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(1)

Denis Conduhé

5 novembre 2004

Onétudieii lesdroitessurles hypersurfaesde PN,àpartir duhapitre2.4. de[Deb01 ℄.La première

partie étudie le asgénéral, en sebasant sur[BVdV78℄. Puis, à l'aide des propriétés trouvées, on étudie

leasdeshypersurfaes de Fermat.

Danstoutelasuite,on travaillesurun orpskalgébriquement los.Touslessous-shémas onsidérés sont dessous-shémasfermés.

1 Préliminaires

Onseplaedansun premiertemps dans unadregénéral.

Notation 1.0.1. Dans toute ette partie, on noteG un polynme homogène de degré d >0 xé, et X

l'hypersurfaede PN dénie par G.

1.1 Notations et dénitions

Onsuitdansette partie laonstrution de [BVdV78 ℄.

Notonsk[x0, ..., xN]d l'ensembledespolynmeshomogènesde degréd.

SoitF ={([l], h) ∈G(1,PN)×k[x0, ..., xN]d|h|l= 0}lavariétéd'inidene.

C'est unsous shémade G(1,PN)×k[x0, ..., xN]d,qui estun brévetoriel surG(1,PN) : F

ϕ

ψ //k[x0, ..., xN]d

G(1,PN)

Dénition 1.1.1. On dénitlavariétéde Fano F(X) assoiée àX par F(X) =ϕ◦ψ−1(G).

Elle aune struture naturelle deshéma etindexeles droitesontenuesdansX.

Eneet l'appliation ϕ est justeune projetion et ψ−1(G), qui a une struture naturelle de shéma,

est ontenu dans G(1,PN)× {G}. Don F(X) a bien une struture de shéma, elle de ψ−1(G). On la

alulera expliitement au paragraphe 1.2.

Remarque1.1.2.F(X)aunestruturedeshémaprojetif,ar'estunsous-shémadelagrassmanienne

G(1,PN)≃G(2, kN+1),don elle seplonge dansunPn par leplongement de Plüker.

Remarque1.1.3. Il peutêtreintéressant dene pashoisirdeoordonnées dansPN apriori,'est-à-dire devoirPN ommeunPV aveV unespaevetorielde dimensionN+ 1surk.Danse ask[x0, ..., xN]d

est remplaé par Sym

dV.La bre de ϕ:F →G(1,PV) au-dessus d'un point [l] = [Pl]de G(1,PV) est

alors lenoyau dumorphismenaturel Sym

dVSymdl ([DM98 ℄).

(2)

Considèrons le diagramme suivant, I = {([l], x) ∈ F(X)×X | x ∈ l} est un sous-shéma de F(X)×kX :

I

pr1

pr2

//X //PN

F(X) //G(1,PN)

I →F(X) estun bré en P1.C'estune restrition dubréstandard surla grassmanienne.

Dénition 1.1.4. Soit x∈X.Ondénit F(X, x) assoiéeà X par F(X, x) =pr1◦pr2−1(x).

F(X, x) aune struture naturelle deshéma etindexeles droitesontenues dansX passant par x.C'est

un sous-shéma deF(X).

Remarque 1.1.5. Lesdroites passant par x dansPN ('est-à-dire G(1,PN;x)) sont paramétréespar un hyperplande PN,dont F(X, x) est unsous-shéma.

Onénoneunlemme utile surles faiseaux loalementslibres de rangni surP1.

Lemme 1.1.6. Tout faiseau loalement libre de rang ni sur P1 est isomorphe à une somme direte

de faiseaux inversibles (Don, omme Pi P1 = Z, à une somme direte de OP1(ai), ave uniité des ai).(exerie2.6p 384 de[Har83 ℄)

Démonstration. Soit E un bré vetoriel sur P1. Montrons tout d'abord que si s est une setion

globaledeE,quin'estpaspartoutnonnulle,ettesetionestmultipled'unesetiondeE(−1).Supposons

que s s'annule en x ∈ P1, et notons que le degré du orps résiduel de x est neessairement 1 (k est

algébriquement los). Ononsidère f une setion de O(1) s'annulant en x, qui orrespond au polynme

irrédutible dénissant x.Alorss/f est une setionglobale de E(−1).

On onstruit les O(−n) herhés par réurrene sur n.Soit n xé, et supposons que l'on a des setions

globales si de E(ni), pour ni < n telles que les O(−ni).si soient en somme direte dans E (omme

sous-faiseaux) que l'on notera F, et que H0(P1, F(m)) = H0(P1, E(m)) pour tout m < n. On hoisit

des setions globales tj de E(n) qui engendrent un supplementaire de H0(P1, F(n)) dans H0(P1, E(n)).

Montrons queles O(−ni).si etlesO(−n).tj sont en sommediretedansE,'est-à-direqueles(tj)x sont

linéairement indépendant dansEx/Fx pour tout x.Supposons le ontraire : on a alors une ombinaison

linéaire àoeientsnontousnulstdestj etunesetionsdeF(n)tels quet−s= 0en x.Dond'après

i-dessust−s=f.r r appartient à H0(P1, E(n−1)) =H0(P1, F(n−1)).Don t=s+f.r estdans

H0(P1, F(n−1))e qui ontredit ladénitiondestj.

Soitl unedroitesurX,tellequeX soitlisse lelongdel (Nl/X estalors loalement libre).Onaalors,

par lelemme préédent, ladéompositionsuivante:

Nl/X =Ol(a1)⊕. . .⊕ Ol(an) ave a1 >. . .>an

Dénition 1.1.7. l estdite libresian>0,'est-à-dire siNl/X estengendré par ses setionsglobales.

Remarque 1.1.8. Sian>−1,leshémaF(X) est lisseen [l]par leorollaire1.2.6

Remarque 1.1.9. Sif est libre,on aKX.l =−P

ai 6−2,don KX n'est pasnef.

(3)

1.2 Propriétés de F(X)

Étudions dans un premier temps F(X). Nous allons faire desaluls expliitesde veteurs tangents

dansdesoordonnées.On noteradanslasuite E lek-espaevetoriel k[x0, ..., xN]d.

Calulons tout d'abord le rang deen un point ([l], h0) de F. On peut hoisir des oordonnées

telles que l soit la droite engendrée par (1,0, ...,0) et (0,1,0, ...,0), et on notera l le plan de kN+1 or-

respondant dans G(2, kN+1). Les aluls dans G(1,PN) et G(2, kN+1) étant équivalent, on va se plaer au-dessus de G(2, kN+1). Tout plan l de kN+1 ontenu dans un voisinage susamment petit U de [l]

dansG(2, kN+1)estengendrépardeuxpoints(uniques) (1,0, u2, ..., uN)et(0,1, v2, ..., vN).Onpeut don

utiliser(u2, ..., uN, v2, ..., vN) ommeoordonnées loales dansU.

Remarque1.2.1. SuretouvertononnaitleséquationsexpliitesquidénnissentF(X)dansG(1,PN).

Eneetladroite{(1, t, u2+tv2, ..., uN+tvN)|t∈k}estontenuedansXsietseulementsiG((1, t, u+tv)) = 0pourtoutt.Ce quinousdonne endéveloppant auplusd+ 1équationsexpliites, etdon enpartiulier

queF(X) estde dimension au moins2N −d−3.

Unebase del'espae tangent T[l]G(2, kN+1) nousestdonnée par lesdérivées partielles par rapportà

esindéterminées, restreintesà l :

∂u2|l

, ..., ∂

∂uN|l

, ∂

∂v2|l

, ..., ∂

∂vN|l

et les oordonnés d'un veteur tangent en l dans ette bases seront notées (U2, ..., UN, V2, ..., VN). Les

éléments de E sont despolynmesde laforme (ave desmulti-indies) :h=P

|k|=dakxk.On hoisit les xk pour base de E, etles ∂/∂ak sur ThE. Les oordonnées d'un veteur tangent en h0 dans ette base

serontnotées Ak,equinousdonne uneidentiation entreE etThE.Leveteur orrespondantà hsera

notéH.

Proposition 1.2.2. L'espae tangent T([l],h0)(F) estl'espae : (

(U2, ..., UN, V2, ..., VN, H)∈T[l](G(2, kN+1))×Th0E |

N

X

i=2

∂h0

∂xi|l

(Uix0+Vix1) +h0|l= 0 )

Démonstration. Un point (u2, ..., uN, v2, ..., vN, h) ∈ U ×E appartient à F si et seulement si on a h(λ(1,0, u2, ..., uN) +µ(0,1, v2, ..., vN)) = 0 pour toutouple (λ, µ) dansk.Donun veteur tangent

(U2, ..., UN, V2, ..., VN, H)∈T([l],h0)(G(2, kN+1)×E)

sera tangent sietseulement sipourtout ouple(λ, µ) dansk 0 =

N

X

i=2

Ui

∂ui +Vi

∂vi

h0(λ(1,0, u2, ..., uN) +µ(0,1, v2, ..., vN))

+ X

|k|=d

Ak

∂akh0(λ(1,0, u2, ..., uN) +µ(0,1, v2, ..., vN))

=

N

X

i=2

∂h0

∂xi(λ(1,0, u2, ..., uN) +µ(0,1, v2, ..., vN))(Uiλ+Viµ)

+ X

|k|=d

Akλk0µk1(λu2+µv2)k2...(λuN +µvN)kN

(4)

Aupoint([l], h0)onadeplusqueui = 0etvi = 0pouri>2.Donontrouveommeonditionneessaire

et susantepour que(U2, ..., UN, V2, ..., VN, H) soittangent àF en([l], h0):

N

X

i=2

∂h0

∂xi(λ, µ,0, ...,0)(Uiλ+Viµ) + X

k0+k1=d

Ak0,k1,0,...,0λk0µk1 = 0

pour tout (λ, µ) dansk.Cequiest laformule dela proposition.

Commel'appliationenvoie (U2, ..., UN, V2, ..., VN, H)sur H,nousavonsle orollairesuivant :

Corollaire1.2.3. Lerangdedψ:T([l],h

0)(F)→Th0(E)estégalàladimensiondel'espaedespolynmes

en x0, x1 de degrédqui peuvents'érire souslaforme :

N

X

i=2

∂h0

∂xi(x0, x1,0, ...,0)(Uix0+Vix1)

ave (U2, ..., UN, V2, ..., VN)arbitraires dansk.

Onremarque queH0(l,Ol(1))estl'espae despolynmeshomogènesde degré1surl,etH0(l,Ol(d))

l'espaedespolynmeshomogènesdedegrédsurl(don≃Th0(E)).Leorollaireimpliqueenpartiulier:

Proposition 1.2.4. La diérentielleen un point ([l], h0) deF est surjetive si et seulement si le

morphisme

β :

N

M

2

H0(l,Ol(1))→H0(l,Ol(d))

dénipar

(s2, ..., sN)→

N

X

i=2

∂h0

∂xi(x0, x1,0, ...,0)si

est surjetif.

Démonstration. On se ontente de remarquer que lorsque (U2, ..., UN, V2, ..., VN) parourt k2N−2,

le polynme si = Uix0 + Vix1 parourt k[x0, x1]1 ≃ H0(l,Ol(1)) en entier, 'est-à-dire qu'on oublie (partiellement) lehoix d'une basede H0(l,Ol(1)) qui avaitétéfait.

Le morphisme que l'on vient d'obtenir provient en fait naturellement de suites exates sur les brés

normaux. Nouspourronsalors en donnerune interprétationsans hoisirde oordonnées.

Proposition 1.2.5. Onsupposeque X estlisse lelongde ladroite l⊂X.Alors

Nl/PN

N

M

2

Ol(1) (NX/PN)|l ≃ Ol(d)

Nl/X

N−2

M

i=1

Ol(ai)

ave 1 > a1 > . . . > aN−2. De plus, le morphisme β de la proposition 1.2.4 est l'appliation H0(α) : H0(l, Nl/PN)→H0(l,(NX/PN)|l)induite par lasuite exatesuivante:

0→Nl/X →Nl/PN −→α (NX/PN)|l →0

(5)

Démonstration.SionnoteXl'ensembledespointssinguliersdeX,onaalorslediagrammesuivant

(lesfaiseauxsontsurX−X,quiestnonvidearXestsupposéeréduite),l'étudedeα nousdonnera

lerésultat :

0

OX

OX(1)N+1

α

%%L

LL LL LL LL L

0 //TX //(TPN)|X //

NX/PN //0

0

En eet, on a la suite exate lassique des brés tangents et normaux (sur X −X qui est un sous-

shéma (pas forémment fermé) lisse irrédutible de la variété lisse PN au-dessus de k) : 0 → TX → TPN ⊗ OX →NX/PN →0 ([Har83 ℄ page 182).La suite exatevertiale est obtenue enpassant audualet

enserestreignantàX−X danslasuite exate0→ΩPN → OPN(−1)N+1→ OPN →0([Har83 ℄théorème

8.13page 176)ar PN est lisse.

Etudions α dansdes oordonnées. Pour un s∈X−X xé, posons t un générateur de Os,X(1). Le

noyaudeα ensestalors l'ensembledes(U0t, ..., UNt) deOs,X(1)N+1 telsque(U0, ..., UN) soittangent à X,'est-à-diretelsque

PN

i=0Ui∂x∂G

i = 0.Donlenoyau del'appliation de OX(1)N+1 dansOX(d) dénie

par :

(U0t, ..., UNt)→

N

X

i=0

Ui

∂G

∂xit

oïnide ave le noyau de α. On peut don trouver une identiation entre NX/PN et OX(d) tel que

les deux appliations oïnident. La n de la preuve est don la onséquene de la ommutativité du

diagramme suivant :

(TPN)|l //

%%K

KK KK KK KK K

Nl/PN

(NX/PN)|l

La déomposition de Nl/X provient dulemme 1.1.6,etl'inégalité surles degrés desai de lasuite exate,

en tensorisant par Ol(−2),puisen passant auxsetionsglobales.

Corollaire 1.2.6. Soit lommepréédemment. Lespropriétés suivantes sont équivalentes :

1. l orrespondà un point régulier deF(X) ('est-à-dire F etψ−1(G) seoupent transversalement).

2. l'appliation Nl/PN →(NX/PN)|l induit une appliation surjetive surlessetions globales.

3. H1(l, Nl/X) = 0

Démonstration.l'équivalene entre 1et2est laversionsansoordonnéede laproposition1.2.4. La

longue suiteexate deohomologie nousdonne l'équivalene entre 2et3.

(6)

T[l]F(X) ≃H0(l, Nl/X)

Lasuite exatede laproposition 1.2.5,après tensorisation parOl(−1),s'érit : 0→Nl/X(−1)→ ON−1l −−−−−−→ Oα⊗Ol(−1) l(d−1)→0

Donen passant auxsetionsglobales on obtient une appliation :

γ:





kN−1 → H0(l,Ol(d−1)) (λ2, ..., λN) 7→

N

X

j=2

λj ∂G

∂xj

|l

On a supposé jusqu'ii que l était la droite d'équation x2 = ... = xN = 0, et les oordonnées en

onséquene. Lorsque lesoordonnées sont déjà xées(e qui est le aspar exemple pour l'hypersurfae

de Fermat étudiée dans la deuxième partie), il peut être plus interessant de onsidérer l'appliation γ

suivante(où l'on imposeauuneonditionsur lesoordonnées), quia même image queγ :

γ :





kN+1 → H0(l,Ol(d−1)) (λ0, ..., λN) 7→

N

X

j=0

λj

∂G

∂xj

|l

Proposition 1.2.8. Lesappliations γ etγ ont pour onoyauH1(l, Nl/X(−1)).

Démonstration.La longuesuite exatede ohomologie s'érit :

0→H0(l, Nl/X(−1))→H0(l,Ol)N−1 −→γ H0(l,Ol(d−1))→H1(l, Nl/X(−1))→ H1(l,Ol)

OrH1(l,Ol) = 0,e qui nousdonne lerésultat.

1.3 Propriétés de F(X, x)

Étudionsde même F(X, x).

Remarque 1.3.1. Onadeséquations expliitesrelativement simplesdénissant F(X, x) dansH,H

estunhyperplandePN neontenant pasx(onpeutsupposerqueH estunhyperplandeoordonnée,

par exemple (xN = 0)).

Eneet F(X, x),ommesous-shémade H,est dénipar F(X, x) ={y∈H |y∈H et(x, y)⊂X}.

Don un y de H appartient à F(X, x) si et seulement si G(x +ty) = 0 pour tout t, 'est-à-dire si et seulement siGi(y) = 0

Gi(y) = X

|β|=i

X

|α|=detα>β

aαCαβxα−β

 i= 1, ..., d

En eetG0 orrespond àx∈X e quiest vraipar dénitiondex.

La propositionsuivante permetde relier ladimension deF(X) à elledeF(X, x) :

(7)

dimF(X)6dimF(X, x) +N −2

L'égalité est atteinte pour x général.

Démonstration. On utilise les résultats de [Har83℄ ex 3.22 p. 95. L'appliation surjetive I → X

a pour bres les F(X, x) par dénition. Don dimI 6 dimF(X, x) + dimX = dimF(X, x) +N −1,

et l'égalité est atteinte pour x général. Le morphisme (surjetif aussi) I → F(X) a pour bre P1, don dimF(X) = dimI−1.D'où dimF(X) 6dimF(X, x) +N−2,etl'égalitéest atteinte pourx général.

Proposition 1.3.3.

T[l]F(X, x) ≃H0(l, Nl/X(−1))

Démonstration.On suit la même démarhe qu'au paragraphe 1.2. Onobtient alors que lerang de

(x) est égal à ladimension de l'espae des polynmes en x0, x1 de degrédqui peuvent s'érire sousla

forme

x1

N

X

i=2

∂h0

∂xi

(x0, x1,0, ...,0)Vi

ave (V2, ..., VN) arbitraires dans k. C'est-à-dire la dimension de l'espae des polynmes en x0, x1 de

degré d−1 qui peuvent s'érire sous la forme : PN i=2 ∂h0

∂xi(x0, x1,0, ...,0)Vi. On remarque de même que H0(l,Ol(d−1))estl'espae despolynmeshomogènesde degréd−1surl.Onontinue demême.

2 Hypersurfaes de Fermat

Dénition 2.0.4. L'hypersurfaede Fermat XNd est l'hypersurfae dePN déniepar l'équation xd0+. . .+xdN = 0

Onétudiele shémaF(XNd).

Ladétermination des droitesontenues dansune hypersurfae de Fermat de degré plusgrand queN

dans PN pour N = 3 et 4 se trouve dans [AS91℄. Le fait que la varieté des droites ontenue dans une

quartiquede Fermat de dimension 3est de dimension2 en arateristique 3setrouve dans[Col79 ℄.

Proposition 2.0.5. L'hypersurfae XNd est lisse si et seulement si la aratéristique de k est 0 ou ne

divise pasd.

Onsupposeradésormaiseshypothèsesvériées.Deplusonsupposequel'onatoujoursN 6d,(sauf

à laproposition2.1.5). Dansleas ontraire on onnaitladimension de F(XNd) par laproposition2.1.5.

2.1 Généralités

2.1.1 Desription ensembliste

Dénition 2.1.1(droites standard). SoitI1, ..., Ir unepartitionde{0, ..., N},Ij ontientaumoins

deuxéléments pourhaque j.

Soitx ∈PN tel queP

i∈Ijxdi = 0 pour toutj (on a x ∈XNd). On notexIj l'élément de PN qui vaut xi en isiiappartient à Ij et0sinon.

Onappelle droite standard de XNd unedroite ontenue dans

1xI1+...+λrxIr)|λ∈Pr−1 .

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