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L évolution du CDI à l ère du numérique GPS Centre Alsace Année 2012/2013 Bilan

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Texte intégral

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L’évolution du CDI à l’ère du numérique

GPS Centre Alsace Année 2012/2013

Bilan

Objectifs

Notre problématique de départ était :

« L’évolution du CDI à l’ère du numérique : quelle place accorder au fonds papier face aux ressources numériques ? Comment développer leur complémentarité ? »

Bilan :

Lorsque nous avons préparé le contenu de cette année de travail, notre objectif était de réfléchir à la place respective du fonds papier et des ressources numériques dans nos CDI. Nous étions partis du constat que, pour leur recherche d’informations, les élèves délaissaient le format papier au profit des ressources

numériques. Nous voulions donc trouver des solutions pour rendre ce fonds papier plus attractif (mise en valeur dans l’espace, animations, partenariats, utilisations pédagogiques, …)

Très vite, il est devenu évident que, au contraire, nous devions axer notre réflexion sur les ressources numériques. Nous avons choisi de nous intéresser aux livres numériques et, dans une moindre mesure, aux livres audio et aux podcasts, en nous posant les questions suivantes :

- Dans quelle mesure leur usage est-il possible/souhaitable au CDI ?

- Quelles sont les contraintes (matérielles, juridiques, financières, etc. …) liées à cette utilisation ?

L’entretien que nous avons eu avec Fabrice Battesti (cf. annexe 1), libraire à la librairie Pleine Page de Sélestat, nous a confortés dans l’idée que le livre numérique était un enjeu culturel important des années à venir. Selon lui, nous ne devons pas en avoir peur. « L’aspect culturel et économique du livre numérique sont de réels enjeux qui déterminent également des enjeux sociaux, entendons par là, les enjeux face aux pratiques de lecture : le livre numérique amène à lire dans d’autres lieux et à d’autres moments de la journée : modification des pratiques sociales … Si toutes ces compétences de la chaîne de production du livre (auteur, illustrateur, maquettiste, éditeur, traducteur, libraire, réseau de diffusion) sont maintenues, le livre numérique ne changera pas la donne, mais constituera uniquement un changement de format/support. »

Une recherche d’informations sur les liseuses (cf. annexe 2) et surtout l'expérience des bibliothécaires de la BDBR de Villé (cf. annexe 3) nous ont permis de pointer les difficultés liées à la gestion des livres numériques en collectivité : offre encore trop chère et inadaptée à un usage collectif, « flou » législatif concernant le droit de prêt et de diffusion.

A l’issue de ces différentes rencontres, nous faisons le constat suivant. L’usage du livre numérique au CDI est un enjeu culturel que nous devons envisager dans un avenir plus ou moins proche. Mais au vu des difficultés de gestion, il ne nous semble pas incontournable pour l'instant.

Parallèlement à notre problématique, les réunions de GPS sont l’occasion d’un temps d’échanges autour de l’actualité éditoriale. Cette année, nous avons décidé de modifier notre fonctionnement. A chaque réunion, nous retenons un thème principal (ce qui ne nous empêche pas de présenter nos « coups de cœur » hors thème). Vous trouverez donc également en annexe (annexes 6 à 11) les bibliographies cor- respondant aux thèmes retenus cette année : l’humour, l’amour, le handicap, les romans épistolaires, les conflits du 20e siècle, les romans post apocalyptiques.

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Annexes

Vous trouverez en annexe de ce bilan les comptes rendus de nos journées de travail ainsi que les bibliographies thématiques.

Annexe 1 : les enjeux du livre numérique (rencontre avec Fabrice Battesti, libraire à Pleine Page, Sélestat) Annexe 2 : Les liseuses passées au crible (étude comparative de différentes liseuses – décembre 2012) Annexe 3 : Les liseuses en bibliothèque (expérience des bibliothécaires de la BDBR de Villé)

Annexe 4 : les podcasts

Annexe 5 : les livres audio et le road book Annexe 6 : l’humour

Annexe 7 : l’amour Annexe 8 : le handicap

Annexe 9 : les romans épistolaires

Annexe 10 : les conflits du XXème siècle (sauf guerres mondiales) Annexe 11 : le post-apocalyptique.

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GPS des documentalistes de Centre Alsace 2012/2013 Annexe 1

Quels sont les enjeux du livre numérique ?

Rencontre avec M. Battesti, librairie Pleine Page Sélestat 22 octobre 2012

Mme HEINRICH, coordonnatrice, présente :

− le Groupe Professionnel de Secteur de documentalistes, son mode de fonctionnement, notamment avec les thématiques annuelles, et son besoin de mutualisation constant. Elle explique le thème de travail de cette année « Quelle place accorder au fonds papier par rapport aux ressources numériques ? Concurrence ou complémentarité? »

− nos attentes : quelle est la place du livre numérique dans l’offre éditoriale actuelle ? Comment se positionne M. Battesti par rapport à ces nouveaux enjeux ? Comment nous, en tant que documentalistes pouvons-nous nous placer par rapport à cette évolution des supports et des pratiques de lecture. L’intérêt étant d’avoir le point de vue d’un professionnel de la chaîne du livre et de mener une réflexion collective.

M. Battesti affirme que les libraires sont assez individualistes mais que face aux enjeux économiques et culturels à venir, s’est fait pressant le besoin de créer une association de libraires en particulier face à la progression des supports numériques. Selon lui, c’est l’enjeu culturel important des années à venir, donc il est vital de réfléchir et d’agir collectivement pour les libraires.

La réflexion collective permet d’enrichir la démarche à tenir face au livre numérique, nouveau support ayant pour conséquence des enjeux économiques et culturels.

En 2011, se sont tenues les Assises de la Librairie en présence de Frédéric Mitterrand, alors ministre de la Culture. Celui-ci soutenait cette action des libraires de façon convaincue, il a rencontré les grands majors de production de l’offre du livre numérique (Amazon, Fnac, …). En substance, il a dit aux libraires présents

« Ca va être très dur pour vous ». Le ministre a réitéré son soutien formel aux libraires, au livre comme accès vital à la Culture.

Face à une importante mobilisation des libraires, la création de l’association A.lire s’est imposée en Alsace, seule région qui ne dispose pas, avec la Corse, de Centre régional du livre dont les missions sont de coordonner les actions autour du livre. Mener une action collective donne de la légitimité à chacun et permet d’intégrer ce nouveau dispositif numérique tout en étant acteur. Cette association permet de réfléchir en filières notamment en se rapprochant d’autres associations comme le Grill (Groupement des illustrateurs, auteurs et scénaristes d’Alsace) afin de monter un « contrat de progrès, dispositif avec financement pour l’aide à la filière Livres. M. Battesti est en charge de la commission « numérique ».

M. Battesti définit ensuite la notion de livre numérique : Ce n’est pas juste un autre format, c’est aussi :

- Un auteur - Un illustrateur - Un maquettiste - Un éditeur

- Eventuellement un traducteur - Un libraire

- Un réseau de diffusion

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Pour enfin rencontrer le lecteur… système qui a fait ses preuves et depuis longtemps.

Mais ce qui fait l’exception française, c’est la loi sur le prix fixe du livre. Si toutes ces compétences de la chaîne de production du Livre sont maintenues, le Livre numérique ne changera pas la donne, mais constituera uniquement un changement de format/support. Toutes ces compétences évoquées plus haut ne doivent/ne peuvent pas être assujetties à l’économique. L’ordinateur et le numérique ne sont pas là pour supprimer les compétences, cependant, l’apparition du livre numérique ne doit pas permettre l’écriture par tous, ne doit pas être considéré comme un outil à la portée de tous, il faut respecter les acteurs du livre, et donc du livre numérique.

M. Battesti n’est pas inquiet pour l’avenir car face à l’économique, il y aura toujours la régulation des jeunes.

Mme Kelhetter pose la question de la lecture des jeunes adolescents dits « Digital Native », nés avec des écrans et qui ne lisent pas de livres sur support papier pour le moment. Qu’en sera-t-il quand ils seront adultes ?

M. Battesti On construit l’avenir du livre pour le moment pour les 5 ans à venir sur la base d’observations des pratiques actuelles de lectures morcelées, des différents usages du livre, il n’y a plus le passage obligé par le livre sur support papier.

Les libraires sont déjà dans le numérique. Par exemple, côté technologie, on peut déjà, suite au visionnement d’une émission TV/interview d’un écrivain, chercher à l’aide de la « box », un extrait de son dernier livre pour le lire et en prendre connaissance.

Le prix du livre numérique a été fixé 30% moins cher que le livre sur support papier afin que le choix des lecteurs ne se fasse pas seulement en fonction du critère économique.

La vraie question est celle, dans ce nouveau dispositif, de la place des libraires. M. Battesti a pris contact avec les éditeurs, les agrégateurs des plates formes numériques qui lui ont bien reprécisé la place très importante des libraires dans la chaîne du livre même à l’ère du numérique. L’une des preuves en est que les plates formes numériques auront les mêmes remises que les sites des libraires en ligne.

Les aspects culturels et économiques du livre numérique sont de réels enjeux qui déterminent également des enjeux sociaux, entendons par là, les enjeux face aux pratiques de lecture : le livre numérique amène à lire dans d’autres lieux et à d’autres moments de la journée : modification des pratiques sociales.

Historiquement, l’économie du livre a longtemps fonctionné et a donné des codes sociaux. Aujourd’hui, le livre numérique a un avenir si tous les acteurs restent en place et si les comportements des lecteurs / acheteurs évoluent. Les générations ont une approche différente de la notion d’achat. Quelles seront les habitudes des lecteurs « nouvelle génération » ?

Le rapport à l’écran est une nouveauté pour nous, adultes, et l’arrivée du numérique modifie les pratiques de lecture.

Mme Gaudin : en sciences de l’info-communication, on parle du numérique comme d’une troisième révolution dans la communication humaine : La première étant l’invention de l’écriture, la deuxième l’invention de l’imprimerie, la troisième, celle que nous sommes en train de vivre, le numérique.

Les générations futures ne se poseront plus la question de l’écran.

Précision de M. Battesti : attention aux termes « info-communication » justement et à la niche intellectuelle que cela conditionne.

M. Battesti : la démarche du libraire doit être celle d’être prêt face aux évolutions, de s’adapter à la technologie, au progrès. Les nouvelles technologies proposent une facilité d’usage, dans le livre numérique également. En tant que libraire, c’est l’aspect de la diffusion qui est pris en compte.

Mme Heinrich demande « En tant que cliente, comment ferai-je pour acheter concrètement un livre numérique en librairie ? »

M. Battesti « Ce sera un rayon parmi d’autres, un « corner »=borne de téléchargements et aussi sur le site de la librairie en ligne, un espace de téléchargements via un agrégateur (plateforme numérique), le libraire reste le distributeur.

Mais ce qui pose problème en ce moment c’est la concurrence d’Amazon.

Notre force sera de proposer autre chose, à savoir mon travail de libraire auprès de mes clients. Amazon a profité de la gratuité d’envoi des livres alors que les libraires doivent faire payer à leurs clients des frais de port (alors qu’auparavant il existait un tarif postal spécial pour les livres).

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Nous assistons actuellement à autre chose : dans l’imaginaire collectif, jusqu’ici, les livres, réunis en bibliothèque se devaient d’être visibles dans l’espace privé. Maintenant, le livre devient absent, invisible : effectivement, avec les nouveaux supports (tablettes, kindle, smartphone et autres) il est facile de cacher qu’on lit…

Les éditeurs évaluent l’évolution du livre numérique à 10% du marché de l’offre éditoriale dans les 10 années à venir. M. Battesti pense que l’on va vers une offre couplée, notamment pour les manuels scolaires.

Il évoque aussi le DRM (gestion des droits numériques) qui bride, selon les éditeurs le nombre de lectures ou de transferts après l’achat d’un livre numérique.

L’éditeur Viviane Hamy propose une autre solution, car il est pour la diffusion la plus large du livre et contre le DRM. Elle propose le tatouage numérique et est, en cela, rejoint par l’association A.lire qui milite contre un livre à format unique et sans DRM.

Pour M. Battesti, proposer des livres numériques ne définit pas leur profession, mais tout un travail important se doit d’être fait aussi sur le numérique : « Le livre numérique est une véritable chance car il permet d’être encore plus au contact des nos clients », d’augmenter l’impact de son rôle social et culturel, de faciliter l’accès à la culture, et d’être encore plus un acteur et un référent indispensable dans la chaîne du livre et de l’accès à la culture.

Mme Génin : « Comment nous, documentalistes, pouvons-nous nous inscrire dans la démarche de l’Association A.lire ? »

M. Battesti : c’est pour le moment une association des acteurs de la chaîne du livre (aspect de commercialisation).

Mme Génin : « Comment nous, documentalistes, pouvons-nous faire vivre le livre sous forme numérique?

M. Battesti : en faisant comme nous, en acceptant d’être acteur du système et avoir un esprit ouvert sur la diffusion, la communication, le conseil....

Dans certaines bibliothèques, on utilise le prêt à la durée, comme le propose UNILOG, on peut acquérir un livre pour une durée déterminée, ce qui modifie bien sûr la politique d’acquisition (les informations, l’actualité par exemple).

Cela pose aussi la question de la mémoire : on sait que la BNF numérise les textes, mais finalement quelles conséquences dans le temps pour ce nouveau support de stockage ?

Les possibilités du livre numérique permettent :

- d’acheter les droits de lecture pour une durée limitée (3 mois, 6 mois, un an) pour les livres d’actualité rapidement dépassés. C’est le choix qu’ont fait les libraires de la BDBR.

- Aussi l’accès au fonds des livres épuisés

Mais le problème du livre numérique, c’est la non hiérarchisation, tout est au même plan …

Pour conclure, M. Battesti affirme qu’on va tous vers le numérique, mais qu’il est essentiel de faire face non seulement à l’enjeu économique que cela représente, mais pas seulement. D’où la nécessité de réflexion collective (association A. Lire par exemple). D’un autre point de vue, il est légitime que les libraires se positionnent dans une optique commerciale du livre, ils sont soutenus par l’ensemble des acteurs du livre, en étant distributeurs. L’essentiel étant de pouvoir continuer, en tant que libraire, à diffuser et commercialiser le livre, même numérique (transformation du support finalement), mais de ne pas se laisser engloutir par la diffusion en ligne non réglementée.

Et ce n’est pas la seule modification d’un support qui finalement détermine la profession de libraire, mais bien le rapport aux clients dans son expérience culturelle et sociale.

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GPS des documentalistes de Centre Alsace 2012/2013 Annexe 2

Les liseuses passées au crible

Etude comparative de différentes liseuses Décembre 2012

Dossier Eduscol sur le livre numérique : http://eduscol.education.fr/numerique/dossier/lectures/livrelec

Modèle Fournisseur Coût Mémoire/stockage Ecran Compatibilité avec d’autres formats

Divers

Kobo Fnac 99 € 2 Go/1400 livres

(1,2 Go)

6 ‘’ Oui

Koboglo Fnac 129 € 2 Go/1400 livres 6 ‘’ Oui Eclairage in-

tégré

Kindle Amazon 79 € 2 Go/1400 livres 6’’ Non Pas tactile

Kindle Pa- perwhite

Amazon 129 € 2 Go/1100 livres 6’’ Non - Eclairage

intégré Résolution + ++

Sony Rea- der PRS-T2

Sony 149 € 2 Go/1200 livres 6’’ Oui -Légèreté

- Autonomie 49 jours Cybook

Odyssey

Booken (Virgin)

99 € 2 Go/2000 livres 6’’ Oui -Nouveau

Littré gratuit

Avantages / Inconvénients d’une liseuse dans les CDI

Avantages Inconvénients

• Capacité de stockage

• Rapport stockage/poids

• Possibilité de répondre instantanément à une demande de livres absents au CDI

• Sentiment de modernité (pour élèves désintéressés par la lecture)

• Offre gratuite de classiques

• Changement de police possible

• Dictionnaire intégré

• Prix encore élevé

• Risque de vol/détérioration

• Conditions de prêt à déterminer

• Usage individuel uniquement

• Pas d’image, pas de couleur

• Catalogue commercial restreint sauf pour les nouveautés

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• Possibilité d’annoter

Fournisseurs de livres numériques :

Amazon ; Fnac.com ; 1001libraires ; Chapitre.com ; libraires indépendants... qui visiblement s’alignent tous en termes de prix.

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GPS des documentalistes de Centre Alsace 2012/2013 Annexe 3

Les livres numériques en bibliothèque

Rencontre avec les bibliothécaires de la BDBR de Villé 31 janvier 2013

Voici le compte rendu de notre journée de rencontre avec les bibliothécaires de la BDBR de Villé.

Nous avons échangé sur leur expérience du prêt et de la mise à disposition de livres numériques (liseuses ou de tablettes) aux usagers de la bibliothèque.

Prix / accès Une liseuse coûte entre 70 et 130€ et évolue très vite. Le matériel doit être changé régulièrement.

Il n'existe qu'une seule plateforme de mise à disposition de livres numériques avec les droits de prêt : Numilog. L'abonnement annuel coûte 1800€.

Il existe deux modalités :

–l'abonnement : on achète chaque livre en 3 exemplaires pour une durée d'un an. (il faut racheter chaque ouvrage tous les ans. 1 livre = 15€

environ)

–L'achat : on achète un exemplaire que l'on peut garder tant que l'on est client de Numilog.

epub est un format standardisé pour les livres numériques sur liseuses.

(sauf pour amazon kindle) Gestion / Mise

à disposition

Concrètement, un usager peut emprunter 1 liseuse pendant 1 mois (durée normale de prêt).

Il choisit un ou plusieurs titres (10 maximum) qui seront transférés par la bibliothécaire sur la liseuse.

On peut télécharger un livre sur 6 liseuses ou tablettes.

Ce livre est téléchargé avec un identifiant grâce au logiciel Adobe. Cette manipulation est faite en direct mais elle demande du temps (10-15 min.). Il faudrait prévoir de la faire en différé (l’usager pourrait choisir ses livres au préalable via Internet ou des liseuses en wifi permettraient aux usagers de télécharger de chez eux).

A la fin de la durée du prêt, le livre se chronodégrade (pas de possibilité de prologation de prêt).

Si la tablette est rendue avant la fin de la durée du prêt, on ne peut pas effectuer « un retour » pour prêter le fichier à un autre usager.

Avis / retour Une liseuse utilise une encre électronique qui ne génère pas de fatigue

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d'expérience visuelle, contrairement à la tablette. Par contre, une tablette offre des applications ludiques (livre animé, par ex.)

Une liseuse présente un réel avantage pour toutes les personnes nomades qui aiment lire.

A la BDBR de Villé, la liseuse n'est pas demandée par le public adolescent et n'est pas assez attractive pour eux. (pas de couleurs...) Il existerait une application sur Ipad qui permet au lecteur de suivre sa lecture avec le doigt. Cette application permet de repérer les mots sur lesquels le lecteur bute. Une application intéressante pour les enfants dyslexiques ?

La plateforme Numilog n'est pas encore très riche. Le catalogue de livres gratuits ne présente pas grand intérêt (à part pour les ouvrages tombés dans le domaine public) et les titres récents ne sont pas tous disponibles.

Après le prêt, les utilisateurs de tablettes peuvent laisser des « traces » de leurs recherches sur internet, et il faut « nettoyer »avant le prêt suivant.

Evolution PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque) sera présenté au Salon du livre 2013 par la société Dimilog et viendra concurrencer Numilog. La BDBR attend ce nouveau prestataire de service avant de renouveler son contrat avec Numilog.

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