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Les stratégies des entreprises

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Activité Travaux dirigés

Objectifs Amener les élèves à envisager des différenciations possibles pour des entreprises, voire des filières complètes, pour préserver leur position sur un marché très concurrentiel. L’exemple de la filière bois en Chartreuse.

Documents de travail - Interview de Sylvain Ougier : « L’AOC, un moyen de valorisation » – DVD « La forêt de mon- tagne ».

- « L’avenir de la montagne : un développement équilibré dans un environnement préservé » - site du Sénat

http://www.senat.fr/rap/r02-015-1/r02-015-18.html

- « Le massif de la Chartreuse, première forêt candidate à une AOC » - Le Monde du 11/01/03 Sites complémentaires à consulter :

- Appellation d’origine

http://www.inao.gouv.fr/public/home.php - Action du Parc de Chartreuse

http://www.parc-chartreuse.net/economie/foret-filiere-bois.asp

- L’éco certification http://www.ofme.org/documents/actualite/200202/ProboisVentoux3.pdf

Auteur Sylvie Humbert Ouverture possible Intérêt général

1) Consultation des documents de travail

- Les contraintes de l’exploitation forestière en montagne

L'avenir de la montagne : un développement équilibré dans un environnement préservé

(tome 2 : auditions) Extrait : … b) Identification des difficultés d'exploitation des massifs forestiers et des

faiblesses de la filière bois (1) Les difficultés d'exploitation

Le phénomène de vieillissement et de fragilisation progressive des forêts de montagne est accentué par la perte régulière de leur rentabilité économique.

Cette analyse vaut pour les forêts situées en haute montagne, qui sont insuffisamment desservies et où l'exploitation du bois est déficitaire. Il s'agit de forêts situées sur des pentes abruptes ou difficilement accessibles, où compte tenu de l'altitude, la production de bois y est plus faible et de moins bonne qualité.

Au coût d'exploitation, incluant le salaire des bûcherons et le coût du tracteur pour amener le bois en bord de route, il faut ajouter, en haute montagne, des surcoûts de bûcheronnage ou de débardage. Parfois, il est nécessaire de débarder par câble, voire même par hélicoptère, ce qui renchérit très fortement les coûts d'exploitation.

Dans les conditions extrêmes d'exploitation, la valeur nette du bois en valeur « sur pied » devient souvent négative. Ceci est d'autant plus fréquent qu'on enregistre une diminution quasi constante du prix du bois sur pied.

Les pouvoirs publics ont pris la mesure des difficultés rencontrées et comme le relevait M. Michel Badré devant la mission commune d'information, des mesures ont été adoptées pour « réduire le handicap économique incontestable dû aux conditions d'exploitation en zone de haute montagne ».

- Le câble a fait l'objet de différentes expérimentations pour développer son utilisation, à l'instar de ce qui se pratique en Autriche notamment.

- Dans le cadre du programme « compétitivité plus », des aides publiques ont aidé à la pérennisation de ce mode de débardage.

- Dans le cadre du Plan de développement rural national (PDRN), plusieurs mécanismes de subventions à l'exploitation et au débardage de bois par câble ont été mis en place, soit sous forme d'aide à l'installation du câble ou d'aide au m3 sorti ou encore d'aides à l'hectare.

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- Pour améliorer les conditions de mobilisation du bois, il faut aussi porter une attention particulière à l'entretien et l'aménagement des dessertes forestières. Compte tenu de la topographie et des conditions climatiques, leur réalisation et leur entretien imposent des surcoûts importants.

La réalisation de ces dessertes, pour lesquelles les collectivités locales acceptent, dans certains cas, de se constituer maîtres d'ouvrage est rendue également plus difficile par le morcellement de la forêt privée entre de multiples propriétaires.

La loi d'orientation sur la forêt n° 2001-602 du 9 juillet 2001 d'orientation sur la forêt a aménagé deux dispositifs afin de faciliter la réalisation de ces dessertes forestières :

- d'une part, l'article 33-XX modifie l'article L. 151-36 du code rural pour préciser que les collectivités territoriales peuvent prescrire ou exécuter des « travaux de desserte forestière ou pastorale lorsqu'ils présentent, du point de vue agricole ou forestier, un caractère d'intérêt général ou d'urgence ». L'article L. 151-38 du code rural est également complété pour indiquer : « lorsque en application du 1° de l'article L. 151-36 des travaux de desserte sont réalisés, l'assiette des chemins d'exploitation est grevée d'une servitude de passage et d'aménagement » ; - d'autre part, l'article 33-IV de la loi du 9 juillet 2001 modifie l'article L. 321-5-1 du code forestier pour instaurer « en zone de montagne, une servitude de passage et d'aménagement nécessaire à l'enlèvement qui bénéficie à tout propriétaire ».

Cette disposition résulte d'un amendement défendu au Sénat par les membres du groupe d'études sur la montagne afin de faciliter autant que faire se peut l'exploitation forestière, y compris des fonds enclavés.

(2) Les faiblesses de la filière bois en zone de montagne

Comme le rappelait M. Michel Badré devant la mission commune d'information : « les difficultés rencontrées par la filière forêt-bois renvoient à la problématique plus générale de la compétitivité mondiale de l'industrie du bois résineux. Depuis une vingtaine d'années, on assiste à une évolution extrêmement rapide qui a abouti à une concentration forte et à une compétition mondiale accrue. Le marché apparaît ainsi entièrement déterminé par les grands pays producteurs -Canada, Finlande, Suède et Russie- et les pays fortement consommateurs -Etats-Unis, Japon et Europe de l'Ouest-, en particulier la Grande Bretagne, l'Allemagne, et, dans une moindre mesure la France ».

Plus généralement, si la forêt tient une large place dans l'occupation de l'espace montagnard, son poids dans les activités et l'emploi n'est cependant pas suffisant pour en déterminer l'évolution économique et sociale. Certes, à un niveau très local, la forêt peut être en mesure d'offrir un nombre significatif d'emplois, d'induire un développement touristique particulier et de jouer un rôle important dans la vie sociale, mais, force est de constater que, dans les douze départements où 80 % de la forêt sont en montagne, la sylviculture n'occupe que 4 % des actifs du secteur primaire et la filière bois (comprise ici comme l'ensemble sylviculture, exploitation forestière, travail du bois, industries de l'ameublement et du papier-carton) 1,7 % de l'emploi total. L'économie rurale de beaucoup de régions montagnardes s'est progressivement diversifiée dans d'autres activités (tertiaire, santé, tourisme...) et surtout la répartition des entreprises de la filière bois ne répond pas toujours à des logiques de proximité de la ressource, et nombre d'emplois induits par la production forestière échappent-ils en partie à la montagne.

Cette dernière remarque est moins vraie pour les entreprises de première transformation (sciage pour l'essentiel).

Ainsi, environ 1.289 d'entre elles sont localisées en zones de montagne et elles induisent près de 40 % des emplois de l'activité de sciage en France. Elles sont généralement de petite taille, 16 seulement dépassent 50 salariés. Il est cependant certain qu'une partie de la production montagnarde de bois est sciée dans des entreprises situées en périphérie. En effet, on note qu'en zone de montagne il y a 1,7 emploi de sciage pour 1.000 ha de superficie de production, alors que ce même ratio s'établit à 2,8 dans les zones de plaine des départements situés partiellement en montagne. La géographie des entreprises de seconde transformation montre qu'elles sont principalement localisées dans des basses vallées, à proximité de grands centres urbains ou de zones portuaires.

Les principales difficultés que rencontrent les entreprises et qui ont été évoquées devant la mission commune d'information, lors de ses déplacements dans le sud du Massif central et le Jura, concernent la pénurie de main d'oeuvre, les surcoûts d'exploitation, l'enclavement, la longueur des transports pour les scieries installées en zone de montagne et le coût des investissements. Ainsi l'investissement nécessaire pour un matériel de séchage ne peut être amorti que sur un volume de production de sciage suffisant. Une petite scierie dont l'activité oscille entre 4.000 et 5.000 m3 par an ne peut pas s'équiper d'un tel matériel alors que le marché est demandeur de bois séchés.

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Pour toutes les entreprises de sciage -et pas seulement celles situées en zone de montagne- qui peuvent consentir ces investissements, la loi d'orientation du 9 juillet 2001 sur la forêt a mis en place un dispositif d'amortissement spécifique pour la période 2001-2005. En effet, l'article 71 de la loi autorise les entreprises de la première transformation du bois à pratiquer, pour les matériels de production, de sciage ainsi que de valorisation des produits forestiers, le taux d'amortissement dégressif en vigueur, majoré de 30 %.

Sources : http://www.senat.fr/rap/r02-015-1/r02-015-18.html

- Une réponse possible

Le massif de la Chartreuse, première forêt candidate à une AOC

La filière bois de la région à cheval sur l'Isère et la Savoie pourrait être la première à bénéficier d'une appellation d'origine contrôlée. Saint-Pierre- de-Chartreuse (Isère)

Midi pile. L'angélus s'égrène, mélancolique. Un rayon de soleil dore les toits du monastère, massif et austère, et les hautes futaies de sapins ou d'épicéas qui l'entourent, escaladant les versants de la vallée. Arbres impressionnants dont les troncs, qui mesurent pour certains jusqu'à 1 mètre de diamètre, s'élancent à près de 40 mètres vers le ciel.

Ce sont eux qui font la fierté du massif de la Chartreuse, au cour même du parc naturel régional (PNR) ; ce sont eux aussi, évidemment, qui sont l'objet de la demande d'appellation d'origine contrôlée (AOC) qu'un groupe de passionnés – élus, propriétaires forestiers, chefs d'entreprise, groupements sylvicoles, Office national des forêts (ONF), hommes de terrain – ont décidé de déposer auprès de l'Institut national des appellations d'origine (INAO).

C'est une première dans la filière bois, qui n'aurait pu voir le jour sans la loi d'orientation sur la forêt de juillet 2001.

Un article de ce texte stipule que " le bénéfice du régime de l'appellation d'origine contrôlée est étendu aux produits forestiers". François Brottes, député (PS) de l'Isère, secrétaire général de l'Association nationale des élus de montagne (ANEM), rapporteur du projet de loi, n'est pas peu fier d'avoir réussi à inclure cette clause dans un texte qui a été adopté " à l'unanimité des deux chambres", souligne-t-il, avant de préciser : "Je ne veux pas que la forêt soit l'otage de l'alternance -politique-." Il est donc un peu le parrain de cette demande d'AOC pour le bois du massif de la Chartreuse, une démarche soutenue par la majorité des acteurs de la filière, à qui " elle est en train de redonner des perspectives qu'ils n'avaient plus. La traçabilité induite par la future AOC fait d'ailleurs partie de la démarche de qualité qu'ils ont toujours privilégiée",explique encore M. Brottes.

La Chartreuse dispose de nombreux atouts naturels et humains pour prétendre à une AOC sur ses bois résineux : un territoire restreint et bien délimité – recouvrant quasiment celui du parc naturel régional, qui a accepté de porter le projet ; une antériorité établie ; une pluviométrie abondante sans grandes variations mensuelles – gage d'une croissance régulière des arbres de grande taille ; des sols fertiles, riches en bases et minéraux argileux (favorables aux résineux) ; un relief tourmenté qui engendre une diversité de peuplements renforçant la qualité paysagère de l'ensemble du massif.

Pour Marc Forestier, qui vient tout juste de quitter la présidence du PNR, "ces facteurs naturels particuliers font qu'en Chartreuse les bois sont de gros diamètres. C'est pourquoi la démarche AOC cible des résineux de 60 à 80 centimètres de diamètre qui se trouvent et se trouveront toujours en forte proportion. Dans l'absolu, l'AOC est applicable aussi bien à des produits bruts qu'à des produits transformés plus élaborés, issus de sciages de fortes sections des entreprises locales. Les deux appellations peuvent être déposées simultanément".

Les facteurs humains ne sont pas négligeables non plus. En effet, à l'inverse des autres massifs préalpins, la Chartreuse a su conserver un tissu de scieries artisanales, "un tissu vivant d'entreprises locales de transformation du bois".

Un projet de séchoir à bois collectif – doté d'un sylvatest, appareil servant à mesurer la résistance mécanique du bois – à Saint-Pierre-d'Entremont, commune "bicéphale" mi-iséroise, mi-savoyarde, indique, d'autre part, que ces entreprises artisanales cherchent, à l'avance, à s'adapter aux évolutions réglementaires européennes sur la commercialisation des bois de structure qui entreront en vigueur en 2005. " La démarche AOC apparaît bien comme le moyen d'accompagner cette mutation nécessaire à leur maintien en zone de montagne. Son véritable enjeu est la gestion durable d'une richesse naturelle et le maintien des activités de transformation sur le massif", assure M.

Forestier. " La labellisation va aider les petites scieries qui, sans elle, auront du mal à se mettre aux normes européennes obligatoires. Elle va valoriser non seulement un bois dont la qualité sera reconnue mais aussi un vrai savoir-faire de l'artisanat local, prouvant que l'on peut produire et travailler au pays", renchérit Sylvain Ougier, technicien du centre régional de propriétés forestières (CRPF), chargé de mission au PNR.

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"MAINTIEN DES GENS AU PAYS"

" C'est une convergence de désirs, explique, joliment, Patrick Lambouroud, secrétaire général de Créabois, société conseil pour l'interprofession du bois en Isère. Mais, surtout, la future AOC permettra de rendre plus rationnels les choix empiriques des scieurs et des siècles de pratiques dans la filière sylvicole. Elle aura le mérite de fixer l'entreprise locale. Reste que la grosse difficulté sera l'identification du bois de Chartreuse lui-même."

Une étude de caractérisation doit être lancée, cette année, par Créabois avec le concours du Centre technique du bois et de l'ameublement (CTBA) pour établir toutes les potentialités du bois de Chartreuse. Un syndicat (obligatoire) de défense de ce bois verra prochainement le jour pour soutenir le dossier auprès de l'INAO. Un long parcours du combattant qui peut durer plusieurs années. Les impétrants le savent...

Ainsi, Patrick Chion, président de l'Union des groupements pour le développement forestier en Isère, actif défenseur de l'AOC : "Les forestiers ont l'habitude de travailler à long terme, alors... La recherche de la qualité fait toujours surgir des difficultés. Mais c'est l'avenir de la filière qui est en jeu dans notre région."Guy Charron, maire de Lans-en- Vercors, président des communes forestières de l'Isère, est également prêt à se montrer patient : "Les maires sont preneurs et suivent l'expérience avec attention, car, au bout du compte, l'AOC induit le renforcement de la filière bois et le maintien des gens au pays."

En Isère, deux autres productions agricoles locales sont déjà labellisées : la noix de Grenoble et le bleu du Vercors.

Un troisième, le saint-marcellin, voit son dossier de candidature en bonne position. Avec l'éventuelle obtention de l'AOC pour le bois de Chartreuse, cela fera, à terme, un joli panel de produits de qualité pour rendre plus attractive une région déjà renommée pour ses paysages.

Ali Habib

38 200 hectares de forêts de production

Le massif forestier de la Chartreuse, à cheval sur l'Isère (70 %) et la Savoie (30 %), comprend 42 500 hectares, dont 38 200 sont des forêts de production. La moitié environ appartiennent à 11 500 propriétaires privés, l'autre moitié est publique (Etat et communes). La récolte annuelle de bois se situe entre 80 000 et 100 000 m3, dont 40 000 m3 pour la seule forêt domaniale (celle de l'Etat), qui couvre 8 000 hectares. La spécificité de la Chartreuse s'appuie sur trois caractéristiques : une très dense couverture forestière (de 70 % à 80 % pour certaines communes), un fort pourcentage de sapins et d'épicéas et une économie conséquente autour du bois.

On compte une vingtaine d'entreprises de travaux forestiers, une dizaine d'exploitants forestiers, des charpentiers et des menuisiers. Seize scieries sont toujours en activité – chiffre stable depuis une dizaine d'années –, pour une production annuelle de 34 000 m3 de bois de sciage, soit les deux tiers du volume récolté. Le bois de la Chartreuse est employé à 90 % dans la construction.

Sources : Le Monde du 11/01/03

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2) Questionnement

1) Identifier et lister les différents coûts spécifiques à l’exploitation forestière en montagne ainsi qu’à la filière bois.

2) Les autres exploitations forestières subissent-elles les mêmes coûts ? Pourquoi ?

3) Comment cette branche d’activité peut-elle se battre sur un marché concurrentiel mondial si ses coûts d’exploitation sont plus élevés ? Quelle solution a « t » choisi par l’ensemble des acteurs de la filière bois en Chartreuse ?

4) En quoi le label AOC peut faire la différence sur le marché ?

5) De quelle nature est cette différenciation ?

6) Est-ce une solution durable, selon vous et pourquoi ?

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3) Eléments de réponse

1) Les coûts d’exploitations sont très élevés : bûcheronnage, bardage, câblage, création et maintien des voies d’accès, …

2) Ces coûts sont plus élevés en exploitation de montagne du fait du relief et des difficultés d’accès. Les coûts d’exploitation de la forêt de plaine sont moindres.

3) Il s’agit de valoriser ce potentiel grâce à une démarche qualité : la forêt de Chartreuse bénéficie d’atouts quand à la régularité de la pousse, et le terroir est très délimité.

Lorsqu’une lutte sur les prix n’est pas possible, mieux vaut choisir une compétition basée sur la qualité, à condition que cette qualité soit identifiée et reconnue.

4) Le label AOC est connu des consommateurs habitués depuis longtemps à ce label pour des produits viticoles ou agro-alimentaires. Ce label permet une différenciation par la qualité.

5) Il s’agit d’inviter les élèves à comprendre que cette approche repose sur la reconnaissance et l’acceptation de cette qualité. Les acteurs de la filière bois en Chartreuse sont les premiers à se mobiliser pour cette appellation. Cependant, si le label AOC est attribué à d’autres forêts, alors cette différenciation sera-t-elle efficace ?

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