Jean-Gabriel
POINCIGMON
, Diredeur-FoneJüteyrDANS CE
NUM É RO :
rrtn sont considérés comme élevés
.
Aussi, nombre de sociétés ont
cons -
titué des groupements pour utiliser en groupe le» émissions
.
La demande individuelle reste ce
-
pendant très forte: les meilleures heures d’émission de la National
Broadcasting Company sont déjà ré
-
servées jusqu’à la fin de 1952 I
Les meilleurs
livres de xadio
Baptê
me de
la promotion de Mareà l ’ Ecole
Centrale deTSF
et d’Electronique» B baptême « technique
nouvelle promotion du cours su
-
périeur a eu lieu à l’Ecole Centrale de T
.
S.
F.
et d’Electronique le ven-
dredi 20 juin
.
Le parrain était le technicien fran
-
çaisteur biendu premier tube changeurconnu, M
.
de Mare, invende-
fréquence (radiomodulateur bigril
-
le)
,
président de la Société .des Ra-
dloélectriciens (1952)
.
La marraineétait Liliane Maigné, la vedette bien
.
connu du cinéma et de la radio.
Suivant l’usage, M
.
E.
Poirot, di-
recteur de l’Ecole Centrale de T
.
S.
F.
ci d’Electronique, en une allocution vibiantcrain
.
Celui,
retraç-
ci prii la parolea la carrière duà parson-
tour et, très applaudi, prodigua de préc i e u x con&eils à ses nombreux filleuls
.
Après quoi, ce fut le tour de M
.
L.
Chrétien,
directeur des Etu-
des
.
II justifia les programmes etles méthodes d’études et annonça une modification des cours qui per
-
mettrater auaux élènouvelvesexamenA
.
T.
deofficiel
se présent le-
Brevetricien
.
professionnel de Radioélcc-
t f t t t i i t i i H i H t i t i i t m t m m i i i i M i i i i i i m i i i i i i m i i i n i m t n i
Parmi les personnalités pré&entes, on distinguait : M
.
Marcel Boll,Beurtheret (Thomson), M
.
Pey-
ron (Cie des Lampes), le colonel Au
-
J&mes, secrétaire général du Syndi
-
cat national des Industries radioélec
-
triques; M
.
Zelhstein, directeur tech-
niquegénieurdeschefEts Sextade division; M
.
Lygrisseà PO,.
inN. - *
V*
*E
.
R.
A.
La
Radio ?. . .
Maisc ’
est très simple !par E. AISBERG
.
édition 1952.
—
vrage d’initiation exposant d’une ma
-
nituéères attrayanteet commentcomment sontfonctionnentconstiles
-
f M
.
J-
Nouvelle 17«Le meilleur ou
.
2.500 postes de radio par
Jonr
!» I
» d’une
12 mai dernier marquait la sortie du millionième poste de radio des cha înes de fabrication des
oostes de radio
.
152 pages (13X23), 4 2 0 750 figures.
Etablissements Grundig, à Fürth, en Bavière
.
Ce chiffre est d’autant plus Le lendemain, une soirée et unbal furent donnés dans les salons
du Cercle Militaire
,
où l’
on dansa remarquable que l’usine a été cous-
jusqu’à l’aube
.
COURS FONDAMENTAL
DE RADIOELECTRICITEPRATIQUE
oar W.
-
L.
EVERITT.
chevet de l'étudiant et du technicien truite en 1947
.
Aujourd’hui, devenue la plus grande fabrique de récepteurs d’Eu
-
rope avec 5.000 ouvriers, la firme Grundlng peut être fière de son bi
-
lan: un poste sur trois vendu en Allemagne sort de ses ateliers,
l’n exemple à méditer
.
Ouvrage de
spécialisé, traduit du plus populaire des cours U.S.A. Vol
.
relié de 366 p.
1.080
La
détérioration
dos matières plastiques <16X24»
* UNE NOUVEAUTE
•
LA TELEVISION ?
.. .
Mais c’est très simple !
par E. AISBERG.
amusantes expliquant le fonctionne
-
ment de tous les appareils de té lévi
-
sion
.
158 p. (13X23), 946 fig.
60.0jgous ce titre, M
.
Biggs donne une revue générale des processus de d été rioration dans les polymères,
problème dont l’importance écono
- Pour
mique est aussi grande que celui de la corrosion des métaux
.
L’auteurconsidère
Vingt causeries
le
développement deles changements d’état
l ’
ElectronlqueIndustrielle
chimique, la réaction sur le milieu environnant, les effets de l’eau
,
de l’ozone, de l'oxygène; l’oxydationdestion'polympar lères’action, le des antioxygretard à l’oxydaènes
-
,les agents de protection contre la lu
-
mière.
Technique et applications
des
tubes électroniquespar H.
-
). REICH,applications des tubes électroniques,
rraduit de l'américain
.
320 p. U 6X24) avec dépliantw À Compagnie des Lampes Maz
-
* *
da, dans le but de faire con-
naître aux industriels comment l’électronique peut les aider à ré
-
soudre certains de leurs problèmes, a organisé à leur intention, une sé
-
rie de Confé rences
.
M. J
. -
F.
Dusailly, ingénieur spécia-
liste de la grande firme française,
vient de faire
,
à Lille,
sous les aus-
pices de la Société Fran çaise des Electriciens, une conf érence fort bien * documentée et
nombreuses projections
.
Cette conférence a permis à de nombreux industriels de découvrir
Propriétés et
1 0 8 0 (The Bell System Technlcal Journal)
LEXIQUE OFFICIEL
DES
LAMPES RADIOpar L. GAUDILLAT.
caractéristiques de service, culottages
et équivalences de tous kl tubes
usuels
.
80 p. (13X22)Toutes les
*
Pile
àhaute
tensionde faible
volume
|« XE pile portative très légère (27
^
grammes), du type Zamboni,
possède comme éléments une feuil
-
le d’étain, une feuille de papier ini
-
a
3 0 0
illustrée de
.
•.
*Directeur
-Fondateur
:J . -G. POINC 1 GNON Administrateur
:Georges VENTILLARD
RADIO
-
TUBESpar E. AISBERG
.
L. GAUDILLAT et R.SCHEPPER.
d'emploi de tous les tubes usuels avec valeurs des cléments, caractéristiques et culottages. 971 schémas, 168 p.
(13X22) reliure sur anneaux 5 0 0 tout ce que peut leur apporter
_
. , . .4 , l
’
électronique pour l’amélioration de prégnee de chlorure de zinc et du^ leurs fabrications et l’augmentation bioxyde de manganèse déposé sur
une face du papier
.
Cette pile déve-
loppe un couple électrochimique de 1,1 V
.
L'empilement des éléments permet de constituer une pile à hau-
te tension sous faible volume
.
DE Schémas types
de la productivité
.
L’intérêt qu’a suscité cette confé
-
rence, le succès qu’elle a remporté montrent l’utilité de l’heureuse Ini
-
Direction - R
édaction PARIS
rue
Louis- le
-Grand
OPE 89
-
62-
CCP Pari» 424-
19. Provisoirement tous ks deux jeudis
DEPANNAGE PROFESSIONNEL
tiative du Groupe du Nord cie la So
-
ciété Française des Electriciens et de la Compagnie des Lampes Mazda
.
Félicitons
-
les de cette intelligente propagande.
(Journal de Physiquetobre 1951
,
4 p. ,
6 ,figures,
tome.
)12, oc-
oarnes Ede. AISBERGdiagnostic. etMédethodesréparationmoder- .
120 p. (13 X 21)*
25 .
240500 PANNES
par W. SOROKINE.
—
Cas de dépan-
nage pratiques analysés en détail.
6 0 0
Ce que
co
ûteaux U .
S.
A.
la publicité té
l
évisée Le plus petit appareilradio 244 &. <13 X21»
ABONNEMENTS
France et Colonies VNVOQUANT le fait que le nombre
^
vicedesaugmentepostes de tésanslé vision en sercesse-
millionspaux é metteurs amen six moiséricains
—
lesdeprincitélé- -
vision ont décidé d’augmenter leur»
tarifs de publicité
.
Le réseau de la National Broad
-
casting Company demande ainsi pour 60 minutes d’émission pendant
l’heure la plus propice de la soir ée une somme de 50.000 dollars
,
soit 20 millions de francs.
Le client devra, en outre, prendre à sa charge les"
frais du programme, qui peuvent staires’élever(4àmillions10.000 dollarsde francssuppl)
.
émen-
En contrepartie, il a l’avantage de
disposer pendant cette heure d'un réseau de 63 postes émetteurs à tra
-
vers tout le pays (lorsqu’il se con
-
tente d’une é mission réservée à New
-
York, les frais de location s’é-
lèvent à environ un million et demi de francs par heure)
.
La publicité par T
.
S.
F.
est sensi-
blement meilleur marché. La meil
-
leure heure d’émis&ion de 170 pos
-
tes de la meme compagnie ne coule que 7 millions de francs
.
Môme pour les Etats
-
Unis,
ces ta-
tmm W ES techniciens de « Radio Cor
-
“ poration of America », après
un travail de plusieurs années, ont rpareil deéussi à construireradio dule plusmondepetit
.
Grandap-
comme une montre
-
bracele*, i! pos-
sède une batterie plus petite qu’un
peiit pois, et fonctionne grâce à la chaleur du corps humain
.
(Nous donnons cette Information américaine sous toutes réserves
.
)Aide
-
mémoire
du dépanneur
par W
.
SOROKINE.réalisation et réparation des pièces.
3 0 0 Un t* : 26 numéros
Etranger : 7 5 0 fi
1 250 fr deux
.
(Nous consulter)Peur Us changements d'adresse
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timbres et !a dernière bande.
Codes, calcul, 95 p
.
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à
fiaient
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.
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«acc
élérateur » électrostatique inauguréà Saclay
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-
bilit
é
de bé néficier de c i n q lignes g r a t u i t e s de p e t i t e sannonces
par an, et dune
réduction de 50 % pour les lignes suivantes, jusqu'àconcurrence
de 10 lignes au total.
Prière de joindre autexte
bonnementla derni.
ère bande d’a-
AJOUTER
10 ° /
0 POURD’ENVOIFRAISN accéléroteur » de particules électrostatique, du type « van de Graff » a été inauguré par M
.
Félix Gaillard, secré taire d
’
Etat à laprésidence du Conseil au centre ato
-
mique de Saclay
.
Au cours d’une expérience l’appareil a fourni une énergie de quatre millions et demi d'électrons-
volts.
C’est le deuxièmeappareil du monde de ce type pour la puissance et le premier d’Europe
.
U
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VlêC
.
Ch.Postaux : 1164-
34IIBIBIBIBIBIBIBIBIBIBII
Tage
4 LE HAUT -PARLEUU >
N* 925~
^
fiaifaf /M/iiif
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i s s s
SI LA VOGUE DU POSTE - AUTO I ss
$ £
I s s
SS s s
I s s s
Si ETTE fois
apportant, ça y est.Le plein
été estenfin
arrivé,tous
les
espoirsdes beaux
jours,d
'une saison qui est toujours plusbelle
lorsquenotre
g
pensé e estd
éphaséed
’un quartde
tour en avant. Cette
' saison
des
vacances, que nous cajolonsdepuis
tantde
^ * 5
semainesla R
épublique
, est aussisousbelle l
'Empire
, vraiment, que pouvaitl
'être^ is ble Mais
,il faut
, pour que, à notrecette
époquesaison, quelle
soitsoitréellement
motoriséeagréa.Peu - 5
$ importe,d
'ailleurs le
moteur, pourvu qu'il fasse du
5 bruit
, etchacun
sait que ce sontles
plus petits qui en^ 3
sionnerfont le
autantplus,de
quemêl
'me queél
éphant.le Certes
roquet qui, toutle
veutmonde
impresne-
^ 3
oupeutautrepas scr'offrir
éationunede Buick la General Motors
, unePackard
,;unemaisChrysler chacun 3 roule
mécaniquement,f
ût-ce en scooter, enmotob
écane h ou autre pétrolette
, commel
’ondisait
jadis.
Or il
n'est sibon
moteur qui n’assoupisse àla lon -
^ 3
guetermechanicus
.àEt l
'homme
c'estde
pourquoiLinn moderne
é)de le bon
mécanisés’endormir Dieu
a permis( Homo
auvolant
,sapienspour, ce éviquiet-
^
peut avoirdes
conséquencesd
ésastreuses, quefut
in-
^
ventéle
poste-auto.
^ §
® prétienNous ambule .
y voicioùla litt donc
é,rature
aufond le du dispute probl
àèmela
,vulgarisaaprès un-
vaux
Y
ou une2 chevaux Z
, aubesoin dans la
«bo
îte
^
à gants » qui,
il faut bien le dire
, arrivefort
à propos.
wMais les
gants, medirez
-vous, oùles
mettra-t-on? i
D
'abord il
n'y a jamais eude
gantsdans la bo
îte à^
gants
. Et
puis, on neconduit
plus avecdes
gants:cela 3
fait
un peu prétentieux.. . Enfin
, siles
gants vousembar -
^
•assent
. eh bien !
mettez- les
où vousvoudrez
et n'enI C
Ss
s
ü
•••
parlons plus
. Ils tomberont
surla
route àla
première5
escale
et nous n’auronsplus
à nous en soucier. IN
SLe
poste-auto a uneparticularit
é :il
n'a pas encore^
de label
,bien
qu'il
y ait cinq ans qu'on ait entrepris^
do lui
endonner
un. Mais depuis
,il
y a eula
tél
évi-
sion et
les constructeurs
on*! eu mieux àfaire
.Ne
crai-
^
gnez rien : ce
label viendra
?il
verra peut-
êtrele
jour^
à un moment où
les Pouvoirs publics
,alarm
ésde
voirS
cro î
tre la courbe des accidents de
voiture, aurontd
é-
^
cid
éd
'interdire le
poste-
auto.
Après tout, on abien interdit l
'usaged
'un tél
éviseur-voiture.Ou plut
ôt on nele
permet qu'àla condition
quele conducteur
ne puisse regarderl
'écran.Sage
précaution, puisqu'aussibien il
estentendu
quele conducteur
nedoit
pas quit-
ter
la
routedes
yejx.SS
Il
y a encorebeaucoup
àdire
surle
poste-
auto, ||dont l
'industrie
sed
éveloppeformidablement
aux^
Etats
-Unis
.D
'abord
, ce n'est pas un poste commeles 5
autres, et
l
'on ne saurait impunément monter sur une voiture un quelconque petit poste àbatteries
.Ce
serait^
trop
commode ! Lorsqu
'on enfait l
'expériertce, on cons- tate qu'aubout de
quelqueskilom
ètres surles
routqs^
pavées
ch
ères aux petitsQuinquins
, on retrouveles soudures
en poussière,les
écrous enpromenade dans
^
un coin
du ch
â ssis,les
noyaux réglables
complètementS d
éréglés,les lames du condensateur
ensalade
.Le
poste-auto, c'estd
'abord
une sortede forteresse blind
ée quidoit
résister auxchocs
, auxvibrations
, aux^
secousses, aux variations
de
température
, àla
poussière,aux court-circuits
.
Le
poste-auto, c'est encore unfief
antiparasite,d
é-
^
fendu
contre tousles brouillages
magnéto-électriques
^
de la
voiture, un appareildont le
sondoit
pouvoirdo
-^
miner tous
les bruits de la
mécanique,.tousles
niveaux^
de
parasites.Il doit
êtresensible
etstable
, et présenter^
des qualit
és acoustiquesremarquables
.§
S §
Le
poste-auto existe et c’est mêmel
'unedes
plusmais cc-tain
nombre de
problèmes à résoudre
.Car
sile
postede salon
présuppose une piècede
réception, mais peut à
la
rigueur trouver saplace dans
^ la salle
à manger oula
cuisine,le
poste-auto pose cet5
$ impératif
catégorique qu'il implique la
possessiond
'une^ automobile « La D
'abord
sagesse(
uneàdes la
voiturerigueurnations
... d fait dire
'ensuiteuneVespa)
auxdes
.jeunes menfants !
é»nagesMais
:aussi au sans-
filiste
: «Maintenant
que Le poste-auto existe et c est meme I une des® jolies ré
alisations de la
techniqueradio
électrique, qui pose un certainnombre de
problèmes à résok §
^ s
\V LS riuviu UI^
1elle fait dire
S nous avons
la
voiture,il
nousfaut
un poste-auto. y>^ L
'auto estfaite
pour recevoir un poste commele
porte-
K parapluie pour recevoir une
ombrelle
.(jj
II
y a unsecond probl
ème.Comment
logerle
poste3 dans l
'auto?
À notre époque oùchaque
petite voiture^ î >
estextrairepourvueles
passagersd
'un tire,-bouchon
c'est unepourmerveille de
qu'on puissepenseren^
qu'on puisse encore y trouverle
logementd
'un poste^
miniature,d
ût-onle fractionner
en trois tronçons au3
moins :le cadran
surle tablier
,le haut
-parleur au pla-
^ fond
etl
'alimentation
sousles pieds
, sans compterl
'an-
^ s
tenneEt
ceququ''
onil
mety adehors de plus . fort
, c'est que ça rentre toutmême, mê me
dans
une4 chevaux X
, une3 che -
S
Aux qualit
és qu'on exiged
'unvalet
,disait Ruy Blas
,$
^
combien de
maîtres seraientcapables de l
'être? Mais
^
Victor
Hugo,dont
nousf
êtonsle
cent cinquantenaire,^
ne connaissait ni
l
'auto, nila radio . '
Dommage
, caril
nous eûtdonn
éde bien belles
^
pages sur ces passionnants sujets.
1
I
§ de Jean- Gabriel POINCIGNON
.
! iimiimiimiiBiimiiBii
ütiBiiBiitni
ÊniBiimiiBiS
SBB
. , v
: 925 LEHAIT
-I AHLEUK4
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