A NNALES DE L ’I. H. P., SECTION A
S. K ICHENASSAMY
La polarisation de la lumière monochromatique dans un espace de Riemann
Annales de l’I. H. P., section A, tome 8, n
o3 (1968), p. 253-268
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p. 253
La polarisation
de la lumière monochromatique
dans
unespace de Riemann
S. KICHENASSAMY
Laboratoire de Physique théorique associé au C. N. R. S.
(Institut Henri Poincaré,
Paris.)
Vol. VIII, n° 3, 1968 Physique théorique.
SOMMAIRE. -
Compléments
à l’étude deschamps électromagnétiques singuliers
et examencritique
du théorème de Robinson. Définition des différentstypes
depolarisation
de la lumière par lesparamètres généralisés
de Stokes et étude de leur
propagation.
ABSTRACT. - Additional remarks
concerning
thepropagation
of nullelectromagnetic
fields and criticalappraisal
of Robinson’s theorem. Defi- nition oflight polarization types by
means ofgeneralized
Stokes’ para- meters andstudy
of thepropagation
of thèsetypes.
1 - INTRODUCTION
Matière et lumière ont, tour à tour, modelé nos idées sur
l’espace,
letemps
et lagravitation;
mais lapolarisation, propriété
fondamentale de lalumière,
ne semble pas avoir retenu suffisamment l’attention desphysiciens relativistes ;
aucontraire,
il n’est pas rare de rencontrer certains raisonne-ments effectués modulo les variations
d’amplitude
et depolarisation,
comme si ces
grandeurs physiques pouvaient
ne pas avoir d’influencesur
l’interprétation géométrique
que donne la Relativitégénérale
desphénomènes physiques ;
tel est parexemple,
le cas du théorème de Robinsonqui
établit que la congruence desgéodésiques isotropes, trajectoires
duvecteur propre
isotrope
deschamps électromagnétiques singuliers,
estsans distorsion.
Nous nous proposons ici de
préciser
un certain nombre de notions relativesaux
champs électromagnétiques singuliers
et dedévelopper
une théorieélémentaire de la
polarisation
de la lumière dans un espace de Riemann.2. - LA
VARIÉTÉ
FONDAMENTALELa variété fondamentale de la Relativité
générale
est une variétéV4
suffisamment
différentiable,
munie d’unemétrique régulière
detype hyper- bolique
normal :L’interprétation physique
des coordonnées locales s’effectue parrapport
à unrepère
localorthonormé ( À§ ) :
iElle est
définie,
modulo la transformation :où 1 Aa,b est
un élément de lacomposante
connexeLo
du groupe de Lorentz :Dans l’étude des congruences
isotropes,
unrepère
commode est lerepère isotrope
défini par :ou par une combinaison linéaire de ces vecteurs satisfaisant à :
En
particulier,
lerepère isotrope (/~ /~ m’:Z, m’IX)
tel que[3, 9] :
est déterminé par :
D’autre
part,
l’élémenttype
dupetit
groupepréservant
la cor-respondance (2.5)
entre vecteursisotropes
et vecteursorthonormés,
s’écrit :avec :
l’orientation des
axes { ~ }
parrapport à {/L? }
étant définie par lesangles
d’Euler
(~, 0, ro)
tels que :Il s’ensuit dans
l’hypothèse
où lacorrespondance (2.5)
estconservée,
que le
repère isotrope
défini par(2. 7)
et(2. 8)
se déduit durepère (2. 5) [5], a)
ou bien par la transformation deLoM (correspondant
à 03B1 =0, P = ~/2y)
suivie d’unchangement
deparamètre
sur latrajectoire
dek";
b)
ou bien par la transformation deLoM (correspondant
à 03B1 =0, p =
+B/2y)
suivie d’un retournementde ~~
et d’unchangement
de para-mètre sur la
trajectoire
de k".3. - CONGRUENCES ISOTROPES
Une
congruence C
des courbes est définie dans un domaine D par unefamille de courbes telles
qu’il
en passe une et une seule parchaque point
de
D; chaque
courbe est caractérisée par troisparamètres {
et toutpoint
de cette courbe est déterminé par leparamètre v :
L’application :
applique
lepoint
Mcorrespondant
à(a1, v)
sur lepoint
M’correspondant
à
(ai, v
+dv);
de tellesapplications
forment un groupe local à unparamètre.
Toute
grandeur ~a
en M est transformée par cetteapplication
enoù
t(k) désigne l’opérateur
transformée infinitésimale(ou
dérivée deLie)
par le
champ
de vecteurs ka. Le « vecteur de liaison »joignant
lespoints
de même
paramètre
de deux courbes voisines est à dérivée de Lie nulle.La
congruence C
estisotrope lorsque :
Il est commode pour étudier une telle congruence, d’utiliser un
repère
localisotrope
dont un vecteur de base est On a :les
coefficients a, b,
etc., étant définis par cetteéquation
elle-même.Les
propriétés géométriques
de e sont déterminées par lecomportement
desgrandeurs
suivantes :a )
la dilatation :b)
le tenseur tourbillon :auquel
sont attachés les scalairesc)
le tenseur de distorsion[3] :
auquel
sont attachés les trois scalaires4. - CONGRUENCES
ISOTROPES GÉODÉSIQUES
La congruence
isotrope C
estgéodésique lorsque :
On
peut alors,
par unchangement
convenable deparamètre (v
-u)
poser :le nouveau
paramètre
affin u étant déterminé à une transformation affineprès
Avec ce
choix,
les seuls scalairesindépendants
attachés à lacongruence C
et ne contenant que les dérivées
premières ~03B1k03B2,
sont :On sait que ces scalaires déterminent la manière dont se déforment les ombres
projetées
sur un écranperpendiculaire
à la congruence des rayons lumineux assimilés auxgéodésiques isotropes.
Ces scalaires ne sont pas déterminés de manière
unique
par la donnée de lamétrique;
ilsdépendent
du choix duparamètre
sur lagéodésique isotrope :
a)
si ceparamètre
est v(g # 0),
on a :b )
si ceparamètre
est u’ défini par(4. 3),
on a :Cet arbitraire sur le choix de ces scalaires reflète l’arbitraire dont on
dispose
en Relativité
générale
sur le choix de lajauge physique
locale et montreque cette théorie est strictement
compatible
non avecl’équivalence
fortemais avec la
C-équivalence [4].
D’autre
part,
la relation :permet
d’écrire la loi depropagation
des différents coefficients de(3.4),
en
particulier
des coefficients e et d :en
posant :
On en déduit notamment :
5. -
ÉTUDE
D’UNE 2-FORMESINGULIÈRE [6, 7]
La 2-forme rp :
est dite
singulière lorsqu’il
existe un vecteur kx tel que :Lorsque
la 2-forme ç n’est pasidentiquement nulle,
k~ est nécessairementisotrope
et les deux scalaires attachés à cette 2-forme sont nulsde telle sorte que :
Les 2-formes
complexes
et sontrespectivement antiauto-adjointe
et
auto-adjointe :
6. - PROPAGATION
DU
CHAMP ÉLECTROMAGNÉTIQUE SINGULIER
ET EXAMEN CRITIQUE
DUTHÉORÈME
DEROBINSON
Considérons une 2-forme ç obéissant dans son
domaine d’existence,
aux
équations
deMaxwell :
et
singulière :
sur une
hypersurface
S transverse à C.Les
équations (6.1)
s’écrivent par rapport auxrepères isotropes
associésà sur
S, compte
tenu de(4 . 9)
et(5. 6a) :
avec :
a )
Lors dutransport
de Lie pour le vecteurka.,
on a :compte
tenu de(6.3a).
La notion de
champ singulier
est donc stable partransport
de Lie par k".b)
Lors de sapropagation
lelong
de latrajectoire
deka,
on a :soit encore,
compte
tenu de(6. 3a) :
D’où,
euégard
à(4.1),
le théorème suivant :La condition nécessaire et
suffisante
pour que la notion dechamp singulier
soit stable par
propagation
lelong
de latrajectoire
de k" est que cette tra-jectoire
soit unegéodésique isotrope
deV4 [7],
le caractèreorthogonal
de k"et
ma
étant conservé =0).
Il est
également
clair que cette stabilité duchamp singulier
àl’égard
de la
propagation
et du transport de Lie lelong
de lagéodésique isotrope
tangente
à ka
n’entraîne pas que le vecteurm"
soittransporté
parparallé-
lisme
(k6 ~ ajnx
=0)
ou à dérivée de Lie nulle par Il en résulteuniquement,
compte tenu de
(6.3b)
et(6.3c) :
ou encore :
Le caractère
singulier
de sur S entraîne :L’hypothèse
de Robinson[8]
consiste àpostuler
que lapropagation
du
champ singulier
est « normale », soit :Il s’ensuit naturellement alors :
c’est-à-dire le théorème de Robinson : la congruence des
géodésiques
iso-tropes, trajectoires
du vecteur propre k°‘ de =0)
est sans dis-torsion
(E1 - 82
=0).
Notonségalement
que les auteurs[9] qui
ont retrouvéce théorème ont fait une
hypothèse plus
forte : = 0.Il est maintenant clair que ce théorème traduit non une
propriété géné-
rale des
champs singuliers
deMaxwell,
mais seulement uneconséquence
de
l’hypothèse (6.7) qui postule
la conservation du caractère antiauto-adjoint
de Leschamps
vérifiant(6. 7)
et par suite le théorème de Robin-son seront
appelés champs hypersinguliers.
D’autre
part si,
bien que onpostule
que lechamp
vérifie au cours de sapropagation
leséquations
deMaxwell,
on a :
ce
qui
entraîne :7. -
CLASSIFICATION
DES CHAMPS SINGULIERS Les relations(4.8), (6.3c)
et(6.10)
permettent d’écrire :Les
principaux types
dechamps singuliers
sont :i) Champs singuliers intégrables [6, 7].
Ceschamps
tels que :sont modulo
(6 . 9),
stables au cours de leurpropagation
dans les variétésV4
où des congruences irrotationnelles
peuvent
exister.ii) Champs singuliers
à dilatation nulle. Ceschamps
tels que :sont modulo
(6. 9),
stables au cours de leurpropagation
dans les variétésV~
où les congruences
correspondantes peuvent
exister et dont le tenseur de Ricci est tel que :iii) Champs hypersinguliers.
Ceschamps
définis par :sont modulo
(6.9),
stables dans les variétésV~.
dont le tenseur de cour-bure obéit à :
iv) Champs
constants. Ils sont définis par la vérification simultanée de(7 . 5), (7 . 6)
et(6 . 8) [2] ;
ils sont évidemment stables au cours de leurpropagation
dans les variétésV4
où des congruencesirrotationnelles,
sans distorsion et sans dilatation existent et dont le tenseur de courbure vérifie
(7. 8)
et :Notons que les variétés
V4 envisagées
ici ne sont pas celles duvide,
mais celles
correspondant
à une distributiond’énergie
arbitraire incluantl’énergie
duchamp électromagnétique singulier [5*].
8. -
ÉTATS
DEPOLARISATION
DE LALUMIÈRE [1]
Considérons le cas
simple
où la lumièremonochromatique
est décritepar un
champ électromagnétique singulier intégrable
de Maxwell tel que :où j
est unsymbole équivalent
à i et 9i,désigne
lapartie
réelle parrapport
au
symbole j ;
on a :(lp -
et(lp - ~2) désignent
lesphases
invariantes des vibrations élec-triques suivant À]
et~,2.
De
(7.1),
on tire :La
description
des états depolarisation
de la lumièrecorrespondant
à(p"/l
+peut
être réalisée en substituant à ceschamps
leschamps
et tels que :
J étant choisi de manière que
Posons :
et sans
perte
degénéralité :
On a :
Il est aisé de voir que les
champs électriques :
où le vecteur unitaire u~
- ~ô
détermine lesystème
de référencephysique,
sont tels que :
ce
qui signifie
que lechamp électrique (ap
+bu)
décrit en unpoint fixe
del’espace
associé â u" et au cours dutemps,
uneellipse
de demi-axes a etb, l’angle
0 des deux vecteurspP
et ail étant déterminé par :La lumière est alors dite
elliptiquement polarisée.
Les
paramètres
suivants sont alors tous différents de zéro :et vérifient :
Nous les
appelons paramètres généralisés
de Stokes.a)
La lumière estpolarisée elliptique
droite ougauche
aupoint
considérésuivant que S2 > 0 ou s2
0,
tandis que so,S1 et
S3 sont tous différents de zéro.b)
La lumière est ditepolarisée
circulairelorsque :
mais
d’après (8.7),
J est indéterminélorsque (8.14a)
estvérifié;
nousadopterons
par convention cos (1 =7T ..
Cettepolarisation
circulaire est droite ougauche
suivant que :c)
La lumière est dite linéairementpolarisée lorsque :
d)
Deux faisceaux lumineux sont depolaiisations opposées lorsque :
Le
degré
depolarisation
de la lumière issue de deux faisceaux lumineux depolarisations opposées
est :La lumière est
complètement polarisée
si a = 0 et incohérente si et = 1.9. -
PARAMÈTRES GÉNÉRALISÉS
DESTOKES
ET GROUPE LOCAL DE
LORENTZ
Lors d’une transformation locale de Lorentz :
a)
lesgrandeurs
dephase
sont invariantes pardéfinition ;
b)
lesquantités p2, q2
et cos y sontinvariantes, compte
tenu des conditions de transversalité(8.3d)
et(8.3e)
duchamp électromagnétique considéré;
c)
les deuxcomposantes
PJlV et qJlV duchamp
se transforment de manièreindépendante,
laphase
({J étant invariante.ANN. INST. POINCARÉ, 19
Les
paramètres généralisés
de Stokes sont, parsuite,
invariantspar
(2 . 3) [10].
L’état local depolarisation
de la lumière est doncindépen-
dant du
repère
local orthonormé choisi pour effectuerl’interprétation physique
locale.Remarque.
Il est clair que lesparamètres généralisés
de Stokes définissent le même état depolarisation, lorsqu’on
effectue unchangement
local dejauge,
cequi
rend cette caractérisation de lapolarisation compatible
avecla
C-équivalence.
10. - PROPAGATION
DES
PARAMÈTRES GÉNÉRALISÉS
DE STOKES Lesgrandeurs
dephase
introduites dansle §
8 sont,d’après (8.2b),
invariantes au cours de la
propagation
duchamp
D’autre
part,
cechamp
étantintégrable,
on a :Le
champ
aupoint
voisin M’(MM’ correspondant
à la variété Au duparamètre
sur lagéodésique isotrope)
est :On
peut
donc écrire aupoint
M’ :avec :
Les
paramètres généralisés
de Stokes aupoint
M’peuvent
dès lors être définis àpartir
dePp
etqu
de la même manièrequ’au point
M. Les expres- sions(10. 3b)
depu
etq~
montrent que dans le casgénéral,
lesparamètres
généralisés
de Stokes sont aupoint
M’ différents de ceux définis enM;
le type de
polarisation
de la lumière varie donc d’unpoint
à l’autre[7]
lors de sa
propagation
dans un espace de Riemann dont la structure est déterminée par la distributiond’énergie présente.
L’étudeexplicite
de cesvariations fera
l’objet
d’un travail ultérieur.Mais
lorsque
lechamp singulier intégrable
considéré esthypersingulier (e
=0),
lechamp
se réduit(1
+ et décrit une lumière de mêmetype
depolarisation
que~u," puisque
lesparamètres généralisés
de Stokessont
indépendants
d’unchangement
local dejauge.
11. -
RÉSUMÉ
L’étude
précédente
nous a montréqu’à l’égard
de lapolarisation
dela lumière
monochromatique,
leschamps électromagnétiques singuliers intégrables
se divisent en deux classes :a)
leschamps hypersinguliers (e
=0) qui
secomportent
comme descas purs stables au cours de leur
propagation;
b)
leschamps singuliers généraux qui
révèlent que lechamp
degravi-
tation
agit
àl’égard
de lapolarisation
comme un milieupolarisable.
BIBLIOGRAPHIE
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de lapolarisation
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dansdes espaces dont le tenseur de
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estalgébriquement spécial
est effectuéedans : C. R., t. 266 A, 1968, p. 509 et J. Math.
Phys.,
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(Note ajoutée à la correction desépreuves).
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électromagnétiques
en Relativitégénérale,
Ann. Mat. pura edappl.,
t.50,
1960, p. 1(cf.
référencesuivante).
[7] L. MARIOT,
Étude
deschamps singuliers intégrables. Établit
sous deshypo-
thèses
restrictives,
que les états depolarisation
circulaire droite etgauche
sont des cas purs
qui
se conservent en Relativitégénérale (03A603B103B2k03B2
= 0 dansun domaine
de V4 ~ k03C3~03C3k03B1
= 0; inversement k03C3~03C3k03B1 = 0 et03A603B103B2k03B2
= 0sur une
hypersurface
S de genre espace ~k03B2k03C3~03C303C603B103B2
= 0, ou colinéaireà k03B1 ou tangent à S
(permanence
duchamp singulier)),
Rend. di Mat.,t.
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I. ROBINSON, La congruence associée à k03B1 est sansdistorsion,
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[10]
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Manuscrit reçu le 28 novembre 1967.