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Commune ÉTAT DES LIEUX DES BÂTIMENTS PUBLICS. supplément spécial du magazine. des habitants de Faches-Thumesnil

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Academic year: 2022

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Commune

www.ville-fachesthumesnil.fr

supplément spécial du magazine des habitants de Faches-Thumesnil

Notre ville Notre ville

ÉTAT DES LIEUX

DES BÂTIMENTS

PUBLICS

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Chères concitoyennes, chers concitoyens,

Il est souvent de mauvaise tradition qu’une équipe nouvellement élue viennent critiquer le bilan de l’ancienne.

Néanmoins, il est de mon devoir de vous informer de l’état dans lequel nous retrouvons le patrimoine de la commune après vingt années de gestion par une même équipe. La situation est inquiétante. En 10 mois de mandat seulement, nous avons été contraints de fermer au public quatre lieux emblématiques pour cause de péril grave et imminent : les vestiaires visiteurs du stade Merchier insalubres, la salle de spectacle des Arcades dont la sécurité était compromise (les travaux ont été réalisés depuis), l’église du Sacré-Coeur à la charpente fragilisée, l’école maternelle Daudet dont la structure présente de graves défauts.

Ces quatre exemples parmi d’autres, et notre souhait de gérer des bâtiments de manière éco-responsable, nous ont conduits à réaliser un audit complet des bâtiments municipaux, ce qui nous permettra d’établir un Plan pluriannuel d’investissements (PPI) afin de planifier les travaux de rénovation et de construction pour au moins les six années à venir.

L’ancienne équipe municipale, menée pendant 18 ans par Nicolas Lebas, a régulièrement communiqué sur la réduction de la dette. Mais elle fut réalisée au prix de la cession d’une grande partie du patrimoine immobilier communal (piscine, stade Moermans, cuisine centrale…) et de la perception de primes d’assurance pour de nombreux sinistres sans vision à long terme (voir l’exemple des bâtiments de la place Victor Hugo page 8).

Malgré ces constats peu favorables, notre optimisme et nos projets ne sont nullement entamés ! Faches-Thumesnil va connaître un nouveau souffle et va se construire désormais en commun avec vous, en toute transparence démocratique. Nous restons, bien sûr, à votre disposition pour répondre à vos questions.

Votre Maire,

Patrick Proisy

L’hôtel de ville : une toiture et une isolation à revoir

Dégâts des eaux, écarts thermiques, et

dépenses énergétiques importantes sont les conséquences de ces défauts.

Une toiture plus que vétuste

La toiture de l’hôtel de ville présente une vétusté avancée : les faux plafonds de certaines salles sont imprégnés d’eau, les chéneaux sont en piteux état, le toit plat au dessus de la salle annexe se transforme en piscine à chaque grosse pluie. Le grenier n’est pas isolé, entraînant une chaleur caniculaire l’été et un froid polaire l’hiver pour l’ensemble de la mairie. Une vraie pas- soire thermique.

Des fenêtres qui n’isolent pas

Certaines fenêtres sont encore en simple vitrage, des encadrements de fenêtres ne ferment plus correctement, laissant passer l’air… Les factures de chauffage sont donc évidemment élevées. Les conditions d’accueil du public et de travail des agents municipaux sont loin d’être optimales.

Édito

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Culture

Le centre musical les Arcades : la sécurité des spectateurs et le confort des élèves à assurer

Notre centre musical accueille de nombreuses résidences d’artistes, des concerts de jazz, de musiques du monde, des spec- tacles jeune public, du théâtre… Sa programmation de grande qualité est reconnue et subventionnée par nos partenaires mé- tropolitains, régionaux et nationaux. Pourtant, en réalisant à l’été 2020 une première visite des bâtiments, l’équipe municipale et le nouveau directeur de l’Aménagement et du Patrimoine ont découvert avec stupéfaction qu’une trappe de désenfumage - élément essentiel de la sécurité des spectateurs en cas d’incendie - était en panne depuis plusieurs mois. Les travaux ont été immédiatement commandés et une visite de sécurité pour s’assurer de la conformité des travaux avec les règles d’accueil du public a été réalisée. Durant la période de fermeture exigée par les travaux, plusieurs spectacles ont dû être déprogrammés.

L’église du Sacré-Coeur fermée d’urgence

Notre patrimoine bâti passe aussi par les églises à entre- tenir. L’église du Sacré-Cœur a dû être fermée d’urgence par arrêté du Maire car la char- pente menace de s’effondrer à cause d’un champignon « mangeur de bois » (le mérule), mais également de termites.

Ces deux fléaux seraient pré- sents depuis de nombreuses années, et ce, malgré de coû- teux travaux, qui se sont avé- rés inefficaces, réalisés lors des mandats précédents pour plus de 17000 euros.

A ce jour, la vlle ne peut se pro- noncer sur sa réouverture.

De l’eau stagnante en toiture, des salles étouffantes en été

Au cours d’une fermeture administrative que M. le Maire a dû réaliser pour assurer la sécurité de chacun, les réparations né- cessaires sur la trappe ont été faites. Ces travaux ont également permis de constater que l’eau stagne abondamment sur les toitures, et s’infiltre dans les murs, provoquant une dégradation rapide du bâtiment, à laquelle il faudra mettre un terme. Les salles dédiées à l’école de musique et à l’accueil de groupes de musiciens amateurs s’apparentent à des serres - certes de culture - en été. Elles devront voir leur isolation renforcée.

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La salle Jean Zay est régulièrement occupée par le collège voisin, par les écoles de la ville, et par plusieurs clubs de très bons niveaux métropolitains voire nationaux. On y constate des fuites d’eaux en cas de pluie qui dégradent rapidement le parquet. Les agents municipaux sont obligés d’y mettre seaux et serpillières pour que le bâtiment ne s’abîme pas davantage.

La toiture n’a jamais fait l’objet d’une opération d’entretien de- puis la création du bâtiment dans les années 90.

Le parquet, aussi âgé que la toiture, présente en plusieurs en- droits des trous, fissures, irrégularités, souffrant d’un manque de maintenance et des conséquences des fuites d’une toiture abîmée. Sur les 30 dernières années seules deux opérations d’entretien ont été menées : un ponçage-vernissage il y a 10 ans, et en 2019, le changement de 50 lames. Intervenir plus tôt sur la toiture aurait aussi limité les dégâts sur le sol.

Sport

Salle des sports Jean Zay :

attention sol glissant et abîmé !

La toiture est détériorée : il faut mettre des seaux au sol afin d’éviter que la pluie ne tombe directement sur le parquet sportif, qui mériterait d’ailleurs une réfection totale.

Stade Merchier : des vestiaires récemment rénovés

Ces dernières années, le club de foot a longuement attendu un terrain synthétique mais aussi des vestiaires agréables ! L’état des vestiaires du complexe sportif Merchier s’est dégradé de mois en mois. Certes des occupations illégales de gens du voyage n’ont rien arrangé, mais l’état de vétusté et d’insalubrité des vestiaires qui longent l’entrée était tel, que le Maire a ordonné leur fermeture en août dernier. Ceux qui jouxtent le club house ont fait l’objet de rénovations à l’automne 2020 , par les services techniques municipaux.

Peintures et plomberie ont été refaits pour améliorer le confort des footballeurs de notre commune et des visiteurs. Cet entretien aurait dû être réalisé plus tôt.

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5

Éducation

Mauvaises surprises en cascade à l’école Daudet

En octobre dernier, sans crier gare, le préau de l’école Daudet s’est effondré. Par chance, c’était un dimanche, aucun enfant n’était présent. Depuis janvier, les élèves ont été répartis dans des bâtiments modulaires dont le coût devrait atteindre 160 000 euros sur l’année 2021. Une tranchée a dû être creusée dans la cour pour raccorder de nouveaux sanitaires aux nouvelles classes.

Parallèlement à la gestion de cette installation, la Ville a missionné son propre expert en assurances pour défendre ses intérêts et réaliser les procédures juridiques qui permettront une juste indemnisation.

Suite aux premières expertises, les constatations réalisées mettent à jour une situation plus grave que prévue avec un bâtiment fragilisé par une charpente qui présente de réelles malfaçons. Il a donc fallu déclarer non pas un mais trois sinistres :

• un sinistre pour le préau effondré dont la ville attend encore l’expertise complète,

• un sinistre pour les autres préaux,

• un sinistre pour des fragilités à l’intérieur du bâtiment,

Il faudra donc engager de lourds travaux sur une, voire deux années, une fois les expertises en assurance remises définitivement, pour remettre en sécurité le bâtiment et accueillir nos enfants. Les services municipaux, en lien avec l’Adjoint à l’Education, Sébastien Roche, l’Adjoint à l’Aménagement, Christopher Liénard, font leur maximum pour que l’école puisse à nouveau accueillir les enfants du quartier dans les meilleures conditions.

Réparations urgentes

au groupe scolaire Anatole France-La Bruyère

Le bâtiment des maternelles présente des fissures colmatées à la hâte et les dalles du faux plafond de la cantine ont dû être changées juste avant les vacances de février car leurs attaches avaient commencé à se casser. Heureusement, un système de fixation plus solide a vite été installé par les services techniques municipaux.

École Pasteur-Curie : état de vétusté généralisé

Dans l’école Pasteur, l’équipe enseignante fait preuve d’une patience et d’un positivisme à toute épreuve face à un bâtiment très vétuste. Les fenêtres à rabats à simple vitrage se brisent régulièrement quand un coup de vent vient les frapper. En juillet 2020, 5 fenêtres sont tombées dans la cour de recréation. Les plaques du faux plafond du préau couvert se dégradent, les peintures, la robinetterie et les sols sont en piteux état. Une étude thermique et technique a été engagée sur ce bâtiment pour étudier les scénarios de réhabilitation.

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Jeunesse

Le Point Information Jeunesse : des locaux neufs mais une opération à pertes

Le Point Information Jeunesse prend actuellement place rue Gambetta. Il était prévu de longue date qu’il rejoigne les nouveaux bâtiments de la place Victor-Hugo en rez-de-chaussée des logements récemment construits, et qu’il soit voisin d’un nouveau commissariat commun à la police municipale et nationale. Il déménagera prochainement pour des locaux certes neufs, mais très onéreux.

En effet, au moment de la cession des anciens locaux associatifs vétustes place Victor Hugo à un promoteur immobilier, l’ancienne équipe municipale avait deux options :

• Céder les terrains pour 1€ symbolique et racheter pour 1€

symbolique des espaces du rez-de-chaussée pour y installer le nouveau poste de Police et le Point Information Jeunesse.

• La vente pure et simple du terrain et du bâtiment pour un montant estimé à 800 000€ puis la location des espaces du rez- de-chaussée pour y installer le nouveau poste de Police et le Point Information Jeunesse, mais avec un bail de 20 ans restreint à ces deux seules activités, et un loyer de 5000 euros par mois soit un coût de 1,2M d’euros au bout de 20 ans.

La solution 2 a été choisie. Avantage de cette solution : les recettes perçues ont contribué à faire rapidement baisser la dette de la

commune. Gros désavantage : la ville est liée par un contrat qui lui coûte très cher, assorti d’une clause lui interdisant de revenir sur ces conditions pendant 20 ans, ce qui la bloque, pour ne même pas être propriétaire au terme du contrat.

Un choix de courte vue qui plombe lourdement les finances de la Ville.

La Maison d’Activités pour la Jeunesse en triste état

Ce bâtiment ancien ne correspond plus aux missions de service public qui lui sont attribuées aujourd’hui. L’isolation est mauvaise, les fenêtres et la verrière sont des passoires. Il devra être revu entièrement.

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7 Comme on le dit souvent, “Gouverner, c’est prévoir”.

Et prévoir c’est prendre soin de notre patrimoine commun pour que nous, Faches-Thumesniloises et Faches-Thumes- nilois, puissions en profiter, que nos enfants et les enfants de nos enfants puissent aussi compter dessus pour leur avenir.

Notre patrimoine commun, c’est d’abord notre environne- ment : c’est de lui que dépendent nos conditions de vie et pour bonne partie notre santé.

Un climat vivable, un air respirable, de l’eau et de la nourri- ture en quantité suffisante, cela fait longtemps que l’on sait que la lutte contre le changement climatique et contre la pollution de l’air sont nécessaires. Depuis notre arrivée, la mobilisation pour cela s’organise et les projets municipaux et métropolitains sur notre commune sont retravaillés et ré- orientés en ce sens.

Notre patrimoine commun, c’est ensuite les liens que nous tissons entre nous, partager des spectacles itinérants, des chansons, se soutenir à travers des collectes solidaires, des petits commerces vivants, prendre soin et faire attention les uns aux autres, et encore plus pendant cette crise sanitaire et les conséquences économiques et sociales qu’elle en- traîne. Nous considérons qu’il est de notre devoir d’en être à l’initiative.

Notre patrimoine commun, enfin, pour nous gestionnaires des équipements publics, c’est anticiper et prévenir les ca- tastrophes en identifiant et en réparant les défauts dès qu’ils se présentent pour ne pas qu’ils aggravent, fassent courir des risques à la population et coûtent plus cher au final à ré- soudre pour le budget de la commune. Au vu de ce que nous avons découvert et dont nous vous présentons un aperçu dans ce journal, ce n’est manifestement pas ce qui a été fait.

Nous considérons que laisser se dégrader à ce point nos biens communs, dans le seul but de diminuer légèrement -et temporairement seulement- la dette financière de la commune, ce n’est en aucune façon un bon calcul, ce n’est pas de la bonne gestion.

Mois après mois et année après année, avec vous, nous redresserons notre patrimoine : nous en avons besoin pour bien vivre dans notre ville, ensemble et pour longtemps.

Le groupe majoritaire « Faches-Thumesnil en Commun »

Tribunes

Il est de tradition, quand une nouvelle équipe arrive, qu’elle fasse un audit du patrimoine de la ville. Il sera probablement de mauvaise foi et orienté. C’est de bonne guerre et vous le constaterez dans ce supplément !

Nous nous devions d’apporter notre éclairage à ce sujet.

L’équipe élue entre 2001-2020 a hérité d’un patrimoine vieillissant et majoritairement dégradé. Il y avait donc lieu de lancer une grande vague de travaux. Cependant, nous avions aussi hérité d’une dette insoutenable, la ville était fi- chée dans le Réseau d’Alerte des villes surendettées avec pas moins de 22 millions d’euros ! Ainsi, il nous a longtemps été interdit d’investir mais plutôt de rembourser cette dette.

Pourtant, nous avons entrepris de nombreux chantiers éco- logiques ou de constructions neuves aux standards du- rables innovants, parmi tant d’autres :

• Les écoles Florian, Kléber, Pascal, De Bettignies, A. France, Sand et Mozart,

• la salle J. Brel, • la Médiathèque, • la salle de sport kléber,

• la création d’un Centre des Arts, • la création d’un Centre Technique, • Un terrain synthétique...

C’est avec une gestion rigoureuse sur cette période que nous avons pu investir près de 30 millions d’euros tout en réduisant la dette de 10 millions sans jamais augmenter la part communale de vos impôts !

Soyons fier du travail accompli. Il reste encore des choses à faire : une maintenance régulière et des endroits à rénover.

Espérons que cette démarche soit poursuivie sans aug- mentation de vos impôts ni de la dette communale...

Le groupe d’opposition de Faches-Thumesnil

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2015 2016 2017 2018 2019 2020

2009 2010 2011 2012 2013 2014

2007 2008

Epargnes (dont recettes d'assurances)

Subventions (État, département, région, MEL...) Emprunt

Niveau de la dette Ventes des terrains et bâtiments

Recettes Niveau de la dette

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20

Élections Élections Élections

Niveau de la dette

Bilan

Un premier bilan complexe, des choix à opérer

Un diagnostic technique et thermique des bâtiments vient d’être réalisé. Il permet de s’inscrire dans une nouvelle dynamique de prospective urbaine, nommé “FT ‘50” pour “Faches Thumesnil 2050”. Il va s’agir de définir clairement et de chiffrer les opérations à mener, de dégager des priorités et de réaliser des gains de performance énergétique des bâtiments au quotidien grâce à des travaux d’investissements lourds, en anticipant au maximum les besoins futurs des habitants, pour imaginer ce que sera la ville de demain en 2030 voire en 2050.

Il s’agit donc de revoir la stratégie urbaine pour l’inscrire dans un objectif de neutralité carbone, de réaliser avec une agence d’urbanisme spécialisée différents scénarios pour y parvenir. Cette démarche se fera sur plusieurs années en concertation avec les habitants car la ville ne peut agir seule, elle doit emmener la population avec elle pour améliorer globalement l’urbanisme de la commune, dans une volonté de participation et de concertation.

Le 11 mars, le débat d’orientations budgétaires a permis de définir les premiers choix et les premières grandes lignes des travaux prévus en 2021. Elles seront définitivement fixées le 15 avril prochain lors du vote du 1er budget de la nouvelle municipalité.

Financement des investissements en millions d’euros

Le graphique des recettes d’investissement reprend les différentes manières dont la ville a financé le remboursement de la dette et les nouveaux équipements de 2007 à 2020. On visualise ainsi que les grandes dépenses ont été financées au moment des grandes ventes (en jaune), en utilisant des économies de fonctionnement dont, très souvent, des recettes d’assurances de si- nistres (en violet) et en contractant de nouveaux emprunts, donc en alimentant la dette.

2007-2008 : Emprunts et recettes d’assurances du sinistre école Pascal : 416 000 euros

2012-2013 : Recettes de la vente de la Somabo rue Kléber (425 000 euros) et divers bâtiments municipaux

2018-2019 : Ventes terrain Ja- ppe-Geslot, Bâtiments place Victor-Hugo, et CIPD (4,6M) 2016 : Indemnités d’assu-

rance de la salle Merchier, vente du terrain piscine et de la cuisine centrale (2,6M)

Références

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Je s uis toujours surprise de cons- tater combien to us les enhrnts sont sensibles aux beaux textes et a iment réciter.. Elles s'i lluminent