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Evolution de la structure des communautés microbiennes telluriques sour l’effet de contraintes anthropiques

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01601191

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Submitted on 3 Jun 2020

HAL

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Evolution de la structure des communautés microbiennes telluriques sour l’effet de contraintes anthropiques

Karine Laval, Christian Mougin, Patrice Lepelletier, Sylvie Barray, Daniel Tessier

To cite this version:

Karine Laval, Christian Mougin, Patrice Lepelletier, Sylvie Barray, Daniel Tessier. Evolution de la

structure des communautés microbiennes telluriques sour l’effet de contraintes anthropiques. 3ème

édition du colloque d’Ecologie Microbienne de l’Association Francophone d’Ecologie Microbienne, Oct

2007, Montpellier, France. 2007. �hal-01601191�

(2)

Evolution de la structure des communautés microbiennes telluriques sous l’effet de contraintes anthropiques

Karine Laval

1

, Christian Mougin

2

, Patrice Lepelletier

3

, Sylvie Barray

4

, Daniel Tessier

2

1 Laboratoire Biosol – Esitpa – 13 Rue du Nord – 76000 Rouen

2 Unité PESSAC-INRA Centre de Versailles-Grignon - 78026 Versailles Cedex 3 LAMSAD – Esitpa – 13 Rue du Nord – 76000 Rouen

4. Laboratoire LMDF– UFR des Sciences – 76821 Mont St Aignan cedex

L’objectif de cette étude est d’estimer l’impact du cuivre sur les communautés microbiennes des sols au regard de la variabilité spatiotemporelle de ces communautés mais également de l’impact des pratiques culturales. Le compartiment microbien a été estimé par des variables descriptives relatives d’une part, à la structure des communautés et d’autre part, à l’activité de ces communautés. L’analyse est complétée par la détermination des paramètres physicochimiques des sols. Dans une approche multidisciplinaire, différentes techniques d’analyses ont été mises en œuvre dans l’objectif de palier les biais inhérents à chacune d’elles.

Dans nos conditions expérimentales, en microcosmes non perturbés, nous n’avons pas mis en

évidence d’impact du cuivre sur les microorganismes du sol alors que la toxicité de ce

polluant est souvent rapportée dans la littérature dans le cas de sols séchés, tamisés,

homogénéisés. Les résultats confirment que la pratique culturale apparaît être un facteur

dominant en comparaison à l’amplitude des variations spatiotemporelles des communautés

microbiennes.

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