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Texte intégral

(1)

Excel est un logiciel dont le rôle principal est la

réalisation automatique de calculs. A cette fonction

essentielle viennent se greffer un éditeur de graphiques

et une base de données simplifiée.

Il ne s’agit en rien d’un éditeur de tableaux ! ! !

Word est parfaitement apte à réaliser tout type de

tableau.

Autre précision, Excel ne vous permettra pas de

résoudre un problème mathématique que vous ne savez pas

résoudre sur le papier. La plupart du temps ce n’est pas

Excel qui est à la source du problème, devinez qui c’est…

(2)

T a b l e d e s M a t i è r e s

TABLE DES MATIÈRES ... 2

DESCRIPTION ... 4

-- I GÉNÉRALITÉS. ... 4

-- II L’ÉCRAN EXCEL. ... 4

-- 1 Les sélections. ... 5

-- 2 Modifier les dimensions; ... 6

INTRODUCTION AUX CALCULS. ... 7

-- I DÉFINITIOND’UNEFORMULE. ... 7

-- II LEB.A-BAPARL’EXEMPLE. ... 7

-- 1 Réalisation du calcul. ... 8

-- 2 Modification d’une formule. ... 9

LES RÉFÉRENCES ABSOLUES ET RELATIVES. ... 10

-- I EXERCICE. ... 10

-- 1 La poignée de recopie. ... 10

-- 2 Calcul de la moyenne coefficientée. ... 12

-- II EXEMPLE ... 13

-- III CASD’EXCEL. ... 13

-- IV ENRÉSUMÉ ... 14

UTILISATION DES NOMS ... 15

-- I CRÉATIONDESNOMS ... 15

-- 1 A partir de la zone de nom (voir description page 6) ... 15

-- 2 A partir des titres ... 16

-- II UTILISATIONDESNOMS. ... 17

-- III REMARQUE. ... 17

UTILISATION DES FONCTIONS ... 19

LES CALCULS ENTRE FEUILLES ... 21

-- I NOMMERDESFEUILLES ... 21

-- II TRAVAILLERAVECLESFEUILLES. ... 21

LES MISES EN FORME ... 23

-- I LESFORMATSNUMÉRIQUES .... 24

-- 1 Les formats numériques personnalisés ... 24

-- 2 Les dates et les heures. ... 27

LES GRAPHIQUES ... 29

-- I SÉLECTIONDESDONNÉES ... 29

-- II L’ASSISTANT GRAPHIQUE .... 30

-- 1 1ère étape : le choix du type de graphique ... 30

-- 2 2ème étape : Données sources du graphique. ... 30

-- 3 3ème étape : Les options. ... 31

-- 4 4ème étape : localisation du graphique. ... 32

-- III PERSONNALISATIONDUGRAPHIQUE. ... 32

-- 1 Modification des choix initiaux. ... 32

-- 2 Modification de la mise en forme. ... 33

(3)

LA BASE DE DONNEES ... 36

-- I CRÉATIONDELABASEDEDONNÉES. ... 36

-- II TRIDESDONNÉES .... 37

-- 1 Tri particulier. ... 37

-- 2 Sous-Totaux. ... 39

-- III LEFILTRAGEETL’EXTRACTIONDESDONNÉES ; ... 40

-- 1 Le filtre automatique. ... 40

-- 2 Le filtrage élaboré. ... 41

(4)

D e s c r i p t i o n

-- IGénéralités.

Naturellement l’interface d’Excel reprend l’essentiel des éléments de Windows : ascenseurs, menus, menu contextuel, barres d’outils…

Pour n’importe quel utilisateur, je ne dirai assez l’importance du menu contextuel dans la découverte d’un nouveau logiciel. Comme dans tout autre programme, si vous avez un ordre à passer, pensez à sélectionner l’élément que vous voulez manipuler, placez la souris sur la sélection puis appelez le menu contextuel (bouton droit de la souris). Vous devriez, dans la majorité des cas, y trouver l’être cher.

Si vous vous posez des questions sur une option ou une commande d’une boîte de dialogue pensez à utiliser le point d’interrogation qui se trouve en général en haut, à droite de la dite boîte : . Il suffit de cliquer sur le point d’interrogation et de cliquer ensuite sur l’option ou la commande qui pose problème : une brève explication est généralement fournie.

-- IIL’écran Excel.

L’élément de base d’Excel est la feuille de calcul : ensemble de lignes et de colonnes dont les intersections sont appelées cellules.

Généralement les colonnes sont repérées par des lettres et les lignes par des chiffres1. La cellule A1 est donc l’intersection

entre la colonne A et la ligne 1.

A1 s’appelle la référence de la cellule, c’est son nom.

(5)

Un ensemble de cellules ou plage est désigné sous la forme : « A1:D5 ». Cette plage représente le rectangle de cellules allant de A1 à D5.

Le nom d’une feuille de calcul figure parmi les onglets en bas de l’écran. L’onglet sélectionné, en blanc, contient le nom de la feuille active.

Une feuille de calcul compte 256 colonnes et 65536 lignes ce qui fait un peu plus de 16 millions de cellules !

3 feuilles seulement sont disponibles par défaut. Toutefois vous pouvez en créer d’autres sans dépasser un total de 256 feuilles. L’ensemble des feuilles constitue un classeur.

Le jour où vous le remplirez n’est pas arrivé.

Le fichier que vous enregistrerez et qui porte l’extension .xls est ce classeur.

-- 1Les sélections.

II.1.a - Sélectionner des lignes et/ou des colonnes.

Pour sélectionner une ligne ou une colonne, cliquez sur la case qui contient son numéro ou sa lettre (en-tête de ligne ou de colonne). Si vous maintenez appuyé et glissez la souris, plusieurs lignes ou colonnes seront sélectionnées.

Si vous désirez

sélectionner plusieurs colonnes ou lignes non contigües, maintenez la touche “Ctrl” appuyée pendant que vous cliquez avec la souris sur les en-têtes.

Pour sélectionner

intégralement une feuille de calcul, cliquez sur la case au-dessus du et à gauche du

.

II.1.b - Sélectionner des cellules.

Pour sélectionner une cellule, cliquez dessus : un trait noir plus épais doit l’entourer.

Si vous maintenez cliqué et glissez la souris, vous sélectionnerez une plage de cellules.

De multiples clics sur des cellules, touche “Ctrl” appuyée, vous permettront de sélectionner plusieurs cellules disjointes.

II.1.c - Sélectionner des feuilles de calculs.

Pour sélectionner des feuilles de calculs, maintenez la touche “Ctrl” appuyée et cliquez sur les onglets correspondants.

II.1.d - Annuler une sélection.

(6)

Dans le cas d’une sélection multiple, si vous voulez annuler la sélection de certains éléments, touche “Ctrl” appuyée, cliquez sur les sélections à annuler.

-- 2Modifier les dimensions;

Vous pouvez augmenter, diminuer la hauteur d’une ligne ou la largeur d’une colonne. Placez la souris dans l’en-tête de colonne par exemple, sur la ligne séparant deux colonnes : une double flèche doit apparaître. Cliquez, glissez d’un côté ou de l’autre.

Si vous voulez donner automatiquement la bonne largeur à votre colonne, au lieu de cliquer – glisser, cliquez deux fois. La largeur de la colonne est ajustée.

Ces manipulations sont valables également pour la hauteur des lignes.

(7)

I n t r o d u c t i o n a u x c a l c u l s .

Outre la feuille de calculs, l’écran Excel montre les deux éléments suivants (juste au dessus de la feuille de calculs) :

• La zone de nom : qui permet de voir quelle

cellule est active,

• La barre de formule :

dans laquelle pourra être saisie une formule à l’origine d’un calcul.

-- IDéfinition d’une formule.

Une cellule Excel peut contenir 3 types d’éléments :

• Du texte aligné par défaut à gauche de la cellule,

• Des valeurs numériques alignées par défaut à droite de la cellule,

• Des formules destinées à faire des calculs.

Pour indiquer qu’une formule va être saisie, il faut commencer la saisie par le signe “=” soit en le tapant au clavier soit en cliquant sur celui qui se trouve dans la barre de formule.

Toute formule commence obligatoirement par le signe “=”

Le contenu d’une cellule est validé, après la saisie, par l’appui sur la touche « Entrée » ou par un clic sur le symbole qui est apparu à gauche de la barre de formule.

La croix annule la saisie avant toute validation.

-- IILe b.a-ba par l’exemple.

Saisissez les données suivantes :

Le but de l’exercice est de calculer le cours en euros dans la cellule B2 (1 € = 6.55957 F). Pour y parvenir plusieurs méthodes sont envisageables. Nous allons les décrire et garder la meilleure.

(8)

Avant toute chose, s’agissant d’un calcul, il nous faut mettre une formule dans la cellule B2. Première chose à faire : cliquer sur B2 et taper sur le symbole “=”.

-- 1Réalisation du calcul.

Le premier réflexe est souvent de créer la formule comme elle le serait sur une calculatrice :

= 15 / 6.55957

Après validation le résultat, 2.286735, est correct. Ne faites surtout pas comme beaucoup, inutile de vérifier avec la calculatrice, Excel marche très bien !!!!

II.1.a - Problème

Imaginons que la somme à convertir ne soit plus 15 mais 57,50. Changez la valeur de la cellule A2 en supprimant l’ancienne valeur.

Le résultat contenu dans B2 ne change pas : le calcul n’est plus correct. En effet, la valeur affichée est le résultat de 15/6.55957. Vous allez donc devoir modifier ou supprimer la formule pour taper la nouvelle qui sera :

=57.5/6.55957

II.1.b - Solution

Il est hors de question de devoir refaire les formules chaque fois qu’une donnée du calcul change. Pour un calcul compliqué, comprenant plusieurs dizaines de formules, la tâche serait insurmontable.

Les formules d’un calcul sont saisies une fois pour toute. La modification d’une donnée doit impérativement entraîner une mise à

jour automatique du résultat !!

Pour y parvenir la formule ne doit pas contenir les données numériques impliquées dans le calcul (15 ou 57.50 ou 6.55957). Elle doit uniquement faire référence aux cellules qui contiennent ces valeurs numériques :

Dans cet exemple, la somme en francs est toujours contenue dans la cellule A2. On choisit également de toujours mettre le taux de l’euro dans la cellule B4. La formule devient donc :

(9)

=A2/B4

Ainsi, quelque soit le contenu des cellules A2 ou B4, le calcul sera effectué et correct.

Les valeurs numériques entrant dans un calcul ne doivent jamais être directement inscrites dans les formules mais stockées dans

des cellules auxquelles la formule fera appel. II.1.c - Méthode à retenir.

Il serait fastidieux de taper à la main toutes les références des cellules auxquelles la formule fait appel.

Pour faire plus simple, il suffit de cliquer sur les différentes cellules au lieu de taper leur référence.

Dans le cas de notre exemple voici la suite des opérations : =

clic sur A2 /

clic sur B4 “Entrée”

Attention, tant que vous n’aurez pas validé la formule, un clic sur une cellule même par erreur sera pris en compte dans la formule.

-- 2Modification d’une formule.

Si vous avez déjà validé la formule, cliquez sur la cellule contenant le calcul : la formule apparaît dans la barre de formule.

• Cliquez dans la barre de formule pour y faire venir le point d’insertion (le trait vertical clignotant).

• Déplacez-le avec les flêches du clavier jusqu’à l’endroit à modifier.

• Supprimez et remplacez les erreurs.

Si vous n’aviez pas validé votre formule le point d’insertion s’y trouve déjà.

(10)

L e s r é f é r e n c e s a b s o l u e s e t r e l a t i v e s .

-- IExercice.

Nous nous proposons de calculer quelques moyennes.

Après avoir saisi la feuille précédente, réalisez le calcul de la moyenne de durand.

Quelques instants passèrent……

La formule est donc pour la moyenne :

=(note de math + note bureautique + note anglais)/ 3 Soit dans le cas de Durand : =(A3 +B3 +D3)/3.

A ce stade vous pourriez taper les 2 autres formules selon le même principe en changeant ce qu’il y a à changer. Il s’agit d’une tache un peu trop longue pour qu’il n’y ait pas de méthode plus rapide. Cette méthode, c’est la poignée de recopie.

-- 1La poignée de recopie.

Lorsqu’une cellule est sélectionnée, un trait noir épais l’entoure. En bas, à droite de ce cadre se trouve un petit carré noir : la poignée de recopie.

La poignée de recopie a deux utilités : créer des copies du contenu d’une cellule, créer des suites.

(11)

I.1.a - La création de suites.

Ce cas se présente lorsqu’une cellule contient une date, un jour de la semaine, un mois ou n’importe quel texte se terminant par un chiffre.2

Sélectionnez cette cellule, placez la souris sur la poignée de recopie. Une croix apparaît à la place de la souris. Cliquez, glissez dans n’importe quelle direction. Excel a complété la suite.

• la poignée de recopie reproduit également la mise en forme de la cellule d’origine (couleur, bordure…)

• En maintenant la touche “Ctrl” appuyée pendant l’utilisation de la poignée de recopie, le contenu de la cellule d’origine sera copié et non pas incrémenté.

• Pour créer une suite de la forme (1, 4,7,10….) ou simplement (1, 2, 3, 4….), saisissez les deux premières valeurs dans deux cellules contigües, sélectionnez-les et utilisez la poignée de recopie.

(12)

I.1.b - La recopie de formules.

Lorsque des cellules en ligne ou en colonne doivent contenir des formules effectuant des calculs identiques, on peut également utiliser la poignée de recopie. Il suffit de sélectionner la cellule contenant la formule et de tirer à l’aide la poignée sur toutes les cellules devant contenir le calcul.

Vous pouvez l’appliquer à l’exemple précédent.

-- 2Calcul de la moyenne coefficientée.

Maintenant que la moyenne normale est calculée, procédez au calcul de la moyenne coefficientée de la même manière que précédemment.

La formule de la moyenne coefficientée est :

=(note de math × coef math + note bureautique × coef bureautique + note anglais × coef anglais)/ somme des coefficients

Soit dans le cas de Durand : =(A3*B8+B3*B9+D3*B10)/ (B8+B9+B10).

Recopiez-la avec la poignée de recopie.

Une remarque s’impose : le 1er résultat est correct mais les

formules recopiées donnent un résultat erroné ou une erreur.

Dans de tels cas, une seule chose à faire : cliquer sur les cases contenant les formules et vérifier si ces dernières sont correctes.

Formule dans F4 ( pour Dupont) : =(B4*B10+C4*B11+D4*B12)/ (B10+B11+B12).

Les références aux notes sont correctes par contre les références aux coefficients sont décalées d’une ligne vers le bas. Cette remarque est valable pour les autres formules.

Résoudre ce problème impose d’aborder une notion nouvelle : la différence entre références relatives et références absolues.

(13)

-- IIExemple

Une analogie très simple peut être utilisée pour expliquer la différence entre référence relative et référence absolue.

Imaginons que vous souhaitez vous rendre au Gaumont de Rennes en partant de l’ESAT. L’itinéraire peut être décrit de deux manières :

A partir de l’école, aller tout droit. Au bout de la rue, prendre à gauche jusqu’au rond point. Prendre à droite, à gauche à la patte d’oie puis tout droit sur les quais.

Il est clair qu’avec ce descriptif vous parviendrez à destination si vous partez de l’école et pas de Tombouctou !! Il s’agit d’une adresse relative, vous

devez connaître le point de départ pour arriver à destination.

Cinéma Gaumont 8 Quai Duguay Trouin 35000 RENNES FRANCE

Par contre, avec l’adresse précédente, vous êtes capable d’arriver à destination quelque soit le point de départ : il s’agit

d’une adresse absolue.

-- IIICas d’Excel.

Excel utilise lui aussi cette distinction :

Lorsque la référence d’une cellule est notée A1 par exemple, il s’agit d’une référence relative,

Lorsque la référence d’une cellule est notée $A$1, il s’agit d’une référence absolue. Le symbole $ signifie « absolu ».

Comment est-ce que ces deux références sont traitées par Excel ?

En fait, la formule rédigée en F3 est interprétée ainsi par Excel :

(14)

= 3 colonnes avant même ligne x 3 colonnes avant 6 lignes plus bas

C’est cette formule que recopie la poignée de recopie : lorsqu’on se déplace vers le bas, il est donc logique qu’un décalage apparaisse.

Ce décalage ne pose pas de problème pour la 1ère partie car la

note prise en compte doit effectivement changer en fonction de la ligne. Par contre, la 2ème partie est à l’origine des erreurs.

En effet, quelque soit la cellule où se trouve la formule, le coefficient se trouve toujours au même endroit, à la même adresse : il faut donc y faire référence avec une référence absolue. D’où la formule :

= B3 x $B$9

Qui peut se traduire par :

=3 colonnes avant même ligne x $B$9

Vous pouvez faire apparaître les symboles $ avec la touche «

F4 ».

-- IVEn résumé

Lorsqu’une formule recopiée doit toujours aller chercher une valeur à un endroit bien déterminé, il faut l’indiquer à Excel en « fixant » la référence grâce au symbole $ synonyme d’une référence absolue.

(15)

U t i l i s a t i o n d e s N o m s

Jusqu’à présent les cellules ou les plages de cellules ont été désignées par des références (absolues ou relatives). Ceci rend les formules peu explicites, qui peut dire ce que signifie la formule suivante ?

=(B3 × $B$9 + C3 × $B$10 + D3 × $B$11)/($B$9 + $B$10 + $B$11)

Il faut alors parcourir la feuille de calcul pour voir à quoi correspondent les différentes références.

Peu pratique pour la réalisation d’un calcul, cette notation est encore moins utilisable lorsqu’il s’agit de dépanner ou compléter un calcul déjà existant. Même remarque quand il s’agit d’utiliser les données de ces feuilles dans des macros, des assistants ou diverses fonctions.

Un remède existe : l’affectation de noms à des cellules ou à des plages.

-- ICréation des noms

3 méthodes sont à disposition pour créer des noms, en voici deux.

-- 1A partir de la zone de nom

(voir description page

7 )

Sélectionner la cellule ou les cellules à nommer, cliquer dans la zone de nom.

La référence apparaît en surbrillance, taper le nom de la cellule à la place et appuyez sur la touche entrée.

Sont interdits les espaces, les caractères spéciaux et les chiffres en première position. Généralement l’espace est symbolisé par le tiret bas _.

(16)

-- 2A partir des titres

Lorsque les données sont contenues dans un tableau ou lorsqu’on peut en faire une sélection unique (avec éventuellement des lignes vides), il est possible d’utiliser les intitulés de lignes ou de colonnes pour créer les noms. Cette méthode à l’avantage de la rapidité.

Sélectionner les données et la ligne ou la colonne contenant les noms à utiliser (voir ci-dessous).

Faire : Insertion / Nom /Créer

La boîte de dialogue suivante apparaît :

En général, le lieu des noms est proposé (ici la ligne du haut) ; sinon cochez l’option choisie et validez.

Si vous cliquez maintenant sur la flèche à côté de la zone de nom, vous verrez la liste des noms créés. En en choisissant un, la zone concernée sera sélectionnée. Remarquez bien que la cellule qui contenait le nom ne fait pas partie de la sélection : c’est normal !

Cliquer sur un nom est donc la méthode la plus rapide pour atteindre des cellules.

(17)

-- IIUtilisation des noms.

L’utilisation des noms dans les formules est très simple. Au lieu de cliquer sur les différentes cellules impliquées dans le calcul pour faire venir la référence, il suffit d’appeler la liste des noms existants grâce à la touche F3. Cliquez deux fois sur le nom à insérer. Répétez cette opération autant de fois que nécessaire lors de la réalisation de la formule.

Ainsi, dans le calcul qui nous sert d’exemple la formule deviendrait :

=(Bureautique*coef_bur+Math*coef_math+Anglais*coef_anglais)/ (coef_bur+coef_math+coef_anglais)

Il reste à utiliser la poignée de recopie comme d’habitude.

-- IIIRemarque.

Faites les deux essais de formule suivants :

Tirez la formule sur les 3 cellules suivantes, vers le bas, avec la poignée de recopie.

On constate que l’une des formules fonctionne et pas l’autre. Pourquoi ?

(18)

Lorsqu’on saisit une formule du type = Bureautique dans une cellule, il y a en théorie une incompatibilité. Cela signifie en effet qu’on souhaite mettre dans une seule cellule le contenu de toutes les cellules contenues dans la plage Bureautique (soit les 4 notes).

Le message #VALEUR ! est la marque de cette impossibilité. Pourquoi fonctionne-t’elle dans le cas de gauche ?

En fait, le cas de gauche bénéficie d’un heureux hasard : la plage de cellules où se trouvent les formules est parfaitement alignée avec la plage « Bureautique » contenant les notes. Excel comprend la manœuvre et fait correspondre les différentes lignes. Futé….

S’il n’y a pas correspondance des lignes ou des colonnes (dans le cas de plages sous forme de ligne), Excel ne sait pas faire.

Pour que le calcul fonctionne dans tous les cas, il faut sélectionner toutes les cases vides devant contenir les formules et taper la formule.

Attention on ne valide pas la formule comme d’habitude :

au lieu d’appuyer sur Entrée, réalisez la séquence de touches suivante : Shift Control Entrée

Vous venez de réaliser votre première formule matricielle !!! Le caractère matriciel de la formule apparaît sous la forme d’accolades encadrant les formules contenues dans les différentes cellules :

{=Bureautique}

Pour modifier ou supprimer une formule matricielle, il est important de sélectionner TOUTES les cellules qui contiennent cette formule. Dans le cas contraire, une erreur apparaîtra. Pour cette raison, n’utiliser la formule matricielle que dans les cas où elle s’avère indispensable.

(19)

U t i l i s a t i o n d e s f o n c t i o n s

Toutes les formules réalisées jusqu’à présent l’ont été grâce aux 4 opérateurs classiques : (+,-,*, /). Même si on peut faire beaucoup de choses avec ces derniers, ça peut vite devenir fastidieux. Pour simplifier la réalisation de calculs complexes, Excel dispose de fonctions plus élaborées qui peuvent être intégrées à des formules.

Lorsque vous saisissez une formule vous pouvez remarquer que la zone de nom (voir page 7) se transforme en un bouton avec une flèche à côté. Si vous cliquez sur la flèche, un menu déroulant apparaît : il contient les dernières fonctions utilisées et une commande « autres fonctions… ».

En cliquant sur « autres fonctions », vous obtenez la liste de toutes les fonctions intégrées classées par catégories. Pour chaque fonction, vous sont données la syntaxe et une obscure description de son rôle.

A ce stade, nous sommes tous égaux, seuls des essais sur différentes fonctions nous permettent de trouver celle qui convient.

Après avoir choisi une fonction, une boîte de dialogue ressemblant à la suivante apparaît, elle permet de donner les différents valeurs que la fonction doit utiliser.

(20)

Si l’emplacement de cette fenêtre vous gêne, vous pouvez la déplacer en cliquant dessus et en déplaçant la souris. Si vous cliquez sur un des boutons , la fenêtre se réduit à la forme suivante :

Cliquez sur le bouton à droite pour récupérer la fenêtre.

Chaque élément rentrant dans la construction de la fonction est décrit en bas de la boîte de dialogue. Les zônes blanches de saisie peuvent contenir :

• des valeurs numériques saisies au clavier

• des cellules ou des plages de cellules sélectionnées avec la souris dans la feuille de calcul

• des noms que vous allez chercher avec la touche η.

• D’autres fonctions. On peut effet parfaitement imbriquer de multiples fonctions.

Faites des essais, c’est souvent le seul moyen de découvrir le fonctionnement des différentes fonctions.

Dans notre exemple, si on cherche à calculer une moyenne non coefficientée, la formule peut prendre ces trois formes, pour la première ligne :

• =MOYENNE(B3 ;C3 ;D3) , B3 est le nombre 1, C3 le nombre 2 et D3 le nombre 3, etc…..

• =MOYENNE(B3 :D3) , B3 :D3 est le nombre 1

(21)

L e s C a l c u l s e n t r e f e u i l l e s

Un calcul simple tient aisément sur une feuille, un calcul compliqué pourrait également (4 millions de cellules dans une feuille…). Toutefois, il est beaucoup plus intéressant de répartir un calcul sur plusieurs feuilles :

• Une ou plusieurs feuilles peuvent contenir les données numériques à la base du calcul ,

• Une ou plusieurs feuilles peuvent contenir les différents calculs intermédiaires,

• Une ou plusieurs feuilles peuvent contenir les différents résultats et graphiques.

Le calcul est ainsi beaucoup mieux structuré. Il peut être facilement repris, corrigé. De plus, si la répartition précédente est bien respectée, un utilisateur quelconque n’aura aucune raison d’aller dans les feuilles de calculs intermédiaires. Aucune modification n’est alors possible par erreur.

-- INommer des feuilles

Vous avez vu qu’il est nécessaire de nommer des cellules pour rendre les calculs plus lisibles : même chose pour les feuilles !! Autant indiquer par un nom le contenu d’une feuille donnée, ce sera toujours plus parlant que feuil1 ou feuil3.

Cliquez deux fois sur l’onglet de la feuille à renommer. Le point d’insertion apparaît : tapez le nouveau nom de la feuille.

-- IITravailler avec les feuilles.

Si vous avez suivi mes conseils et créé des noms, rien ne change. Faites vos formules là où elles doivent être, appuyer sur

η

pour appeler les noms comme d’habitude.

Si vous travaillez sans noms mais avec des références, construisez votre formule comme au chapitre « Méthode à retenir. » Page 9. Avant de saisir la référence d’une cellule, n’oubliez pas de cliquer au préalable sur l’onglet de la feuille la contenant.

Les deux onglets sont alors sélectionnés et la formule est toujours visible dans la barre de formule pour que vous puissez la continuer ou la modifier.

(22)

Ne cliquez pas sur un autre onglet, par exemple pour revenir dans la feuille d’origine, avant d’avoir mis un signe mathématique du genre + ou *. Votre formule ne serait plus correcte.

Appuyez sur la touche « Entrée » lorsque votre formule est terminée.

(23)

L e s M i s e s e n F o r m e

Maintenant que le résultat de votre calcul est correct et seulement maintenant vous allez pouvoir vous attarder à la mise en forme de vos feuilles et de vos cellules.

Les mises en forme, le joli, ne doivent jamais être réalisées avant que tous les calculs oient finis et CORRECTS car certaines d’entre elles peuvent perturber le logiciel lors de la construction des formules. D’autres peuvent tout simplement vous empêcher de trouver les erreurs éventuelles.

Quasiment toutes les commandes de mise en forme se trouvent

rassemblées au même endroit : menu contextuel ou menu

.

Les commandes contenues dans les 4 onglets suivants sont intuitives, il suffit d’essayer et de regarder le résultat.

A noter la commande qui permet

(24)

-- ILes formats numériques.

Excel donne généralement ses résultats avec beaucoup de chiffres après la virgule ou dans une notation scientifique qui parle peu aux mathématiciens en herbe. Les dates et les heures sont affichées d’une certaine manière et une unité, monétaire par exemple, est parfois nécessaire. Toutes ces configurations font appel aux formats numériques.

L’application d’un format numérique ne change rien aux méthodes de calcul d’Excel, ce n’est qu’une couche de peinture pour rendre joli. Si vous décidez de n’afficher que deux chiffres après la virgule, Excel continuera pour sa part à travailler avec la totalité des décimales.

L’onglet permet de les définir.

Différentes catégories de nombres vous sont proposées. Toutes, sauf « Personnalisé » vous laissent peu de choix hormis généralement le nombre de chiffres après la virgules (les décimales) et l’unité monétaire.

La catégorie « Personnalisé » vous permettra de faire ce que vous voulez à condition de savoir comment.

-- 1Les formats numériques personnalisés

En cliquant sur « personnalisé », vous disposez d’une zone sous « type » dans laquelle vous allez pouvoir taper les différents codes définissant un format numérique.

Un format numérique complet est défini à l’aide de 4 zones séparées par des points virgules. :

(25)

• La première définit le format des nombres positifs

• La seconde définit le format des nombres négatifs

• La troisième définit le format des nombres nuls

• La quatrième définit le format du texte

Aucune de ces zones n’est obligatoire, vous pouvez très bien ne pas en définir certaines, vous devez malgré tout mettre les points-virgules. Par exemple si vous ne voulez pas définir le format des nombres négatifs, le format aura la structure suivante :

Nombres positifs ;;Nombres nuls ;Texte

Chacune de ces zones peut se décomposer en trois parties facultatives.

I.1.a - La couleur entre crochets.

Les couleurs possibles sont :

[NOIR][BLEU][CYAN][VERT][MAGENTA][ROUGE][BLANC][JAUNE]

I.1.b - L’affichage des nombres.

Deux symboles sont disponibles pour définir cette partie : le

0 et le #.

Le 0 indique la présence obligatoire d’un chiffre et le # indique la présence facultative d’un chiffre. L’ensemble constitue une sorte de masque qu’on pose sur le nombre contenu dans la cellule :

• Si un 0 se trouve au-dessus d’un chiffre, le chiffre est affiché sinon un 0 est affiché.

• Si un # se trouve au-dessus d’un chiffre, le chiffre est affiché sinon rien n’est affiché.

Ces règles sont valables pour les chiffres après la virgule. Avant la virgule tous les chiffres sont toujours affichés.

Si vous devez mettre une virgule dans le format, elle doit être saisie avec la virgule située à côté du N.

(26)

Contenu de la cellule Code de format Affichage 1234,59 #,### #,000 1234,59 1234,590 .631 0,# 0,6 12 1234,568 #,0# 12,0 1234,57

En mettant des espaces entre les 0 ou les # devant la virgule, vous pouvez obtenir l’effet suivant :

# ### ### affiche 1200000 sous la forme 1 200 000

I.1.c - Les unités.

Que vous souhaitiez écrire 2000,5 FF ou 25 cm2 même combat : il est hors de question de taper le texte à la main dans la cellule. En effet ce ne serait plus une valeur numérique mais du texte donc tout calcul serait a priori impossible.

Les unités ou tout texte additionnel doivent donc être affichés grâce à un format personnalisé : c’est le rôle de cette troisième partie.

Toute unité ou tout texte devant apparaître doit figurer dans le format entre guillemets. Par exemple si une cellule contient le nombre 512.532 et si vous souhaitez l’afficher sous la forme 512.5 kms, créez le format suivant :

#,#″ kms″ ou 0,0 ″ kms″

Il est important de ne pas mettre d’espace entre le dernier 0 ou # le guillement d’ouverture. En effet la présence de cet espace donne l’ordre au logiciel de diviser la valeur par 1000.

Par exemple : le code

#

cm2

afficherait 120000 sous la forme 120 cm2

.

I.1.d - Exemple de format personnalisé

[rouge]0

kms

;[bleu]-0,00

cm2

;[vert];[jaune]

Contenu Affiché sous la forme

2.56 2 kms (écrit en rouge) -2.56 -2,56 cm2 (en bleu)

0 0 (en vert)

(27)

-- 2Les dates et les heures.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser Excel ne sait pas calculer avec des dates ou des heures données sous la forme 00/00/00 ou 24:00. Les dates et les heures ne sont pour Excel que des nombres quelconques affichés (appelés numéros de série) à l’aide de formats d’affichage particuliers comme précédemment.

En fait Excel dispose de son propre calendrier qui commence le 1er janvier 1900. Pour le logiciel, une date particulière n’est

que le nombre de jours écoulés depuis ce jour. Donc n’importe quel nombre entier peut devenir une date pour peu qu’on lui applique le format adéquat.

36892 correspond au 1er janvier 2001

Pour les heures le problème est sensiblement le même : Excel compte en tantièmes écoulés de journée . Une heure représente 1/24ème de journée et 20 minutes par exemple représentent 1/3

d’heure soit 1/3*1/24 ème de journée.

Donc s’il est 2 :20 du matin, pour Excel il est en fait : 2*1/24 +1/3*1/24 = 0.097222

Une journée écoulée soit 24 :00 est donc égale à 1. N’importe quel nombre inférieur à 1 peut donc être une heure si on lui applique le format adapté.

Si vous faites des calculs sur des dates ou des heures, Excel décidera certainement, de sa propre inititative, que le résultat doit être affiché sous forme de date ou d’heure. Pensez à appliquer un format numérique standard selon le résultat que vous espérez obtenir.

Quelques fonctions intégrées permettent de manipuler les dates et les heures, pensez à y jeter un coup d’œil.

I.2.a - Création d’un format de date ou d’heure.

Par défaut les dates sont affichées au format 00/00/00.

Il est possible d’afficher les dates sous d’autres formes en créant des formats personnalisés à bases de lettres : le j pour le jour, le m pour le mois, le a pour l’année.

(28)

Pour afficher Utilisez ce code

Mois sous la forme 01–12 mm

Mois sous la forme de jan–déc. mmm

Mois sous la forme de janvier–décembre mmmm

Jours sous la forme 01–31 jj

Jours sous la forme dim–sam. jjj

Jours sous la forme dimanche–samedi jjjj

Années sous la forme 00–99 aa

Années sous la forme 1900–9999 aaaa

Pour afficher Utilisez ce code

Heures sous la forme 00–23 hh

Minutes sous la forme 00–59 mm

Secondes sous la forme 00–59 ss

Heure sous la forme 4 AM h am/pm

Heure sous la forme 4:36 PM h:mm am/pm

Heure sous la forme 4:36:03 P h:mm:ss a/p

Temps écoulé en heures, par exemple, 25.02 [h]:mm

Temps écoulé en minutes, par exemple, 63:46 [mm]:ss

Temps écoulé en secondes [ss]

Pour afficher le 08/01/01 sous la forme de lundi 08 janvier 2001, il suffit donc de créer le format :

(29)

L e s G r a p h i q u e s

Après avoir fait le plein de calculs dans tous les sens, il est souvent utile d’en donner une représentation graphique chargée de mettre en évidence certaines conclusions. C’est le rôle des graphiques : attention, n’importe quel graphique ne convient pas à n’importe quel message à transmettre. Il faut faire le bon choix.

-- ISélection des données

Avant toute chose, il faut indiquer au logiciel quelles sont les données à intégrer au graphique. Ceci passe par leur sélection : valeurs numériques et intitulés des lignes ou colonnes correspondantes.

Comme vous pouvez le voir, il est parfaitement possible de faire des sélections non continues (voir Page 5).

Il est par contre très important que toutes les lignes de la sélection aient la même largeur en nombre de cellules (de même pour les colonnes mais pour la hauteur). Les sélections doivent se faire toujours dans le même sens : de la gauche vers la droite par exemple.

Ceci fait, cliquez sur le bouton ou allez dans le menu « Insertion / Graphique… ». L’assistant graphique qui apparaît vous guidera pour les étapes suivantes.

(30)

-- IIL’Assistant Graphique.

-- 11

ère

étape

: le choix du type de graphique

Faites votre choix !!! Il est beau, il est beau mon graphique….

Cliquez sur .

-- 22

ème

étape

: Données sources du graphique.

La zone « plage de données » vous indique la sélection que vous avez réalisée. Un aperçu vous donne une petite idée du résultat.

(31)

Les options « série en lignes » ou « série en colonnes » modifient la représentation des données en inversant le contenu de la légende et celui de l’axe des abscisses. Attention à ce choix, car la lecture des deux graphiques possibles n’est plus du tout la même.

Ici, par exemple, on compare les notes des personnes pour une matière donnée alors que dans le cas suivant on compare les notes des différentes matières pour une personne donnée :

L’onglet n’est à utiliser que si vous souhaitez vous compliquer la vie (si vous n’avez sélectionné aucune donnée avant de faire le graphique par exemple…)

-- 33

ème

étape

: Les options.

Cliquez sur les options, remplissez les différentes zones et regardez l’aperçu : vous trouverez toutes vos réponses.

(32)

-- 44

ème

étape

: localisation du graphique.

Vous pouvez décider que votre graphique apparaîtra dans une de vos feuilles de calculs (en tant qu’objet) mais attention, vous risquez de galèrer un peu pour lui donner les bonnes dimensions.

Personnellement je préfère nettement le créer dans une nouvelle feuille : toute la place lui est alors réservée, plus de soucis de dimensions…

Cliquez sur et le graphique surgit.

-- IIIPersonnalisation du graphique.

Le graphique, tel qu’il apparaît, n’est jamais dans sa forme tout à fait définitive. Sa mise en forme (couleurs, polices, …) correspond à des paramètres par défaut qui ne vous plairont pas forcément, forcément…. Vous pouvez également avoir envie de revenir sur certains de vos choix. Dans les deux cas il est très facile d’arriver à ses fins.

-- 1Modification des choix initiaux.

Si vous placez votre souris sur le fond blanc de votre graphique l’infobulle suivante apparaîtra à côté de la flèche . Appelez alors le menu contextuel, il doit contenir les commandes suivantes :

Elles correspondent aux quatre étapes de l’assistant graphique, cliquez sur celle qui vous permettra de modifier l’élément souhaité.

(33)

-- 2Modification de la mise en forme.

Modifier les couleurs, les polices utilisées, l’orientation des textes se fait aisément. Cliquez deux fois sur l’élément que vous voulez modifier : le fond du graphique, les axes, la légende, les barres, les textes, la zone de graphique (voir Modification des choix initiaux. Page 33).

Une boîte de dialogue contenant un ou plusieurs onglets vous proposera alors les différentes modifications possibles : ESSAYEZ !!! il n’y a rien de difficile….

(34)

L ’ I m p r e s s i o n

Comme toujours la commande « Imprimer » se trouve dans le menu « fichier ».

Toutefois, avant d’imprimer, il est de coutume d’aller faire un petit tour dans la commande « Mise en page ». Vous pourrez ainsi faire les derniers réglages.

Les onglets « Page » et « Marges » sont tout à fait classiques.

« En-tête et pied de page » permet de rajouter différentes informations, automatiques (comme les numéros, date et heure…) ou manuelles, sur les différentes pages imprimées. La plupart du

temps vous aurez à cliquer sur ou

pour les conformer à votre goût. Lisez l’explication, elle se suffit à elle-même…

L’onglet « Feuille » demande plus de précisions.

: cliquez dans le rectangle blanc et sélectionnez des cellules dans la feuille de calcul.

Attention, tant que la zone d’impression sera définie, seules ces cellules seront imprimées

(35)

: si un tableau se répète sur plusieurs pages à l’impression, vous pouvez demander que les lignes ou les colonnes dont les références figurent dans les rectangles blancs se répètent en haut ou à gauche de chaque page (lignes ou colonnes de titres).

: permet d’imprimer les lettres ou les chiffres qui servent à repérer les lignes ou les colonnes.

(36)

L a B a s e d e d o n n e e s

Excel offre quelques possibilités de travail avec des bases de données simples présentées sous la forme d’un tableau à une dimension : la première ligne contient les intitulés des différentes données (ligne de titre), les données s’accumulent sur les lignes suivantes.

Ces possibilités sont les suivantes :

• Tri des données

• Filtrage et extraction des données

• Calculs de totaux et sous-totaux

A ces fonctionnalités élémentaires, on peut ajouter les tableaux croisés dynamiques.

-- ICréation de la base de données.

Première chose à faire : saisir la première ligne de votre tableau. Elle contient les intitulés des colonnes. Si possible faites le nécessaire pour qu’elle se trouve sur la ligne 1 de la feuille de calculs (surtout en cas d’éventuel publipostage).

Mettez cette ligne en forme (bordure, police, trame de fond…).

La deuxième ligne contiendra le début des données, mettez-la également en forme sans y saisir de texte. N’insérez pas de ligne vide entre la ligne de titre et la première ligne de données.

Une fois les mises en forme réalisées, cliquez dans l’une de ces deux lignes et exécutez la commande « Grille… » du menu « Données ». Un message survient, cliquez sur , une grille de saisie destinée à faciliter la saisie des données apparaît.

Vous pouvez aller d’un champ à l’autre en cliquant dans les différents champs ou avec la touche « Tabulation » du clavier.

« Shift Tab » permet de revenir en arrière. N’appuyez sur la

touche « Entrée » que pour passer à une nouvelle fiche qu’on appelle également enregistrement. Vous remarquerez à cette occasion que ce que vous avez saisi s’écrit dans la feuille de calculs. Notez aussi, pour le reste des enregistrements, que la mise en forme du début se reproduit automatiquement.

(37)

Vous pouvez rappeler la grille à tout moment pour compléter votre base : cliquez dans le tableau et rappelez la grille.

-- IITri des données.

Préalable à toute manipulation : cliquez dans votre base, n’importe où.

Dans le menu « Données » vous trouverez la commande « Trier… »

Chaque zone s’appelle une clé de tri. Si vous cliquez sur la flèche, vous retrouverez les différents intitulés de vos colonnes. Vous pouvez ainsi décider de trier vos données selon une de ces rubriques, en ordre croissant ou décroissant.

Admettons que vous ayez fait un tri sur le nom des personnes. Plusieurs personnes peuvent porter le même nom, vous pouvez alors décider de classer ces personnes dans l’ordre croissant de leur prénom : c’est le rôle de la deuxième clé de tri. Elle a pour but d’affiner, de compléter le classement.

De même pour la troisième clé.

L’option « ligne de titres » indique au logiciel si la première ligne contient les titres ou des données. Si vous répondez « oui », la première ligne sera exclue du tri sinon elle sera triée comme toutes les autres.

-- 1Tri particulier.

Les clés de tri précédentes ne vous permettent de trier que par ordre alphabétique ou numérique croissant ou décroissant.

(38)

Vous pourriez aussi avoir envie de trier vos données selon d’autres critères : par grades par exemple (SGT, SCH, ADJ, ADC, MAJ, SLT, LTN, CNE, CDT, LCL, COL). Le problème est que cette liste ne correspond à aucune règle de progression connue et surtout pas alphabétique.

II.1.a - 1ère étape. : Création d’une liste personnelle.

Pour pouvoir trier selon une liste quelconque, il faut d’abord déclarer cette liste à Excel :

Outils / Options /

Cliquez sur « Nouvelle liste » à gauche et tapez les différents éléments de votre liste à droite en appuyant sur « Entrée » après chaque élément. Lorsque tous les éléments sont

saisis, cliquez sur .

Vous pouvez également taper votre liste dans la feuille de calcul en mettant un élément par cellule. Sélectionnez-les, Outils

/ Options / et cliquez sur

Terminez par OK.

II.1.b - Tri selon une liste personnelle.

Cliquez dans la base de données, dans la colonne que vous voulez trier et appelez la commande « Trier… ». La boîte de dialogue est inchangée mais vous allez maintenant pouvoir utiliser

(39)

Choisissez votre liste dans la rubrique « Première clé de

l’ordre de tri » et dites .

Respecter la casse signifie respecter les minuscules et les majuscules.

-- 2Sous-Totaux.

Les différents enregistrements de votre base sont maintenant triés donc regroupés par clé de tri dans les colonnes concernées. L’envie peut vous prendre de créer des sous-totaux en fonction de ces regroupements (age moyen par grades identiques, salaire moyen par catégorie socio-professionnelle etc…).

A cet effet, il existe une commande Sous-totaux dans le menu Données (pensez à cliquer dans la base au préalable).

DONNÉES / SOUS-TOTAUX

Indiquez ici la colonne que vous avez utilisée pour votre tri. Ici,

par exemple, tous les

enregistrements sont regroupés par Villes.

Pour chaque groupe

d’enregistrements, le sous-total est le résultat d’un calcul appliqué sur une ou plusieurs des colonnes de la liste ci-dessus.

Vous pouvez faire le choix de la fonction dans cette zone : .

(40)

-- IIILe filtrage et l’extraction des données

;

Le tri n’a pour résultat qu’un rangement différent des données mais toutes sont affichées.

Le filtrage a pour but de n’afficher que les données qui correspondent à certains critères définis par vous.

Deux types de filtres vous sont proposés : le filtre automatique et le filtre élaboré qui offre plus de possibilités.

-- 1Le filtre automatique.

Comme toujours il vous faut cliquer dans la base au préalable.

Données / Filtre / Filtre automatique

Des cases contenant des flèches noires apparaissent dans la ligne de titres.

Si vous cliquez sur l’une d’entre elles, vous verrez une liste apparaître : celle de toutes les données contenues dans cette colonne. Choisissez l’un des éléments, aussitôt ne sont affichées que les lignes qui le contiennent.

Remarquez que la petite flèche est devenue bleue, signe d’un filtre est en action.

Lorsqu’un filtre est en action dans une colonne vous pouvez en appliquer d’autres dans d’autres colonnes.

Pour revoir toutes les lignes, cliquez sur les flèches bleues et demandez (Tous).

La liste qui apparaît lorsque vous cliquez sur les flèches contient également la commande : choisissez-la.

(41)

Cette boîte de dialogue autorise la création de filtre un peu plus complets que précédemment. En effet, vous pouvez choisir des conditions telles que : égal, inférieur, supérieur, différent…. Vous pouvez taper vos propres critéres de choix à droite mais attention, respectez les majuscules, minuscules et naturellement l’orthographe.

Si vous utilisez deux critères de choix, attention au choix entre « et » et « ou ». Le résultat change du tout au tout. Pas d’inquiétude, c’est de la logique pure et il paraît que le français est logique, isn’t it ???

Pour sortir du filtrage automatique, c’est à dire pour faire disparaître les flêches, il faut redemander filtre automatique dans le menu « Données / Filtre ».

-- 2Le filtrage élaboré.

Contrairement au filtrage automatique, le filtrage élaboré permet l’extraction des données correspondant aux critères de filtrage vers d’autres endroits du classeur. Il est même possible de ne conserver que les colonnes qui nous intéressent réellement alors que le filtrage automatique affiche l’enregistrement complet avec toutes ses colonnes.

Données / Filtre / Filtre élaboré

III.2.a - Zone « Plages ».

Cette rubrique doit contenir les références des cellules ou le nom de la plage correspondant à la base de données y compris la ligne de titres.

Si vous avez pris la précaution de cliquer dans la base avant de demander le filtre, cette rubrique se remplit d’elle-même. Vérifiez quand même, on ne sait jamais.

III.2.b - Zone « Zone de critères ».

Les critères sont les conditions que les données à filtrer devront respecter.

La zone de critères correspond aux cellules qui contiennent ces conditions, c’est à vous de les saisir dans la même feuille que les données ou dans une autre feuille.

(42)

Attention, si vous mettez vos critères dans la même feuille que vos données, placez les à côté de votre tableau de données plutôt qu’en-dessous.

Si vous comptez réaliser plusieurs filtres différents, il peut être intéressant de regrouper toutes les zones de critères dans une seule et même feuille.

Exemples de zones de critères : ou

La première ligne contient le nom de la rubrique qui sert de base au filtrage.

La deuxième ligne contient la condition à respecter. Dans l’exemple donné, les données concernant les personnes agées de plus de 30 ans doivent être extraites. Dans le deuxième cas, seules les données des personnes habitant Rennes seront extraites.

Attention minuscules, majuscules et orthographe sont très importantes. L’idéal est de faire un copier-coller.

Si vous voulez extraire les renseignements concernant les personnes agées de moins de 20 ans ET habitant Laval vous devrez créer la zone de critères suivante :

Si vous voulez extraire les renseignements concernant les personnes agées de moins de 20 ans OU habitant Laval vous devrez créer la zone de critères suivante :

Si vous voulez extraire les renseignements concernant les personnes dont l’âge est compris entre 25 et 35 ans, vous devrez créer la zone de critères suivante :

Si vous voulez respecter deux conditions en même temps, placez les sur la même ligne. Si vous voulez réaliser l’une ou l’autre placez les sur deux lignes différentes.

Pour faire apparaître les références de la zone de critères dans l’espace qui lui est réservé, cliquez d’abord dans cet espace puis sélectionnez toutes les cellules faisant partie de votre zone de critères.

III.2.c - Zone de destination.

Cette zone n’est valide que si vous choisissez l’option « copier vers un autre emplacement ».

(43)

Cliquez dans l’espace réservé aux références de la zone de destination et sélectionnez la cellule à partir de laquelle seront placées les données à extraire. Toutes les colonnes de chacune des données extraites seront alors reproduites.

Si vous désirez n’extraire que certaines colonnes intéressantes pour une application donnée, si vous souhaitez par exemple n’extraire que le nom et l’âge, faites un copier-coller des intitulés qui vous intéressent à l’endroit où vous voulez extraire les données. Cliquez dans la zone destination et sélectionnez les cellules contenant les intitulés de destination.

Après avoir fait OK, vous obtenez effectivement les données désirées.

Lorsque vous voulez extraire des données vers une autre feuille, vous devez vous placer dans la feuille de destination avant même de demander le filtre avec la commande

«

(44)

G l o s s a i r e

L’aide est souvent un outil indissociable de l’utilisation d’un logiciel. Vous serez toujours amené à faire de nouveaux calculs, à utiliser de nouvelles fonctions. Beaucoup sont nébuleuses et résoudre le mystère de leur utilisation passera forcément par un petit séjour dans l’AIDE. Malheureusement, loin de tout solutionner, elle vous entraînera parfois encore plus au fond de votre désespoir.

Premier conseil : épluchez les exemples qui sont donnés. Essayez-de les faire dans une feuille de calcul ou ressortez vos papiers-crayons de la naphtaline. L’usage d’un logiciel ne dispense absolument pas de l’utilisation de ces vestiges des temps passés bien au contraire.

Deuxième conseil : les termes utilisés dans l’aide semblent parfois tenir de l’hébreux, réécrivez les phrases importantes sur papier en remplaçant les arguments sous forme de texte par des valeurs numériques.

Termes « bizarroïdes » que vous rencontrerez parfois dans l’aide :

Vecteur : ensemble de cellules sous la forme d’une colonne ou

d’une ligne.

Matrice : cellules sous la forme d’un tableau composé de plusieurs

lignes et colonnes. Une matrice d’une colonne ou d’une ligne s’appelle aussi vecteur.

Plage : ensemble de cellules en ligne, colonne ou tableau. On

indique une plage en notant la référence de la cellule formant le coin gauche supérieur et celle du coin inférieur droit séparées par deux points.

(45)

Exemple de la plage ci-dessus : B2:D6

Argument : les valeurs que vous rentrez à l’intérieur d’une

fonction (un nombre, une cellule, un ensemble de cellules ou du texte) et à partir desquelles se fera le calcul se nomment des arguments.

Les arguments notés en gras sont obligatoires, les autres sont facultatifs.

Syntaxe : il faut écrire une fonction d’une manière bien précise,

dans le bon ordre pour qu’elle s’exécute correctement, c’est ce qu’on appelle la syntaxe (analogie avec une phrase de français compréhensible)

Expression : formule sans le signe =. Des expressions sont

régulièrement utilisées dans les arguments des fonctions.

Critère : condition à respecter.

#VALEUR ! : erreur générée par excel pour indiquer, en général,

qu’une valeur utilisée dans la formule n’est pas un nombre mais du texte.

Références

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