• Aucun résultat trouvé

La socialisation et l'exploitation privée

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "La socialisation et l'exploitation privée "

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

IA iDÉROTON HORLOGÉRE

S U I S S E -

ORGRME DE LB CHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHRMBRE5 DE COMMERCE, DES BURERUX DE CONTROLE, DE5 ASSOCIATIONS PRTROMRLES

* * * * * * * • • * •»>»»«»«»»•••»••»•

î A B O N N E M E N T S : U n « n s i x m o i . î

| Suisse Fr. 14.05 Fr. 7.05 |

• Union postale > 26.— > 13.— $

| Majoration pour abonnement par la poste î ï Compte de chèques postaux IV b 426 f

, * » * • * , • « • • • * • » • • » • • • • * • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • « • • • • »

ET DE L' INFORMATION HORLOQÈRE SUISSE PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-DE-FONDS

Les Consulats suisses à l'étranger r e ç o i v e n t le j o u r n a l JHIMOMCES: PUBLICITflS, S. R. suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, La Chaujc-dé-Fonds. — Succursales et agences en Suisse et à l'étranger.

* • • • • • « » • • • • • • • • • • * » • » • • • • » • * • • * • • • '

A N N O N C E S

suisses 30 c t . , offres e t d e m a n d e s ::

d e places 20 e t . la ligne, é t r a n g è r e s 35 c e n t i m e s la ligne. ;•

Les annonces se paient d'avance

• • * H H * W » W * » * H » M « M * M * H H H * r •

Subsides de change

Rappel.

La Chambre suisse de l'horlogerie rappelle aux intéressés que les demandes de subside (formulaire 1) du mois de janvier qui n'auront pas été suivies jusqu'au 3i courant de demandes de paiement (formulaire 2), seront annulées d'office, sauf cas exceptionnel.

La socialisation et l'exploitation privée

A la XV

m

« assemblée des délégués de V Union centrale des associations patronales suisses, M. Weyermann, professeur d'économie politi- que, à l'Université de Berne, a présenté sur ce sujet, un rapport d'une haute tenue scienti- fique ; nous voulons tenter d'en donner au- jourd'hui aux lecteurs de La Fédération Hor- logère, un résumé en français. Voici donc, en raccourci, ce que fût l'exposé de M.Weyermann.

« Il faut entendre par socialisation des entre- prises, la suppression de la propriété privée des moyens de production et leur remise soit à la communauté, à l'Etat, soit aux syndicats ouvriers ; le fait que la propriété est transmise à l'Etat ou à des syndicats, n'a en somme pas beaucoup d'importance. Au cours de cette étude, ce que nous opposerons à l'exploitation privée, c'est l'exploitation par l'Etat qui repré- sente le type le plus pur de socialisation. Nous nous placerons au point de vue strictement économique en laissant de côté toute considé- ration d'acte politique, moral, hygiénique, etc.

La question qui se pose pour nous est celle- ci : quelle est la méthode d'exploitation qui, à prix égal, rend le plus, ou fournit au public le maximum d'avantages?

Le but de toute exploitation, qu'elle soit socialisée ou privée, est d'obtenir le plus de rendement avec le moins de frais possible. Il s'agit de voir quel est le résultat de chacun des deux systèmes envisagés (exploitation pri- vée et exploitation socialisée) d'abord au point de vue rendement, production, puis au point de vue frais.

I. Le rendement,

a) Avantages de la socialisation.

On peut peut être affirmer que la socialisa- tion ou plutôt l'exploitation socialisée présente certains avantages dans les cas suivants : 1. Quand le rendement doit être continu: four-

niture de gaz, d'eau, d'électricité, par exemple ;

2. quand le rendement doit être homogène, égal : chemins de fer, par exemple ;

3. quand il faut prévoir à long terme: exploi- tation des forêts ;

4. quand il s'agit d'un monopole nécessaire ou inévitable ;

5. quand il y a lieu d'apporter des change- ments importants dans la situation éco- nomique.

Il faut toutefois observer qu'en principe, il n'y a aucune raison pour que l'exploitation privée ne soit pas capable d'offrir les mêmes avantages, dans tous ces différents cas. Sans doute l'Etat est-il mieux à même que le parti- culier de supporter une crise grave ; il se rabat sur l'impôt; il peut en somme régler ses rêve nus d'après ses dépenses, ce qui est interdit au particulier! Quant aux monopoles, l'Etat en abuse aussi facilement que le particulier et d'ailleurs il est rare que des particuliers jouis- sent d'un monopole absolu. Nous savons tous ce que nous ont coûté, ces dernières années, certains monopoles d'Etat.

En résumé, il est loin d'être exclu que l'ex- ploitation privée ne puisse pas offrir les mêmes avantages que l'exploitation socialisée, au point de vue rendement.

b) Avantages de l'exploitation privée.

Le principal de ces avantages réside dans l'intérêt individuel qui est stimulé et qui incite le particulier à adopter sa production aux variations du goût, aux progrès techniques, à subir des risques. L'espoir du gain à réalisé*, stimule bien autrement que le sentiment du

«devoir» à l'égard de la communauté. Et c'est là, un des éléments essentiels de succès pour toute économie. Le chef d'une entreprise so- cialisée ne peut pas risquer, faire une expé- rience ; il s'exposerait en cas d'insuccès à de- voir répondre de son activité devant une autorité généralement composée de gens non compétents.

II. Les frais.

Le second point à étudier est celui-ci: Quel est le système qui travaille avec les frais les moins considérables?

à) Avantages de l'exploitation socialisée.

Une communauté peut prétendre à deux avantages principaux : Celui de pouvoir nor- maliser facilement, et celui d'obtenir du crédit à frais moindres.

Mais à cela on peut observer que la norma- lisation qui, dans l'exploitation socialisée serait tout indiquée est, en fait, fort peu développée.

Les rivalités entre bureaux d'Etat semblent être plus fortes que celles d'ateliers privées.

Quant au crédit, il ne faut pas oublier de comparer le crédit obtenu par la communauté, avec le crédit accordé par l'Etat à ses propres entreprises, si l'on ne veut pas être déçu. C'est d'ailleurs le contribuable qui paie la différence quand elle est défavorable aux finances d'Etat.

b) Avantages de l'exploitation privée.

II faut citer en premier lieu l'indépendance du chef, de l'entrepreneur qui n'a pas à tenir compte d'opinions de partis politiques. Dans toute exploitation, un succès n'est possible que si l'économie est absolument indépendante de la politique. Vient ensuite l'avantage essen-

tiel qui résulte du système et des principes de rémunération du travail. L'Etat rémunère les postes qu'il octroie. L'entrepreneur privé lui,

rémunère l'homme qu'il occupe et le travail que lui fournit cet homme, seul système éco- nomiquement logique.

Sous le système de l'exploitation socialisée, par contre, le rendement économique ne peut pas être analysé, fixé avec la même exactitude que dans l'exploitation privée. Le système de rémunération de l'exploitation socialisée, d'a- près lequel ce sont les besoins du travailleur qui fixent son salaire, rend tout succès impossible.

Ce qui ne veut pas dire le moins du monde qu'une assistance large accordée au travailleur et spécialement à la famille ouvrière ne puisse pas porter des fruits utiles au point de vue économique. Mais nous nous plaçons exclusi- vement ici au point de vue économique pur pour affirmer qu'il ne peut pas être bon, éco- nomiquement, de fixer les salaires d'après la situation de famille du travailleur.

La rémunération du travail dans l'exploita- tion socialisée tend à abolir la différence entre les différents genres de travaux (travail de manœuvre^ travail de l'ouvrier qualifié, de l'ingénieur, etc.). La politique des salaires de l'Etat nivelle les traitements et les salaires et sous ce rapport, elle fournit une prime à la médiocrité. La politique des salaires de l'ex- ploitation privée tend à rémunérer le plus celui qui fournit le travail le plus utile, le plus efficace.

III. Résultats obtenus jusqu'à présent par l'exploitation socialisée.

En pratique, on constate surtout que les entreprises socialisées travaillent dans des con- ditions beaucoup plus défavorables, économi- quement que les entreprises privées : citons comme simples exemples, les ateliers de. tail- leurs des tramways de Zurich, le dépôt de bois de la ville de Zurich. Il est impossible, dans une entreprise socialisée, d'établir des comptes selon une méthode proprement commerciale et c'est précisément l'établissement de comptes rationnels qui est un des principaux piliers de l'exploitation privée.

IV. Conclusions.

Si l'on compare le rendement des entreprises socialisées et de l'exploitation privée, on en arrive inévitablement à conclure à la plus grande efficacité économique de l'exploitation privée dont les avantages essentiels sont : la liberté de prendre des décisions, le goût de l'activité productrice renforcée, l'indépendance politique, la répartition plus logique des prix de salaires et d'exploitation.

Mais il y a encore une grave question de

principe à examiner : il y a-t-il possibilité éco-

nomique de rémunérer le travail autrement que

ne le fait l'industrie privée? Le principe de la

rémunération selon le travail fourni peut - il

être remplacé, d'une manière générale, par le

principe de la rémunération selon les besoins?

(2)

370

L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E Le socialisme jusqu'à présent n'a pas démon-

tré comment on pourrait y arriver. Il n'a pas d é m o n t r é comment l'on pourrait arriver à rem- placer la différence en argent entre le gain supérieur de l'ouvrier qualifié et le gain du manœuvre, par quelque chose d'autre, sans anéantir l'énergie que déploie l'homme pour augmenter son gain, l'énergie qui précisément est la source essentielle d'avantages économi- ques pour la société».

Ainsi que n o u s l'avons dit au début, M.

W e y e r m a n n , dans le temps dont il disposait, a fait abstraction de toute considération d'ordre politique, moral, hygiénique, etc., p o u r expo- ser schématiquement les avantages et les désa- vantages des deux systèmes d'exploitation au point de vue p u r e m e n t économique.

Tel qu'il est, son exposé fournit une base, une méthode de discussion utile, et que nos lecteurs sauront apprécier.

Informations

Mise en garde.

Le Bureau suisse de renseignements pour l'achat et la vente de marchandises, Zurich, Métropol, communique ce qui suit :

Ainsi que nous l'apprenons de source officielle, diverses maisons suisses ont fait de fâcheuses ex- périences dans leurs relations avec la maison J.-J.

& A.-H. Butler Ltd. Monrovia (Liberia), nommée aussi American Liberian Trading Go, ou encore Commercial Intelligence Bureau Moronvia. Il convient d'être sur ses gardes vis-à-vis de cette maison.

Le Bureau suisse de renseignements pour l'achat et la vente de marchandises rappelle qu'il est tou- jours en mesure de fournir des adresses de repré- sentants qualifiés.

Commerce extérieur

Australie.

Extrait du rapport du Consulat général de Suisse, à Melbourne :

Commerce extérieur. Les chiffres qui viennent

d'être publiés pour les dix premiers mois de l'an- née de finance 1921/22 montrent que par compa- raison avec la période correspondante de l'année précédente, l'importation est en recul de L. st.

(il.G46.691, l'exportation, par contre, seulement de L. st. 3.323.015. La balance du commerce indi- que donc pour ces dix mois un solde en faveur de l'Australie de L. st. 34.178.3S0, en regard d'une balance défavorable de L. st. 24.148.326 l'année précédente. Il intéressera l'industrie suisse de sa- voir que l'importation de chocolat et produits su- crés a reculé de L. st. 52.457, passant de L. st.

74.520 à 22.063, preuve que les fabriques du pays attirent peu à peu à elles toutes les affaires dans cette branche. L'importation de confections de tous genres a fortement diminué ; les textiles sont en recul de L. st. 13.990.493, (exportation 1921/22 L. st. 19.416.785) et pour les articles de jute le dé- chet est également très considérable. Les chiflres des textiles et des vêtements confectionnés, s'ex- pliquent, il est vrai, en grande partie par la baisse de prix sensible survenue sur ces catégories de marchandises. Cependant le développement re marquable des manufactures australiennes de pro- duits textiles, en particulier des filatures et des fabriques d'articles de laine est la principale cause de ce recul. Dans les outils, machines, appareils et articles en métaux, on peut relever le fait que c'est la valeur des machines et appareils importés qui a payé le tribut le plus considérable à la baisse ; cependant, les fers blancs et tôles étamées ont reculé, par exemple, de L. st. 3.122.009, et les chassis d'automobiles de L. st. 1.387.601.

L'importation a été calme. Dans certains cer-

cles intéressés, on proteste encore contre le réta- blissement de la liberté du commerce avec l'Alle- magne et l'Autriche. Mes informations ne me font

as craindre que la concurrence allemande soit angereuse ici pour les intérêts suisses, surtout si les dispositions de la loi destinée à réfréner le dumping sont appliquées aussi rigoureusement que le gouvernement paraît avoir l'intention de le faire. Le président de la commission austra- lienne du tarif, dans une conférence tenue à la Chambre du commerce de Sidney, a même fait en-

trevoir une aggravation des droits supplémentaires anti-dumping sur les marchandises allemandes et autrichiennes.

Service d'informations économiques. Ces der-

niers temps, mon consulat a reçu très peu de de- mandes de la part de fabricants suisses. Il s'agit habituellement de demandes de représentants de fabriques de broderies ; il est difficile de trouver des représentants vraiment qualifiés pour ce genre d'affaires. En fait, je me serais attendu à ce qu'en raison de la dépression économique persistante en Suisse et du danger constitué pour notre commerce d'exportation par le nouveau tarif douanier aus- tralien, nos fabricants et exportateurs accorderaient une attention particulière à ce marché. Si la Suisse entend conserver sa part du commerée australien, non seulement pour les broderies, l'horlogerie, la paille tressée, et d'autres spécialités analogues, mais aussi pour d'autres catégories de marchan- dises, il y aurait lieu de se livrer ici sur place à un travail de propagande beaucoup plus actif.

Pour diminuer les frais, je ne puis que préconiser, comme je l'ai déjà fait, la réunion des intéressés en groupements et l'organisation en commun par ces groupements du service de vente pour l'Aus- tralie et la Nouvelle-Zélande.

Chronique financière et fiscale

Autriche. — Commerce des devises.

La Feuille officielle d'Autriche publie dans son numéro du 8 juillet 1922, une nouvelle ordonnance du 6 du dit mois concernant le commerce et la cir- culation de moyens de paiements étrangers, et la régularisation du service des paiements et de cir- culation des valeurs avec l'étranger (Ordonnance concernant les devises). La Chambre suisse de commerce à Vienne, fait à ce sujet les remarques suivantes :

D'après cette ordonnance, le commerce de moyens étrangers de paiement est réservé exclusi- vement à la Centrale des devises, ainsi qu'aux per- sonnes et maisons duement autorisées par le mi- nistère compétent dans les limites de l'autorisation qui leur est accordée. Elle établit des prescripitions absolument nouvelles sur le commerce et la circu- lation des moyens étrangers de paiement, et les relations avec l'étranger ; les dispositions ancien- nes non modifiées ont aussi été reproduites dans la, loi.

Tandis qu'en novembre 1920, l'ancienne régle- mentation a été abrogée dans ses dispositions essentielles, et le commerce des devises déclaré libre, cette situation fut modifiée en décembre 1921 par l'adoption d'une novelle qui fixait de nom- breuses restrictions. La nouvelle ordonnance sur les devises renforce encore ces restrictions ; cepen- dant, d'après des déclarations de source compé- tente, les aflaires légales ne doivent pas être en- travées. Par la nouvelle loi on cherche à empêcher pour la suite les abus et les transactions illicites.

La principale innovation consiste dans la réduc- tion de six à deux mois du délai pendant lequel peut être effectuée par les personnes et maisons protocolées et les corporations intéressées, la cou- verture des devises nécessaire au commerce légi- time. Pour les achats à une échéance plus éloignée, il faut une autorisation spéciale. En outre, la preuve doit être faite que l'importation dont il s'agit a effec- tivement eu lieu. Les moyens étrangers de paie- ment ne peuvent être ni acquis, ni vendus à titre onéreux dans un but de spéculation. Cette inter- diction s'applique aussi aux commerçants en de- vises, pour lesquels il a été pratiqué jusqu'ici une certaine tolérance, en ce sens que ces personnes pouvaient acheter des devises en bourse ou hors bourse et les revendre dans les deux à trois jour s.

Dorénavant ces personnes aussi ne pourront faire leurs achats qu'à la bourse, et à la condition de justifier qu'elles ont réellement besoin de ces de-

vises. Par contre, ici aussi, les nouvelles disposi- tions ne doivent pas créer une entrave aux affaires des banques et maisons de commerce, mais seule- ment de ceux qui font des spéculations en devises.

L'ordonnance règle en outre la circulation des couronnes avec l'étranger, et leur exportation, qui n'est possible que moyennont autorisation de là centrale des devises, et enfin le commerce des valeurs et fonds publics.

Sur cette même question, une ordonnance du ministère des finances du 18 juillet 1922, prescrit ce qui suit :

§ 1. Il est interdit jusqu'à nouvel ordre d'effec- tuer aucune transaction en devises étrangères (soit en bourse, soit de bureau à bureau) ou de servir d'intermédiaire pour permettre la réalisation de telles transactions. Cette interdiction s'applique

aussi aux personnes ayant obtenu l'autorisation prévue à l'article 3 de l'ordonnance concernant les devises ; est toutefois autorisée la vente de devises aux personnes se rendant à l'étranger pour leur permettre d'acquitter leurs dépenses de voyage (§ 10, al. 1 d de l'ordonnance). Toutes les opérations en devises étrangères autorisées aux termes de l'ordonnance doivent être exécutées au clearing de la centrale des devises.

§ 2. Il ne pourra être indiqué d'autres cours pour les devises étrangères, que ceux publiés par la centrale des devises. Toute indication de va- leur différente de ces devises, même autrement qu'en chiffres, est interdite.

§ 3. Toutes contraventions à la présente ordon- nance seront poursuivies conformément aux dis- positions pénales de l'ordonnance concernant le ie commerce des devises.

§ 4. La présente ordonnance est entré en vi- gueur le 19 juillet 1922.

Tchècoslavaquie.

Les émissions en Tchécoslovaquie.

Les émissions d'actions durant le mois d'avril dernier ont porté au total sur 202 millions de cou- ronnes tchécoslovaques, dont 166 millions '/» poul- ies sociétés anonymes et les sociétés à responsa- bilité limitée nouvelles et 35 millions '/

2

pour l'augmentation du capital des sociétés existantes.

Le mois de mai était plus tranquille. Les émis- sions se sont élevées au total à 87 millions, dont 36 millions '/= pour les sociétés nouvelles et 50 mil- lions '/a pour l'augmentation du capital des sociétés existantes. Il faut faire observer que la souscrip- tion a été effective, étant donné que la législation tchécoslovaque n'admet pas d'actions libérées en partie.

Chronique des Associations patronales

ii

Union centrale

des associations patronales suisses.

L'assistance-chômage a, cela va de soi, fait

l'objet des préoccupations principales des organes de l'Union central. Elle a dû procéder à des en- quêtes sur le degré d'occupation ou sur l'état des fonds, soit pour adresser des mémoires aux auto- rités ou pour participer avec ces dernières à des entretiens en vue de sauvegarder les intérêts des membres de l'Union centrale dans des questions importantes d'interprétation ou de modification des prescriptions légales. Ils ont eu en outre sou- vent à donner des avis verbaux ou écrits à des associations ou à des chefs d'entreprises.

Une conférence des représentants des indus- triels et des ouvriers fut convoquée par l'Office fédéral du travail le 26 août 1921 pour discuter diverses demandes de re vision, en particulier l'abaissement des prestations et la prolongation de la durée de l'assistance, le travail à donner aux assistés, le remplacement des prestations en es- pèces par des prestations en nature et le subven- tionnement d'entreprises par la Confédération et les cantons.

Les objets énumérés ci-dessus passèrent au se- cond plan dans la discussion dès l'instant où des représentants des Arts et Métiers, qui furent ap- puyés par les délégués de l'Union centrale, pré- sentèrent la demande de libération des patrons.

Il faut noter que ce furent moins les représentants des ouvriers qui s'opposèrent à cette demande que les représentants des cantons et de la Confé- dération.

Les statistiques établies au sujet du degré d'oc-

cupation des industries suisses, donnent une idée

de l'intensité du chômage, mais elle ne donnent cependant pas une idée exacte du nombre d'heures de travail perdues. C'est pourquoi l'Union cen- trale a proc édé elle-même à une enquête périodi- que sur le degré d'occupation des industries qui lui sont affiliées.

D'après les données de cette enquête la perte en heures de travail en 1921 pour les industries du tissage de la soie, de la teinture de la soie, du co- ton, laine de tissage, du papier et du ciment peut être évaluée à 33.371.171 ou 4.171.396 journées.

Cette perte équivaut à celle subie si 13.905 ou- vriers avaient cessé complètement de travailler pendant une année entière.

L'année 1921 a été celle ou le nombre de conflits

de travail a été le plus petit. j;i922 1921

Nombre des grèves 12 43

Entreprises touchées 46 437

Nombre des grévistes 1.519 16.910

Journées de travail perdues 53.114 834.381

L'industrie horlogère n'en compte pas.

(3)

Cette d i m i n u t i o n c o n s i d é r a b l e des n o m b r e s de grèves en 1921 serait, r é j o u i s s a n t e si elle révélait un c h a n g e m e n t d a n s les conceptions d é s o r g a n i s a - tions o u v r i è r e s s u r les formes de l'action syndi- cale. Ce n ' e s t m a l h e u r e u s e m e n t p a s le cas. Il n ' e x i s t e , en effet, p a s le m o i n d r e s y m p t ô m e per- m e t t a n t de p r é v o i r u n e modification des procédés s y n d i c a l i s t e s .

Les d e u x r a i s o n s principales p o u r lesquelles le n o m b r e d e g r è v e s a d i m i n u é en 1921, sont la situa- t i o n é c o n o m i q u e générale et l ' i n c o n t e s t a b l e b o n n e v o l o n t é des industriels. D a n s les p é r i o d e de c r i s e , le °-oût de grève d i m i n u e s e n s i b l e m e n t . Les g r è v e s o n t p e u de chance d ' a b o u t i r à u n r é s u l t a t . Les res- sources financières des s y n d i c a t s s o n t l a r g e m e n t mises à contribution p o u r les secours de c h ô m e u r s ; ces considérations o b l i g e n t les s y n d i c a t s à être plus p r u d e n t s .

Le l'apport de l ' U n i o n c e n t r a l contient q u e l q u e s c o n s i d é r a t i o n s g é n é r a l e s s u r la s i t u a t i o n économi- que suisse qui p r é s e n t e n t u n réel i n t é r ê t et q u i sont en parfaite c o r é l l a t i o n avec celles e x p r i m é e s à n o m b r e r e p r i s e s p a r la Fédération Horlogère, a u s s i les r e p r o d u i s o n s - n o u s à t i t r e de conclusions :

La crise frappa d ' a b o r d l ' i n d u s t r i e d ' e x p o r t a t i o n , p u i s l ' i n d u s t r i e t r a v a i l l a n t p o u r le m a r c h é inté- r i e u r , p u i s les m é t i e r s et le commerce, et finale- m e n t l ' a g r i c u l t u r e . La p e r t e des débouchés de l ' i n d u s t r i e d ' e x p o r t a t i o n eut ses r é p e r c u s s i o n s s u r l ' e n s e m b l e de n o t r e s i t u a t i o n é c o n o m i q u e .

Cette e x t e n s i o n de la crise frappant d ' a b o r d l'in- d u s t r i e d ' e x p o r t a t i o n , p u i s les a u t r e s b r a n c h e s , est u n p h é n o m è n e qui s'explique t o u t n a t u r e l l e - m e n t p a r l'histoire de n o t r e d é v e l o p p e m e n t écono- m i q u e . P e n d a n t la seconde moitié d u XIXme siècle, la Suisse s'est t r a n s f o r m é e peu à p e u de p a y s agri- cole en p a y s i n d u s t r i e l . A u j o u r d ' h u i elle est u n p a y s i n d u s t r i e l c a r a c t é r i s é . Les i n d u s t r i e s suisses t r a v a i l l e n t p r i n c i p a l e m e n t p o u r l ' é t r a n g e r de telle façon q u e le m o t « i n d u s t r i e » et les m o t s « indus- t r i e d ' e x p o r t a t i o n » o n t à peu p r è s le m ê m e sens p o u r n o u s . N o u s n ' a v o n s p a s de v a s t e m a r c h é in- t é r i e u r . E n v i r o n le 90 % de la p r o d u c t i o n h o r l o - gère, de la b r o d e r i e et des soieries, si l'on se base s u r les e s t i m a t i o n s des économistes c o m p é t e n t s , est destiné à l ' é t r a n g e r . L a p a r t de n o t r e p r o d u c - t i o n i n d u s t r i e l l e t o t a l e destinée à l ' é t r a n g e r p e n t

ê t r e estimée de 70 à 80 % . Ce n ' e s t d u r e s t e p a s s e u l e m e n t n o t r e i n d u s t r i e q u i doit e x p o r t e r , m a i s a u s s i n o t r e a g r i c u l t u r e . C'est a i n s i q u e nos ex- p o r t a t i o n s en fromage, lait c o n d e n s é et chocolat a u lait, o n t a t t e i n t en 1913 u n e v a l e u r a p p r o x i m a - t i v e de 170 m i l l i o n s de francs.

L a s i t u a t i o n é c o n o m i q u e de la Suisse d é p e n d donc, en p r e m i è r e l i g n e , de la p r o s p é r i t é r e l a t i v e des i n d u s t r i e s d ' e x p o r t a t i o n . Ces i n d u s t r i e s , selon qu'elles p r o s p è r e n t ou végètent, e n g e n d r e n t la p r o s p é r i t é ou la p a u v r e t é e n S u i s s e . I l s'agit là d'un fait q u ' a d m e t t e n t t o u t e s les p e r s o n n e s q u i sont en m e s u r e de se faiie u n e idée exacte de la s t r u c t u r e économique de la Suisse. Il s e r a i t d o n c h a u t e m e n t d é s i r a b l e que la c o n n a i s s a n c e de cette v é r i t é eût u n p e u p l u s d'influence s u r t o u t e n o t r e p o l i t i q u e . N o t r e p o l i t i q u e économique officielle de ces d e r n i è r e s a n n é e s , il faut le constater, t i e n t p e u de c o m p t e de l'élément essentiel de n o t r e v i e na-

mie m o n d i a l e se compose de d i v e r s e s é c o n o m i e s n a t i o n a l e s i n d é p e n d a n t e s ; c h a c u n e de ces écono- mies n a t i o n a l e s doit être saine p o u r que des rela- t i o n s é c o n o m i q u e s i n t e r n a t i o n a l e s n o r m a l e s puis- sent se r é t a b l i r . La crise n e p r e n d r a pas fin si c h a q u e E t a t a t t e n d que la s i t u a t i o n s ' a m é l i o r e d a n s les a u t r e s ou met son e s p o i r e n la.conclusion de c o n v e n t i o n s i n t e r n a t i o n a l e s . C h a q u e Etat d o i t p r e n d r e p o u r lui-même des m e s u r e s p o u v a n t as- s a i n i r sa p r o p r e s i t u a t i o n .

Si de telles m e s u r e s sont p r i s e s en Suisse et si à l ' a v e n i r n o t r e p o l i t i q u e é c o n o m i q u e t i e n t c o m p t e d a v a n t a g e des i n t é r ê t s de n o t r e i n d u s t r i e , n o u s p o u r r o n s e n v i s a g e r l'avenu?!.'5È^^;.çoBA5Jai|wi^'.;Qs'iV|i t a i n s s y m p t ô m e s font v o i r déjà q u e le p o i n t le plus g r a v e de la crise est a t t e i n t , s i n o n d é p a s s é .

Chronique du travail

Etats-Unis.— L'élévation des salaires des cheminots dans le monde.

U n e s t a t i s t i q u e a m é r i c a i n e p u b l i é e r é c e m m e n t m o n t r e quelle a été la p r o g r e s s i o n d e s salaires des c h e m i n o t s d e p u i s la guerre:-

Salaire moyen annuel par agent 1913 1920

(Kn dollars) '. «/»>/'. :

E t a t s - U n i s . . . 761 1.686 121 A n g l e t e r r e . . . 700 1.368 124. . C a n a d a 648 1.571 142.

S u è d e 409 1.077 Ö $ £ ä ö Suisse 36S 1.028 181 F r a n c e 449 1.441 221

mmm^mmmmmam^mmwmmmmmÉltmmmmmmmammftmmmm_

Légations et Consulats

Etrangers.

Chili. — A u x t e r m e s d'une c o m m u n i c a t i o n de l ' e m b a s s a d e d u Chili, à B e r n e , M. Carlos Erra- zuris, c o n s u l d u Chili, à Z u r i c h , a été chargé de g é r e r p r o v i s o i r e m e n t le consulat g é n é r a l d & d h i - li, à G e n è v e , d e v e n u vacant p a r s u i t e d u décès de M . V e r g a r a ; il est autorisé e n ' p a r t i c u l i e r à lé-, galiser les certificats d'origine, et à e x é c u t e r t o u t e s o p é r a t i o n s c o n c e r n a n t le c o n s u l a t g é n é r a l de G e n è v e .

, } . Droits de timbre.

Le r e n d e m e n t b r u t des d r o i t s de t i m b r e fédéraux est de fr. 20.453.861,38en 1.921(21.705.941,74).

E t a n t d o n n é e là crise é c o n o m i q u e r é g n a n t e , le r e n d e m e n t dés d r o i t s de t i m b r e n ' a v a i t été é v a l u é d a n s le b u d g e t q u ' a fr. 18.000,000.

. A.,ce,;.«ujet, o n .doit r e l e v e r s u r t o u t le fait q u e 'les «capitaux é t r a n g e r s c h e r c h è r e n t domicile d a n s n o t r e p a y s sous för^he de f o n d a t i o n s de sociétés a n o n y m e s suisses. I l en e s t r é s u l t é p o u r le fisc u n e r e c e t t e de p l u s de 3 m i l l i o n s , p r o d u i t e p a r les d r o i t s d ' é m i s s i o n s u r a c t i o n s . L a forte a u g m e n t a - tion, d u r e n d e m e n t d e s d r o i t s s u r t i t r e s é t r a n g e r s

p r o v i e n t d e causés a n a l o g u e s .

L a crise se fit s u r t o u t s e n t i r p o u r le t i m b r e s u r effets de c h a n g e , q u i p e u t s e r v i r d e(b a r o m è t r e de l'économie n a t i o n a l e . O n doit c o n s t a t e r ici u n r e c u l de p r è s d ' u n t i e r s s u r l e r e n d e m e n t de l'an- née p r é c é d e n t e . P e n d a n t l ' a n n é e 1921, les r e c e t t e s o n t d i m i n u é de m o i s en m o i s .

L e d r o i t s u r les q u i t t a n c e s de p r i m e s d ' a s s u r a n - c e s a p r o d u i t a p p r o x i m a t i v e m e n t le m ê m e r e n d e - m e n t q u e celui de 1920. D e ce r e n d e m e n t , l e 7 8 % se r a p p o r t é a u x q u i t t a n c e s d e p r i m e s de l ' a s s u r a n c e c o n t r e l ' i n c e n d i e , le 7e/8 à celles de l ' a s s u r a n c e s u r la v i e , le 5*/« à celles dé l ' a s s u r a n c e - a c c i d e n t s , le 5,% à celles de l ' a s s u r a n c é - t r a n s p o r t e t le 5 % à celles des a u t r e s b r a n c h e s d ' a s s u r a n c e . O n doit e n r e g i s t r e r u n e légère a u g m e n t a t i o n p a r rapport a . l ' à n n é e p r é c é d e n t e p o u r l e s a s s u r a n c e s i n c e n d i e , Tie et accidents, et u n e d i m i n u t i o n d e 3 5 % p o u r l ' a s s u r a n c é - t r a n s p o r t .

U n c i n q u i è m e d u p r o d u i t n e t des d r o i t s de t i m - b r e en l ' a n n é e 1320, de fr. 21.096.415,40 soit fr.

4.219.283,10, e t u n t i e r s d u p r o d u i t b r u t des a m e n , des, de fr. 19.544,35, soit fr. 6.514,80, a u t o t a l fr 4.225.797,90, furent r é p a r t i s a u x c a n t o n s en 1921'

Impôt de guerre.

A la fin de l ' a n n é e , le t o t a l d e s v e r s e m e n t s effec- t u é s p a r les c a n t o n s à la Confédération s'élevait à fr. 101.108.585,40 c o n t r e fr. 99.286,901,38 à la fin de l ' a n n é e p r é c é d e n t e .

Chronique administrative

, M é t a u x p r é c i e u x (28 juillet 19ï2i :

Argent fin en grenailles" . . . . . . . . .fr;; 134.— le k1'o Or tin, pour monteurs de boites 3500.— •

» laminé pour doreurs » 3555.— » Platine brut V . . . . . . . . 17.—le gr.

Change sur Paris fr. 43.80

tionale. Si elle c o n t i n u e à être dirigée d a n s la mê- me voie la s i t u a t i o n d é p l o r a b l e de n o t r e i n d u s t r i e et de t o u t le p a y s n e p o u r r a que s'aggraver. C'est une faute l o u r d e de conséquence que de s u p p o s e r q u ' u n e p o l i t i q u e é c o n o m i q u e faisant a b s t r a c t i o n des i n t é r ê t s de l'une d e s b r a n c h e s p r i n c i p a l e s d e n o t r e activité n a t i o n a l e p u i s s e ê t r e conforme a u x i n t é r ê t s g é n é r a u x . Ce sont les i n d u s t r i e s d'expor- tation q u i o n t été frappées les p r e m i è r e s , il faudra que ce soient elles aussi q u i p u i s s e n t e n r e g i s t r e r les p r e m i è r e s u n e a m é l i o r a t i o n p o u r que l'ensem- ble d u p a y s s o r t e de l a crise.

Nous n e p o u v o n s c l o r e ces c o n s i d é r a t i o n s géné- rales sans n o u s o p p o s e r e n c o r e à u n e conception assez r é p a n d u e et a d m i s e p a r n o s a u t o r i t é s : il s agit de la d o c t r i n e en v e r t u de l a q u e l l e toutes les m e s u r e s prises d a n s le d o m a i n e n a t i o n a l ne sau- r a i e n t suflire p o u r r a n i m e r les affaires et m e t t r e fin à la crise, a l o r s que seule u n e a m é l i o r a t i o n de la s i t u a t i o n économique des p r i n c i p a u x p a y s con- s o m m a t e u r s de n o s p r o d u i t s ou d e s m e s u r e s inter- n a t i o n a l e s p o u r r a i e n t a m e n e r u n a s s a i n i s s e m e n t . Cette d o c t r i n e révèle u n e b i e n faible confiance d a n s la puissance é c o n o m i q u e d u p a y s . N o u s pen- sons a u c o n t r a i r e que c h a q u e E t a t possède les m o y e n s suffisants p o u r a m é l i o r e r sa p r o p r e situa- t i o n . M a i s il n e faut alors p a s r e c u l e r d e v a n t u n e application logique des m e s u r e s n é c e s s a i r e s d a n s l'intérêt g é n é r a l , p o u r des r a i s o n s d ' o r d r e p o l i t i - que ou en c o n s i d é r a t i o n d ' i n t é r ê t s p a r t i c u l i e r s . Nous ne m é c o n n a i s s o n s pas l'influence d e s rela- ti >ns é c o n o m i q u e s i n t e r n a t i o n a l e s . Mais l'écono-

Gestion fédérale.

Département des Finances et des Douanes.

(Finances)

Contrôle des billets de banque.

Les b i l l e t s défectueux retirés de l a c i r c u l a t i o n p a r la B a n q u e n a t i o n a l e suisse et d é l i v r é s a u con- t r ô l e des billets de b a n q u e pour ê t r e d é t r u i t s , s'é- lèvent en 1921 à 6.352.000, en F r . 171.700.000. De- p u i s 1908, le m o n t a n t total et de 22.990.200, en F r . 737.000.000.

La c i r c u l a t i o n de b i l l e t s a été en 1920 de F r . 1.023.712 430 et en 1921 d e F r . 1.009.263.735, d o n c F r . 14.448.695 e n m o i n s .

La c o u v e r t u r e d e s b i l l e t s a été : C o u v e r t u r e m é t a l l i q u e . 1 9 2 0 O r m o n n a y é et lin- Fr.

g o t s d ' o r . . . .542.902.801,35 A r g e n t m o n n a y é

(pièces de 5 fr.) 121.570.765,—

A u t r e c o u v e r t u r e . 528.229.577,86

T o t a l 1.192.703.144,21 1.1000)14,834,83:

L a c o u v e r t u r e m é t a l l i q u e des billets de b a n q u e en c i r c u l a t i o n était a u 31 d é c e m b r e 1921 de 64,7«%

(1920 64> 9i%).

Les i n d e m n i t é s v e r s é e s a u x c a n t o n s p o u r les a n n é e s 1907/1908 j u s q u ' à 1920 se s o n t élevées à

P o u r l ' a n n é e 1921, la B a n q u e n a t i o n a l e v e r s e r a à la caisse fédérale

C o n f o r m é m e n t à l'ar- ticle 28 de la l o i , les c a n t o n s rece- v r o n t

S u r le solde, soit les c a n t o n s o n t d r o i t

a u x */s à t e n e u r de l'article 28 . . . et la Confédération

1 9 2 1 54B.4Si''218,0o 108.240.000.—

446.363.616,78

COTES

Esoompte et ohange Suisse

France . . . 100 fr.

G"-Bretagne 1 liv. st.

U. S. A. . . 1 dollar

. Parité Escompte

•o francs suisses °/„

3 Vi à 4 %

Demanda Offre

Fr.

40.064.332,30

Fr.

.123.606,79

3.104.256,— 3.104.256.

4,019.350,79

2.679.507,20 2.679.507,20 à '/• 1.339.783,59 I n d e m n i t é s totales v e r s é e s a u x c a n - _«

t o n s j u s q u ' e n 1921 i n c l u s i v e m e n t 45.848:155,50

Canada. . . Belgique . Italie . . . Espagne . Portugal . Hollande . Allemagne Autriche . . Hongrie . Tchécoslov.

Russie . . Suède . . Norvège ..

Danemark Bulgarie . Roumanie Yougoslavie

Belgrade . Grèce . . . Pologne . ' , Turquie . . Finlande. . Argentine . Brésil . . . Indes . . . Japon . . .

100.—

25.»

5.18.

5.18 100.—

100.—

100.—

1 dollar . 100 fr.

. 100 lires , 100 pesetas . 100 Escudos 560.—

. 100 florins 208.32 ,100 Marks

100 Cour.

100 Cour.

100 Cour.

100 Roubl.

100 Cr. sk.

100 . 100 •

100 Leva 100 Lei

123.45 105 — 105.—

105.—

266.67 138.89 138.89 138.89 100.—

1 0 0 . - 100 Dinars 100.—

100 drachm>100.^

100 Mt pol. 123.46 1 liv.turq. 22.78 100 Mks fini. 100.—

100 Pesos. . 220.—

100 Itilreis . 1 6 5 . - 100 Roupies 168.—

100 Yens 258.—

5 3 4 Va 4 V . 5 Va 5 V.

7 4«/i

5 7 5

4'/»

5»/, 5 6'/»

6

6 Vi

7 9 6 Va0/.

5 8

43.80 23.36 6.20 5.18 41.—

23.90 81.25 35.—

203.50 0.93 0.01 0.30 11.90 13Î.50 88.50 113.—

3.25

6.40 16.-^- 0.075 3.20 10.75 187.50 67.50 145.—

245.—

44.25 23.46 5.32 5.23 41.70 24.35 82.25 40.—

204.75 1.07 0.03 0.35 12.10 137.50 89.60 114.—

3.50

6.80 1 7 . -

0.40 3.35 H.25 1 9 5 . -

7 5 . - 160.—

260.—

C O R R E C T I O N . — Bien q u e la p l u p a r t de n o s lecteurs a u r o n t déjà c o r r i g é d ' e u x - m ê m e s la défi- g u r a t i o n d u m o t « b r u t s » e n « b r u s t » , d a n s la 3"'° ligne de l'annonce de la m a i s o n L u c i e n B a s - z a n g e r , à G e n è v e , p u b l i é e à la d e r n i è r e p a g e du n u m é r o d u 15 j u i l l e t c o u r a n t , n o u s t e n o n s cepen- d a n t , et p o u r la b o n n e r è g l e , à m e t t r e la chose a u p o i n t p a r la p r é s e n t e rectification.

Les I m p r i m e u r s du Journal.

lithographie -imprimerie papeterie fabrique.de Registres"-. '

:

Jfae/e/i S Co, Chaux~de-fonds

* J . J Xéopolà Robert M et 16

(4)

372 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E

CH S HAHN & C°, Fabrique d'Ebauches du LANDERON

Téléphone N° 21 N o u v e a u x m é c a n i s m e s i n t e r c h a n g e a b l e s use

13 X 18

S '/, lignes KI; iirr I 1 3>3 5 x 21> o v a'e e' rectangle

0 '» "?•( 13 X 22, ovale, r e e l , tonneau 6'/i lig- 14'/s X 25 6>/«lig. 15 X.24'/s 7 lig. 16 X ÏH

/ i : •-; j i r j î , < i - ! ' i t r i

Boîtes biseau

en plaqué or, argent, métal et acier sur mouvements bas de 16 à 19 lig.

LES FILS DE BRÉGUET-BRÉTING

B I E N N E (Suisse) 559

SOCIETE DE

BANQUE SUISSE

C a p i t a l e t r é s e r v e s F r s . 1 5 3 . 0 0 0 . 0 0 0 . — Bp-

Succursale du Locle

Usine de métaux précieux

OR, ARGENT, PLATINE A c h a t , v e n t e , f o n t e s e t e s s a i s

Traitement des déchets

AFFI N AOE

Tél. L e Locle 1,48 2468

Il faut voir

la Rectangulaire|]5 lig

S p i r a l Brcgui'l 18 r u b i s

largeur 12,4 m/m longueur 22 m/m, hauteur 3 m/m

de Marc Favre & Co

Bienne

pour se rendre à l'évidence que son

fini parfait — son excellente marche — son réglage précis lui assurent cette u p é r i o r i t é i n c o n t e s t é e

= = = = = qui fait le succès de la vente En préparation : o v a l e 5 1 1 g . p e n d e n t i f

A u t r e s calibres de la maison :

370

a n c r e 7.%» 8>/

2

, 8 » / « » , 9

3

A , 10, IOV2» U» 13 Uff«

Nouveaux prix pour 1922

METEORE « "i 1 7

6

&

METEOMSABIMM

RUE DU BOURG 3 TÉLÉPHONE 7.21 •

Les matières lumineuses favorites

Posage soigné Prix très réduits

Dépositaire à la Chaux-de-Fonds : 142

L O U I S H U M B E R T

Téléphone 11.86 Rue Numa Droz 12 Téléphone 11.86

Imprimerie de la Fédération Horloger« Suisse

(HAKFELI A

Go), La Chaux-de-Fonds

(5)

I.

OFFRES D'EMPLOIS I Achat et Vente Demandes d'emplois

CHEF DE FflBRICRTION

d e p r e m i è r e force, est d e m a n d é , e n t r é e de suite ou à c o n v e n i r , pour i m p o r t a n t e m a i s o n d'expor- t a t i o n . D o i t être en m e s u r e d e c o n t r ô l e r la fabri- c a t i o n d e la petite pièce soignée. B o n salaire et p l a c e d ' a v e n i r à c a n d i d a t s é r i e u x .

Ecrire en donnant références sous chiffre P 59676 X à Pu-

i l l o l t o e ftanàve. H~V blicitas. Genève.

I m p o r t a n t e f a b r i q u e d ' h o r l o g e r i e offre e m - ploi d e s u i t e o n p o u r é p o q u e à c o n v e n i r à

visiteur-termineur

connaissant parfaitement le jouage de boites savon., o r et argent, petites et grandes pièces.

Adresser les offres avec certiticats et réfé- rences s. S 2719 U à Publicitas, Bienne. 1166

F a b r i q u e d'ébauches cherche

atelier de sertissage

qui pourrait lui sertir ses ébauches.

Adresser les offres avec prix-courant sous chiffres P3411 D à Publicitas, St-lmier. 1159

TECHNICIEN

d e lr e f o r c e , a p t e à d i r i g e r la f a b r i c a t i o n d e l ' é b a u c h e e t d e c r é e r l e s p e t i t e s p i è c e s d e f o r m e p a r p r o c é d é s m o d e r n e s

est demandé

par fabrique de montres. Inutile d'écrire sans avoir occupé place de chef.

Faire offres détaillées et salaire demandé sons chiffres K2750U à Publicitas, Bienne. H88

DEMANDES D'EMPLOIS

TECHMKIEM-HORLOQER

actuellement chef dans importante usine, cherche à changer de place pour époque à convenir. Serait disposé à s'associer ou à s'intéresser dans fabrique sérieuse.

Ecrire sous chiures P I 5 3 8 4 C à P u b l i c i t a s , La

Chaux-de-Fonds. 1164 Jeune

comptable

actif, connaissant les bilans, 10 ans de pratique dans l'horlogerie, pouvant correspondre en allemand et en français, avec très bonnes références, c h e r c h e pour de suite ou plus tard place d'employé dans n'importe quelle branche. Prétentions modestes.

Offres sons chiffres Me 3233 Q à Publicitas, Bâle. 1178

A C H A T ET V E N T E On c h e r c h e à a c h e t e r

m é t a l d o r é , a v e c f e r m o i r s . P r i x d e l i q u i d a t i o n

P a y e m e n t c o m p t a n t . 1191 Faire offres sous chiffre Rc1422Sn à Publicitas, Soleure.

DIVERS

Fabrique d'horlogerie faisant entièrement la el

montre ancre de bonne qualité courante et de qualité soignée, cherche à entrer en relations d'affaires avec maison disposée à s'occuper de la vente de ses produits sur ces deux marchés.

Spécialité: 8

3

A et 10V

2

lig. tirette, 0,12,16 et I8 size négative, lépine et savonnette.

Ces calibres sont la propriété de la maison et sont déposés.

Echantillons et lots intéressants à disposition.

Adresser offres sous chiffre P 22592 C à

P u b l i c i t a s , Chaux-de-Fonds. 1146

A Tendre

1 l o t d e m o u - v e m e n t s prêts à emboîter 8

3

/

4

lig.

Qualité garantie.

Offres s.chiff. P2716U à Publicitas, Bienne. net

A v e n d r e 1163

lies alumiDïum

épaisseur 0,15 mm, diamè- tres intérieurs de 7, 9, 11, 13, 16, 21, 23 et 29 mm.

S'adresser par écrit sous G 355 L à Publicitas, Lausanne.

6! lig., eyl.

M o u v e m e n t s r e c t . s o n t l i v r é s avanta- g e u s e m e n t . - Qualité g a r a n t i e . 1160

Offres s.chiff.R2718U à Publicitas, Bienne.

A v e n d r e

1 cal. 18-; lig.

ancre et cy!., à ponts et s/i

S

latine, sur piliers, est à ven- re avec les étampes, jauges et plans.

Offres sous chiffres P15387 C à Publicitas, Chaux-de-Fonds. 1170

Fabriqua d'Ebauches |

offre mouvements 101/2 lig- ancre, calibre spécial

pour concession.

Prix et qualité ultra avantageux.

Adresser öftres sous chiffres I P10167 C à Publicitas, Chaux-[

de-Fonds. 7031

Suis acheteur a u comp- tant de

1000 Lépines

s y s t . Roskopf, nickel et acier, bon marché, mais

marchant. 1177 Offres av. échantillons à

Maxima, 8, Molard, Genève.

MONTRES

Certaine quantité, sav.

gai., cuvette argt., ancre, 19 lig;, 15 pierres.

Lépine gai., cuv. arg. et laiton, ancre, 19 lignes, 10 pierres. — A un prix très

avantageux. 1183 Adresser offres sous chif-

fre P 2 2 6 3 0 C à Publici- t a s , Chaux-de-Fonds.

O n d e m a n d e

empierrés, Roskopf, prêts pour emboîtage de montres automo- biles, dont le cadran doit être d'un diamètre de 78 mm.

Adresser offres d'urgence aux Fils de B. Depery, à Cluses

(Hte Savoie). H87

On c h e r c h e à acheter u n e

fraiseuse

d e c a m e s . Faire offres sous chiffre P 7 3 2 2 H à P u b l i c i t a s ,

St-lmier. 1181

R E G L E U R

expérimenté dans le régla- ge de précision, sollicite fabricants de montres soi- gnées, pour la retouche aux températures et posi- tions et réglages pour bul- letins d'observatoires, H*'

S'adresser sous P1664N, à Publicitas, Chaux-de-Fonds.

cherche place dans maga^

sin, réparations de pièces en tous genres.

A. G u e i s s a z , 15, rue du Jura, 15, Ste-Croix. 1190

Garnissages d'Ancres

On entreprendrait gar- nissages d'ancres, soit gre- nat, rubis et saphir, depuis 83/4'" à 20'". Ouvrage cons-

ciencieux. 1184 Offres s. chiffre P15395 C

à Publicitas, Chaux-de-Fonds.

Jeune industriel

marié, disposant d'un ca- pital, c h e r c h e

association ou employé intéressé

dans industrie ou com- merce stable.

S'adresser s. chiff. P 59521 à Publicitas, St-lmier. 1176

DIVERS

Fabricant

d'horlogerie

p r o p r i é t a i r e d ' u n cali- bre spécial de forme, ayant en main de fortes commandes, c h e r c h e pour lancer l ' a f f a i r e , aide financière.

Bénéfice assuré.

Adresser offres sous chiffre E 2736 U à Publicitas,

Bienne. 1175

Rue de la Gare 56

Montres. — Brillants.

A c h a t s . — Ventes.IÜ:;I Lots d'occasions cherchés.

Payement grand comptant.

Leçons éorites de comp tab. américaine. Succès garanti.

Prosp. grat. H. Frlsoh, expert comptable, Zurich, F. 21. 6

AD. RDLER

[ 3, rue Adrien Lachenal, G E N È V E

Adr. télégr. : Brillants, Genève Tél.: Mt.-Bl. 24.63

Brillants, Roses

Achats — Ventes Spécialités en tous genres de brillants pour la déco- ration des montres et de la

bijouterie. 394

101 LIG. NICKEL

sont demandées p a r gran-

des séries. 1179 Offres écrites avec der-

nier prix sous P 22625 C à Publicitas, La Chaux-de-Fonds.

DIVERS

L'AZURE A S. A.

MOUTIER

Spécialité d'arbres de barillets extra soignés.

-:- Essayer, c'est continuer ! -:-

La C o m p a g n i e I n d u s t r i e l l e ; d e m é c a n i - q u e h o r l o g è r e à Paris (France), propriétaire des brevets suisses suivants, désire entrer "en relation avec des fabricants, e n v u e d e [la fabrication en S u i s s e d e s a r t i c l e s b r e v e t é s , et serait disposée à céder des licences d'exploi- tation ou à vendre ces brevets :

B r e v e t No. 84936, d u 1 8 a o û t 1919. Clé de pièces d'horlogerie, spécialement pour réveils,.

B r e v e t No. 84937, d u 6 s e p t . 1919. Réveil.

B r e v e t No. 85096, d u 4 s e p t . 1919. Dis- positif d'ajustement d'un mobile de pièce d'horlogerie dans son support.

B r e v e t No. 85097, d u 6 sept. 1919. Dis- positif d'ajustement d'un arbre dans la cage d'un mouvement d'horlogerie, permettant d'enlever et de rajuster le dit arbre sans dé- montage de la cage.

Prière d'adresser les offres ou propositions à l'Office de brevets d'invention W. Koelliker, à Bienne, qui les transmettra à qui de droit, njfe

BEUCHAT-MEYER, Bâssecourt

PRAYÉ WATCH

T é l é p h . N ° 2 7 .

Maison spécialisée pour la montre cylindre en tous genres, l(M/2> 11, 12, 18 lig., or, ar- gent, métal, plaqué, nacre, etc., pour tous pays; à ponts,

3

/

4

pi., 11 lig. à secondes. 1158

Bienfacture assurée. — Prix avantageux.

Fabrique d'horlogerie mécanique bien intro- duite, et possédant des commandes, cherche un

représentant

intéressé.

Pour renseignements, s'adresser sous chiffre

L1397 Sn à Publicitas, Bienne. 1169

Lampe de poche à magnéto

Inventeur cherche a mettre en valeur brevet. Mo- dèle construit. Appareil léger (180 gr.), peu encom- brant (US m/m X 60 m/m X 23 m/m), susceptible d'être fabriqué par procédés économiques. Etude de fabrication complètement terminée.

Offres s. chiffre A 4897 L a Publicitas, Lausanne. 1140

Mécanique de h a u t e précision

Spécialité d'outillages modernes pou horlogerie

Micrometres pour pivots, épaisseur de ressorts, spiraux, etc.

(déposé).

Machines à calibrer les trous de pierres (breveté).

Comparateurs pour loger les balanciers (déposé).

Appareils à vérifier et mettre rond les roues et balanciers.

Plaques mères, plaques pour sertissages, plaques de travail, etc.

Etudes diverses.

1148

Longues expériences.

A. BERTHOUD, Grand Pré 5«, Chandieu 1.

Téléphone Mont-Blanc 38.05 Genève.

A C H A T ET V E N T E

A VENDRE

Bracelets milanaises or 14 et 9 karats.

Bracelets soie pour mon- tres à anses et à plots avec fermoir plaqué or, or 18, 14 et 9 karats. 1182

Adresser offres s. chiffre P 2 2 6 3 1 C à P u b l i c i t a s , La C h a u x - d e - F o n d s .

« u e l t i i i e s

I»'

diverses 83/4, 9a/4 et 10 V*

lig., dont une partie em-

E

ierrées, Fontainemelon, anderon, Cornioley, sont offerts à prix très avanta- geux, pour cause de ces- sation de fabrication.

S'adresser s. chiffre P15394C à Publicitas, Chaux-de-Fonds. 1180

(6)

374 L,A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E

Diamants bruts

BOART - CARBONE

Eclats, Esquilles, Diamant noir p. poudre et burins

Rubis d ' O r i e n t - Saphir M o n t a n a - Grenat

• — S c i e n t i f i q u e „ C O R U N D I A " —

Ta. M. Duerp & Cie, Genève

i, Place Longeinalle

R E P R É S E N T A N T S de

L . M . V A N M O P P E S & S O N S , L O N D R E S E . - C . 1 Kimberley-House, £4-17, Holborn-Viaduci. 839 ;

La Montre par excellence

Dernière création !

L'interchangeabilité et la qualité surfassent tous les genres similaires.

P r i x t r è s a v a n t a g e u x .

6 '/i lignes, 14,8 x 23 m/m

MooIrdLljl

Croix d'Or 2

Genève

La montre est fabri- quée complètement dans nos usines. 1137

WË. METAUX PRÉCIEUX

P o n t e — E s s a i — A c h a t e t V e n t e GÜ

O r fin pour doreurs et pour alliages — A r g e n t fin en grenailles P l a t i n e pur en plaques — O r s b l a n c s , qualité extra 594

HOCHREUTINER & ROBERT / . A.

LA CHAUX-DE-FONDS (Suisse)

Télé.gr: Hochreutiner. Serie 40 Téléphone 74

TRANSPORTS INTERNATIONAUX

J.VÉRON, GRAUER &C°

LA C H A U X - D E - F O N D S

EXPÉDITIONS D'HORLOGERIE

par services spéciaux

embarquement sur tous bateaux par nos succursales de MARSEILLE et du HAVRE

Groupage hebdomadaire sur NEW-YORK via Le Havre, en correspondance avec les paquebots-postes

de la C o m p a g n i e G é n é r a l e T r a n s a t l a n t i q u e Tarif à disposition ; payable en argent français.

Importation. — Transit. — Fret. — Exportation. 353

Ebauches et Finissages

Fabrique d'Horlogerie de Sonceboz S. A.

Maison fondée en 1849

Administrateur • Délégué : F , . E. PFISTER

Ebauches de 9

:

7, à 30 lig., 12 et 16 size négative SPÉCIALITÉ DE MOUVEMENTS SOIGNÉS

e n l e , 17 e t 1 8 ' / s l i g n e s e x t r a - p l a t s

La fabrique ne termine pasla montre. 224

Téléphone 25

13 lignes ancre

Ebauches de Mouvements

ancre et cylindre 3H8 de 1 2 % à 21 lignes.

lOgnes ancre

QUEL GROSSISTE

s'intéresserait à un nouveau calibre 6V2 lig., ovale, qualité et interchangeabilité parfaite et dont aucun article analogue ne

peut lui être Comparé. Grande production et prix très avantageux.

Offres sous chiffres 62696U à Publicitas, Bienne. UM

Fabrique suisse de Ressorts de montres LE SOLEIL A. C.

en tous genres et pour tous pays 233

7 Repos LA CHAUX-DE-FONDS Repos 7

Commission. E x p o r t a t i o n . Ressorts soignés. Spécialité : Ressorts renversés

Ressorts à développement concentrique pour chronomètres et montres de précision.

Ressorts aveo brides et genres américains.

rhrfedern. Watch springs. Molle dl orologi. Mettes para relojes.

EXIGEZ

Les M A R Q U E S D É P O S É E S

59

000 pour vos F I L S d'ACIER d'horlogerie m

COURVOISIER. FILS, BIENNE

N. N/KttTIQALL, „NETEN WATCH

tt

Lfl CnrtUX-DE-FOHbS

Q n p p j a j j t p • Montres cylindre 10 'A, 11 et 12 '/s lignes, à pont et OjJCblQlUO .

a

y,

t

p i

a

f t

n e j

qualité bon courant, en métal, nacre, plaqué or, argent et or, pour tous pays ; genres pour l'Amérique ; pièces Directoire et Smocking 12 '/a - 17 lig. ; 10 '/= lig. cylindre à seconde.

G r a n d e p r o d u c t i o n . 921 P r i x s a n s c o n c u r r e n c e .

Références

Documents relatifs

Utiliser la notice Ouverture et traitement d'un fichier vidéo pour réaliser un pointage image par image de la chute de la bille dans l'air.. Visualiser les

J’écris le mot popcorn avec les tampons lettres ou j’écris en changeant de couleur à chaque lettre.. Construis le mot avec des

Pour préparer une boisson isotonique, il vous faudra de l’eau, éventuellement du thé (pour l’arôme), du sucre blanc ou roux (simple saccharose ou fructose) et, pour les efforts

L’impression de cette fi che en version française ou traduite est autorisée pour informer les familles, sans aucune modifi cation de tout ou partie des textes, illustrations, crédits

Les complications neurologiques en cas de spondylodiscite tuberculeuse se manifestent chez 10 à 20 % des patients dans les pays développés et jusqu’à 40 % dans les pays en voie

L’émergence de nombreuses forêts primaires fournit aux hommes de nouveaux outils, un matériau pour son habitat, un combustible pour fabriquer des poteries et des objets

Dans le cadre des activités de formation du Centre Georges Por.1pidou, l'Atelier des en- fants organise des stages d'expression artis- tique à l'intention des

Le linéaire total de collecteurs visitables est de 444,3 km, la DEA s’engage à visiter au moins 133 km de réseau pour atteindre l’objectif fixé par l’Agence de l’eau..