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[ Baccalauréat STI Antilles–Guyane septembre 2009 \ Génie électronique, électrotechnique et optique

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Texte intégral

(1)

[ Baccalauréat STI Antilles–Guyane septembre 2009 \ Génie électronique, électrotechnique et optique

EXERCICE1 4 points

1. On a|z| =p

1+3=2 ; doncz=2 Ã

−1 2+i

p3 2

!

=2¡

cos23π+i sin23π¢

=2e23π. 2. L’écriture complexe de la rotation estz=zeiπ2.

DonczA=2e56π×eiπ2 =2eiπ3 =2¡

cosπ3+i sinπ3¢

=2³

1 2+ip23´

=1+ip 3.

3. DB=

¯

¯

¯z−−→DB

¯

¯

¯= |1+2i−(−1−3i)| = |2+5i| =p

4+25=p 29.

DB=

¯

¯

¯z−−→DC

¯

¯

¯= |4−i−(−1−3i)| = |5+2i| =p

25+4=p 29.

On a donc DB = DC : le triangle DBC est isocèle en D.

4. −4+2i vérifiez2+8z+c=0 ⇐⇒(−4+2i)2+8(−4+2i)+c=0⇐⇒ 16−4−16i−32+16i+c= 0 ⇐⇒c=20. L’équation à résoudre est doncz2+8z+20=0 : elle est à coefficients réels, donc ses solutions sont complexes conjuguées : l’une étant−4+2i l’autre solution est−4−2i.

EXERCICE2 4 points

1. Les douze codes sont :

1235 1245 1265 3215 3245 3265 4215 4235 4265 6215 6235 6245 2. a. p1= 1

12; b. p2= 7

12;

c. p3=1−p2=1− 7 12= 5

12. 3. a. p(X=3)= 4

12=1 3.

b. X peut être égale à 2, 3 ou 4.

c.

xi 2 3 4

p(X=xi) 7 12

4 12

1 12

PROBLÈME 12 points

Partie A : Étude d’une fonctionf 1. a. Comme lim

x→−12

(2x+1)=0 et que lim

X0lnX= −∞, on en déduit que lim

x→−12

f(x)= −∞.

Géométriquement ceci signifie que la droite d’équationx= −1

2 est asymptote verticale à la courbeC.

b. lim

x→+∞(2x+1)= +∞et lim

X→+∞lnX= +∞, on déduit que limx

→+∞f(x)= +∞.

(2)

Baccalauréat STI Génie électronique, électrotechnique et optique A. P. M. E. P.

2. a. Avecu(x)=2x+1, la dérivée de lnuestu u, donc f(x)= 2

2x+1.

b. On ax> −12→2x> −1⇒2x+1>0. Comme 2>0, 2 2x+1>0.

Conclusion : sur

¸

−1 2 ;+∞

·

, f(x)>0, donc la fonctionf est croissante sur son intervalle de définition.

x12 +∞

f(x)

−∞

+∞

c. On af(0)=1+ln 1=1.

On a vu que la fonction est croissante en particulier sur [0 ;+∞[ et commef(0)=1, on en déduit que sur [0 ;+∞[, f(x)>1.

3. a. 1+ln(2x+1)=0 ⇐⇒ ln(2x+1)= −1 ⇐⇒ ln(2x+1)=ln e1 ⇐⇒ 2x+1=e1(par crois- sance de la fonction ln) ⇐⇒x=

2

¡e1−1¢ .

Rem. : la fonction étant croissante sur son intervalle de définition on savait qu’il n’y avait qu’une solution à cette équation.

b. On vient de trouver le point d’intersection deCavec l’axe des abscisses µ1

2

¡e1−1¢

; 0

¶ et on a vu quef(0)=1 donc le point d’intersection avec l’axe des ordonnées est (0 ; 1).

Partie B : Étude d’une fonctiong 1. a. On a lim

x→−∞(x+1)= −∞et lim

x→−∞ex= +∞, d’où par produit de limites : lim

x→−∞g(x)= −∞

b. g(x)= x ex+ 1

ex. Comme lim

x→+∞

x

ex =0 et lim

x→+∞

1

ex =0, on en déduit que lim

x→+∞g(x)=0.

Géométriquement ceci signifie que l’axe des abscisses est asymptote àΓau voisinage de plus l’infini.

2. a. Quel soit le réelx,g(x)=ex−(x+1)ex=ex(1−x−1)= −xex.

b. On sait que quel soit le réelx, ex>0 : le signe deg(x) est celui de−x, donc : - pourx<0,g(x)>0 ;

- pourx>0,g(x)<0.

On en déduit les variations de la fonctiongsurR:

x −∞ 0 +∞

g(x)

−∞ 0

1

Antilles–Guyane 2 septembre 2009

(3)

Baccalauréat STI Génie électronique, électrotechnique et optique A. P. M. E. P.

3. La fonctionga un maximum (extremum avec changement du signe de la dérivée en 0), maxi- mum égal à 1 : on a donc quel que soitx∈R,g(x)61.

4.

1 2 3

−1

−2

−1

−2 1 2 3

x y

O

C

Γ P

Partie C : Calcul d’aire

1. a. La fonctionFproduit de fonctions dérivables sur [0 ;+∞[ est dérivable sur [0 ;+∞[ et : F(x)=ln(2x+1)+2

µ x+1

2

¶ 1

2x+1=ln(2x+1)+2x+1

2x+1=1+ln(2x+1)=f(x).

Conclusion :Fest une primitive def sur [0 ;+∞[.

b. On a vu que sur [0 ;+∞[,f(x)>1>0 : l’aire de la surface limitée parC, l’axe des abscisses et les droites d’équationx=0 etx=2 est égale (en unité d’aire) à :

I1= Z2

0 f(x) dx=[F(x)]20=F(2)−F(0)= µ

2+1 2

ln(2×2+1)− µ1

2

ln(2×0+1)=5

2ln 5−0= 5

2ln 5.

2. I2= Z2

0

g(x) dx=[G(x)]20=G(2)G(0)=(−2−2)e2−(−0−2)e0= −4e2+2=2−4e2. 3. a. On a vu que sur [0 ;+∞[, f(x)>1 etg(x)61. Il en résulte donc que sur [0 ; +∞[,g(x)6

f(x), c’est-à-dire géométriquement queΓest au dessous deC. b. Voir la figure plus haut.

c. On a vu que sur [0 ;+∞[,f(x)>0 et 0<g(x)61. Donc l’aire de la partieP comprise entre les deux courbes et les deux droites d’équationsx=0 etx=2 est égale, en unité d’aire à :

I1I2=5 2ln 5−¡

2−4e2¢

=5

2ln 5−2+4e2.

Antilles–Guyane 3 septembre 2009

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