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BioLycTom, Évaluation de la mise en œuvre de solutions biologiques pour contrôler Aculops lycopersici (Acari : Eriophyidae) agent responsable de l’acariose bronzée de la tomate

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Identification du projet

Acronyme du projet BioLycTom Durée du projet 36 mois Titre détaillé

Evaluation de la mise en œuvre de solutions biologiques pour

contrôler Aculops lycopersici (Acari : Eriophyidae) agent responsable de l’acariose bronzée de la tomate

Résumé grand public (800 – 1000 caractères)

Aculops lycopersici cause l’acariose bronzée de la tomate ; c’est un ravageur contre lequel il n’existe pas de solutions de

contrôle biologique. Des pesticides doivent donc être appliqués pour éviter les dégâts . Dans un précédent projet, un

prédateur, endémique en Europe, a montré une efficacité jamais observée en laboratoire et en serre. De plus, de fortes

densités de ce prédateur sont observées sur des menthes et Phlomis fructicosa. Le présent projet vise à approfondir les

résultats obtenus lors du projet précédent. Il s'agit de déterminer les facteurs affectant l'efficacité de deux stratégies

de lutte biologique : (i) par augmentation et (ii) par la conservation de la biodiversité dans le cadre d'approches

agro-écologiques. Ce projet regroupe 4 partenaires aux expertises complémentaires, l'UMR CBGP spécialistes des acariens et des réseaux trophiques, l'UMR MOISA spécialistes des aspects socio-économiques, l'unité expérimentale d'Alenya

et le CTIFL (centre de Balandran), spécialistes en lutte biologique en serre.

Nom des partenaires

Organisme de recherche Entreprise ou partenaire socio-économique UMR CBGP : Montpellier SupAgro & INRA

Supagro INRA Alenya UMR MOISA : INRA

CITFL Ballandran

Thématique : ☐ OAD ou ☒ Biocontrôle Justification de la thématique

Détaillez ici la solution développée : méthode de gestion ou outil en précisant la cible (organisme nuisible) et le type de culture concerné

Il s’agit de développer ici une méthode de contrôle biologique contre l’acariose bronzée de la tomate causée par un acarien ravageur Aculops lycopersici. Une espèce d’acarien prédateur a été identifiée lors d’un précédent

projet et il s’agit ici d’acquérir davantage de données biologiques et techniques pour son utilisation en serre. Les solutions proposées visent

à rendre les agriculteurs autonomes par l’utilisation de plantes relais et/ou de lâchers

artisanaux.

Montée en TRL

TRL Initial 3-4 TRL Visé 5-6

Utilisateur final

Détaillez ici qui sera concerné par l’utilisation du produit développé (agriculteur, entreprises d’amont ou d’aval, etc.)

Les solutions proposées concerneront les centres techniques pour réaliser des expérimentations supplémentaires dans des situations réelles de production et les agriculteurs notamment ceux des réseaux DEPHY pour étendre les essais et les

applications des méthodes proposées.

(2)

Estimation de la réduction de l’utilisation de produits phytosanitaires visée

Détaillez ici quel type de produits

phytosanitaires est concerné

(herbicide, insecticide etc.) et quelle réduction est envisagée (substitution totale, partielle si possible chiffrée)

Les techniques de lutte biologique développées visent à réduire l’utilisation d’acaricides de

synthèse et de soufre. L’attendu est une substitution totale de ces produits par l’utilisation

des auxiliaires étudiés.

Durabilité de la solution

)

Détaillez ici l’impact attendu de la solution développée sur la santé et l’environnement, l’économie et les questions sociales

Les résultats attendus sont la proposition de solutions biologiques de lutte contre Aculops lycopersici et l'intégration de ces solutions dans

les itinéraires techniques et le modèle de production économique. L’impact attendu est

l’abandon de l’utilisation des pesticides utilisés pour lutter contre cet acarien ravageur, grâce à

un gestion agro-écologique des agrosystèmes, avec des effets attendus positifs sur la santé des

producteurs (diminution de la manipulation de pesticides) et sur l’environnement.

Estimation du gain pour l’utilisateur final

Détaillez ici l’impact économique du déploiement de la solution (prix de l’outil, gain en termes de coûts, de temps, de moyens humains etc.)

Il n'existe pas de solutions biologiques pour lutter contre ce ravageur et les attentes de la profession sont très importantes. Les résultats seront exploités par tous, avec comme cible privilégiée les producteurs et les organisations de

développement car une attention particulière est accordée à l'autonomie des producteurs et

à la large diffusion des résultats. Les aspects économiques des nouvelles solutions développées seront pris en compte dans le

projet.

Références

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