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Observations T1 T2 T3 T4 T5

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Academic year: 2022

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(1)

Le dépouillement des 3 registres d’enquête a conduit au résultat suivant : Registre 1 : 43 interventions

Registre 2 : 38 interventions Registre 3 : 20 interventions

L’analyse de ces interventions selon les 5 thématiques retenues a conduit à l’identification de 215 observations selon la répartition suivante : T1 : Diagnostic et orientations générales : 29% des observations

T2 : Caractéristiques des OAP : 7%

T3 : Zonage et règlement : 32%

T4 : Equipements publics, espaces verts et monuments historiques : 28%

T5 : Concertation et communication : 4%

Nom de la personne ou de l’organisme qui a formulé des

observations

Observations T1 T2 T3 T4 T5

Registre 1

(1) Mme AUBRY - demande que la place CARNOT demeure en zone UE afin de préserver le côté « Village »

de ce quartier. X

(2) Habitant non

identifié - déclare qu’il est défavorable à ce projet d’urbanisme qui va conduire à l’augmentation de la population dans une ville qui est déjà saturée au niveau des écoles, des stationnements et des transports en commun ;

- s’oppose à l’aménagement d’un espace réservé aux gens du voyage.

X

X (3) M. NAIT CHALAL

69, rue Pierre CURIE - fait part de sa désapprobation concernant le passage de l’avenue de Rigny en zone UB du fait de l’impact de ce changement sur :

* la circulation déjà importante de cette avenue ;

* le charme et l’harmonie de ce secteur ;

* le stationnement dans cette rue qui est très problématique actuellement.

X

(4) Mme Dolores

GARCIA 17bis, avenue de Rigny

- souhaite que l’avenue de Rigny soit préservée et reste dans sa zone actuelle ;

- demande que le projet de PLU soit modifié pour l’avenue de Rigny du fait que cette avenue :

X X

(2)

* offre déjà la possibilité de nouvelles constructions sans avoir à changer de zonage ;

* est située en zone inondable ce qui n’est pas compatible avec une augmentation de l’emprise au sol résultant d’un changement de zonage ;

* verrait son aspect général modifié du fait de la hauteur exagérée des immeubles résultant de ce changement de zonage ;

*constitue un havre pour les oiseaux, et pour la flore et la faune ;

- déplore qu’aucun arbre remarquable ni aucune demeure remarquable ne soient répertoriés ;

- craint que les grands et beaux arbres de cette avenue soient coupés à l’occasion de nouvelles constructions importantes comme le nouveau PLU va le permettre par le changement de zonage.

- estime que l’augmentation des immeubles en hauteur et en surface au sol va entrainer davantage de voitures en stationnement et donc une saturation des infrastructures existantes ;

- affirme que le PLU n’est pas en cohérence avec le SRCE (Schéma Régional de Cohérence

Ecologique) concernant cette avenue. X

X X

X

(5) M. Eric LAFOSSE

173, boulevard Pasteur - déplore cette évolution du PLU qui marque un changement notable dans la densification de l’habitat dans de nombreux quartiers ;

- ne comprend pas la démarche de ne classer qu’une partie du boulevard Pasteur en zone UBB, surtout que c’est le côté « coteaux » déjà plus élevé au niveau terrain et qu’un déséquilibre entre les deux côtés du boulevard n’est pas très logique ;

- signale que les terrains sur cette partie des coteaux sont argileux et donc sensibles aux variations de température et que la densification et l’importance des constructions va davantage les fragiliser, l’écoulement et l’absorption des eaux seront plus limités et l’instabilité des sols augmentée ;

- demande la révision du classement du boulevard Pasteur afin de garder une logique pour l’ensemble de cet axe.

X

X

X

X (6) M. Jean-Pierre

MAILLARD Boulevard Gallieni

- trouve le PLU bien timide en matière de densification au regard de la loi du Grand Paris qui prévoit la réalisation de 70 000 logements par an dans la métropole ;

- préconise le classement de la zone UE de la rue Jules Ferry en zone UB sachant que la

X

X

(3)

proximité de la station du RER A milite pour la densification ;

- considère que le maintien des pavillons des 47 à 51 boulevard Galliéni en zone UE n’a pas de sens du fait qu’ils sont situés à moins de 200 mètres de la gare RER ;

- considère comme démesuré l’aménagement piétonnier projeté sur l’emplacement réservé n°13, car il ne sert que les habitants de l’immeuble de la rue Jean Graudel, et estime que son maintien serait excessif.

X X

(7) M. BROUSTE

20bis, rue de la Marne - souhaite que soit préservée la végétation de l’avenue de Rigny et surtout son caractère résidentiel ;

- demande que le quartier reste classé en zone UE. X

X

(8) Mme Isabelle CROSNIER AMO pour l’INA

- demande que l’article 9.2.1 n’empêche pas la mise en œuvre de matériaux de doublage de qualité et/ou d’isolation thermique par l’extérieur pour les constructions contemporaines ou les réhabilitations.

X

(9) M. et Mme LEBON 1, rue des Aulnettes NOISY-le-GRAND

Cette intervention ne concerne pas le PLU de Bry-sur-Marne (10) Association « Agir

pour la Sauvegarde de Bry »

- signale l’absence des pages paires dans le document daté du 5 octobre 2016 adressé par l’association auprès du Territoire et figurant dans le sous-dossier « Documents

complémentaires » du dossier d’enquête.

X

(11) Mme Geneviève MARTY

43, avenue de Rigny (annexe 1)

- Demande le classement en EBC de sa parcelle sise au 43, avenue de Rigny ainsi que le

classement en site remarquable de la maison située à l’entrée de la parcelle. X

(12) M. Gabriel PRAGER

12, quai Victor Berrière (annexe 2)

- demande le changement du plan de zonage de sorte que les bords de Marne historiques (du pont de Bry jusqu’à la rue Malard-Fouquet) restent classés en zone UE (au lieu de UB) pour ne pas à terme défigurer les bords de Marne et pour être en cohérence avec le PPRI.

X

(13) M. et Mme

LAGREZE - fournissent un avis très négatif au projet de PLU du fait que leur parcelle constituant un

terrain d’angle au 63 avenue de Rigny/1 rue de la Chaumière va passer d’un zonage UE à X

(4)

9, rue de la Chaumière

(annexe 3) un zonage UBA ; - précisent que :

* ce terrain est situé en zone inondable ;

* la rue de la Chaumière est une rue très étroite à sens unique ;

* le bâtiment envisagé sera source de nuisances pour les riverains : perte d’intimité, d’aération du côté de la rue de la Chaumière

X

(14) M. Jean-Yves CHABROL,

21, quai Alphonse Le Gallo à Boulogne Billancourt pour le compte de M. et Mme DOUEY 26, rue de la Prairie

- demande la révision des espacements et retraits entre parcelles. X

(15) M. NAIT CHALAL

69, rue Pierre Curie Voir intervention n° 3 X

(16) M. et Mme LARME

Hauts de BRY - déclarent qu’ils sont défavorables et inquiets face à l’implantation d’une aire d’accueil pour les gens du voyage boulevard Georges Méliès (emplacement réservé n°14) à proximité d’un quartier pavillonnaire sis rues Racine et Molière

- demandent si ce projet peut être étudié au niveau du Territoire Paris Est Marne&Bois afin de mutualiser les aires d’accueil en un seul endroit du territoire.

X

X (17) Mme Geneviève

MARTY

43, avenue de Rigny

- dresse les conséquences de la modification du zonage de l’avenue de Rigny :

* une modification substantielle du caractère de cette avenue en terme de protection des espaces verts arborés (arbres très anciens) et des derniers habitats pavillonnaires de caractère (19ème siècle) et patrimonial ;

* une densification de l’habitat et une augmentation de la population très importantes ; - demande si cette modification a fait l’objet d’une étude d’impact en terme d’équipements, de circulation, de protection de l’environnement ;

- considère que cette modification est en contradiction avec les objectifs généraux du PADD et du PLU en terme de protection de l’environnement et du PPRI ;

X X

X

X X

(5)

- déclare que cette modification n’est pas nécessaire pour l’accueil de nouveaux habitants, le PLU actuel le permettant, comme on peut le constater au travers des opérations réalisées ou en cours de réalisation qui se traduisent par une multiplication des logements par 4 ou 5 sur les parcelles actuellement divisées.

X

(18) Mme Dominique FAVROULT et son fils Adrien

4, rue de la Chaumière

- déclarent qu’ils sont défavorables à la mise en place d’un nouveau PLU tel qu’il est

présenté actuellement ; X

(19) Mme Jeanine BLOT

69, rue Pierre Curie - déclare qu’elle est défavorable au changement de zonage de l’avenue de Rigny en zone

UB. X

(20) M. JF THIRIAT

63ter avenue de Rigny - exprime son désaccord avec le changement de zonage de l’avenue de Rigny dont les conséquences seront :

* une augmentation des populations qui apportera nécessairement une intensification de la circulation des véhicules dans cette avenue ;

* l’augmentation d’un étage supplémentaire (de 11à 15 m) qui augmentera la population d’une manière significative et modifiera le paysage urbain, qui jusqu’à présent est à taille humaine ;

* la diminution du pourcentage des espaces verts puisqu’il passera de 50% à 30% en zone UB ;

* l’augmentation de la population entrainera des conséquences sur le réseau d’évacuation des eaux pluviales et usées ;

- la modification du cadre de vie (paysage urbain) et de la qualité de ce cadre (bruit, pollution, densité de la population, diminution des espaces verts).

X

(22) M. Jean-Pierre

MAILLARD Voir intervention n°6 (23) M. et Mme GUEDJ,

44, rue du Parc - s’opposent au projet de PLU concernant l’avenue de Rigny pour les raisons suivantes :

* la non protection des magnifiques arbres dont certains sont plus que centenaires et des belles demeures : demande de les répertorier et d’en interdire l’abattage pour les arbres ou la démolition pour les demeures ;

X X

(6)

* cette avenue se trouve en zone inondable donc à risque, le plan de prévention édictant une règle de ne pas augmenter significativement le nombre d’habitants dans ces zones aux aléas forts et très forts ;

* la densification ne peut se justifier que dans un périmètre de 500 m autour des gares ce qui ne devrait affecter l’avenue de Rigny que partiellement ;

* le non respect du périmètre de protection des monuments historiques pour le gymnase Bellan et l’hôtel Malestroit ;

- considère que la concertation conduite par la mairie a été insuffisante.

X

X

X X (24) Association Agir

pour la Sauvegarde de Bry (annexes 4.1 et 4.2)

- demande de prolongation de la période d’enquête publique pour les raisons suivantes :

* présentation au dernier moment par le mensuel local de la carte des zones et de la règlementation ;

* modification et révision du PLU : deux procédures peu discernables dans la revue locale qui ont provoqué une confusion chez les lecteurs de la revue ;

* manque de temps pour réagir au projet ;

* compréhension difficile de la carte de zonage publiée dans la revue du fait qu’elle ne comporte pas les noms de rue;

- exprime des remarques sur les carences de la concertation :

* analyse du PLU rendue difficile par des cartes peu lisibles ;

* compte-rendu des réunions ouvertes aux personnes publiques associées déficient ;

* absence de rencontre entre le maire et l’association dans le cadre de la concertation préalable ;

* absence de prise en compte des remarques de l’association pendant ou à l’issue des deux réunions des personnes publiques associées.

X

(26) M. et Mme GUEDJ Voir intervention 23 (27) M. GOUBART, 1

rue Jules Benoit - s’oppose à la destruction d’arbres et de jardins ; - craint que sa maison se trouve enclavée ;

- alerte sur le problème de stabilité des terrains à prendre en compte lors des constructions d’immeubles.

X X X

(28) MM. SENOT et

LESUR - exprime son opposition :

* à la hauteur maximale de 15 mètres en zone UB ; X

(7)

Adresse non indiquée * aux nombres conséquents de logements.

- signale les difficultés rencontrées à l’angle de l’avenue de Rigny et de la rue de la Chaumière du fait de la réalisation de 54 logements dans une rue étroite qui connait actuellement de nombreux passages de piétons et de véhicules.

X

(29)M. Stephane UGOLINI

97 ter quai Louis Ferber

Signale une erreur sur le zonage des espaces boisés classés sur les parcelles cadastrées 27,

56, 55 (quai Louis Ferber). X

(30) Intervenant non

identifié - s’oppose à la densification de l’habitat dans les zones pavillonnaires de BRY pour les raisons suivantes :

* problématique du stationnement ;

* surcharge des transports en commun ;

* surcharge des infrastructures (écoles, installations sportives) ;

* destruction des jardins et des espaces verts privés ;

* destruction de grands arbres ;

* destruction de demeures remarquables de l’avenue de Rigny ;

* appauvrissement de la qualité architecturale de notre environnement.

X

(31) M. et Mme SILAMI

54 avenue de Rigny - s’opposent fortement à ce projet de PLU qui va impacter la circulation, le cadre de vie

(habitations, espaces verts). X

(32) M. et Mme RABOT

47, avenue de Rigny - s’opposent à ce projet de PLU qui propose de développer les constructions et la

densification sur l’avenue de Rigny, ce qui va accentuer les problèmes de stationnement, de circulation et d’affecter le cadre de vie verdoyant et relativement pavillonnaire de ce

quartier.

X

(33) M. JF EVRARD, 2

rue Jean Grandel - reconnait que la densification de l’habitat est nécessaire dans la région francilienne mais recommande toutefois de veiller à un équilibre plus prononcé entre :

* l’habitat ;

* les circulations et les stationnements ;

* la sauvegarde d’un environnement végétal.

X

(34) Mme PASINI, 28bis

rue Maréchal Foch - proteste à l’encontre du projet de PLU qui va porter atteinte à la sauvegarde de l’habitat et

de l’environnement communal. X

(8)

(35) M. et Mme TAIEB,

28 rue de la République - s’opposent à l’abattage massif des arbres lors des nouvelles constructions. X (36) M. DEARD 39 rue

de la République - proteste contre la disparition de nombreux arbres remplacés par de très petits sujets (ou pas du tout), la construction intensive d’habitations et le changement de zonage de l’avenue de Rigny

X

(37) Association Patrimoine- Environnement (annexe 5)

- réagit par rapport au projet d’extension de la zone UB jusqu’aux abords immédiats de l’hôtel Malestroit et du presbytère, qui seront de ce fait en co-visibilité avec les nouveaux immeubles qui seront réalisés dans cette zone ;

- précise que ce type de modification a été réformé le 7 juillet 2016 avec la loi relative à la liberté de création, à l’architecture et au patrimoine ;

- souligne que la même analyse s’applique aux abords du gymnase Léopold Bellan, inscrit au titre des Monuments Historiques.

X

X

X (38) Association Agir

pour la Sauvegarde de Bry (annexe 6)

Remarques additionnelles de l’Association « Agir pour la Sauvegarde de Bry » concernant le zonage et le patrimoine :

- relève des erreurs de diagnostic portant sur la consommation d’espaces naturels et la notion de parcours résidentiel complet sur la seule ville de Bry ;

- conteste le bien-fondé de la délimitation de certaines zones :

* absence d’un corridor écologique identifié par le SRCE ;

* contestation du classement en zone UBB du secteur situé en face des îles de la Marne et demande classement en zone UEA, comme la zone voisine ;

*demande d’extension de la zone UEA prévue dans un seul secteur à l’ensemble des Bords de Marne ;

* déplore l’absence de zone AVAP en Bords de Marne ;

* non débordement de la zone UB de l’avenue de Rigny sur la Marne ainsi que vers la rue de la république, vers la Marne ;

* absence de protection spécifique des espaces verts du quartier de la République ;

* non justification du classement en zone UBB du boulevard Pasteur ; - souligne :

* la contradiction entre le périmètre de protection autour des monuments historiques et leur classement en zone UB du fait de la co-visibilité ;

X

X

X

(9)

* l’oubli du presbytère dans le Diagnostic en tant que bâtiment inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques

* l’absence de mesures en faveur du patrimoine bâti de la ville ;

* la non prise en compte des éléments du petit patrimoine ;

- propose que la largeur des accès soit réglementée dans le règlement ;

- suggère que le quartier de la Pépinière jusqu’à l’avenue de Rigny soit classé en zone UEA ;

- relève des incohérences sur :

* l’absence de prise en compte des remarques du « Porter à Connaissance » du préfet concernant la protection et la mise en valeur des monuments historiques, sites et paysages

* l’absence de prise en compte de demeures remarquables pourtant identifiées dans le Diagnostic

X

X X

X X (39) M. Michel

SELLIER 6, rue Barilliet

- souligne que la zone AUEB OPA n°3 (boulevard Pasteur/des Pilotes) constitue un espace libre de 5600 m2 disposant d’une accessibilité limitée ;

- demande un accès véhicules (particuliers, pompiers, entretien, …) par le sentier des Pilotes à partir de la rue Armand Brillard ainsi qu’un raccordement aux réseaux.

X

(40) Mme Geneviève MARTY

43, avenue de Rigny

Voir observation n°1 du registre 2

(41) M. Gildas DUFLOT - exprime le souhait d’un arrêt de la division des parcelles existantes afin de limiter l’urbanisation ;

-demande que le PLU diminue la hauteur des constructions ainsi que les superficies constructibles sur chacune des parcelles et interdire les constructions en limite de propriété ;

- précise qu’il convient de respecter les contraintes liées au classement en « zones

inondables » de certains quartiers et d’interdire ou de limiter drastiquement les nouvelles constructions dans ces zones.

X X

X

(42) Mme Muriel RIVIERRE (Annexe 7)

- déclare que l’atteinte à l’environnement est de plus en plus violente en prenant l’exemple du projet de construction du 63, avenue de Rigny ;

- précise que ce quartier est situé en zone inondable et comporte de nombreux arbres

X

X

(10)

classés et de nombreuses belles demeures ;

- estime que ce changement de zone va aggraver la pollution, les difficultés de

stationnement et de circulation ; nuisances générées dès maintenant par les constructions existantes ;

- déplore l’imprécision du plan de zonage figurant dans le journal « La Vie à Bry », l’indication d’espaces verts dans son quartier ainsi que l’absence de prescriptions portant sur la protection des beaux arbres et des belles demeures ;

- préconise que la politique de densification n’affecte l’avenue de Rigny que partiellement à partir de la gare de Bry (RER A) ;

- souligne le non respect du périmètre de protection avenue de Rigny autour des monuments historiques : le gymnase Léopold Bellan » pour la partie nord et « l’hôtel Malestroit » pour la partie sud.

X

X

X X

(43) Intervenant non identifié

47, rue Aristide Briand

- fait valoir son opposition à :

* une densification de l’urbanisation et à une augmentation de la hauteur des immeubles dont les conséquences seront la défiguration de l’harmonie et de la physionomie de la commune dans son ensemble et plus particulièrement de l’avenue de Rigny et de ses abords ;

*une destruction du patrimoine ancien de qualité par une division horizontale des parcelles pavillonnaires ;

* les conséquences sur la circulation automobile, le stationnement, le bruit, la pollution de l’air.

X

X X

(11)

Registre 2 (1) Mme Geneviève

MARTY

43, avenue de Rigny

- ne voit pas comment les décisions actuelles de densification ne conduiraient pas à la réduction significative des espaces verts et à une aggravation de cette situation ;

- demande ce que va devenir l’alignement des grands arbres le long de l’avenue de Rigny et si on ne pourrait pas appliquer le nouvel article L.350-3 du code de l’environnement qui reconnait que les alignements d’arbres qui bordent les voies de communication sont protégés à savoir leur maintien et leur renouvellement.

X X

(2) M. Joël GREE

54, avenue de Rigny - est contre le classement de l’avenue de Rigny en zone UB du fait des nuisances qui seront engendrées par une densification du bâti le long de cette avenue ;

- précise que ce secteur proche des Bords de Marne est en zone inondable.

X X

(3) M. et Mme MIGNOT François

114, quai Adrien Mentienne

- disent STOP à la densification à outrance de l’habitat qui rend la circulation impossible à cause de ses petites artères et de son seul accès aux communes voisines par un pont de Bry largement sous-dimensionné ;

- estiment ridicules les possibilités de stationnement autour de la gare RER A ;

- jugent inexistante la création d’infrastructures dans cette ville (aucune piscine, aucun collège ou école en projet) ;

- s’indignent de la division et du bétonnage à outrance de surfaces situées en zone inondable ;

- conteste le bien-fondé de réaliser un parking en zone inondable, tel qu’il est indiqué dans le PLU alors qu’il serait plus utile aux abords du RER A.

X

...X

X X

X

(12)

(4) M. Alain GIRARD

46ter, avenue de Rigny - souligne l’incohérence avec le PPRI de la densification le long de l’avenue de Rigny ; qui est sur le plan du PPRI entre la zone orange foncée (espace urbanisé aux aléas fort et très fort) et la zone bleue et qui recommande d’éviter une augmentation significative de la population soumise au risque d’inondation dans cette zone ;

- déplore la dégradation du cadre de vie « historique » de la ville de Bry si des immeubles continuent à remplacer des maisons entourées de jardin.

X

X (5) M. et Mme HARCOZ

5, rue des Parcs - demandent la modification du projet du PLU pour leur quartier afin de maintenir des dispositions limitant la surpopulation, les constructions anarchiques qui détruisent

progressivement notre cadre de vie des villageois et qui ne tient pas compte de l’existant.

X

(6) Mme Geneviève MARTY

43, avenue de Rigny

- déplore le manque de concertation avec le public, les réunions organisées par la mairie ayant porté sur l’existant et sur des modifications de forme sans qu’il y ait un vrai débat sur le fond ;

- précise qu’elle a découvert les modifications des règles de zonage sur les quartiers en lisant « la Vie à Bry » de septembre 2016.

X

X (7) Mme Odile SUTTER

16, rue de la République - déclare que le changement de zonage de UE en UB du secteur situé dans l’angle de l’avenue de Rigny et de la rue de la République va fortement impacter sa parcelle cadastrale n°146 ;

- fait état des nuisances que ce changement risque d’engendrer : enclavement de la maison, perte d’ensoleillement, perte d’intimité, dépréciation du bien, …

- sollicite que soit reconsidéré le passage en zone UB de la partie étroite de la pointe constituée de l’avenue de Rigny et de la rue de la République.

X

X X (8) Association « Un

Nouvel Elan pour Bry » (pétition de 323

signatures)

- dépose une pétition militant pour l’annulation du nouveau projet de PLU ; - met en exergue plusieurs points :

* l’avenue de Rigny est située dans le périmètre du PPRI alors qu’elle est identifiée comme zone de densification privilégiée ;

* la Plaine de Jeux des Hauts de Bry est située dans le périmètre d’un PPRMT (Plan de Prévention du Risque de Mouvement de Terrain) alors qu’elle est identifiée comme zone à densifier ;

* la forte distorsion entre les chiffres annoncés de développement du parc des logements

X X

X

X X

(13)

(110 logements par an) et les chantiers en cours représentant 350 logements ;

* le déficit des logements sociaux de la commune ne sera pas résorbé par les nouvelles constructions ;

* la concertation s’est faite sans qu’aucune réunion de quartier ne soit organisée pour présenter le projet à la population ;

- demande le respect des Plans de Prévention Préfectoraux au nom du principe de précaution.

X

X

X

(9) M. Christian GIULIANI

36, rue de l’Ormeraie

- demande la réalisation d’un inventaire des arbres remarquables et des maisons

remarquables de la commune dans le but de préserver l’environnement et le cadre de vie X (10) Association « Agir

pour la Sauvegarde de Bry »

Annexe 15

- dépose des « Remarques additionnelles » concernant principalement :

* des erreurs de diagnostic : contestation de la qualification d’axe structurant pour l’avenue de Rigny et le boulevard Galliéni ;

* l’absence de justification à l’ajout de l’avenue de Rigny à la zone UB, les conditions affichées dans le dossier d’enquête ne sont pas établies : secteur peu desservi par les transports en commun, absence de commerces sur l’avenue, absence d’équipements publics ;

* aucune protection de la seule mare signalée sur le plan de zonage ;

* le classement des talus des voies ferrées en espaces boisés classés n’est pas compatible avec l’existence de servitudes liées au chemin de fer ;

* d’autres espaces boisés sont à classer ;

* aucun arbre isolé remarquable n’est protégé ;

* quelques alignements d’arbres ont été oubliés ;

* la trame des jardins privés n’est pas en mesure d’être sauvegardée ;

- considère que l’actuelle zone UE permet avenue de Rigny une densification en rapport avec les attentes du porter à connaissance du préfet.

X

X (11) M. Patrice AVRIL - demande la création d’un square avec aire de jeux pour enfants, ce qui n’existe pas

actuellement sur le quartier de la Pépinière ;

- demande la création d’un mail (plantation d’arbres) pour une meilleure intégration des immeubles ;

X X

(14)

- préconise la limitation des hauteurs maximales de construction à 11 mètres le long de

l’avenue de Rigny. X

(12) M. Jean-Luc TUSCHER 6ter, rue du Parc

- exprime son souhait que sa maison soit inscrite comme élément de patrimoine

remarquable de la ville de Bry. X

(13) Mme Irène ALFONSI

231, rue Jules Ferry

- estime que le projet prévoit une trop forte densification qui va induire une augmentation du trafic pour une zone de la ville enclavée entre la Marne et les voies de chemin de fer, avec très peu d’axes roulants pour en sortir ;

- signale que des écoles sont dans cette zone ce qui pose problème par rapport à l’augmentation du trafic et des besoins en place de parking, alors que la zone est déjà saturée ;

- considère que densifier les 3 axes roulants à partir de la gare est trop important. Elle préconise d’en conserver un ou deux moins denses et en particulier le boulevard Galliéni ; - estime que c’est un non-sens de garder un petit îlot UE sur la rue Jules Ferry ce qui risque de dévaloriser les maisons en créant des nuisances autour : soit tout densifier, soit avoir une zone pavillonnaire jusqu’à Joffre.

X

X

X

X

(14) M. Adriano CELUCCI

128bis, avenue du général Leclerc

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry X

(15) M. Bruno LISENA 1, rue Jules Ferry (annexe 14)

- émet un avis défavorable au passage de zone UE en zone UB pour la rue Jules Ferry et le boulevard Galliéni pour les raisons suivantes :

* manque de communication et de concertation : plan de zonage communiqué en septembre 2016, absence de concertation et de communication avec les riverains du quartier,

justification de la densification de ce quartier non fondée ;

* absence de diagnostic des incidences d’une circulation dense en centre ville et d’une étude d’une étude récente de trafic ;

* absence de dispositif de stationnement adapté ;

* non prise en compte des conséquences sur la pollution et la qualité de vie concernant les X X X

X

X

(15)

niveaux sonores, en l’absence de la révision des cartes de bruit ;

* prise en compte insuffisante de la protection du patrimoine et de l’environnement : aucune distance minimum entre le zonage UB (côté Jules Ferry/ Bd Galliéni et les

monuments historiques que sont la chapelle Sant-Thomas et le château de Bry-sur-Marne (institut Saint-Thomas) ;

- propose que la rue Jules Ferry et le boulevard Galliéni restent en zone UE afin de préserver le tissu mixte d’habitats individuels et collectifs ;

- suggère à minima une transition de UE à UBB avec maintien d’une bande constructible de 20 mètres à compter de la marge de recul , ce qui permettrait de conserver des espaces non bâtis nécessaires au maintien des continuités écologiques comme pour le boulevard Pasteur et l’avenue du général Leclerc.

X X

X

(16) Mme Sophie BARJAVEL 57bis, rue de la République

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry X

(17) M. Mahmoud TAIBA

4, place du 11 novembre 1918

- considère que la politique de densification du nouveau PLU ne correspond pas au cadre

de vie de Bry et va créer des problèmes de circulation surtout du côté RER. X

(18) M. Francis MALEVAL (annexe 16)

- conteste la continuité de la politique de construction sans considérer l’indigence des transports, celle d’un RER A surchargé, celle des parkings inadaptés aux nouveaux arrivants, le risque d’éventuelles inondations causées par le coteau de Bry de plus en plus bétonné suite aux constructions existantes (hôpital, collège, lycée, …).

X

(19) M. Jean-Pierre PECQUERIAUX 6, rue de Lutèce M. et Mme FEVRE 76, avenue de Rigny

- déclare que la densification de la population ne prend pas du tout en compte :

* les transports déjà saturés ;

* la circulation routière et le manque de places de parking ;

* les écoles insuffisantes, les crèches ;

* l’affectation des logements sociaux.

X

(16)

(20) Mme Chantal MOUTON

16ter rue Berthelot

- demande si un tel projet, qui prévoit une augmentation de la population de 30% sur 10

ans, sera géré de manière efficace dans l’intérêt de la population. X (21) M. Yann LACHOT

16ter rue Berthelot - s’interroge sur l’objectif de vouloir une densification de la population de 30% sur 10 ans ; - demande comment seront prévues les infrastructures nécessaires, voies de circulation, parkings, transports, …

X

(22) Mme Ariella BROCHET

52bis, avenue de Rigny

- craint que la densification proposée par le nouveau PLU, avec des constructions de type

« collectifs » et mitoyennes ne suppriment les grands arbres situés dans le domaine privé tout au log de l’avenue de Rigny ;

- souhaite que l’avenue de Rigny garde un aspect arboré et demande s’il est possible de prévoir des arbres sur le domaine public.

X

X (23) Mme MARTY

Geneviève

43, avenue de Rigny

- déclare son opposition au changement de zonage de l’avenue de Rigny ainsi que du quai face à l’île d’Amour pour des raisons liées à la biodiversité du site ;

- demande pour toute la ville la protection des grands arbres et des belles demeures (architecture et histoire).

X X (24) M Willy VESTIGO

49, boulevard Galliéni - demande le classement en zone UB (au lieu de UE) de tous les numéros impairs du

boulevard Galliéni X

(25) Mme Ida

FERRANTE 12, rue du Parc

- refuse le classement de sa maison en bâtiment à protéger. X

(26) Mme Estelle GLORIAN

24, rue Aristide Briand

- refuse le classement de sa maison en élément remarquable de la ville de Bry. X

(27) M. Michel GEORGE (annexe 8)

- demande que l’extension de la zone UB, le long de l’avenue de Rigny, ne se prolonge pas jusqu’aux quais de la Marne, de sorte que les bords de Marne historiques ne soient jamais défigurés par des immeubles de 15 m de haut ;

- préconise de la maintenir dans la zone UE le triangle délimité par la rue Malard-Fauquet, l’avenue de Rigny et les Bords de Marne ;

X

X

(17)

- souligne que l’extension de la zone UB jusqu’aux Bords de Marne est en contradiction

flagrante avec le PPRI. X

(28) M. André FOUERE 26, rue Victor Basch Annexe 9

- idem intervention 27 X

(29) M. Michel

TRASSART - idem intervention 27 X

(30) MmeAudrey GUEDJ

184, quai Adrienne Mentienne

- est d’accord pour le classement en tant qu’élément remarquable de sa maison. X

(31) Mme Christine

MOHAMEDI - considère comme inopportune l’initiative de l’association « Agir pour la Sauvegarde de Bry » qui fait figurer sur son site les adresses des biens proposés au classement en tant qu’élément remarquable de la commune ;

- exprime son « opposition absolue » au classement de sa propriété.

X

X (32) M. et Mme Erwan

LE BRAS 5, rue Jeanne

- refusent le classement de sa maison en élément patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(33) M. et Mme CAVANNA

27, rue du maréchal Joffre

- refusent le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(34) Mme Estelle GLORIAN

24, rue Aristide Briand

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(35) M. Didier

BROCHET - refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(18)

52bis, avenue de Rigny (36) Mme Florence GARRET

15, avenue de Rigny

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(37) Mme Micheline SIMON

9, rue Joffre

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(38) M. Frédéric VILLEMIN

6, quai Lois Ferber

- Voir observation n°27 X

Registre 3 (1) Mme Anne-Marie

JOSSO

82, rue de la République

- refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry. X

(2) =Mme Maryse BENHAIM

46, quai Victor Berrière

- déclare que la proposition de classement de sa maison pourrait l’intéresser mais elle souhaite au préalable que la mairie en précise les conséquences (avantages et

inconvénients).

X

(3) Mme Sylvie MILHAUD

M. Nigel WATLING 4, avenue de Rigny

- ne sont pas favorables au classement en élément remarquable de leur propriété. X

(4) M. ALLAF Smaël Gérant de la SCI Briand-Curie 66, rue Pierre Curie

- déclare qu’il est défavorable au classement de sa parcelle en « espace non bâti nécessaire au maintien des continuités écologiques », car cela lui interdirait de réaliser des logements collectifs à des fins de location.

- joint un courrier de son avocat conseil, M. JF SERY qui précise que le classement de la maison en tant qu’élément remarquable de la commune n’est pas envisageable.

X

X

(19)

(5) Mme Vincente RANDAZZO

13, rue des Gilbardes

- signale d’importantes nuisances résultant d’une circulation très intense sur la rue des

Gilbardes. X

(6) Mme Dolores GARCIA

17ter avenue de Rigny

- considère que le classement en zone UB de l’avenue de Rigny va complètement dénaturer cette avenue, les grands arbres qui la bordaient dans le temps ayant déjà été coupés et ceux restants dans les propriétés privées étant appelés du fait de la nouvelle réglementation à disparaître ;

- cite en exemple la construction en cours au n°9 de l’avenue de Rigny qui s’est traduite par la suppression de tous les arbres existants ;

- met en exergue le manque d’harmonie qui va en résulter si des immeubles de grande hauteur cohabitent avec des petits pavillons ;

- préconise que ce secteur reste en zone UE du fait qu’il n’est pas à proximité d’une gare, qu’il ne s’agit pas d’un axe structurant et que cela irait à l’encontre du corridor écologique prévu dans le PADD et le SRCE ;

- déplore que la révision du PLU ait été dispensée d’une évaluation environnementale qui aurait été nécessaire pour ce secteur particulier de la parie sud de l’avenue de Rigny, près du pont de Bry ;

- considère qu’il n’est pas normal que la très belle maison du 17, rue Félix Faure ne soit pas préservée car elle se trouve en vis-à-vis de bâtiments classés : l’hôtel Malestroit et le

presbytère ;

X

X

X X X

X

(7) Paul-Louis MARTY 43 avenue de Rigny (annexe 4)

- demande à la Ville de classer les espaces arborés et la maison construite en 1850 et agrandie en 1974 et1990 ;

- considère comme excessif voire inutile le changement de zonage de l’avenue de Rigny puisque le PLU actuel confère des droits à construire permettant des possibilités de construction très significatives ;

- estime qu’il s’agit d’un changement brutal des droits à construire : +70% de volumes bâtis et diminution des espaces verts et déplore qu’il n’y ait pas eu d’étude d’impact de ce changement de zonage ;

- souligne un changement de nature des règles d’urbanisme du fait que la zone UB a pour vocation d’accueillir une grande diversité de fonctions (habitat, commerces, équipements)

X

X

X X

(20)

ce qui sera difficile à réaliser sur l’avenue de Rigny qui est mal adaptée à ce changement : mauvaise desserte par les transports en commun, circulation et stationnement difficiles ; - estime contradictoire la coupure de la zone UE actuelle avec le schéma graphique présentant l’axe 4 du PADD « renforcer la qualité du cadre de vie, protéger

l’environnement (page 10 du PADD » ;

- met en exergue des contradictions avec des éléments essentiels du PLU :

*le non respect du PPRI sur la partie Sud ;

* création d’une rupture urbaine architecturale et environnementale que d’autres solutions de zonage prévoient et recommandent (cf. porter à connaissance du Préfet zonage UBB) ; - estime que l’avenue de Rigny n’est pas un axe structurant :

*ce n’est ni une entrée ou sortie de ville ;

* aucun équipement public et peu de commerces ;

* zone mal desservie par les transports en commun ;

- souligne les contradictions certaines avec le « porter à connaissance » du Préfet :

* l’avenue de Rigny n’y est pas indiquée comme secteur à fort potentiel de développement pour la production de logements alors que le projet de PLU indique que l’avenue de Rigny présente un fort potentiel d’évolution ;

* le porter à connaissance indique qu’il convient d’agir sur la densité de formes urbaines sur les secteurs bien desservis par les transports en commun ce qui n’est pas le cas de l’avenue de Rigny ;

* le préfet invite la ville à poser les conditions et moyens de conservation et de mise en valeur des patrimoines architecturaux et paysagers, ce qui n’a pas été fait dans le cadre de ce projet de PLU ; le maire ayant envoyé une lettre en cours d’enquête aux propriétaires d’éléments remarquables identifiés par l’ « Association pour la Sauvegarde de Bry » leur demandant de s’opposer au classement de leurs biens ;

- critique le processus de communication et de concertation déployé par la mairie :

communication imprécise et tardive sur le nouveau zonage, concertation plus sur la forme que sur le fond, refus de transmission en temps utile des remarques de certaines personnes publiques associées ;

X

X

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X

(8) M. et Mme

MAUBERT - refusent le classement de leur maison en élément remarquable de la ville de Bry X

(21)

7ter, rue de la République (9) M. et Mme BURLURUT

22, Quai Victor Berrière

- refusent le classement de leur maison en élément remarquable de la ville de Bry X

(10) Association « Agir pour la Sauvegarde de Bry »

- dépose un document intitulé « Dernières remarques de l’Association » et deux fascicules

« Proposition de classement des espaces verts et arbres remarquables au titre du PLU » et

« Proposition de classement de petits éléments du patrimoine au titre du PLU » ;

- souligne la contradiction entre le périmètre de protection des monuments historiques et le classement de l’avenue de Rigny en zone UB ;

- met en exergue la non coïncidence des secteurs caractérisés dans le SDRIF comme

« secteurs à fort potentiel de densification » avec les « secteurs à forte évolution des tissus » du PLU et demande que l’appellation utilisée dans le PLU se limite à l’appellation préfectorale ;

- signale que la partie de l’OAP relative à l’OAP Bellan n’indique nulle part la prise en compte de la servitude liée à la présence sur les lieux d’un bâtiment protégé par les monuments historiques, le gymnase Bellan ;

- précise que sa reconversion doit se faire avec l’aval de la DRAC ;

- demande le réexamen de la hauteur maximale possible pour les immeubles projetés, de façon à éviter tout problème de co-visibilité avec le gymnase et suggère que les immeubles futurs ne dépassent pas la hauteur de la voie de la RATP ;

- constate que l’OAP dans sa partie Nord prévoit le défrichement d’une parcelle boisée d’une grande superficie dont les arbres isolés remarquables n’ont pas été inventoriés ; - signale que le plan de l’OAP est défectueux du fait qu’il comporte une zone en grisé de forme rectangulaire qui ne renvoie à aucun figuré en légende, ni à aucune explication ; - estime que les garanties de sauvegarde des jardins existants de l’OAP Pasteur-Pilotes- Coteaux sont nettement insuffisantes ;

- suggère le classement de la parcelle du 99, quai Ferber en espace non bâti nécessaire au maintien des continuités écologiques afin que la mare qui existait auparavant sur cette parcelle soit réhabilitée ;

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X X X X X

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X

X

(22)

- souligne la contradiction entre l’objectif affiché de volonté de préservation et l’absence de toute mesure de protection concernant la protection du patrimoine qui en dehors des

monuments historiques se concentre dans une petite partie du centre ancien, vers la mairie, sur la partie nord autour du square de Lattre de Tassigny ;

- demande que toutes les parcelles ne donnant pas directement sur le boulevard Leclerc soient retirées de la zone UBB et classées en UEA ce qui rendra ainsi homogène le classement des Bords de Marne ;

- demande donc le classement au titre du PLU des demeures recensées par l’Association, en plus des travaux de l’inventaire général du patrimoine culturel Région Ile-de-France ; - dépose une pétition de 111 pages comportant 1024 signatures.

X

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(11) M. et Mme BLANCHET

46bis, avenue de Rigny

- demandent :

* que la zone de l’avenue de Rigny reste en UE ;

* pourquoi certaines parcelles à l’angle de l’avenue Foch et de l’avenue de Rigny restent en UE alors que l’accès se fait par l’avenue de Rigny ;

* pourquoi le boulevard Pasteur est coupé en 2 ;

* pourquoi l’avenue de Rigny est définie comme axe structurant alors que ce n’est pas le cas de la rue de la République ;

X

(12) Mme Christine ASSY

M. Frédéric

DESCROZAILLE 9, boulevard Galliéni

- déclarent qu’ils sont défavorables au classement en zone UB du boulevard Galliéni afin de ne pas le transformer en axe extrêmement dangereux pour les piétons alors que de nombreux enfants l’empruntent pour aller à l’école.

X

(13) Mme SIMON née

DELY - refuse le classement de sa maison en patrimoine remarquable de la ville de Bry X (14) M. Claude

GROSEIL

72, avenue de Rigny

- déclare que les changements envisagés pour le passage de UE à UB de l’avenue de Rigny sont disproportionnés, peu viables, et augmentent la dangerosité de cette avenue pour les raisons suivantes :

* pas d’étude d’impact sur le changement de zonage ;

* cette avenue n’est pas du tout structurante pour la ville parce qu’elle n’aboutit nulle part

(23)

des deux côtés ;

* non prise en compte des problèmes déjà existants : circulation très dense, très peu de parkings, pas de transport en commun sur une grande partie de l’avenue, pas de protection des patrimoines environnementaux, pas de protection des arbres remarquables centenaires, - préconise de s’en tenir au classement UE ou d’opter pour un classement UBB au lieu de UB ce qui permettra d’assurer une transition douce entre le centre-ville et la zone

pavillonnaire voisine ;

- suggère d’identifier dans cette zone des bâtiments privés présentant un intérêt architectural et paysager et faisant l’objet d’une protection et/ou attention particulière comme demandé par le porter à connaissance du préfet ;

- met en exergue que le changement de zonage est non fondé puisque le PLU actuel permet déjà des droits à construire favorisant la densification sur des projets très significatifs tels que ceux réalisés aux 63, 49, 9 et 70 avenue de Rigny ;

- explique pourquoi :

* l’avenue de Rigny n’est pas un axe structurant de la ville ;

* le projet de PLU est en contradiction avec des éléments essentiels comme le PPRI et porter à connaissance du préfet ;

* le changement des droits à construire est « brutal » : +70% du volume bâti et -40%

d’espaces verts ;

* le changement de nature des règles d’urbanisme ;

* le porter à connaissance du préfet n’est pas réellement pris en compte ; - critique le processus de concertation et d’information.

X X

X X X

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X

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X (15) M. et Mme

CHATRY

4ter rue des Ormes

- soulignent les effets du changement de zonage d’UE en UB :

* hauteur maximale de 11 m à 15 m : détérioration visuelle de l’environnement et perte d’ensoleillement ;

* par exemple, suite à la construction du 67 ter avenue de Rigny : perte de valeur des habitations existantes et du quartier.

X

(16) Mme Nelly MARTIN

73, boulevard Galliéni

- conteste la construction d’immeubles de 15 à 20 m dans le quartier Bellan qui vont permettre la mise à disposition de 180 logements ;

- conteste le changement de zonage de l’avenue de Rigny ;

X X

(24)

- sollicite la réalisation de structures supplémentaires culturelles et sportives. X (17) M. et Mme

COMBES

28, Aristide Briand

- expriment leur désaccord pour le classement de leur maison en tant qu’élément

remarquable de la commune de Bry. X

(18) M.et Mme LUCAS

8, rue Jean Grandel - refusent le classement de leur maison en élément remarquable de la ville de Bry X (19) M. et Mme

MATTEUCCI

94, avenue du général Leclerc

- sont favorables au classement de leur maison en patrimoine remarquable de la ville de

Bry X

(20) M. Christophe CHAPPEE

M. Vincent MACHETEL

52ter, avenue de Rigny

- expriment leur opposition à la densification et donc à l’augmentation de la population de la commune qui va entrainer des difficultés à circuler, à stationner et à accéder à la gare RER et aux commerces du centre-ville ;

- s’opposent farouchement au classement de l’avenue de Rigny en zone UB en considérant que :

* l’avenue de Rigny n’est pas un grand axe structurant de la ville : pas de commerce, passage peu important de véhicules, pas de desserte de la gare ni de sites stratégiques de la ville ;

* ce classement créerait une discontinuité architecturale entre le centre-ville et le quartier de la Pépinière et causerait une défiguration du quartier (ce qui est déjà le cas du château Lorenz par exemple) ;

- s’étonnent de la proposition de densification de l’avenue de Rigny alors qu’au regard du PLU et du PPRI actuels, il leur a été interdit de faire construire un garage sur leur terrain parce que cela gênerait l’absorption des eaux par le sol et le reflux en cas d’inondation ; - estiment absurde le classement de leur terrain en zone UB alors que les 3 parcelles qui se trouvent à l’arrière de leur terrain et pour lesquelles il y a un droit de passage sur leur terrain, sont classées en zone UE et risquent donc de se retrouver enclavées en cas de construction d’un immeuble sur leur terrain.

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