• Aucun résultat trouvé

Mais la musique soudain s est tue

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Mais la musique soudain s est tue"

Copied!
20
0
0

Texte intégral

(1)

G A L L I M A R D G A L L I M A R D

GABRIEL MATZNEFF Mais la musique soudain s’est tue

Avec ses journaux intimes aux titres flamboyants, provocateurs, Un galop d’enfer, Mes amours décom- posés, Calamity Gab, Gabriel Matzneff s’est depuis sa jeunesse attiré une fâcheuse réputation de libertin, de mauvais sujet. Trop beau, trop libre, trop heureux, trop insolent, trop de lycéennes dans son lit, ça indispose les honnêtes gens.

Le temps passe, irrémédiablement, même pour les plus obstinés polissons. Mais la musique soudain s’est tue est un joli titre. Toutefois, si Billy Wilder ne l’avait pas précédé, Gabriel Matzneff aurait volontiers intitulé Boulevard du crépuscule ce journal intime des années 2009-2013.

Certes, il demeure fidèle à ses passions, il est amou- reux, il voyage, il a la dalle en pente et un solide coup de fourchette, il combat pour les causes qu’il croit être justes, bref, il aime toujours la vie, mais peut-être, désormais, est-ce la vie qui a cessé de l’aimer.

GABRIEL MATZNEFF

MAIS LA MUSIQUE SOUDAIN S’EST TUE

9:HSMARA=VYZYWX:

15-II A 14542 ISBN 978-2-07-014542-3 26,50f Journal 2009-2013

GABRIEL MATZNEFF

Mais la musique soudain s est tue

Journal 2009 - 2013

Matzneff_Mais la musique_CV.indd 1 23/12/14 17:04

(2)
(3)
(4)

D U M Ê M E A U T E U R

Romans

LA R C H I M A N D R I T E , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no. N O U S NI R O N S P L U S A U L U X E M B O U R G , La Table Ronde,; La

Petite Vermillon, no.

I S A Ï E R É J O U I S - T O I , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no. I V R E D U V I N P E R D U , La Table Ronde,; Folio, no.

H A R R I S O N P L A Z A , La Table Ronde,.

L E S L È V R E S M E N T E U S E S , La Table Ronde,; Folio, no. M A M M A , L I T U R C H I ! , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no. V O I C I V E N I R L E F I A N C É , La Table Ronde,.

L A L E T T R E A U C A P I T A I N E B R U N N E R , La Table Ronde,. Poèmes

D O U Z E P O È M E S P O U R F R A N C E S C A , Alfred Eibel,; rééd. revue et augmentée, La Table Ronde,.

S U P E R F L U M I N A B A B Y L O N I S , La Table Ronde,. Récits

C O M M E L E F E U M Ê L É DA R O M A T E S , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no.

L E C A R N E T A R A B E , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no. B O U L E V A R D S A I N T - G E R M A I N , Le Rocher, ; La Petite Vermillon,

no.

M O N S I E U R L E C O M T E M O N T E E N B A L L O N , Léo Scheer,. Essais

L E D É F I , La Table Ronde,; La Petite Vermillon, no.

L E S M O I N S D E S E I Z E A N S , Julliard,; rééd., Léo Scheer,. L E S P A S S I O N S S C H I S M A T I Q U E S , Stock,; rééd., Léo Scheer,. L A D I É T É T I Q U E D E L O R D B Y R O N , La Table Ronde,; Folio, no.

Suite desœuvres de Gabriel Matzneff en fin de volume

(5)

M A I S L A M U S I Q U E S O U D A I N SE S T T U E

(6)
(7)

GABRIEL MATZNEFF

M A I S

L A M U S I Q U E

S O U D A I N S ’ E S T T U E

J O U R N A L

    -    

G A L L I M A R D

(8)

Il a été tiré de l’édition originale de cet ouvrage trente exemplaires sur vélin rivoli des papeteries Arjowiggins numérotés de1à30.

©Éditions Gallimard,.

(9)

P R O L O G U E

Si Mais la musique soudain s’est tue avait un sous-titre, celui-ci seraitDe Senectute, c’est‑à-dire « De la vieillesse ». Ce journal est celui de mon crépuscule.

L’ouvrage intituléCarnets noirss’étend des premiers jours d’août–j’avais seize ans–audécembre–j’en avais soixante-douze.

Voilà qui est, me semble-t‑il, fort clair. Carnets noirs est une œuvre constituée par mon journal intime -. Elle n’aura ni ajout, ni post-scriptum, tel un tableau auquel le peintre donne la dernière touche de couleur,l’ultimo tocco, puis la signe.

Mais la musique soudain s’est tue, dont j’écrivis les pre- mières lignes en janvier , n’appartient pas aux Carnets noirs; c’est un autre livre.

La décision d’écrire le mot « fin » sur le manuscrit desCar- nets noirs, je la pris courant. Pour deux raisons princi- pales, l’une pratique, l’autre essentielle :

Le monceau de carnets noirs que je devais encore déchif- frer, dactylographier, occupait un entier coffre de banque ! Je craignais de n’avoir pas le temps d’accomplir cette tâche avant de mourir ; j’avais la certitude que si je continuais

(10)

chaque jour à l’alourdir en noircissant de nouvelles pages je n’en viendrais jamais à bout, un vrai tonneau des Danaïdes.

D’autre part et surtout, je refusais d’être dans Carnets noirsle scribe de mon propre déclin.Carnets noirscélèbre et fait aimer la vie, non la mort.J’avais en mémoire l’impres- sion sinistre, détestable, que m’avaient faite les journaux intimes de vieillesse d’un Léo Malet, d’un Julien Green, je ne voulais pas–un refus d’ordre esthétique plus que moral – que le mien se conclût sur des images tant pitoyables. La vie trépidante, aventureuse de Calamity Gab, son galop d’enfer, ses amours décomposées, oui, voilà qui insuffle du vif-argent à un journal intime ; mais les misères physiques et morales de la vieillesse, c’est autre chose.

Le ton et le rythme deMais la musique soudain s’est tuene sont donc pas, c’est clair, ceux du journal d’un grand pécheur que constitueCarnets noirs, mais j’espère néanmoins que ce livre intéressera les psychologues de la décadence, et aussi les adolescents qui, à l’aurore de leur vie, sont curieux de connaître les états d’âme d’un artiste qui, après avoir toujours vécu ses passions à fond la caisse, s’apprête à quitter la sienne.

G . M .

(11)

Voilà quelques jours, j’ai feuilletéLa Prunelle de mes yeux et Les Demoiselles du Taranne.Comme je vivais alors ! Quel rythme ! Quelles aventures ! Il en a encore été ainsi durant toutes les années  et les premières années . Puis… Pourquoi ? Je ne le sais pas, mais la musique soudain s’est tue.

G . M . Naples,mai

(12)
(13)

Carnet

(duerjanvieraumai)

Le refus d’Anne de recevoir les deux objets que je jugeais plus gai de lui léguer de mon vivant (j’avais prié Marianne Paul- Boncour de les lui transmettre) m’a tant blessé, douloureuse- ment stupéfié, que j’ai mis un temps d’arrêt à cette distribution.

J’ai légué ma bibliothèque à Véronique, mais je désire la lui transmettre quand je suis vivo e vegeto, ces livres qui m’entourent m’encombrent, et je puis en écrire autant des tableaux, des icônes accrochés aux murs de mon placard. Je songe à dresser la liste [des livres] que je garderai avec moi : le Littré, mon Plutarque, mon Sénèque, mon Lucrèce, mon Pétrone, le petit volume des Présocratiques que, l’année où il s’est donné la mort, j’avais prêté à Montherlant, mon La Rochefoucauld, les Confessions de saint Augustin [phrase inachevée]

Foutatif : qui excite le désir (Restif).

L’an dernier, le blogueur italien qui écrivait de moi après avoir luLes Moins de seize ans: «Matzneff ha una vitalità stra- ripante1. »

1. Matzneff a une vitalité débordante.



(14)

Huiles d’olive sublimes : Natalia Ravidà (Sicile), Moulin de Marquiliani (Corse).

J’avais écouté avec plaisir le chœur chanter les tropaires en l’honneur de saint Séraphin de Sarov et de saint Syl- vestre, mais le chant qui suivit et fut repris à plusieurs reprises, avec un enthousiasme toujours vif, me déconcerta.

Je ne comprenais pas clairement les paroles, je me deman- dais qui pouvaient bien être ce saint Zébulon et cette sainte Naphtaline que l’on priait avec tant de ferveur.

Renseignements pris, il ne s’agissait pas de saints inconnus dusottoscritto, mais de deux affluents du Jourdain.

 janvier. Après avoir remis lundi le manuscrit [de Car- nets noirs -] à Florent1, je le relis chez moi et déniche encore des coquilles, des étourderies !

Je suis un peu désheuré. J’ai accouché, je me sens léger et de loisir.

Mais le froid est tel.

Hier, midi, amour avec Gilda. Le soir, les vigiles de Noël rue Pétel2. Très bel office.

Mort de Soljenitsyne.

Mort de Georges Lapassade.

1. Florent Georgesco, alors directeur littéraire des Éditions Léo Scheer.

Il sagissait du tapuscrit des deux dernières années de mesCarnets noirs, un volume paru en  chez Léo Scheer et appelé à rejoindre ceux qui le précèdent lorsque c’est du moins ce que je souhaite les Éditions Gallimard publieront, après ma mort, mesCarnets noirsdans leur intégralité (-, un gros morceau !).

2. L’église orthodoxe des Trois-Saints-Docteurs, dans le XVearrondis- sement de Paris.



(15)

Les jeux olympiques.

Biùtiful cauntri.

La monezza, l’oro della vergogna1.

Federica Pellegrini, or et record du monde  m nage libre.

Laure Manaudou.

C’est le président géorgien Saakachvili qui a bombardé l’Ossétie du Sud et est responsable de la crise actuelle.

L’exposition Irène Némirovsky à New York.

L’expositionRoma e i Barbari.

Sangue pazzode Marco Tullio Giordana.

Monica Bellucci.

Luca Zingaretti.

La mort d’Olivier2.

Je n’ai jamais été, ne suis pas et ne serai jamais uncacali- bri3.J’écris avec le sang de mon cœur,punto e basta.

Isis, la Grande Déesse, mère d’Horus, préfigure la Vierge Marie, elle en est un des avatars, et ce n’est pas fortuite- ment que Notre-Dame a été élevée sur les ruines d’un temple d’Isis.

Le seuil de la pauvreté :euros. Moi j’en touche [phrase inachevée]

Aouatife et Vanessa m’ont passionnément aimé, ont par- tagé ma vie, l’une pendant onze ans, l’autre pendant deux, mais aujourd’hui, leur rêve, c’est d’être lobotomisées.

1. Les ordures, lor de la honte.

2. Olivier Clément.

3. Un type qui pond des livres.



(16)

L’horreur que ce sexe a de son passé amoureux, sa rage de le gratter, de l’effacer, de le nier.

Relisant mon journal.

La petite fille et son vilain monsieur Se moquent des jaloux, des envieux, Ils font l’amour et du latin

Tout en buvant du chambertin.

Les amants heureux sont comme les peuples itou : ils n’ont pas d’histoire.

Marrakech,février [],h(heure de Paris), je lis le tome V de la Correspondance de Flaubert, couché sur le lit de la chambre que m’a donnée Véronique dans sa jolie maison de poupée de la médina.

Enfin, laCorrespondanceintégrale !Finis coronat opus1.

« Que de modestie il faut avoir pour être ambitieux ! Et quand on est quelqu’un, comment désirer être quelque chose ! » (Lettre à Léonie Brainne,février.)

«… moins j’ai d’argent, moins j’ai envie d’en gagner. » (Lettre à Sand,février.)

V, p., jugement de Flaubert sur Balzac qui pense plus à l’argent qu’à l’art, rêve d’être député, académicien.

« J’aime mieux laCorrespondancede Voltaire. L’ouverture du compas y est autrement large ! »

Il y revient dans une lettre à E. de Goncourt, page.

1. Le premier tome de cetteCorrespondancede Flaubert dans la Pléiade avait paru enet, persuadé que les autres suivraient avec promptitude, javais imprudemment vendu mes volumes de lédition Conard.



(17)

 février,  h  (heure marocaine). Florent vient de m’appeler. Le livre est arrivé. Il est très beau.

[Flaubert, Correspondance, tome V]

Page, sur l’islam !!!

Page, à propos des candidatures de Taine et de Renan à l’Académie :

« Je les trouve l’un et l’autre bien modestes. En quoi l’Aca- démie peut-elle les honorer ? – Quand on est quelqu’un pourquoi vouloir être quelque chose ? »

Pageset suivantes, la lettre à Maupassant (août).

« Les honneurs déshonorent », etc. : p.et note p.. Et p..

La lettre dufévrier, de Tourguenieff à Flaubert où il lui décrit la manière imbécile et goujate avec quoi Gambetta a refusé qu’il lui soit présenté. Inouï.

La lisant, je rougis de honte, de rage1.

Page . À  ans, un an avant sa mort, Flaubert n’a plus qu’une seule dentdu haut !

Son médecin, le docteur Fortin, traite Flaubert de « grosse fille hystérique », le soigne avec un mixte de valériane et de bromure de potassium (p.).

« Connaissez-vous Schopenhauer ? » écrit Flaubert à Mme Roger des Genettes lejuin .

Flaubert n’a-t‑il découvert Schopenhauer qu’en ? C’est étrange.

Leaoût, Flaubert écrit à son amie Léonie Brainne que « tout » sera employé à poursuivre l’écriture de Bouvard et Pécuchet. Il ne faut jamais faire de semblables plans sur la comète, c’est imprudent. Le Bon Dieu, lui, en

1. Sic !



(18)

avait décidé autrement : dès le printempsilstroncherà 1 la vie de Flaubert et l’écriture de son roman.

Carpe diem, Gustave,carpe!

Pages,, sa lettre à un certain Édouard Gachot du

XI. La faire lire à Gilda, si je la revois un jour.

Flaubert à Maupassant,février:

« Ce qui est beau est moral, voilà tout et rien de plus. La poésie, comme le soleil, met de l’or sur le fumier. Tant pis pour ceux qui ne le voient pas. »

Page, le passage qui commence ainsi : « Et, plus que jamais, je crois à la haine inconsciente dustyle», etc.

À citer en entier.

Dernier § de sa lettre à Caroline duavril . Essen- tiel.

mars, auCafé.

Ce séjour à Marrakech n’aura pas été inutile puisque – outre le plaisir de la compagnie de Mistigretta – j’ai lu Le Chevalier de Sainte-Hermine, un roman de Dumas, mal construit, inachevé, mais plein de belles pages, de formules frappantes, et découvert un auteur dont je n’avais jamais entendu le nom, Wodehouse, dontLord Emsworth acts for the best(je le lis en traduction) me fait mourir de rire.

« Une femme qui n’a pas été belle n’a pas été jeune, mais une femme qui n’a pas été aimée n’a pas vécu. » (Dumas, Le Chevalier de Sainte-Hermine, chap..)

« Il y a toujours eu et en tout temps une moitié de l’Italie qui danse pendant que l’autre pleure. » (Idem, chap..)

Marrakech,mars,heures du matin.

Réveillé par la pluie.

1. Brisera, tranchera, mettra fin à.



(19)

Hier, Véronique, quand je lui ai dit que j’avais cessé de tenir mon journal intime, semblait catastrophée. Cela m’a touché, mais je m’opiniâtre. Écrire ce journal ne m’amuse plus, et cela sans doute parce que ma vie ne m’amuse plus.

Je me suis fait copieusement insulter, railler, calomnier, à cause de mes carnets noirs et cela dèsavecCette cami- sole de flammes; mais aucune personne intelligente ne m’a jamais dit que mon journal était ennuyeux. Peut-être me le dira-t‑on de ce pavé-que je m’apprête à publier, et où la vie est déjà plus pépère, beaucoup moins trépidante que dans le journal des précédentes décennies. Or cela ne pourra qu’aller en augmentant.

Et puis, je considère la masse de travail que constitue le journal déjà écrit qu’il me reste à dactylographier1. Ici, à Marrakech, je n’ai fait que me reposer, je n’en ai pas fichu une rame, mais dès mon retour en France il va falloir que je m’y attelle sérieusement. Ce qui serait bien serait que d’ici Pâques j’achève de taper l’année.

-serait ainsi prêt. Resterait-.

Si je considère que c’est en  que j’ai commencé à taper , - va me prendre au moins neuf ans ! C’est énorme. Ai-je encore neuf ans de vie devant moi ?

Le roi de Jordanie avait proposé la place de Premier ministre à Arafat, et celui-ci refusa !

— Nous ne voulons pas gouverner en Jordanie, nous vou- lons la Jordanie comme base d’opérations.

1. À ce jour, sont publiées les années-et-de mes Carnets noirs, soit trente-sept années. Demeurent inédites-, soit dix-huit années. La dactylographie de ces années inédites constituait un travail énorme qu’alors je n’étais pas certain de pouvoir mener à son terme.

(Zagarolo,août.)



(20)

Nuit duaumars. Les essais où je parle de l’amour, des relations entre les hommes et les femmes (Les Passions schis- matiques, De la rupture), sont des post-scriptum, des com- mentaires [à mes romans].

[Écriture de Céline Ottenwaelter]

Marie Rivière dit : « Je croyais qu’il n’y avait que les ado- lescents qui lisaient Gabriel Matzneff. » Le mars.

— Ce n’est pas parce que je n’ai jamais travaillé que je suis paresseux ! (Patrick de Funès, au Petit Thaï, rue du Roi-de- Sicile.)

Dimanche de la Croix. Ordination d’un diacre à Saint- Victor. L’évêque, une combriccola1de prêtres, de diacres, d’acolytes. Deux chœurs, l’un français (celui de la paroisse), l’autre slavon. Un très bel office. J’ai communié, prenant la résolution de finir ce carême mieux que je ne l’ai commencé.

La fabrique des goujats. Vous tenez la porte à une per- sonne et elle ne vous remercie pas ; vous tenez la porte à une deuxième personne et elle ne vous remercie pas ; vous tenez la porte à une troisième personne et elle ne vous remercie pas.

La quatrième, vous la lui claquez à la figure.

De même, les personnes à qui vous dites « Pardon » et qui ne vous gracieusent ni d’un sourire ni d’un « Je vous en prie ».

Au bout d’un certain temps vous ne dites plus « Pardon » : vous bousculez allègrement, vous ne prêtez plus attention auxautres, vive la goujaterie, c’est l’avenir !

1. Une bande.



Références

Documents relatifs

Il en a marre de se lever tôt= marteau C'est une feuille de menthe qui tire= mentir. Il te sert et il te

Deux d’entre nous sommes autorisés à rester avec l’équipe médicale aux côtés de notre chef d’intervention : une de mes collègues qui en train de devenir elle-même

Inconvénients : isolement, collaboration compliquée avec le réalisateur et l’équipe, séparation d’avec l’assistant, absence de projections grand format et en commun, plus de

Les électrons de la couche la plus externe sont appelés électrons périphériques (ou de valence) et les électrons des autres couches sont appelés électrons internes (ou de

Dans une courte lettre me remerciant encore pour quelques articles de journaux que je lui avais envoyés, parus à la suite de la publication de « son » numéro de Du, il avouait

CHEVAL RENARD CRABE CANARD. CHAT CHAMEAU

RENARD NICHE CANAPE NUAGE.

MUR ECUREUIL JUMELLES AUTRUCHE. RUE TORTUE