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Épimorphismes plats à buts locaux, quasi-locaux et semi-locaux

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(1)

P UBLICATIONS DU D ÉPARTEMENT DE MATHÉMATIQUES DE L YON

A. H UDRY

Épimorphismes plats à buts locaux, quasi-locaux et semi-locaux

Publications du Département de Mathématiques de Lyon, 1975, tome 12, fascicule 2 , p. 31-41

<http://www.numdam.org/item?id=PDML_1975__12_2_31_0>

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(2)

Prôlications du Département de Mathématiques Lyon 1975 1.12-2

EPIMORPHISMES PLATS A BUTS LOCAUX, QUASI-LOCAUX ET SEMI-LOCAUX

par A. HUDRY

IKTRCCUCTION. Un épimorphisme d'un anneau R dans un anneau R' est dit plat à droite si R', considéré comme R-module à gauche, est plat. Les épimorphismes plats d'anneaux ont été étudiés par L. Silver dans [15] sous le nom de

"localisations non commutatives". Cette terminologie est justifiée, car H. Popescu a montré dans [l l] que ces "localisations non commutatives" de L. Silver sont un cas particulier de la théorie générale des localisations développée par P. Gabriel dans [ 2 j et qu'à tout épimorphisme plat a droite p d'anneaux peut être associé une localisation £'p (au sens habituel) dite plate dans [3] .

Il est naturel de chercher à quelles conditions nécessaires et suffisantes ces "localisations non commutatives" de L. Silver permettent l'obtention

d'anneaux locaux, quasi-locaux et semi-locaux. Dans cette direction, nous avons donné une réponse pour le cas local, sans démonstrations, dans [4j . Ici il rs Stre donné des réponses pour les autres cas. Ces questions sont liées à la notion de localisation associée à un idéal premier ou semi-premier qui a été développée, dans le cas noethérien, par J. Lambek et G. Michler dans f8"i et ."9"

— - A

(3)

Epimorphismes plats à buts locaux . . .

et par A.V. Jategaonkar dans [6.1 (pour une généralisation voir encore G. Findlay |"fj ) . La différence avec les articles précités est qufici on ne fait pas d'hypothèses noethériennes sur les anneaux ; la technique des

articles précités intervient surtout pour l'obtention de conditions suffisantes et, lorsque les démonstrations sont les mêmes que celles données dans ces

articles, elles sont omises.

TERMINOLOGIE.

Dans tout ce qui suit, R désigne un anneau unitaire mais n o n nécessairement 2ommutatif,RadR son radical de Jacobson et,Mod-R la catégorie des R-modules à droite. Par localisation^ de Mod-Fj on entend localisation au sens de P. Gabriel. A une telle localisation de Mod-R , il est associé bijectivement :

- une topologie à droite ^ de R, c'est-à-dire un ensemble topologismnt et idempotent d'idéaux à droite de R (voir 2^) ;

- une sous-catégorie localisante B de Mod-R, c'est-à-dire une sous- catégorie pleine, épaisse et stable par limites inductives;

- une sous-catégorie locale cê , c'est-à-dire une sous-catégorie pleine de Mod-R telle que le foncteur inclusion i admette une adjoint à gauche

commutant aux limites projectives finies (voir ; 3 ; ) .

Le foncteur localisation L de P. Gabriel est alors L =

ioJt*

Si M est un R-module à droite, E(M) désigne l'une de ses enveloppes injectives ; il est bien connu que le noyau $ M du foncteur HomR(,,E(M)) est une sous-catégorie localisante de Mod-R définissant une localisation notée 4f

A tout épimorphisme plat à droite p d'anneaux, il est associé bijecti- vement une localisation plate de Mod-R,c'est-à-dire telle que le foncteur localisation L^ associé commute aux limites inductives (voir 3) ) .

Si p : R - ^ R ' est un homomorphisme d'anneaux et ^ u n e topologie à droite de R , la topologie image par p est l'ensemble des idéaux à droite IF de R ' tel que P A ( R V I' ) € ^/ , où % est une sous-catégorie localisante de Mod-R associée à ^ et où p^. est le foncteur restriction des scalaires.

(4)

Epimorphismes plats à buts locaux . . .

A tout idéal bilatère B de R, sont associés la partie multiplicative

£ ( B ) des éléments de R réguliers modulo B et la topologie à droite Sb constituée par les idéaux à droite I de R tels que pour tout a € R , l'idéal à droite I» *a coupe

Dans le treillis des localisations de Mod-R, la borne inférieure d'une famille ( « i ) i e I de localisations est la localisation notée A %' définie par la sous-catégorie localisante Q & , où est la sous-catégorie localisante associée à

Un anneau R est dit local si R/RadR est un corps, quasi-local si R/RadR est simple artinien et semi-local si R/RadR est semi-simple artinien.

1. LEMME. - Une localisation <# de Mod-R est intersection réduite de locali- sations premières si et seulement si la sous-catégorie locale Z

admet un cogénérateur injectif de la forme U^SJ où les S sont des objets simples de type distincts de & Alors les seuls types d'objets simples de $ sont ceux des S

a

PREUVE.^D'après Jans [5] , il existe un R-module à droite injectif I tel que g' £1 . Le R-module à droite I est un objet de £ ; donc si £ a d m e t un cogénérateur injectif de la forme E ( J ^ ) où les Sq sont des objets simples de types distincts de 4S,il existe un ensemble K tel que I soit isomorphe a un sous-module de ( E (Q|ASa) )K . n en résulte alors :

A N< < #

a«A a

Comme les R-modules à d r o i t e ^ sont sans torsion pour la ^localisation g9i l vient pour tout acA : g $ £ g f donc finalement A . * . S ' i l

existait 06A tel que A ^ $ £ ix e xis te rai t u n R-n o mo m o r p h i s m e B€A

£ non nul de Sa dans E ^ S&), car est sans torsion pour la localisation # . e*A

(5)

Epimorpbismes plats à buts locaux . . .

Compte tenu de ce que S est un objet simple de ^ , il en résulterait que f serait un monomorphisme ce qui impliquerait l'existence d'un sous R - m o d u U à droite de S isomorphe à un sous-R-module à droite d'un des Sg pour B * a*

Il en résulterait finalement que et Sg seraient isomorphes dans Mod-R et dans <£,ce qui est exclu car les Sa sont des objets simples de types distincts d a n s / . Il en résulte que £ est intersection réduite des locali- sations premières -£-g •

a y

Réciproquement, il est suppose q u e * est intersection réduite des locali- sations premières C avec a fc A • D'après J. Raynaud [13] , pour touta« . A il existe un idéal à droite A maximal pour la propriété de non appartenant*

à la topologie a droite associée à £ et à la topologie à droite'* associé, à £ . Il en résulte que, si S désigne la coréflexion de R/A^ dans & , il vient = 'L et £ « ° A ^ E ( f S y °* les sont des objets sillet

a <* ^ ac-A a t Aa de types distincts de & •

Par suite.compte tenu de J. LAMBEK [l\ , E(GS ) est un cogénérateur de l Soit alors S un objet simple quelconque de . Si S est considéré en tant que R-module à droite, il existe ou- A tel que Hom^S.ECS^)) * 0. Si f est m R-homomorphisme non nul de S dans M S ^ ) , il est facile de voir que f est néces-

sairement un monomorphisme. Il en résulte que dans Mod-R, il existe un sous- R-module non nul de S isomorphe à un sous R-module de S^ . Puisque est un objet simple de

&

f

il

en résulte que dans S et S^ sont isomorphes.

2. COROLLAIRE. - Soit P un épimorphisme plat à droite de l'anneau R dans l'anneau Bf ; pour qu'il n'existe qu'un nombre fini de types de modulm*

simples dans Mod-R1, il faut et il suffit que la localisation plate £ associée à p soit intersection réduite d'un nombre fini de localisation*

premières.

(6)

Epimcrphismes plats à buts locaux . . .

pgEOVE. - Ce corollaire résulte du lemme 1 et du fait que M o dR t e8t équiva- lente à la sous-catégorie locale # .

Les résultats du lemme suivant sont dus à G. Michler et J. Lambek(il suffit dfadapter leurs démonstrations dans f9])-

3 . LEMME (J. Lambek et G. Michler). - Soit N un idéal bilatève semi-premier de R tel que l'anneau quotient R/N soit de Goldie à droite. Alors les propriétés suivantes sont réalisées :

a) # 0 0 = {c<rR| C X É N ^ X ^ N } .

c) Si ^R/N e8t u ne localisation plate alors RadRN «AnnR

^ H /

1 0

^ •

d) les deux conditions suivantes sont équivalentes :

(i)&W est une partie multiplicative calculable à droite ; (ii) lfanneau est semi-local et RadR^^ - V ^(N)R^.

4. COROLLAIRE. - Etant donné un idéal bilatère semi-premier N d'un anneau quelconque R, pour que l'anneau R^ soit semi-local et de radical de

Jacobson ^flWRfl 3 H faut et il suffit que l'anneau R/N soit de Goldie à droite et que la partie multiplicative fê(N) soit calculable à droite.

pgEOVE. - Compte tenu du lemme 3, il suffit de prouver que si R^ est semi- local avec RadR^j • ^ W 1 ^ 1 anneau R/N est de Goldie à droite. Soit I1 un

idéal à droite de la topologie image de ^R/N par l'homomorphisme fN* Alors IF•RadRjj/R&dR^ est un idéal à droite essentiel de l'anneau semi-simple artinien R^/RadR^ce qui implique I'+RadR^ - R^ et par suite I1 • • Ceci prouve que la topologie image de ^*pyN par ¥^ n'a qu'un seul idéal à droite^

â savoir RJJ. La localisation ^R/N est donc plate et par suite le localisé de H (respectivement de R/N) est RadR^ (respectivement R^/RadR^).

(7)

Epimorphismes plats à buts locaux . . .

L'anneau R/N admet donc pour anneau maximal des quotients à droite l'anneau semi-simple artinien R^RadR^. Par suite R/N est non singulier, de dimension de Goldie à droite finie, et, étant semi-premier, il est de Goldie à droite et admet encore R^/RadRN comme anneau classique des quotients à droite.

5. THEOREME• - Etant donné un épimorphisme plat à droite p de l9anneau R dans l'anneau R1, pour que l'anneau R' soit semi-local^ il faut et il suffit que les deux conditions suivantes soient réalisées :

a) il existe un idéal bilatère semi-premier N de l'anneau R tel que R/N soit de Goldie à droite avec & = $ n /vr

p R/N *

b) l'une et l'une seulement des deux conditions suivantes est réalisée ; soit bl) la partie multiplicative ^ ( N ) est calculable à droite*

soit b2) l'intersection J des idéaux à droite maximaux n'apparte-

nant pas à est incluse strictement dans N et peut-être réduite en une intersection finie.

PREUVE. - Pour démontrer que les conditions a) et b) sont nécessaires, il est supposé que 1'épimorphisme plat à droite p de source R a pour but un anneau R' semi-local. Alors Mod-R' n'a qu'un nombre fini de types de modules simples. Soit {Sj , S^} un ensemble de représentants des types de R'-modules à droite simples. D'après le corollaire 2 et la démonstration du lemme 1, il vient :

p = .Aj ^>*(S!) 'o ù p*désiSne le foncteur restriction des scalaires.

D'autre part, la localisation ^ p étant plate, le treillis des idéaux 2 droite de R clos pour la localisation ^ et contenant l'idéal bilatère p (RadRf) est isomorphe au treillis des idéaux à droite de R' contenant RadR' et^par suite, il satisfait à la condition de chaîne ascendante et à \e condition de chaîne descendante.

(8)

Epimccphismes plats à buts locaux . . .

Il en résulte que pour tout i € fl,r] , le R-module a droite p , ( S \ ) admet on idéal premier associé P¿ (unique) intersection réduite d'un nombre fini d'idéaux à droite de la forme A n n xa avec x ^ p ^ S ^ ) et avec a Cf^ (ou ^ désigne un ensemble fini) : P « ^ Annx . Puisque les idéaux à droite

a e

At a

A n n xa pour aíA¿ sont inter-irréductibles, il existe (voir par exemple [14,]

p.50) un monomorphisme essentiel de R/P. dans « R/Annx . Ceci prouve

a « A i a

que l'on a % ^ - .

La localisation #p étant plate est en particulier exacte et,par suite, le localisé (pour la localisation de R/ p- I( R a d R ' ) est isomorphe a R'/RadR'.

Ceci prouve que l'anneau R/ p _1(RadR') a un anneau maximal des quotients à droite semi-simple artinien (donc que c'est un J-anneau à droite avec la terminologie de L. Lesieur et R. Croisot, [10]). Il est facile de voir que les idéaux premiers associés a l'anneau R/p_1(RadR') sont les P.ffX (RadR') avec i €[l,r] • H est bien connu que les idéaux premiers associés à un J -

anneau à droite sont minimaux. Il en résulte que l'intersection N * P ^ P ^ . . . ^ est réduite.

Soit A - JjA£ • Alors l'intersection N « H Annx est une intersec-

1=1 a«A a

tion finie réduite d'idéaux à droite inter-irréductibles. En effet,s'il existait 6 e Ak tel que N - ^ g Ç^ j A n n x ^ i l viendrait

il existerait donc ic[l,r] avec i 4 k tel que P. ç Pk d'où une contradiction.

Il existe donc un monomorphisme essentiel de R/N dans . 0 R/Annx et

A . r *a' A a

'üí te 11 Vi 6 nt R/N " « £ - * et de plus R/N e»t de Goldie à droite car de dimension de Goldie finie (dimR/N-CardA) et non singulier.

(9)

Epimarphismes plats à buts l oc aux . . .

Soit alors J l'intersection des idéaux à droite de R maximaux pour la propriété de non appartenance à ^R/N = • Puisque la localisation

est plate, il est clair que J * p~l(RadR'). Le treillis des idéaux à droite de R clos pour la localisation et contenant J satisfait à la condition

P

de chaîne descendante donc J est intersection réduite d'un nombre fini

d'idéaux à droite maximaux pour la propriété de non appartenance à » 3*

R/N p D'autre part, d'après la définition de N,il est clair que l'inclusion

J C N est vérifiée. Donc, si J n'est pas inclus strictement dans N, il vient J=N=p~ RadR') et RadR' = p(N)R'. Par suite, d'après le corollaire 4, la partie multiplicative £*(N) est calculable à droite.

D'après le lemme 3, les conditions a) et bl) sont suffisantes; il reste à voir que les conditions a) et b2) sont suffisantes. Compte tenu de la

condition a ) , il vient J - p ^(RadR'). D'après la condition b 2 ) , J est inter^

section réduite d'un nombre fini d'idéaux à droite 1 maximaux pour la propriété de non appartenance à !^pyN » c'est-à-dire à (d'après la condition a) ) . Il existe alors un monomorphisme essentiel de R/J dans

®A R/ ! ~ (avecA fini). Il en résulte qu'il existe une famillefU )

a €A a o T a s A de sous-R-modules à droite de R/J telle que pour tout a c A , la coréflexion

de dans 4$^ soit un objet simple de et telle que l'on ait (R/J)/ Ua ^ p 'Si Lp dés i8n e le foncteur localisation associé à la localisation plate £ p > il vient L^(R/J) =Q ^ L^CU^), où pour tout Ot€A, Lp(Ua) est un Lp(R) = Rf-module simple. Puisque est un foncteur

exactyLp(R/J) est isomorphe à Lp(R)/L^(J) donc à R'/RadR'. Il en résulte que R1 est semi-local.

6. REMARQUES. - 1 - Les conditions a) et b2) peuvent se produire (il suffit de considérer l'exemple 5.9 détaillé par J. Lambek et G. Michler dans [8] p.jtf'

(10)

Epimorphismes plats à buts locaux . . .

2 - Sous les conditions du théorème 5 , la démonstration donnée sontre que la localisation plate J£ ^ est intersection réduite d'un nombre

fini de localisations premières de la forme ^ R/ p ou ï-es P£ sont des idéaux i

premiers de R tels que R/P^ soit de Goldie à droite.

7# COROLLAIRE. - Etant donné un épimorphisme plat à droite p de l'anneau R dans l'anneau R'J pour que l'anneau R? soit quasi-local, il faut et il suffit que les deux conditions suivantes soient réalisées :

a) il existe un idéal bilatère premier p de R tel que R/p soit de Goldie à droite avec # = J& , .

P R/P /

b) l'une et l'une seulement des deux conditions suivantes est réalisée :

soit bl) la partie multiplicative ^ ( p ) est calculable à droite}

soit b2) l'intersection des idéaux à droite maximaux pour la propriété de non appartenance à 3 ^ yp peut être réduite en une intersection finie et de plus R'PCPJR* = RF.

Mous avons donné le résultat suivant dans [ 4 ^ indépendamment de j . Raynaud [li] .

g, COROLLAIRE. - Etant donné un épimorphisme plat à droite p de l'anneau R dans l'anneau R',, pour que R' soit un anneau local> il faut et il suffit que la localisation <é>^ associée à p coïncide avec la localisation ^ ^ y p définie par un idéal complètement premier P de R pour lequel la partie multiplicative ^(P) est calculable à droite.

(11)

Epimarphismes plats à buts locaux . . .

BIBLIOGRAPHIE. -

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[

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[14] G. RENAULT, Modules injectifs, Sém. d'Algèbre, Université de Poitiers ( 1 9 6 6 - 1 9 6 7 ) .

(12)

Epimorphisme s plats à buts locaux . . .

A. HUDRY

DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES UNIVERSITE CLAUDE BERNARD 43, bd du 11 novembre 1918 69621 VILLEURBANNE

[ 1 5 ] L . S I L V E R , Non commutative localizations and applications, J. of Algebra 7, (1967), p. 44-76.

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