e catch est né au XIXè siè- cle en Europe, mais c’est au début des années 60 aux
L
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InfOgameEtats-Unis que la lutte profession- nelle prend de l’ampleur. A cette époque de nombreuses entreprises appelées plus communément « fé- dérations » se forment aux quatre coins du pays.
Un succès rapide
Ce sport spectacle a évolué très rapidement au pays de l’Oncle Sam. De petites sociétés locales, il est passé à des firmes nationa- les et internationales. La World Wrestling Federation (WWF) et la World Championship Wrest- ling (WCW) vont mener la danse pendant près de vingt ans (1980- 2000).
Les shows seront animés par des athlètes surentrainés pour apporter la meilleure satisfaction au public.
Les superstars seront obligées de prendre des produits illicites pour faire face aux rivalités et chal- lenges des directions de ces deux fédérations.
A la fin des années 90 un seul homme sortira vainqueur : Vincent Kennedy McMahon, Président de la WWF, qui sera ensuite renom- mée WWE à cause du procès perdu contre la World Wide Fund
tagne). Le catch y est synonyme de cinéma et de représentations grotesques. Pourtant la lutte pro- fessionnelle s’imposera quelques années en France (1995 – 2000).
Le précurseur sera « Catchamania
» en 1995, une boutique proposant les t-shirts, cassettes vidéo, figu- rines…des catcheurs américains.
Au vu du succès grandissant, la chaine cryptée « Canal + » lan- cera une émission appelée « Les Superstars du catch » qui aura un franc succès pendant quelques années. L’ère 2000 tuera le catch en France.
for Nature (association de défense de la nature et de l’environne- ment).
De par ses storylines (scénarios créés) et les innovations appor- tées au catch il écartera tous les concurrents quitte à enfreindre les règles. Il fera passer le catch pour un divertissement au lieu d’un sport auprès du public et des or- ganisations sportives américaines.
Cela lui a permis de laisser libre cours au dopage de ses employés (catcheurs).
Le catch n’aura pas le même im- pact en Europe (sauf Grande-Bre-
