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Quel avenir en SVTpour les profs etles élèves? SSVVTT

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ET DES PRATIQUES N A T I O N A L O B S E R V A T O I R E

DES PROGRAMMES

S O M M A I R E

Les programmes et l’enseignement des SVT au collège : exprimez-vousp. 2

Les SVT dans l’actuel projet de réforme du lycéep. 3

Prof de SVT : portrait typep. 4

Quel avenir en SVT

pour les profs et les élèves ?

M

esures de carte scolaire, difficultés à faire respecter les décharges de service, non-remplacement de personnels de laboratoire, pressions sur les heures supplémentaires, effectifs pléthoriques, groupes de plus en plus rares…les réformes en cours produisent déjà leurs effets en collège, et le lycée qui nous est préparé ne correspond pas à nos attentes. Le contexte budgétaire pèse sur le débat : il inter- dit de poser les vrais problèmes pédagogiques.

En collège, nous avons vu en quatre ans se succéder quatre versions des pro- grammes. Et ce n’est pas fini : la mise en place du socle commun, à laquelle le SNES s’est opposé, doit s’accompagner de celle du livret de connaissances et de compétences. L’évaluation par compétences prônée par le Ministère aura des conséquences, encore difficiles à anticiper, sur nos pratiques.

Au lycée général, le bilan disciplinaire habituellement fait par les collègues de SVT n’est pas négatif. Le travail en groupes en classe de Seconde, le choix de diver- sifier les programmes selon les séries en Première et en Terminale, font du cours de SVT un moment formateur apprécié des élèves même si les programmes de la série S sont trop lourds.

Il n’en demeure pas moins que le lycée général et technologique fonctionne mal : taux moyen de redoublement en Seconde élevé (15 % !), séries reproduisant les inégalités sociales. Nous ne pouvons l’accepter.

À l’heure où nous publions, le SNES a quitté les discussions sur la réforme du lycée avec le chargé de mission Gaudemar. Après avoir participé à un « cycle » de ren- contres duquel n’est encore sorti aucun document écrit, force est de constater qu’il n’est plus possible de rester sans réponse claire à nos demandes : notam- ment mettre en place la nouvelle Seconde pour la rentrée 2009 n’est pas possible, faire entrer l’ensemble des enseignements de Seconde et l’accompagnement dans 27 h hebdomadaires n’est pas possible, et plus particulièrement laisser les sciences expérimentales au choix des élèves et de leur famille est inacceptable.

Nous portons la volonté d’un enseignement scientifique cohérent avec les autres disciplines, qui permette et la citoyenneté et l’engagement dans des cursus scientifiques. Nous ne réussirons à faire passer nos idées, à limiter la casse de la formation des élèves et de nos emplois qu’en maintenant un rapport de force avec le gouvernement. C’est le sens du vote SNES auquel nous vous invitons aux élec- tions professionnelles.

Roland Hubert, cosecrétaire général Valérie Sipahimalani, responsable du groupe SVT s

s uu pp pp ll éé mm ee nn tt aa uu nn °° 66 77 33 22 55 oo cc tt oo bb rr ee 22 00 00 88

S

SV VT T

Stage syndical SVT à Paris le 15 janvier 2008

“ Vers quel enseignement des SVT ? ”

Travail autour des nouveaux programmes de collège avec G. Bourny, auteure d’une étude du ministère sur le niveau des col- légiens français en sciences, débat sur la réforme du lycée.

Inscrivez-vous dès maintenant auprès de contenus.secretariat@snes.edu

Contactez le groupe SVT du SNES,réagis- sez, envoyez vos contributions à groupe.svt@snes.edu, suivez l’état de la réflexion sur www.snes.edu, puis pavé vert nos métiers nos pratiques,et colonne de droite contenus et pratiques (www.snes.edu/spip.php?rubrique2946).

DOSSIER RÉALISÉ PAR:

J. BESNARD, Y. CAUET, L. COTTON, K. GALLAND, V. SIPAHIMALANI

©DR

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2 Observatoire national des programmes et des pratiques • Supplément au no673 de L’US• 25 octobre 2008

E

n 2002, le ministre Ferry nomme trois groupes d’experts : sciences, huma- nités et technologie.

Le pôle sciences présidé par M. Bach a pour mission d’étudier les programmes en vigueur – en mathématiques, phy- sique chimie, science de la vie et de la Terre, éducation physique et sportive – puis de proposer une nouvelle écriture permettant une meilleure cohérence verticale avec le primaire d’un côté et le lycée de l’autre, et horizontale entre les disciplines.

Les consultations régulières des col- lègues syndiqués avaient permis de dresser un bilan des programmes des années 90... (anthropocentrisme, bio- diversité monde végétal, nécessité d’avoir des contenus favorisant le travail interdisciplinaire) et d’élaborer les posi- tions syndicales.

Dès le départ, si les échanges entre le SNES et les groupes de relecture ont été fructueux concernant les programmes des disciplines, il n’en a pas été de même pour l’introduction commune au pôle sciences et les thèmes de conver- gence et nous avons dénoncé :

• responsabilisation et culpabilisation de

pas aider à maintenir ces groupes en place ;

– références aux horaires à consacrer aux différentes parties du programme en sciences physiques et SVT modi- fiée : elle est donnée en % et non plus en durée absolue (semaines) ;

– maintien des thèmes de convergence, disparition de l’histoire des sciences et parachutage d’un nouvel enseignement de l’histoire des arts !

– allègements (roches en Quatrième, par exemple) présentés comme des simplifications tenant compte des com- pétences des élèves (que dire alors de la définition de l’espèce en Sixième ?).

L’inspection générale promet des docu- ments ressources pour préciser les contenus et les activités.

Qu’en sera-t-il de la formation continue ? Ces nouveaux textes sont applicables dès la rentrée prochaine (voir sur notre site dans les actualité de SVT l’avis de l’inspection générale sur la question du programme de Troisième).

Pour y voir plus clair sur les conditions actuelles d’enseignement au collège et avoir l’avis de la profession sur les nou- veaux programmes, le SNES lance une enquête disciplinaire en ligne. Nous avons besoin de votre avis !

Rendez-vous dans les actualités de SVT : www.snes.edu/spip.php?rubrique2944 l’individu laissant de côté la responsa-

bilité collective (pour l’obésité par exemple) ;

• aspect prescriptif, visant à formater les comportements.

Nous avons proposé notre conception : une formation à l’esprit critique qui permette une approche scientifique tout en situant les choix de société.

Au CSE (voir encadré) de 2004, le minis- tère a fait le choix de ne présenter qu’une partie des textes. Le SNES a alors dénoncé la méthode de travail : comment apprécier la cohérence verti- cale sur la seule base des programmes de Sixième ? Comment apprécier la cohérence horizontale quand les pro- grammes de technologie sont mis en attente et que les différents pôles ne sont pas parvenus à harmoniser les contenus entre les disciplines ?

Puis programmes et documents d’ac- compagnement de toutes les disciplines ont fait l’objet de nombreuses réécritures pour s’adapter aux injonctions diverses d’autres textes : socle com- mun de connaissances et de compé- tences, grilles et référentiels de compé- tences, livrets de compétences en expérimentation... conduisant à un empilement complexe.

Nous avons donc accueilli favorable- ment en 2008 le projet d’écriture d’un texte de synthèse pour le pôle sciences : il donnerait une plus grande cohérence à ce pôle.

La nouvelle mouture des programmes de SVT (comme ceux de maths, phy- sique chimie et technologie) a été pré- sentée au CSE de juin 2008 (voir L’US n° 671). Au motif qu’il ne s’agissait que d’ajustements, les textes n’ont fait l’ob- jet d’aucune concertation ni consulta- tion et les membres du CSE ne les ont reçus que quelques jours avant la com- mission.

Le SNES a voté contre ces textes car ces

« ajustements » auraient nécessité un vrai débat :

– disparition de toute référence au besoin de travail en groupe à effectifs allégés dans les disciplines expérimen- tales et la technologie, ce qui ne va

Les programmes et l’enseignement de SVT au collège : exprimez-vous !

Le Conseil supérieur de l’éducation (CSE), est un organisme consultatif sur les textes réglementaires (programmes, grilles horaires, décrets d’application, etc.).

I l e s t c o m p o s é d e 9 7 m e m b r e s , représentant les différents personnels, l e s c o l l e c t i v i t é s t e r r i t o r i a l e s , l e s associations périscolaires, le MEDEF… et les organisations syndicales.

En amont du CSE, le SNES rencontre les groupes d’experts, l’inspection générale, les associations de spécialistes et essaie de faire évoluer les programmes et les textes lors des commissions spécialisées.

Ce travail s’appuie sur les consultations des collègues syndiqués (enquêtes, stages, colloques…) et nos positions élaborées collectivement lors des congrès.

L’importance de la délégation d’un syndicat dépend directement du résultat des élections professionnelles.

©DR

(3)

Observatoire national des programmes et des pratiques • Supplément au n° 673 de L’US• 25 octobre 2008 3

Les SVT dans l’actuel projet de réforme du lycée

En collège, enseigner les SVT devient difficile !

Brigitte enseigne les SVT dans un collège rural (215 élèves) du centre Bretagne.

L’US : enseignant en collège depuis 28 ans, tu as dû voir bien des changements dans ton métier ?

Brigitte :oui, tant dans les contenus enseignés que dans les condi- tions de mon travail.

Les contenus sont plus adaptés aujourd’hui aux possibilités des élèves et à nos attentes ; on y voit le travail que le SNES a pu faire en ce sens et sans doute aussi celui de l’APBG. Un niveau pose encore problème : la Cinquième. Le programme est trop lourd, les élèves qui l’abordent n’ont pas toutes les bases nécessaires (manque en primaire) et leurs conditions de travail en classe entière ne sont plus idylliques après les dédoublements de Sixième.

L’US : que penses-tu des conditions de travail ?

Brigitte :à part ce petit bonheur des Sixièmes, les classes sont chargées et il n’y a plus de moyens pour les dédoubler malgré des programmes motivants. En plus, l’accompagnement matériel (ordi- nateurs, une seule console pour l’EXAO...) est insuffisant, on ne peut plus expérimenter dans des conditions satisfaisantes. Les élèves sont déçus, les collègues et les parents aussi. Les jeunes col- lègues sont souvent TZR ou travaillent sur plusieurs établisse-

ments (sur 23 profs dans le collège de Callac, seuls 5 sont « titulaires fixes » !). Dans ces conditions, malgré toute leur bonne volonté, il leur est difficile de s’investir dans les projets pédagogiques.

Nous avons reçu une fiche d’inspection à remplir. Certes elle parle de SVT mais il nous est demandé ce que l’on fait en plus : « éducation à… », TICE, B2i, accompagnement... Est-ce le prof de SVT ou un ani- mateur qui est évalué au mérite ! Certains collègues (jeunes ou anciens) sont vraiment très mal devant cette dégradation du métier ; chez nous les demandes de temps partiel augmentent

« pour pouvoir tenir le coup » ! L’US : qu’attends-tu de l’avenir alors ?

Brigitte :trois choses avant tout. 1: que rectorat, ministère, mettent en accord leurs discours (défense des sciences, plus de scienti- fiques...), avec un fonctionnement qui les rend possibles (ce qui n’est pas le cas actuellement). 2: une formation continue de SVT pour tous et effective (actuellement la formation continue est sur l’accom- pagnement, les TICE, le B2i...). 3: que les projets que l’on peut faire, mais aussi les « éducation à »… entrent dans nos horaires (18 ou 15 heures).

Alors, on réussira à enseigner aussi bien que nous le voudrions les SVT aux élèves qui ne demandent que cela. Je sais que le SNES est aussi sur ces bases, c’est indispensable.

L

’une des difficultés à travailler sur le projet de réforme du lycée est la méthode choisie par le ministre : tout serait en débat, rien ne serait décidé. Au final, toutes sortes d’informations cir- culent sans que rien ne permette de les confirmer.

Les dernières propositions faites au SNES par le chargé de mission Gaudemar concernant l’organisation disciplinaire sont les suivantes : – pour les trois années : organisa- tion par modules semestriels de 3 heures (3 heures, l’horaire prof n’est pas tranché) ;

– en Seconde, les sciences expérimen- tales ne font pas partie des enseigne- ments généraux, ce qui suppose que leur enseignement pourrait être réduit à un semestre, et qu’il ferait l’objet d’un choix des familles ;

– des contenus et horaires nationaux.

Le SNES refuse l’idée que certains élèves de Seconde pourraient ne pas bénéficier d’un enseignement de SVT. Il n’est pas possible d’envoyer un tel signal à la société alors que les débats qui la tra- versent actuellement mettent si souvent les sciences en jeu : questions de bio- éthique, d’OGM, de développement durable, questions médicales et de

santé. L’apprentissage de la citoyenneté passe par celui des sciences expéri- mentales. Pour certains des élèves qui continueront en voie technologique, la classe de Seconde constitue le dernier enseignement de ce type.

La question des modules n’est pas tran- chée. Il est certain que si un enseigne- ment modulaire devait se mettre en place, il constituerait une véritable révo- lution dans notre approche de l’ensei- gnement. Il n’est pas envisageable de

« découper aux ciseaux » les pro- grammes actuels, lesquels ont leur logique parfois sur trois ans (série S).

Nous demandons une vraie réflexion sur les contenus disciplinaires, rendue de toute façon nécessaire par la mise en place des nouveaux programmes au collège. Fabriquer de nouveaux textes ne saurait se faire dans la précipita- tion pour la rentrée 2009...

Par ailleurs, un enseignement de type option science, pluridisciplinaire et déconnecté de ce qui se ferait au cycle terminal ne pourrait pas permettre aux élèves de faire leur choix de parcours terminal en toute connaissance de cause.

Pour le cycle terminal, nous ne voulons pas d’une organisation qui consisterait à offrir à tous les élèves des modules de

« culture scientifique de base », qui seraient complétés par des modules d’approfondissement pour les scienti- fiques. La culture scientifique n’est pas la première marche de l’ensei- gnement scientifique, c’est une autre approche de cet enseignement. Le SNES demande le maintien des séries, mais une rénovation de leur organisa- tion. Nous souhaitons pouvoir offrir aux élèves qui se destinent à des car- rières scientifiques un enseignement les y préparant. Les élèves choisissant d’autres cursus ont besoin d’un ensei- gnement scientifique en cohérence avec leurs autres disciplines, leur permettant à l’avenir des choix citoyens éclairés : c’est le sens des programmes actuels des séries ES et L.

Au total, la réforme annonce un com- plet bouleversement du lycée. Nous ne voulons pas d’une réforme qui ne change rien, mais nous aurons à main- tenir un rapport de force suffisant pour faire en sorte que cette réforme ne soit pas que budgétaire. ■

Toutes les informations sur la réforme du lycée en ligne sur le site du SNES www.snes.edu, pavé bleu agirpuis réforme du lycée.

(4)

L’évolution, théorie scientifique, et son enseignement (cédérom)

Actes du stage de mars 2006

et du colloque d’octobre 2007 - Septembre 2008

Textes, enregistrements audios, vidéo de la performance théâtrale de Jean-Luc Bruyas, large biblio- graphie, sitographie. Indispensable à tous les professeurs de SVT, de philosophie ... et les autres ! Une organisation syndicale comme le SNES se doit de traiter d’enjeux de société tels que l’évolution. Les ten- tatives de remise en cause ou d’in- trumentalisation de cette théorie, ici ou là, en France ou ailleurs, à travers des débats qui traversent parfois nos salles de classes, à travers les pressions que l’on voit s’exercer sur les contenus de telle ou telle discipline, en sont à coup sûr des preuves.

C’est pourquoi, en mars 2006 puis en octobre 2007, un stage puis un colloque ont réuni des professeurs du secondaire, de toutes disciplines, et des chercheurs biologistes, philosophes, didacticiens, formateurs.

• Coédition Adapt-SNES - 9,50 euros franco de port.

Inventer la préhistoire

Les débuts de l’archéologie Préhistorique en France Nathalie Richard - ISBN 2-909680-77-0

Une histoire intellectuelle, sociale et culturelle de la naissance de l’archéologie préhistorique en France.

Collection Inflexions dirigée par Jean Rosmorduc Voici l’histoire intellectuelle, sociale et culturelle de la naissance de l’archéologie préhistorique.

Accessible aux non-spécialistes, illustré de nom- breuses images et d’extraits de textes qui ont été choi- sis pour leur originalité et donnent un accès direct aux sources, l’ouvrage contient aussi des encadrés apportant de brèves mises au point sur quelques sujets spécifiques.

• Coédition ADAPT/Vuibert, 236 p., 25 euros franco de port.

L’Université Syndicaliste, suppl. à L’USno673 du 13 octobre 2008, hebdomadaire du Syndicat national des enseignements de second degré (FSU) 46, avenue d’Ivry, 75647 Paris Cedex 13. Directeur de la publication: Serge Chatelain - Compogravure: C.A.G., Paris - Imprimerie: SIPE, Paris - NoCP0108 S06386 – ISSN no0751-5839 u n s e r v i c e d u S N E S

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À envoyer à Adapt Éditions, 46, avenue d’Ivry, 75647 Paris Cedex 13 – avec le chèque correspondant libellé à l’ordre d’ADAPT (franco de port) ou à commander sur le site www.adapt.snes.edu

V OTER ET FAIRE VOTER SNES

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• Donner plus de force à nos revendications.

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et de conduire les actions syndicales indispensables contre la politique gouvernementale.

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SNES, observatoire

des contenus et pratiques

ISBN 978-2-35656-008-7

Prof de SVT : portrait type D

’après la note de la DEPP (Direction de l'évaluation,

de la prospective et de la performance) de juin 2008(1), le professeur de SVT 2007 est surtout une femme (64,7 %) qui enseigne en collège (63,5 %) et il est titulaire de son poste à 99 %. Les plus jeunes sont bien représentés : 16,8 % des profs de SVT ont moins de 30 ans (11,5 % pour l’ensemble des enseignants), les anciens sont encore là : 29 % ont plus de 50 ans.

Le départ à la retraite du tiers de nos collègues en SVT se fera donc les 10 prochaines années.

Ce renouvellement important doit s'accompagner d'une

transmission de la mémoire de notre métier en même temps que les jeunes collègues apportent leurs connais- sances et leurs nouvelles pratiques aux plus anciens.

Selon le SNES, les IUFM et la formation continue doivent en être les lieux privilégiés. Ils doivent aussi permettre aux collègues de bénéfier des apports de la recherche uni- versitaire. Le SNES continuera à faire des propositions dans ce sens. ■

(1) : http://www.education.gouv.fr/cid21502/les-enseignants-du- second-degre-dans-les-colleges-et-lycees-publics-en-2007-2008.html

Tous les articles multimédias parus dans L’US magazine, des centaines de tests de cédéroms éducatifs, de nombreux liens, le catalogue des publications d’Adapt (commande en ligne possible) sur http://www.adapt.snes.edu

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