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trimestre 2021

Nous assistons à une période fascinante pour l’économie mondiale. La quantité de manchettes qui se font concurrence est tellement prolifique que nous avons peine à décrocher. La planète entière lutte contre Omicron, variant de la COVID-19 qui se propage le plus rapidement jusqu’à maintenant; environ 10 milliards de doses de vaccin ont été administrées à ce jour dans le monde, au moment de rédiger ce texte. L’économie mondiale a somme toute rouvert (mis à part certains pays qui se confinent à

nouveau) et la consommation de biens a repris de plus belle. Les chaînes d’approvisionnement mondiales, plus interconnectées que jamais, subissent énormément de stress et les données les plus surveillées à l’heure actuelle sont le nombre de navires accostés dans les différents ports. Sans compter que l’inflation, conséquence logique des événements des deux dernières années, a atteint un nouveau sommet en 30 ans malgré le grand nombre de postes non comblés.

Si 2020 était l’année du virus (si vous préférez, l’année des mesures de relance) et 2021 l’année du vaccin, on pourrait dire sans crainte de se tromper que 2022 sera l’année de l’incertitude. Il n’y a pas de période de 12 mois comparable dans les livres d’histoire pour guider les économistes dans leurs

prévisions. Par conséquent, l’avenir repose en grande partie sur la façon dont la Réserve fédérale des États-Unis va naviguer dans le brouillard. Passons en revue quatre éléments que nous connaissons déjà.

Premièrement, comme les consommateurs des pays développés ont plus d’argent disponible, les dépenses devraient demeurer élevées. Deuxièmement, les entreprises sont à la fois disposées et capables d’investir davantage dans leurs capacités de production et leurs stocks, si bien que si aucun autre choc majeur ne survient, le produit intérieur brut mondial devrait poursuivre sa croissance.

Troisièmement, les marchés boursiers mondiaux sont bien positionnés pour continuer d’enregistrer des gains, car les bénéfices de l’indice MSCI All Country World devraient augmenter d’environ 20 % en 2022.

Quatrièmement, les politiques monétaires mondiales devraient continuer à se resserrer, car de nombreuses banques centrales ont déjà pris le chemin du retour à la normale.

Sachant cela, comment effectuer la transition de 2021 à 2022? Probablement avec une bonne dose de prudence et d’humilité, mais aussi sans trop de pessimisme, car nous sommes persuadés que de bonnes occasions de placement vont se présenter aux investisseurs actifs.

L’économie canadienne a accéléré au cours de la deuxième moitié de 2021, après un deuxième

trimestre décevant. Beaucoup de choses vont bien dans notre pays, y compris les exportations (les prix des produits de base que nous exportons, par exemple, ont explosé cette année), mais notre arme secrète est notre marché du travail.

Le Canada a amorcé un cycle de forte création d’emplois, ce qui a entraîné une augmentation des dépenses de consommation, une demande accrue de travailleurs, etc. Le taux d’emploi des travailleurs

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canadiens dans la force de l’âge (entre 25 et 54 ans) s’est hissé à un sommet record de 84 %, ce qui est supérieur aux taux d’avant la pandémie.

Nous croyons que l’économie et les marchés canadiens vont continuer de s’illustrer en 2022 et que le dynamisme du marché du travail va soutenir une croissance forte et durable. Cette situation place la Banque du Canada dans une position plus favorable pour aller de l’avant avec la normalisation de sa politique monétaire et amorcer des hausses de taux plus tôt et à un rythme plus rapide que la Réserve fédérale. Cette conjoncture augure bien pour le dollar canadien, que nous ne serions pas surpris de voir remonter entre 0,85 $ US et 0,90 $ US d’ici la fin de l’année.

À l’heure actuelle, l’économie américaine se démarque par des dépenses de consommation

considérables, fort probablement alimentées par les plans de relance adoptés au début de 2021. Nous croyons que les craintes liées à l’inflation sont plus justifiées chez nos voisins du Sud, parce que les États-Unis sont désormais aux prises avec un problème de demande en plus des problèmes

d’approvisionnement mondiaux, au point où les tablettes se vident et les prix des véhicules d’occasion montent en flèche. Bien que la planète entière surveille de près l’évolution du variant Omicron, il est clair que la barre est plutôt haute pour un retour au confinement aux États-Unis. Il semble y avoir peu d’appétit politique pour une remise en vigueur des mesures sanitaires (et il y a peu de chances que la population y adhère), compte tenu des divergences d’opinion concernant la pandémie et la vaccination.

L’élément de l’économie américaine qui nous semble le plus attrayant en ce moment est le marché du travail. Nous avons rarement, pour ainsi dire jamais, assisté à une pénurie de main-d’œuvre d’une telle envergure aux États-Unis. Les entreprises ne trouvent pas de travailleurs qualifiés et le taux de

participation reste inférieur aux seuils d’avant la pandémie. Elles ont encore du mal à ramener les travailleurs sur le marché du travail, ce qui pourrait éventuellement entraîner non seulement une inflation par les salaires, mais aussi freiner l’élan économique du pays lorsque les effets des récentes mesures de relance ne se feront plus sentir. La Réserve fédérale des États-Unis, qui a le double mandat de stabilité des prix et de plein emploi, est coincée entre l’arbre et l’écorce et son plan d’action aura une énorme incidence sur l’appétit pour le risque pendant l’année. Le retrait graduel des mesures

d’assouplissement quantitatif a finalement commencé et s’est même accéléré en décembre (et devrait se poursuivre jusqu’au printemps), tandis que les hausses de taux d’intérêt devraient débuter au printemps prochain. Le nombre de hausses de taux demeure incertain, mais nous pensons que trois ou quatre hausses sont probables, si l’on se fie aux prévisions de la Réserve fédérale.

L’indice de référence mixte du Fonds, constitué à 60 % de l’indice composé S&P/TSX et à 40 % de l’indice S&P 500, a clôturé la période en hausse de 8,19 %. Tous les secteurs ont contribué au rendement de l’indice de référence combiné, à commencer par ceux des matériaux et de l’immobilier.

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Le Fonds a accusé un retard sur son indice de référence au cours de la période. La répartition sectorielle a contribué au rendement relatif du Fonds, contrairement à la sélection des titres. En matière de sélection de titres, la sous-pondération d’Apple Inc. et de NVIDIA Corp. est le facteur qui a le plus nui au rendement du Fonds, car ces deux sociétés se sont bien comportées au cours de la période. Apple a obtenu un rendement supérieur au marché, parce que les investisseurs ont délaissé les sociétés au coefficient bêta plus élevé et à plus petite capitalisation pour se tourner vers des titres de grande qualité comme Apple. Dans le secteur de la consommation discrétionnaire, la sous-pondération de Tesla Inc. a également nui au rendement du Fonds. Tesla demeure le titre de référence pour les véhicules

électriques. Même si nous apprécions les avantages potentiels de la transition vers les véhicules électriques, nous croyons que la valorisation de Tesla est exagérée.

Au Canada, la dernière année a été mémorable pour les investisseurs et la plupart des catégories d’actif ont généré des rendements positifs. Les obligations, l’or et les actions chinoises sont les seuls titres qui ont enregistré des rendements négatifs en 2021. Cependant, les marchés ont connu un début d’année 2022 difficile en raison de la hausse des taux d’intérêt. Le taux de référence, celui des bons du Trésor à 10 ans, s’établit à 1,80 %, un sommet depuis le début de la pandémie. On s’attend maintenant à ce que la Réserve fédérale augmente ses taux d’intérêt à trois ou quatre reprises en 2022, ce qui enverrait le signal que la banque centrale veut tenter de contenir l’inflation. Elle pourrait relever les taux d’intérêt à court terme en mars et commencer à réduire la taille de ses avoirs en obligations et autres actifs peu de temps après.

La Chine sera probablement l’un des rares pays où les taux d’intérêt vont baisser. Le ralentissement de l’économie chinoise lié à l’immobilier et sa crise énergétique pourraient causer davantage de

perturbations. Pour soutenir son économie et le secteur immobilier, la Chine pourrait entrer dans un cycle d’assouplissement de sa politique monétaire, ce qui pourrait ouvrir la voie à des conditions financières plus accommodantes et avoir une incidence positive indirecte sur les produits de base comme le cuivre et le minerai de fer. Cependant, comme Beijing a besoin d’un ciel dégagé avant les Jeux olympiques d’hiver de 2022, nous ne nous attendons pas à ce que les entreprises des industries lourdes, comme les aciéries, augmentent considérablement leur production avant la fin février.

Le variant Omicron de la COVID-19, qui se propage rapidement, a lui aussi perturbé le calendrier des introductions en Bourse au début de 2022. La vague Omicron se caractérisera davantage par un absentéisme accru au travail que les vagues précédentes. À court terme, l’impact d’Omicron devrait exacerber les problèmes de pénurie de main-d’œuvre et soutenir l’inflation. Les pénuries de personnel vont créer des problèmes d’approvisionnement et cela aura un impact sur la rentabilité des sociétés en raison de la hausse des coûts de main-d’œuvre. Au cours des prochaines semaines, les cas vont

commencer à diminuer à mesure que cette vague va se retirer. La grande question est de savoir si cela

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marquera la fin de la pandémie, car la gravité moins grande et la transmissibilité élevée d’Omicron évincent les variants plus graves et mènent à une large immunité naturelle.

La hausse des taux et la nouvelle vague de COVID-19 ont eu un impact négatif sur les marchés boursiers, comme en témoigne l’indice composé NASDAQ, axé sur la technologie, qui a chuté de 4,5 % au cours des cinq premiers jours de Bourse de 2022, son pire début d’année en six ans. Pourtant, un profond marché baissier ne se produit pas à moins qu’une récession ne se profile à l’horizon, ce qui n’est pas prévu. Sur une note plus positive, les secteurs cycliques continuent de dominer largement. Compte tenu des mesures de relance mises en place par la Chine, de l’adoption prochaine d’un programme de dépenses en infrastructures aux États-Unis, du rétablissement des chaînes d’approvisionnement et des stocks au plus bas, la tendance des titres cycliques semble bien soutenue en ce début d’année 2022.

Malgré toutes les craintes entourant le variant Omicron et le risque lié à la demande chinoise, les prix du pétrole brut continuent de bénéficier de la préservation du capital et du peu d’investissement des producteurs au cours de la dernière décennie. L’offre mondiale peine à augmenter et les pays de l’OPEP+ ont eux aussi des problèmes, car des perturbations nuisent à la production en Libye et au Kazakhstan. Nous croyons que 2022 pourrait être aussi bonne que 2021 pour ce secteur, alors qu’un marché haussier pluriannuel de l’énergie s’amorce, compte tenu du resserrement des normes environnementales et des demandes changeantes des investisseurs.

Le portefeuille a une très bonne exposition aux titres cycliques et aux secteurs de l’industrie et de la consommation discrétionnaire. Nous avons eu un certain succès avec notre surpondération de l’énergie depuis le début de 2021. Nous allons tenter d’augmenter notre exposition au secteur des technologies de l’information à un moment donné au cours des trois à six prochains mois. L’accent mis sur la sélection active des titres sera un facteur clé de différenciation pour générer de l’alpha (c’est-à-dire un rendement relatif supérieur grâce à la gestion active) au cours des prochains mois.

Selon la « loi des rendements croissants », les mêmes facteurs de croissance exponentielle qui ont rendu possible la « loi de Moore » (soit le doublement de la capacité des semi-conducteurs par pouce carré tous les 18 mois) se sont étendus à toutes les formes de progrès technologiques. Les investisseurs ne peuvent pas faire fi des courbes paraboliques incontestables (la trajectoire de la courbe parabolique est une ligne de tendance courbée qui ressemble à un arc ou à une forme elliptique) qui émergent dans tous les secteurs d’activité et dans tous les marchés. La stratégie de gestion du volet des actions américaines du Fonds vise justement à procurer une valeur ajoutée en mettant à profit la

compréhension des retombées omniprésentes des innovations technologiques perturbatrices. Les retombées de ces innovations exercent de plus en plus d’influence dans chacun des secteurs de l’économie et créent de nombreux gagnants et perdants du point de vue de l’investissement. Nous estimons que, compte tenu de l’évolution continue d’Internet et l’émergence de l’intelligence

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artificielle, du séquençage de l’ADN, de la robotique et de la technologie des batteries, nous vivons dans une période vraiment intéressante de l’histoire, comparable à l’essor de l’industrie automobile et l’invention de l’électricité et du téléphone au début du XXe siècle.

La tempête du siècle, à savoir les mesures de confinement qui ont ralenti le secteur manufacturier en Asie, la réduction obligatoire de la consommation d’électricité en Chine et la hausse des prix de

l’énergie, reporte le retour à la normale des chaînes d’approvisionnement mondiales à encore plus tard en 2022. À court terme, cela va ralentir la croissance économique et provoquer une autre poussée d’inflation passagère qui va soutenir la hausse des taux d’intérêt. Par le passé, l’inflation induite par un choc de l’offre a toujours semé les graines de sa propre disparition, car le flux inévitable de l’offre et l’anéantissement de la demande finissent par créer la situation inverse, soit une vague déflationniste.

Cela devrait également être vrai pour la plupart des chaînes d’approvisionnement cette fois-ci, à l’exception peut-être de celles des industries pétrolières, gazières et minières, qui ont vu leur accès aux marchés des capitaux devenir limité et qui ont été contraintes à une réduction significative de leur croissance. Cela pourrait entraîner une hausse des prix de l’énergie au cours des prochaines années.

Dans l’intervalle, un hiver plus froid pourrait aussi exercer davantage de pressions à la hausse sur les prix de l’énergie.

Le thème de la transition énergétique est devenu une priorité mondiale et va exiger d’énormes investissements pendant une période relativement longue, qui va probablement s’étaler sur plusieurs décennies. De concert avec la robotique, les plateformes d’automatisation et de transport, ces technologies de troisième génération sont des secteurs à plus forte intensité de capital en début de parcours, mais elles finissent par devenir désinflationnistes. Cela va certes créer des frictions en cours de route parce que les objectifs à long terme occasionnent des problèmes à court terme qui doivent être résolus. Un exemple frappant ces derniers temps est la décision du gouvernement chinois de fermer des usines dans de nombreuses provinces pour atteindre ses objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ces usines ont également dû faire face à la hausse des prix de l’électricité, car une grande partie de la capacité de production de charbon a été fermée pour la même raison. Il ne faut pas oublier que la Chine est aujourd’hui le moteur industriel de la planète. À long terme, ces chocs d’offre créent des incitatifs plus forts à accélérer les investissements dans la transition énergétique, car les seuils de rentabilité des nouvelles technologies diminuent par rapport aux problèmes économiques actuels liés à la consommation d’énergie. Au cours des prochaines années, alors que la démographie va continuer de changer, nous croyons que la transition énergétique bénéficiera d’un plus grand soutien des gouvernements et du public, mais il est clair que l’accélération des investissements ne doit pas aller de pair avec l’élimination des investissements dans les sources d’énergie conventionnelles si l’on veut éviter le risque de provoquer une crise énergétique. Nous avons positionné le Fonds de manière à ce qu’il renferme un amalgame de facilitateurs de transition énergétique et de sociétés réglementées qui

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ont divulgué leurs stratégies à long terme qui consistent à changer leur modèle d’affaires pour adopter de nouvelles technologies telles que l’hydrogène, le captage du carbone et les énergies renouvelables.

L’adoption du thème de l’automatisation est également accélérée par la conjoncture du marché du travail. Par exemple, nous avons entendu des dirigeants de restaurants à service complet dire que pour s’adapter à la pénurie de main-d’œuvre, ils ont décidé de remplacer définitivement une partie de leur personnel par des technologies. Il en va de même des détaillants et du service à la clientèle dans tous les secteurs d’activité. De son côté, l’industrie pharmaceutique prévoit réduire sa force de vente de 10 %, parce que le travail à domicile permet à un représentant d’assister à une dizaine de réunions virtuelles par jour au lieu de devoir se rendre dans cinq bureaux différents. L’adoption de la robotique a aussi été accélérée par la pandémie et ne se limite plus à quelques secteurs d’activité comme l’automobile. Trois millions de robots industriels travaillent dans le monde et nous prévoyons que ce chiffre atteindra cinq millions en 2025. Nous vivons dans un monde dynamique où les entreprises s’adaptent rapidement aux nouvelles réalités, et nous en avons eu un excellent exemple l’année dernière. En 2022, comme

l’économie va continuer de se remettre de la pandémie, les programmes budgétaires de soutien aux consommateurs seront abolis et les banques centrales vont resserrer leurs politiques monétaires. Le ralentissement de la croissance devrait favoriser le marché boursier américain, qui est davantage exposé à différents thèmes et qui renferme des titres de meilleure qualité.

En ce qui a trait au positionnement, nous construisons le portefeuille en ayant recours à une stratégie en forme d’haltères. D’un côté, nous aimons investir dans des sociétés qui innovent et attribuer entre 5 et 15 % de l’actif à des sociétés à petite et à moyenne capitalisation. Alors que tous les yeux sont rivés sur les pénuries d’offre et les problèmes de logistique, nous croyons qu’il vaut mieux porter notre attention sur des thèmes qui ne reposent pas vraiment sur des chaînes d’approvisionnement, tels que les plateformes de diffusion en mode continu, les jeux vidéo, les logiciels d’entreprise, les logiciels d’infrastructures, la cybersécurité et les plateformes de paiement numérique. Nous avons repéré de nombreuses entreprises dotées d’un bon potentiel de plus-value et nous sommes persuadés qu’avec le temps, ces titres vont générer des rendements largement supérieurs à toute exposition à la hausse des taux d’intérêt dans une perspective à plus long terme. Nous sommes également optimistes quant au secteur des soins de santé, qui est relativement à l’abri des craintes suscitées par les problèmes d’approvisionnement. Nous croyons que ce secteur pourrait générer des rendements relativement élevés, tout dépendant des éclaircissements que nous obtiendrons sur une éventuelle réforme

réglementaire et de l’identité du nouveau président de la Food and Drug Administration des États-Unis dans un proche avenir. Nous allons continuer à travailler sur notre style de placement thématique unique, tout en y intégrant notre vision différenciée et nos perspectives.

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Rendement du fonds et de l’indice de référence,

au 31 décembre 2021 1 an 3 ans 5 ans Depuis le

lancement (févr. 2014) Catégorie IA Clarington d’entreprises dominantes

canadiennes, série A 25,6 % 17,3 % 9,6 % 8,0 %

Indice S&P 500 (40 %) et indice composé S&P/TSX (60 %) 26,3 % 19,9 % 13,0 % 12,4 %

Pour les définitions de termes techniques, veuillez visiter iaclarington.com/fr/compliance-regulatory/glossaire ou communiquer avec votre conseiller en placement.

La comparaison des données sur le rendement a pour but d’illustrer le rendement historique du Fonds par rapport au rendement historique d’indices du marché les plus souvent cités. Il pourrait y avoir d’importantes différences entre le Fonds et les indices mentionnés qui pourraient se répercuter sur leur rendement respectif. L’indice de référence du Fonds est un indice mixte, composé à 60 % de l’indice composé S&P/TSX et à 40 % de l’indice S&P 500.

L’indice de référence mixte est présenté afin de donner une représentation plus réaliste des catégories d’actif dans lesquelles le Fonds fait des placements en général. L’indice S&P 500 regroupe 500 importantes sociétés œuvrant dans les plus importants secteurs de l’économie américaine et est largement considéré comme la meilleure mesure du marché des actions américaines. L’indice composé S&P/TSX est le principal indicateur de l’activité dans les marchés des actions du Canada, et couvre 95 % des sociétés domiciliées au Canada et inscrites à la cote de la Bourse de Toronto (TSX). L’indice comprend des actions ordinaires et des parts de fiducie de revenu, et il a été conçu pour représenter un indice de référence général tout en maintenant les caractéristiques de liquidité d’indices plus étroits. L’exposition à la capitalisation boursière, et l’exposition géographique et sectorielle du Fonds peuvent varier par rapport à l’indice de référence. Le Fonds peut être exposé au risque de change, ce qui n’est pas le cas pour l’indice de référence. Le Fonds peut détenir des liquidités, ce qui n’est pas le cas pour l’indice de référence. Il n’est pas possible de faire un placement directement dans un indice du marché. La comparaison au chapitre du

rendement est présentée à des fins d’illustration seulement et elle n’est pas une indication du rendement futur. Le 7 février 2014, le Fonds IA Clarington d’entreprises dominantes canadiennes a fait l’objet d’une fusion dans le Fonds.

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