igence q e o en eignan e pon able doi conna e.

CONCLUSION

Tous les pays ne cessent de faire appel à la conscience professionnelle de leurs travailleurs ou agents pour le développement économique et social de leurs nations.

La mo ale p ofe ionnelle e n fil cond c e q i a de l agen la che q il e c e quotidiennement. La morale professionnelle de l d ca e lie non e lemen cel i-ci à la tâche, mais également à la communauté toute entière. Celle-ci doit par conséquent prendre ses responsabilités vis- à-vis du maître afin de lui faciliter sa tâche.

PARTIE II : LE METIER D ENSEIGNANT

INTRODUCTION

To e oci h maine, en fonc ion de e able de ale , con ain e memb e l i e ile . D o l obliga ion po chac n d e e ce n m ie n momen donn de a ie. L accompli emen de ce e profession implique la possession de qualités intellectuelles, morales et sociales de la part du travailleur.

L en eignan q i e n maillon impo an dan le p oce de d eloppemen d pa doi -il être d po de ce e n ce ai e po la ie en g n al e po a mi ion d ducateur en particulier ? Plus que tout autre citoyen, il doit être celui qui fait des vertus morales et sociales sa ligne de conduite partout où il se trouve.

Aussi doit-il c l i e e d eloppe de comp ence p ofe ionnelle afin d e n i able agent de développement et de changement.

I. LE CHOIX DU METIER 1.1. Qu est-ce qu un m tier ?

A en o iginel d e me, le mo m ie d igne o gen e d occ pa ion man elle o m caniq e q i trouve son utilité dans la société.

De nos jours, le métier se conçoit comme tout genre de travail déterminé, reconnu ou toléré par la société e don on pe i e e mo en d e i ence.

1.2. Le choix

Le choix du métier peut donc se définir comme étant le fait de montrer sa préférence dans la gamme des métiers et d op e po la p a iq e de l n d e .

1.3. Comment choisir ?

Dan n monde o la c i e conomiq e g n ali e a ci le ma ch de l emploi o l a end p cai e, pa le de choi d n m ie pe pa a e i ali e e l adage bien conn , il n y a pas de sot métier mais de sottes gens », trouve bien là toute sa résonance.

Cependan , fo ce e de econna e q e pa mi o le choi q e l homme e appel fai e po le e e de on e i ence, cel i d m ie e , an e ag a ion, l n de pl impo tants. Important, mais aussi d lica d momen q e ce choi op e n ge o l indi id ne pe , fa e d e p ience, fai e n choi judicieux. A cela viennent se greffer les contraintes sociales qui obligent les uns et les autres à devoir

(2)

gagner leur vie. Aussi, le hasard préside-t-il souvent à cette décision capitale.

En ce q i conce ne le m ie d in i e , on e po e de c elle d cep ion , lo q on n oi q n gagne-pain. L ho ai e hebdomadai e, le cong ime iel e le g ande acance ne con i en q n mi age. En o an de on b ea , l emplo a, pa e emple, e min on a ail. Mai en q i an la classe, le maître doit penser à la préparation de ses cours, aux corrections, à la mise à jour des registres, sans oublier certaine ac i i dan le illage (co d ad l e , con eil , nion , e c.).

Si n a aille de b ea pe ab en e pendan de he e de a ail an op d incon nien , l in i e , en cha ge de enfan , e en ne g la i e ne a id i é rigoureuses. Ajoutons à cela, le a ail pe manen d ma e q i, o lan i e l o ni e de la o ine, doi po i e a c l e générale et accroître ses connaissances professionnelles durant toute sa carrière. Mais, comment choisir ? Dan l d ca ion, le choix du métier devrait se faire par rapport à notre amour pour les enfants, à notre capaci a me no e pon abili e no e d i de con ib e l difica ion de la oci dan laquelle nous vivons.

Disons que le choix se fait de manière générale, par rapport à nos compétences, à nos habiletés, à nos savoirs ou par vocation.

1.4. La vocation

« On ne se donne tout entier qu à une tâche qu on aime et dont on connaît la valeur. Ne devraient enseigner que ceux-là qui ont la vocation de l enseignement ». Cette affirmation traduit éloquemment la n ce i de la oca ion dan le m ie d en eignan .

Mai , q e -ce que la vocation ?

Selon le dictionnaire le Petit Larousse de 1999, étymologiquement, ce mot vient du latin « vocare » qui signifie appeler. Il est, toujours selon le Petit Larousse, « un penchant ou une aptitude spéciale pour un genre de vie, une activité ». Il est aussi « un mouvement intérieur par lequel une personne se sent appelée au sacerdoce ou à la vie religieuse ».

A l o igine, le terme était religieux et désignait « Voix de Dieu », c e -à-dire qui prédestine à des fonc ion eccl ia iq e . Pa dan le langage co an , il ignifie, a jo d h i, l a i ance i i ible exercée par une carrière à caractère artistique ou social.

D ne mani e g n ale, la oca ion pe e d fini comme an n appel pon an q ne pe onne sent pour un métier.

Po l en eignan , a oi la oca ion, c e o loi e con ac e a enfan pa ce q on le aime e q on le e n a eni p ome e . C e conna e la ale d m ie e c e d co i le en de a mi ion. C e a oi l e p i q n enfan mal d q e n ma ai p e o ne ma ai e m e de famille, un mauvais citoyen, un élément indésirable q on ne pe pl ed e e .

Il y a deux sortes de vocation : la vocation spontanée et la vocation acquise.

La vocation spontanée e celle q e le a aille po de a an d emb a e la p ofe ion. Cel i-là, pa e emple, q i admi e l en eignan de ant ses élèves, ou le médecin dans sa blouse blanche, ou l a oca dan a obe noi e e d i e e in i e , doc e o a oca , po de ne oca ion pon an e.

Très souvent, dans ce cas, le travailleur est déçu, une fois dans le métier, car il se rend compte des réalités du métier. Alors, sa vocation peut disparaître.

La vocation acquise e ce q e l on acq ie dan l e e cice de la p ofe ion. Cel i q i, n an pa auparavant attiré par un métier, mais une fois dans la profession, arrive à accomplir correctement celle- ci, l aime , acq ie ce q on appelle la oca ion acq i e. Dan l en eignemen , ce e vocation est préférable à la première car, durable et permanente.

On e ien donc q e le choi d m ie e d lica e c e j e i e q e ALAIN pen e q il n a pa de m ie a monde q i ne fa e eg e e de l a oi choi i. Il ajo e q a momen o on le choisissait, on le voyait tout autre. Il poursuit que le monde des humains est rempli de plaintes. Enfin, il conseille de ne donc pas appliquer la volonté à bien choisir, mais à faire que tout choix de métier soit

(3)

bon.

Ceci e d a an pl ai q e le obliga ion ociale e p ofe ionnelle , de m me q e le e igence dan le cad e d m ie d en eignan , on nomb e e e di e ifi es.

II. LES OBLIGATIONS SOCIALES ET PROFESSIONNELLES DU MAITRE D ECOLE 2.1. Assurer l cole un statut social favorable au travail

Pour la réussite du travail scolaire, il ne suffit pas que le maître soit compétent et bien équipé ; il faut q e l cole oi accep e dan le milie e q elle b n ficie de la collabo a ion de o le pa enai e . Cette collaboration n e po ible q e i le ma e ai i e e en e eni de bonne ela ion ociale avec ses partenaires, à commencer par ses collègues, les élèves et les chefs hiérarchiques, sans oublier le a o i admini a i e , co mi e , eligie e , le leade d opinion, le agen de a e services, bref, avec toute personne pouvant apporter ne pie e l difice colai e.

2.2. Promouvoir le développement social du milieu

L en eignan-éducateur est, par essence, agent de développement. Pour cela, le maître, qui exerce en ville ou en campagne, peut et doit mener certaines actions concrètes allant dans le sens du développement de on milie . De ac ion comme l alphab i a ion de ad l e o de je ne non cola i , l anima ion de mo emen a ocia if on a an de domaine o le ma e pe in e eni .

Cependant, le maître veillera à s en o e d n minim m de p ca ion , no ammen , info me e supérieurs hiérarchiques pour obtenir leur caution.

2.3. Avoir l esprit ses obligations professionnelles

Tout travailleur du secteur structuré est soumis à des obligations professionnelles codifiées par des e e . L in i e b kinab n chappe pa ce e gle e e obliga ion p ofe ionnelle on le mêmes que celles des autres agents publics à savoir :

l obliga ion de e i ;

l obliga ion d ob i ance hi a chique ; l obliga ion de ga de le ec e p ofe ionnel.

L obligation de servir impliq e q e l in i e a e on e ice de fa on con in e (p incipe de continuité du service public), sans absence injustifiée et en se conformant aux horaires officiels de a ail. L obliga ion de e i a ein l en eignan e c e l i-même les tâches qui lui sont dévolues.

Il lui est également interdit de cumuler sa fonction avec un emploi privé ou une autre activité publique.

Toutefois, les activités agro-pastorales, scientifiques, artistiques ou littéraires sont permises (article 40 de la loi n°081/CNT du 24 novembre 2015).

L obligation d ob issance hi rarchique du fonctionnaire e li e a p incipe d ob i ance hiérarchique. Cette obéissance à la hiérarchie es d a an pl impo an e che l in i e en ce en que san elle, l ac ion d ca i e e o e l chec. L obliga ion d ob i ance la hi a chie doi e faire conformément aux textes en vigueur. En dehors de tout texte règlementaire ou lorsque les ordres

e on ill ga o de na e comp ome e l in p blic, l ob i ance hi a chiq e di pa a . L obligation de garder le secret professionnel ob e e che o a aille , dan le cad e de l e e cice de e ac i i p ofe ionnelles. Celui-ci peut avoir connaissance de secrets relatifs à son service, mais q il ne pe e ne doi di lg e . Po l in i e , il agi pl de discrétion professionnelle.

Selon la loi, o fonc ionnai e e li pa l obliga ion de di c ion p ofessionnelle pour tout ce qui conce ne le fai , le info ma ion o le doc men don il a connai ance dan l e e cice o l occa ion de l e e cice de e fonc ion e don la di lga ion e de na e n i e a in de usagers du service public ou aux intérêts des administrations et institutions publiques.

Po l in i e , e i e d e emple , le d lib a ion de l a d e amen e conco , le no e et les dossiers des élèves, certaines dispositions relatives à la vie ou au fonctionnemen de l cole, on des secrets, donc, ne peuvent être divulgués. To efoi , l obliga ion de di c ion ne appliq e pa la

(4)

d noncia ion po fai d lic e a ein d e ice o a moignage la demande de l a o i compétente.

2.4. Les exigences liées aux qualités du maître 2.4.1. Les qualités morales

Il y a une hiérarchie dans les valeurs humaines : au-dessus de la fortune et de la situation sociale, au- de de l in elligence e d de oi , a -de de l habile p ofe ionnelle e de la vocation, se placent les valeurs morales.

L homme a pl pa e q ali mo ale q e pa l a o i q e l i conf en a cha ge e on a oi . E q and ce homme a po mi ion d d q e le enfan , il doi , o in an , e o eni q e e talents naturels, son intelligence et sa science sont peu de choses sans un riche fond de qualités morales.

2.4.2. Les qualités intellectuelles

Si no con id on l en eignan comme cel i q i a po mi ion d d q e a i, de fa o i e a promotion sociale e c l elle e de l aide ili e a mie e po en iali , alo , le ma e doi e n homme c l i . Il doi a oi ne ce aine ma i e de e connai ance p ofe ionnelle , jo i d n jugement droit et posséder une instruction suffisante.

Ain i, l in i e doi-il garder son esprit alerte pour apprécier, à leur juste valeur, les connaissances cien ifiq e , li ai e , hi o iq e e echniq e . D o la n ce i d ne c l e g n ale q i pe me a au maître de lutter contre les connaissances lacunaires, les informations erronées, la médiocrité, la routine.

2.4.3. Les qualités physiques

Afin d e en me e de acq i e co ec emen de e fonc ion , le ma e doi po de ne an robuste, une voix sonore et une vue normale. Il doit être propre de corps et de vêtements ; il ne doit pas a oi de en e e hibi ionni e , fan ai i e . L en eignan eille a o momen a oi ne en e

e imen ai e co ec e, c e -à-dire soignée, propre, discrète, de bon goût.

En effet, la tenue revêt une importance toute particulière chez les jeunes enseignants qui devront éviter les excès de la mode, an ombe po a an dan la banali e l a i . Il e inadmi ible q n enseignant se présente en classe ou dans un lieu public avec une chevelure hirsute, des mains et des ongle d ne p op e do e e, de cha e ale , de emen ach , d chi , a q el il manq e des boutons.

Le soin, la netteté et la propreté dans la tenue vestimentaire sont des signes de respect pour soi-même et pour autrui.

2.4.5. Les qualités humaines

De pa a fonc ion, le ma e, m me en deho de l cole, e e d ca e . Dan la e, pendan e loi i , dan le i i e q il end o e oi , on langage, a en e, on compo emen doivent rester corrects.

2.5. Les exigences liées aux éléments de la conscience professionnelle 2.5.1. La régularité

La régularité se définit comme ce qui est conforme aux règles. Ain i, l e p it de discipline est la soumission à une régularité. L e en iel, donc, de la che d d ca e , con i e anc e a an o , ce sens de la régularité dans sa conduite e dan l accompli emen de a mi ion.

En effet, il ne peut y avoir de travail bien fait q e le a ail ic emen gl . En d b d ann e, pa e emple, le ma e labo e a la pa i ion men elle e l emploi d emp q il i a igo e emen afin de bien mener sa tâche dans sa classe.

2.5.2. Le zèle

Dans toute fonction, mie enco e dan celle de l en eignan , il fa i e de fai e d le, c'e -à-dire faire illusion auprès de ses supérieurs pour des avantages honorifiques ou matériels.

Si faire du zèle est péjoratif, par contre, travailler avec zèle, c est-à-dire aller au-delà du minimum obligatoire, dénote d une conscience professionnelle.

(5)

Aussi, dira-t-on d n a aille , q il e l q and, en accompli an on a ail, il fai pl q e ce q on e en d oi d e ige de l i.

Pour un instituteur, le zèle consiste con ac e ne pa ie de on emp de loi i l cole (co de rattrapage) o de e colai e pa l acha de ma iel a ec e p op e e o ce .

D a e pa , le ma e doi préparer sa classe régulièrement. Il la prépare avec zèle, lo q il en ep end p opo d ne le on, de g ande eche che dan de o age de p emi e main.

Pa le le, l en eignan d eloppe on en c i iq e, on en de l ing nio i . En omme, le le e t, po n in i e , la p i e d ini ia i e q i pe en m me d pa e le cad e colai e.

2.5.3. Le dévouement

Le dévouement suppose une ardeur au travail que ne ralentissent ni les difficultés, ni les mécomptes p o dan l e e cice de la p ofe ion. Il impliq e l engagemen , le ac ifice et le don de soi, la foi au métier. Le dévouement e manife e pa l a id i , le a ail bien fai , le le, la di po i ion e i au-delà du minimum exigé. Par exemple on ne parle pas de dévouement pour un maître qui veille seulement sur la propreté de sa classe ; mai cel i q i e ime q ap a oi bala e ne o é sa classe, il faut la décorer. Par ailleurs, le fait de travailler au-delà des jours ouvrés (les mercredis après-midi, les samedis, les congés) et des heures règlementaires, constitue un exemple de dévouement.

En résumé, un enseignant consciencieux est un éducateur honnête et dévoué.

2.5.4. La responsabilité

Un en eignan e pon able e cel i q i engage d fend e son honneur et celui de sa nation. Il ne peut le fai e q en po an de ac e p o an on engagemen o al po le m ie .

E e e pon able, c e a e e de oi e d fend e a digni ca a c ne ac ion immo ale ne doi figurer dans la conduite du maître.

2.5.5. L honn tet intellectuelle ou morale

Elle conce ne l a pec ocial, compo emen al de la mo ale. Il agi de fai e j e e bien la che q i no e confi e afin q e le enfan oien de f homme digne e e pon able . Po l en eignant, il e q e ion d adap e sa pédagogie au niveau réel des élèves.

E e ce n m ie , ce n e pa e lemen accompli n ce ain nomb e de che . La e d a ail, c e q il e obliga oi e e l homme lib e doi e o me e cete obligation.

A i, e o me e ce e obliga ion e ne q e ion d honn e .

Un rendement efficace est demandé au maître par ses supérieurs hiérarchiques et par la société. Cette efficaci ne accommode pa a ec la pa e e e l ab en i me. Donc, l honn e e ne f anchi e intellectuelle et comportementale qui consiste à bien accomplir sa tâche. Cela e ige de l en eignan :

- l applica ion de e igence p dagogiq e ; - l a id i e la ponc ali ;

- le respect du programme et de l emploi d emp ; - la préparation journalière de sa classe ;

- l al a ion mo ale, in ellec elle e ph iq e de l e .

Nous ne pouvons clore notre analyse sur les exigences du métier liées aux éléments de la conscience professionnelle sans dire un mot s la digni de la ie p i e de l in i e .

2.5.6. La dignité de la vie privée

En deho de e igence d a ail, il a d a e e igence q i ne ega den q e l in i e , q i ne concernent que lui seul. Nous classons ces exigences dans le domaine de la vie privée. En effet, l in i e e o en l homme le pl clai d illage. Il e a i le p e de pl ie di aine d enfan a q el il doi donne l in c ion e l d ca ion indi pen able le in e ion dan la société.

Pour ce faire, son comportement, dans son milieu de vie, doit être exemplaire. Il ne faudra pas, par e emple, q on le o e i e mo a pe i ma in dan n coin de e, o m me q on le po cha e dan le q a ie d illage po affai e de m , o enco e q on le con oq e de an le a o i

(6)

compétentes pour des dettes non honorées.

Aussi, serions-nous portés à dire que la cloison entre la vie professionnelle et la vie privée de l in i e est de verre. Q il soit en classe ou en dehors de la classe, les faits et les gestes de l enseignant, son expression et sa conduite on imi pa le l e , ob e e commen dan on milie de ie. C e pourquoi les comportements rétrogrades et interdits qui entachent son image sont à bannir : les tenues vestimentaires indécentes, les propos grossiers, les drogues, les disputes et bagarres, les vols, les viols, le agabondage e el, l alcooli me, l ab en i me, etc.

En clai , l en eignan doi acco de a cond i e a p incipe mo a q il p ne. S il donne n bon exemple de comportement social, il influencera positivement ses élèves et fera grandir, non seulement

on honne e a enomm e, mai galemen ce de l cole.

Pour ce faire, et dans le souci de mieux rempli a d lica e mi ion, l in i e doi abli e en e eni entre lui et son milieu de vie des rapports très étroits.

CONCLUSION

L en eignemen e l n de m ie le pl con aignan . C e po q oi l en eignan doi remettre quotidiennement en cause son enseignement, sa propre culture, son comportement afin de parachever

ne e difficile, ing a e, mai combien noble e pa ionnan e.

PARTIE III : LES DIFFERENTS RAPPORTS ENTRE L INSTITUTEUR ET SON MILIEU

INTRODUCTION

L cole an ne in i ion ociale, elle ne a ai fonc ionne en ma ge de on milie d implan a ion.

C e di e q e le ma e ne doi pa m conna e le infl ence q e pe en e e ce le a e pa enai e de l d ca ion, q e on le famille e la e on e. Alo il con ien q e l d ca e in a e de appo de pa ena ia en e l cole e la comm na . Le bon fonc ionnemen de ce ela ion cole- famille améliorera les rendements scolaires à la satisfaction et au bonheur des différents acteurs.

En o e, le ma e e me a l ab i de anc ion de e p ie hi a chiq e pa on en aig de responsabilité. Il saura également établir de saines relations avec ses collègues et ses élèves. Tout ceci con ib e la bonne ma che de l cole.

3.1. Rapports avec le milieu

Dans ses relations avec son milieu, le maître doit adopter une attitude sereine, cordiale, collégiale, modeste, humble et exemplaire. Il doit éviter les relations conflictuelles avec son milieu.

Pour ce faire, il doit être assidu au travail et éviter les abandons de poste qui sont de nature à attirer sur lui le mécontentement des populations, de ses collègues et surtout de ses supérieurs hiérarchiques.

A an choi i de e i l E a , e pa an on pa , il l i e demand de ne e con ac e q on a ail et de ne mener aucune activité à caractère lucratif.

Il doit tisser de bons rapports avec les autorités coutumières, religieuses, les conseillers municipaux, le con eil illageoi de d eloppemen , le a e agen de l Etat et tout autre acteur de développement du village.

En somme, tout éducateur responsable doit être digne dans son langage et dans sa tenue vestimentaire, ca on en o age, e o e l e , on en de l imi e .

Références

Documents relatifs

 les mots suivants doivent être intégrés dans votre récit: le lycée de Kopparlunden, avant-hier, puisque, incendie, bien que.  des commentaires à

Non, la situation dans le monde ne s’améliore pas, en dépit d’e ff orts importants de beaucoup, d’hommes et de femmes engagés chacun dans leur discipline, pour que la paix

MOLDOVA - Université de médecine et de pharmacie « Nicolae Testemiteanu » ROUMANIE - Université des Sciences Agricoles et Médecine Vétérinaire de Cluj-Napoca. GEORGIE

C’est notamment la mission de la fondation pour la mémoire de l’esclavage, dont la création nous réunit aujourd’hui.. Le 10 mai 2018, pour la journée nationale des mémoires

Le directeur de l’OF de la filiale spécialiste des grues reconnait que l’année 2020 a dû être compliquée pour les autre organismes privés, sans le soutien d’une entreprise

Comme l’indique Véronique responsable formation d’un des sites : « [...] ce n’est pas nous qui avons traité les dossiers pour bénéficier des mesures d’aide, du chômage

La conjonction d’un diagnostic d’assez fort isolement du monde des enseignants de la conduite et de la sécurité routière, par rapport au monde de l’éducation à la

LA MAJORITÉ DES PERSONNES INTERROGÉES, ONT LEUR PROCHE MALADE QUI A VÉCU UNE HOSPITALISATION POUR RAISONS PSYCHIATRIQUE (PLUS DES 2/3 À PLUSIEURS