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60. Vergleichende Untersuchung von Volksentwicklung, Flugaktivität und Pollensammelverhalten verschiedener Apis mellifera carnica- und Apis mellifera mellifera - Herkünfte

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-00891543

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00891543

Submitted on 1 Jan 1998

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60. Vergleichende Untersuchung von Volksentwicklung,

Flugaktivität und Pollensammelverhalten verschiedener

Apis mellifera carnica und Apis mellifera mellifera

-Herkünfte

Ralph Büchler

To cite this version:

(2)

Matings

with drone type LB were

signifi-cantly

better than LC type.

Corresponding

to the evaluation of the

preceding

genera-tions,

a

negative

influence of Buckfast on

behavioural traits of local bees could not

be established.

Influence des abeilles Buckfast et carnica

sur les

caractéristiques

comportemen-tales de l’abeille locale

Pour améliorer la docilité des

abeilles,

on a favorisé en

Allemagne

pendant

des décennies l’extension de la race carnica

qui

domine actuellement dans la

population

d’abeilles. On considère que l’introduction de races

étrangères

comporte un

grand

risque

d’une nouvelle

augmentation

de

l’agressivité

due à l’hétérosis. Les mêmes craintes concernent aussi l’abeille

Buckfast,

car elle est issue de croisements de races.

Nous avons examiné cette

hypothèse

en

simulant un «

mélange

incontrôlé » de

Buck-fast

comparé

à un

mélange

de carnica avec

l’abeille locale actuelle.

En

1993-1994,

on avait

prélevé

des

échantillons de reines d’abeille locale

(AL)

(L

1

-L

13

)

dans des ruchers en

Allemagne,

dans

lesquels

on était sûr

qu’il n’y

avait pas

eu de sélection ou de contrôle de

l’accou-plement.

Les filles des reines L ont été insé-minées soit avec un

mélange

de sperme de

mâles issus de dix colonies

Buckfast,

soit

avec celui issu de dix colonies carnica. Un troisième groupe a pu

s’accoupler

librement sur son lieu

d’origine

et servait de témoin à la

première génération.

Comme deuxième

génération,

les descendants des trois groupes

se s’ont librement

accouplés

sur leur lieu

d’origine

respectif.

Pour la troisième

géné-ration,

toutes les combinaisons

possibles

des types maternels AL x L et LC x L avec

les

types

mâles AL et LC ont été réalisées à

l’aide de l’insémination artificielle. Les reines

expérimentales

des trois

générations

ont été

réparties

de

façon

équilibrée

dans 9 Instituts de recherche sur l’abeille en vue

d’évaluer leur docilité et leur tenue sur cadre.

Les données ont été calculées comme

LSMEANS avec correction pour le

site,

le

moment de l’évaluation et la colonie. La dernière

étape

du programme a

consisté dans l’évaluation de 151 reines de la troisième

génération

dans huit stations en

1997. Les

hybrides

issus du type mâle LB avaient un

comportement

significativement

meilleur que ceux issus du type LC. Comme chez les

générations précédentes,

on

n’a pas

pu mettre en évidence une influence

néga-tive de la Buckfast sur l’abeille locale.

60.

Vergleichende

Untersuchung

von

Volksentwicklung, Flugaktivität

und Pol-lensammelverhalten verschiedener

Apis

mellifera

carnica- und

Apis

mellifera

mel-lifera -

Herkünfte.

Ralph

Ralph Büchler Büchler

(Hes-

(Hes-sische

Landesanstalt für

Tierzucht,

Abtei-lung für

Bienenzucht,

Erlenstraße

9, D-35274

Kirchhain)

Bestrebungen

zur

Wiedereinbürgerung

der endemischen Bienenrasse

Apis

melli-fera mellimelli-fera

in Deutschland werden teil-weise

ökologisch

begründet

mit einer

angeb-lich

langsameren Frühjahrsentwicklung

und

geringeren Nahrungskonkurrenz gegenüber

solitären Bienenarten. Zur

Überprüfung

die-ser Annahme wurden 5

Königinnen

aus

einem A. m.

mellifera Zuchtprojekt

in

Polen,

6

Königinnen

aus einem A. m.

mellifera

Schutzgebiet

in

Norwegen

und

insgesamt

15

Königinnen

vier verschiedener A.m.

car-nica Herkünfte

vergleichend geprüft.

Von Oktober 97 bis Mai 98

erfolgten

regelmä-ßige

Messungen

der

Bienenzahl,

Brutflä-chen und

Pollenvorräte, ergänzt

durch

Verhaltensbewertungen,

Messungen

der

Flug-aktivität und

Untersuchungen

der

eingetra-genen Pollenhöschen.

Zwischen den Herkünften bestanden

signifikante

Unterschiede in der

Volksent-wicklung

(p

<

0,01),

wobei die

Gruppe

Polen ein extrem

langsames

und die

Gruppe

Norwegen

ein extrem

zügiges

Wachstum im

Frühjahr zeigte.

Beide A. m.

mellifera

(3)

Pollenbe-vorratung, eine höhere

Aggressivität

und

geringere Wabenstetigkeit

auf als die. A .m.

carnica Herkünfte

(p

<

0,01).

Sie

flogen

auch bei

niedrigeren Temperaturen

und

hat-ten eine

längere Flugdauer pro Tag

(p

=

0,01).

Das mittlere Gewicht der

eingetragen

Pol-lenhöschen

lag

höher

(p

<

0,01)

und es tra-ten

gewisse

Unterschiede in der Zusam-mensetzung der Pollen auf.

Die

Ergebnisse widerlegen

die

Behaup-tung einer

generell

unterschiedlichen

Ent-wicklung

der verschiedenen Rassen und unterstreichen die

Bedeutung

angepa&szlig;ter

Ökotypen.

Das robustere

Flugverhalten

und die stärkere

Pollenbevorratung

deuten auf eine

Überlegenheit

der A. m.

mellifera

Her-künfte in der Konkurrenz um

knappe

Nah-rungsressourcen hin.

Comparative

study

of

colony

develop-ment,

flight

activity

and

pollen

foraging

of different

Apis mellifera

carnica and

Apis

mellifera mellifera

strains

Efforts to

reimport

the endemic bee race

Apis mellifera mellifera

to

Germany

are

sometimes founded on the

ecological

argu-ment of a slower

spring development

com-bined with a reduced food

competition

com-pared

to

solitary

bees. To

verify

this

thesis,

five queens out of a A. m.

mellifera

bree-ding

program in

Poland,

six queens from a

A. m.

mellifera protection

area in

Norway

and a total of 15 A. m. carnica queens from

four different

origins

were

compared.

From

October 1997 to

May

1998,

the number of

bees,

the brood extension and the

pollen

supply

were

routinely

checked,

completed

by

evaluations of the colonies

behavior,

their

flight activity

and their

pollen

loads.

Significant

differences occurred between the strains in

colony development

(P

<

0.01).

The group from Poland showed an

extre-mely

slow and the group from

Norway

an

extremely

fast

spring development.

Both A. m.

mellifera

strains had a better

pollen

supply, proved

to be more

aggressive

and less calm on the combs than the A. m.

car-nica strains

(P

<

0.01).

They

also flew at

lower

temperatures

and showed a

prolon-ged flight period

per

day

(P

=

0.01). The

average

weight

of their

pollen

loads was

higher

(P

<

0.01)

and the

composition

of the

pollen

loads showed some differences.

The results contradict the thesis of gene-ral differences in

colony development

be-tween the races, but underline the

meaning

of

adapted

ecotypes. The more robust

flight

behavior and the better

pollen supply

indi-cate the

competitiveness

of A. m.

mellifera

strains for limited food resources.

Étude comparative

du

développement

de

la

colonie,

de l’activité de vol et du

com-portement

de

butinage

chez différentes

souches de carnica et de

mellifera

Les efforts de réintroduction en Alle-magne de la race d’abeille

endémique

Apis

mellifera mellifera

sont

parfois

motivés sur

le

plan écologique

par son

développement

plus

lent au

printemps

et une concurrence

moindre pour la nourriture par rapport aux

espèces

d’abeilles solitaires. Pour vérifier

cette

hypothèse,

nous avons réalisé un essai

comparatif

portant

sur

cinq

reines d’un

pro-jet d’élevage

de

mellifera

en

Pologne,

six

reines d’une zone de

protection

de

melli-fera en Norvège

et au total, 15 reines de quatre souches différentes de carnica. D’octobre 1997 à mai

1998,

on a

réguliè-rement

compté

le nombre

d’abeilles,

et

mesuré la surface du couvain et les réserves de

pollen ;

de

plus,

on a évalué le compor-tement, mesuré l’activité de vol et

analysé

les

pelotes

de

pollen rapportées.

On a observé des différences

significa-tives entres les provenances concernant le

développement

de la colonie

(p

<

0,01), le

groupe de

Pologne

ayant une croissance extrêmement lente et celui de

Norvège

une

croissance extrêmement

rapide

au

prin-temps. Les deux souches de

mellifera

ont

une meilleure récolte de

pollen,

sont

plus

agressives

et ont une moins bonne tenue sur

cadre que les souches de carnica

(p

<

0,01

). Elles volent

également

à des

températures

(4)

longues

par

jour (p

=

0,01).

Le

poids

moyen des

pelotes

de

pollen

est

supérieur

(p

<

0,01)

et il y a certaines différences dans la

com-position

des

pollens.

Les résultats contredisent l’affirmation selon

laquelle

les diverses races auraient un

développement général

différent et souli-gnent

l’importance

des

écotypes adaptés.

Le comportement de vol

plus

robuste et les réserves de

pollen plus importantes

indi-quent une

supériorité

des souches de

mel-lifera

en cas de concurrence pour des sources de nourriture limitées.

62. Instrumentelle

Besamung:

Methodische Einflüsse auf den

Erfolg.

C. Otten,

A. Otto R. Renner.

Landesans-talt für

Bienenzucht

Mayen (Im

Bannen 38-54,

D-56727 Mayen)

Bei natürlicher und künstlicher

Paarung

von

Bienenköniginnen

kommt es

regelmä-&szlig;ig

zu Verlusten. Ziel der

Untersuchung

war methodische

Einflu&szlig;grö&szlig;en

auf den

Erfolg

der instrumentellen

Besamung

zu

beschreiben. Bei 522

Königinnen

wurden im Juni und

Anfang

Juli

folgende

Faktoren

erfa&szlig;t

und zu den beschriebenen

Ergebnis-sen in

Beziehung

gesetzt:

In schwach besetzten

Pflegeinheiten

(ca.

200

Bienen,

Kirchhainer

Begattungskäst-chen)

lag

der

Königinnenverlust

bereits vor

Besamung

bei 12

%,

in starken Einheiten mit ca. 1200 Bienen bei

weniger

als 1 %

(P <

0,01).

In schwach besetzten Einheiten

gingen

weniger

als 70

%,

in starken Einheiten fast 95 % der

Königinnen

in

Eilage

(P

<

0,01).

Das

optimale

Alter der

Königinnen lag

mit 95 %

Eilage

bei 10

Tagen,

während der

Eilagebeginn

bei 7 bzw. 13

Tage

alten

Köni-ginnen

bei 82 bzw. 80 %

lag

(P

<

0,05).

Im

Tagesverlauf

konnten in der Zeit zwi-schen 14 und 15 Uhr

(MSZ)

die besten

Ergebnisse

(92

%

Eilage)

erzielt werden. In der Zeit zwischen 8 und 9 Uhr

lag

sie unter

70

%,

in der Zeit zwischen 16 und 17 Uhr bei ca. 80 %

(P < 0,05).

Artificial insemination:

Methodological

influences on the results In both natural

mating

and artificial

inse-mination,

losses of

honey

bee queens are

regularly

reported.

The aim of this

investi-gation

was to describe the extent of

diffe-rent

methodological

factors on the results

of artificial insemination. In June and

early

July,

522 queens were inseminated and the

following

factors were recorded and

rela-ted to the results. In

mating

hives

(Kirch-hainer

Begattungskästchen)

with a low

num-ber of worker bees

(about 200)

queen losses before insemination were 12 %.

Queen

loss was less than 1 % in

mating

hives with a

high

number

(about

1

200)

of bees

(P

<

0.01).

In weak units after insemination less

than 70 % of the queens

began oviposition,

whereas in the strong units the number was

nearly

95 %

(P

<

0.01).

Best results were

reached with 10

day

old queens

(95

%

ovi-position). Oviposition

rates of 7

day

old queens and 13

day

old queens were 82 %

and

80%,

respectively

(P

<

0.05).

Insemi-nation between 2:00 and 3:00 p.m.

revea-led best results

(92

%

oviposition). Only

70 % of the queens insemintaed in the

morning

(8:00

to 9:00

a.m.)

layed

eggs.

Insemina-tion in the afternoon

(4:00

to 5:00

p.m.)

resulted in an

oviposition

of 80 %

(P

<

0.05).

Insémination artificielle :

Influence de la méthode sur le résultat Lors de

l’accouplement

naturel ou de

l’insémination

artificielle,

on observe

régu-lièrement la perte de reines.

L’objectif

de la

présente

étude était de décrire comment la méthode

pouvait

influer sur les résultats de l’insémination artificielle. En

juin

et début

juillet,

522 reines ont été inséminées et les facteurs suivants ont été

enregistrés

et

com-parés

avec les résultats décrits.

Dans des ruchettes de fécondation de Kir-chhain

comportant

un faible nombre

d’ouvrières

(environ

200

abeilles),

la

perte

de reines

atteignait déjà

12 % avant

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