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L'institut de formation et de recherche démographiques (IFORD) : situation actuelle et perspectives d'avenir institut de formation et de recherche démographiques

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(1)

EC&/CERAD/87/45

Conference Internationale sur le defi du redressement economique et du developpement acctSlere de l'Afrique Abuja (Nigeria), 15-19 juin 1987

L'lNSTITUT DE FORMATION BT DE RECHERCHE DEHOGRAPHIQDES (IPORD) SITUATION ACTOELLE BT PERSPECTIVES D'AVENIR

par

Institut de formation et de recherche d&nographiquea

(2)

SOMMAIRE

I. INTRODUCTION 1

II. HISTORIQUE

1. Creation 2

2. Regionalisation 3

3. Objectifs 3

4. Structures 4

III. BREF APERCU DES ACTIVITES DE L'IFORD

1. Formation 5

2. Autres activites relatives a la formation 8 a) Li- stage d!initiation a la recherche 8

b) Les stages de perfectionnement 8

c) Les cours intensifs d'initiation

deraographique et statistique 9

3. Promotion de la recherche

a) Les enquetes EMU 10

b) Recherche sur les villes moyennes du Cameroun 10

c) Reunions scientlfiques 10

d) Publications 10

e) Autres publications 11

IV. QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

1. Personnel d'encadrement 11

2. Personnel administratif et technique 11

3. Batiment et Accord de siege 12

4. Equipement 13

5. Questions financieres 14

6. Informations diverses 15

V. RESTRUCTURATION DE L'IFORD : CAUSES ET IMPLICATIONS 15

VI. NOTE FINALE 18

(3)

I -

L'INSTITUT DE FORMATION ET DE RECHERCHE DEMOGRAPHIQUES (IFORD)

: SITUATION ACTUELLE ET PERSPECTIVES D'AVENIR

I. INTRODUCTION

Les Institutions d'enseignement superieur et universitaire sont

appele&s a jouer et jduent effectivement un role important dans la re cherche des solutions aux problemes auxquels le continent africain fait

face pour son developpement9 aflnd'assurer aux generations actuelles et futures un cadre de vie meilleurv plus attrayant et plus humain.

Dans le domaine de la demographie par exemple^ ce role comporte trois dimensions au moihs s

.-.;; «. assurer la formation des _cadres afin de doter les Etats en compe-

: tences necessaires, en, nombre suffisant, pour une meiilieure con-

. na^ssance et une gestion appropriee de la. dynamique demographique ;

- promouvoir la recherche dans les differents pays et I'orienter,

autant que faire se peuts vers des actions concretes et priorita£res

pour le developpement en adaptant les methpdes d1investigation de

la science de la population aux besoins et conditions qui prevalent dans la,region 5.

- sensibiliser les responsables politiques, econpmiqufis et religieux,

ainsi que toutes les couches sociales aux questions,de population

afin de faciliter une bonne comprehension des options prises dans ce domaine9 assurer une large adhesion a ces options et garantir

ainsi quelque peu le succes des politiques et programmes mis en

oeuvre.

Compte tenu de ce roles dont 1?importance est indenlable* les institutions d'enseignement superieur et universitaire constituent de veritables outils de developpement et meritent doncs de la part des hauts resDonsables du continent africain, une attention toute particuliere.

(4)

*■ '>

A I1occasion de l'importante "Conference Internationale sur le del;!

du redressement economique et du developpement accelere de 1'Afrique",

prevue a Abuja (Nigeria) du 15 au 19 juin 1987, l'Institut de Formation

«st de Recherche Demographiques (IFORD) procede ci-apres a une presentation sommaire de sa situation presente et de ses perspectives d'avenir, apres avoir donne un bref apercu de son historique.

II. HISTORIQUE

1. Creation

Depuis deja de hombreuses annees fonctionnent en Asie, l'lnstitut

international dfetudes demographiques cree en 1956 (a Bombay), en Amerique latine, le Centre latino-americain de demographic cree en 1958 (a Santiago du Chili) et au Moyen-Orient le Centre de demographie du Caire cree en 1962.

Ces trois centres avaient ete ouverts avec 1'assistance des Nations Unies.

Face a I1importance croissante des problemes de population au cours des deux dernieres decenniess une mission des Nations Unies pour la program-

mation demographique en Afrique recpmmandait de dpnner la premiere priorite

a la creatipn de deux centres de formation demographique,de niyeau eleves 1'un pour les pays anglophones> et 1'autre pour les pays francophones. En fevrier 1969, lors de sa 9eme session, le Conseil des Ministres de la Commission Economique pour 1'Afrique a approuve cette recommandation ; puis en fevrier 1971a lors de sa lOeme session, il a recommande d'accelerer

la mise en place des deux centres.

L'lnstitut de Formation et de Recherche Demographiques (IFORD), etabli a Yaounde, a effectivement ouvert ses portes en novembre 1972, a la suite; d'un accord intervenu le 9 novembre 1971 entre le gouvemement du Cameroun et 1?Organisation des Nations Unies.

En meme temps que 1?IFQRD9 le Regional Institute for Population Studies (RIPS) a ete cree en 1972 a Accra (Ghana) pour desservir les pays africains dsexpression anglaise.

Depuis sa creation jusqti'au 30 juin 1982, l'lFORD etait finance et

administre conjointement par le gouvemement du Cameroun et l'Organisatipn

des Nations Unies.

(5)

- 3 —

2. Re"gionalisation

Une regionalisation de 1'XFORD est interyenue depuis le ler juillet

1932. Elle a ete amorcee par la decentralisation de la gestion de 1'IFORD au profit de la Commission Economique pour 1'Afrique, et s'est achevee avec l'elargissement du Conseild'Administration a I'ensemble des 25 pays desser

vis et la mise en application des tibuveaux statuts adoptes par la resolution

37/444 du 21 decembre 1982 de l'Assemblee Generate de I1Organisation des Nations Unieso Cette regionalisation avait ete demandee pour; permettre a Is ensemble des pays desservis par 1'Institut deijouer un role actif dans sa gestions notamment en prenant part aux travaux des organes deliberants de 1'IFORD comme le Conseil d'Administration et ie Comite Consultatif9 et en contribuant financierement au fonctionnement de l'Institut.

3. Objectifs

Aux termes des nouveaux statuts, 1'IFORD dessert prioritairement les 25 pays africains pour lesquels le francais est la langua officielle ou la langue de travail.

L'objectif principal de 1'Institut est la formation de demographies*

particulierement de ressortissants des pays desservis ci-dessus mentionnes ainsi que la conduite de travaux de recherche» dans le domaine de la demo- graphie et des domaines connexes, concernant ces pays* et la publication des resultats de ces recherches*

L'IFORD peut accueillir aussi des etudiants en provenance des pays ou le francais est la langue officielle ou la langue de travail n'apparte-

nant pas au continent africain.

Afin d*atteindre les objectifs susmentionnesjl'lnstitut doit ;

assurer une formation de cadres superieurs en demographie et dans les domaines connexes ;

organiser et raettre en oeuvre des travaux de recherche dans tous les domaines demographiques et connexes tant au siege que dans les pays desservis par 1'Institut ;

(6)

- tenirs en cooperation avec lcs services nationaux et les organismes

specialises interesses des autres pays africains, des journees d'etu- dess des cours intensify des seminaires et des reunions sur les

problemes demographiques nationaux, sous-regionaux et regionaux ; - fournir aux gouvernements des pays desservis qui en font la demandes

tous services consultatifs qui entrent dans ses competences et que lui permettent ses moyens ;

- fournir aux chercheurs et aux organisations nationales, sous-regio-

nales et regionaless la documentation voulue concernant les divers

domaines d'etudes demographiques en Afrique. ; ;

4e Structures

Aux termes des nouveaux statuts de I'lFORD, le Conseil dsAdministra

tion est preside par le Secretaire executif de la Commission Economique

pour l'Afrique et comprend : :

- un representant du gouvernement du Cameroun ;

- un representant par pays, pour douze pays membres ;

- un representant du Fonds des Nations Unies pour les activites en matiere de population.

. , . . ■ ■ ■ '

Le Conseil d'Administration de 1*IFORD est responsable de l'etablis sement et de l'evaluation des programmes de formation et de recherche, et des programmes consultatifs, ainsi que des taches connexes necessaires a

la bonne marche de l'lnstitut.

Sur le plan scientifique, le Conseil d'Administration est assiste

par un comite consultatif des etudes et de la recherche ou siegent des representants des pays desservis et des organismes internationaux et non gouvernementaux competents en la matiere. Le Directeur de lflnstitut a la

responsabilite de la planification, de 1'organisation et de la direction des activites do formation et de recherche de l'lnstitut, de ses services

consultatifs et de ses autres activites. .

L'IFORD est un organe subsidiaire de la Commission Economique des

Nations Unies pour 1'Afrique.

(7)

5 -

III. BREF APERCU DES ACTIVITES DE L'IFORD

1. Formation

La duree de la scolarite est de deux ans.

La premiere annee de l'IFORD comprend des coursi des travaux diriges et des travaux pratiques sur le terrain destines a faire acquerir aux etu diants non seulement une solide formation theorique en demographie leur permettant d'analyser et d'interpreter des donnees demographiques, mais aussi une experience pratique en matiere de collecte et d1exploitation des

**■" donnees. Le passage en seconde annee est subordonne a I'dbtention d'une

moyenne au moins egale a 12 sur 20.

La deuxierae annee est consacree a l'etude des matieres relevant de la demographie appliquee devant permettre aux etudiants d'approfondir les connaissances acquises en premiere annee pour mieux aborder l'etude des interactions entre la population et le developpement. economique et socials en vue de faire d'eux des specialises avises, capables,de conseiller les pouvoirs publics dans la definition des politiques depopulation. Au cours de cette seconde annees, les etudiants, dans le cadre d'une initiation a la recherche demographique, redigent un memoire consacre a l'etude d'un pro- bleme de population en Afrique.

^* Les etudiants dont la moyenne est au,moins egale a 12 sur 20 en deuxierae annee, obtiennent le diplome de 1'IFORD, denomme Diplpme d'Etudes

Demographiques (D.E.D.). _. ,

Les cours dispenses durant la scolarite sont repartis en quatre grands groupes '

- Demographie proprement dite - Statistique

- Economic et Sociologie

- Divers. )

La liste detaillee de ces cours est donnees ci-dessous i

(8)

- 6 -

I. DEMOGRAPHIE

101 Introduction a la demographie 102 Methodes d'Analyse demographique M 103 Mortalite et Morbidite

104 Fecondite et Nuptialite

105 Migrations

106 , Demographie mathematique

107 Mouvements et Modeles de population

108 Evaluation et Ajustetoent des donnees imparfaites 109 Doctrines de population

110 Transition demographique 111 Perspectives demographiques

112 Analyse, evaluation et planification des ressources huma^nes 113 Politiques de population

114 Collecte et Exploitation des donnees 115 Pratiques des enquetes demographiques

116 Memoire

II. STATISTIQUE

201 Statistique appliquee a la demographie

202 Sondage

203 Methodes multidimensionnelles d1analyse des donnees

III. ECONOMIE, SOCIOLOGIE ET

PROBLEMES DE POPULATION

301 Methodes de recherche eh sciences sociales 302 Sociologie de la population

303 Economie generale

304 Economie du developpement

(9)

- 7 -

305 Population et Developpement 306 Population et Environnement

307 Population et Amenagement du territoire 308 Regulation des naissances

IV. ACTIVITES ET ENSEIGNEMENTS DIVERS

■ j . ■

.:■.■> 401 Informatique

■ 402 Initiation a I1utilisation des logiciels d1exploitation

r ■ ■

et d'analyse

403 Anglais ; . . : ;

404 Seminaire de formation et de recherche 405 Sport

Depuis sa creation en 1972, 186 diplomes sqnt sortis de l'IFORD, dont 134 diplomes africains et deux diplomes haltiens.

Le tableau ci-apres donne la repartition des diplomes par pays*

Pays d'origine Nombre de diplSmes

Algerie 4

Benin 13

Burkina Faso 10

Burundi ; 3

Cameroun ,44

Centrafriqiie 3

Comores 1 '

Congo 16

Cote d'lvoire 10

Gabon 2

Guinee 3

Madagascar 14

Mali 13

Mauritanie 2

Rwanda 2

Senegal 22

Tchad .. . . 6

Togo 9

Zaire 7

Haiti 2

(10)

- 8 -

2* Autres activities relatives a la formation a) lie_:sjtage_d^initiation a. la__recherche

L'objectif principal de ce stage dTune duree d'un an est de permet- tre a des personnes venant dfaccomplir la formation du cycle d'etudes de base de s'initier a la recherche. On tecrute en moyenne trois chercheurs

par an.

Les stagiaires consacrent leur temps a trois types d'activites : - ils participant selon un planning determine aux travaux de recherche

en cours dans ie Department de la Recherche ; ™%

- ils prennent une part active a l'enseignement comme charges de travaux diriges ; il s'agit ici d'entretenir leurs connaissances en analyse demographique et de mieux les preparer a des epreuves dans ce domaine dans la perspective d'une recherche d'un diplSme

de niveau superieur ;

- ils effectuent des recherches personnelles sur un sujet de leur choix et susceptibies d'etre produites au bout de 9 mois comme un memoire de Diplome d'Etudes Approfondies (D£A) a l'Universite de

Paris I.

A ce jour, 42 chercheurs ressortissants de 14 pays-membres ont deja participe a un stage d1initiation.

b) Les_ stages_de £exfect^ionnement

Le but premier de ces stages est de permettre aux demographes exer- cant en Afrique, soit d'apprendre de nouvelles techniques, soit d'echanger leurs experiences sur un probleme d'interet actuel et d'en faire le point pour le profit de tous. Ces stages, d'une duree de 4 semaines au maximum, s'adressent a des demographes en activite.

L'IFORD a deja organise trois stages de ce type en collaboration avec V Union Internationale pour 1'Etude Scientifique de la population (UIESP, Liege), le Groupe de Demographie Africaine (GDAS Paris) et lflnstitut du Sahel (INSAH, Bamako) en 1981, 1982 et 1986 a Yaounde, Bordeaux et Bamako respectivement. Le nombre de stagiaires est d'environ

20 par session.

(11)

c) Les .cours integUBjlfs ii'j:nitia£*£n_^£m26£a£hi.que__et;

L9IFORD organise aussi une formation sur le tas a travers les cours intensifs d'lnitiation detnographique et atatlstique. Delix pays ont ete beae- ficlaires de ceS cours % les Comores en 1984-85 at Djibouti en 1985-86. Ces cours sont destines specialement aux pays-membtes dont les services statis tiques disposeht de pett d'agents formes dans le domaihe de la collecte des

s-tat±stiquete courantes de base j lls se deroulent dans les paysi q^l en font

la deraande afin d'impllquer le plus grand nombre possible d'agents des di£- ferents ministeres.

Ces cours s'adressent done a des agents d'executiori travaillant dans las differents domaines ou est impliquee la collecte des statistiques demo- graphiques et sociales.

Le but poursuivi estde permettre aux agents concernes d*etre en mesure a I1issue de ces cours» de s J:

- collecter des donnees statistiques a partir des documents adminis- tratifs tels que les fiches d'admission dans les hopitaux, les bulletins de deces£ les registres des maternites, etc... ;

- depouiller des registres d'etat-civil ;

, , . ■■ . . -.-

- elaborer des tableaux statistiques de base ;

- executer des rudiments d?analyst= (construction de graphiques et calcul de caracteristiques de tendanee centrale) ;

- jouer le role de controleur ou de superviseur dans une enquete demographique, recensement et toute autre enquete statlstique.

''-.'■ - ' - ' ■ '

II s'.agit d'une formation intensive comportant deux paEties separees par une periode de plusieurs mois au cours de laquelle les stagiaires rea- lisent une etude de cas.

(12)

- 10 -

3. Promotion de la recherche

Depuis 1976S annee de creation du Departement de la Recherche,

divers travaux et publications ont ete realises au sein de 1'lnstitut ou

avee la collaboration de son personnel scientifique.

f) Lel enauet_es_aur-la mortality infantile £tJuvenile (EMU) i cette

enquete a ete menee dans cinq (5) villes de la sous-region couverte par

1?IFORDS a savoirs Yaounde^ Ouagadougou, Lome, C6tonoij etBrazzaville.

Le volume I sur la methodologie des EMU a deja £te publie, et les autres volumes sont en preparation au niveau des directions de la stiatistique des

pays concernes en etroite collaboration avec 1'lFORD. ;

b) Recher£he £ur le£ y^lles_moyenne£ du_Cameroun : depuis le ler janyier 1987, l'lnstitut s'est attele a un nouveau projet de recherche d'une duree de 2 ans sur les villes moyennes du Cameroun avec le soutien

financier de la Rockefeller Foundation.

c) Reunions^sc%ntm£ues s I'IFORD a coordohn^ quatre (4) reunions

scientifiques. II s'agit %

- du Colloque de Ouagadougou sur les migrations et l'etat-civil,

- du colloque de demographic d'Abidjan sur la feconditev la mortalite9 la croissance urbaine, les declarations de l'age et les concepts de

demographie adaptes aux conditions locales ; .

- du seminaire de Lome sur les politiques de population en Afrique ; - du seminaire national de Bamako sur les politiques de population

au Mali.

s plusieurs series de publications sont effectuees par

TlFORD i

- Bulletin de Liaison de Demographie Africaine s 51 numeros du Bulle tin ont deja ete publies. Le numero 52-53 est en preparation ; t Annales de 1'IFORD : 10 numeros ont deja ete publies £ans cette

serie, les num£ros 11 et 12 sont en preparation ; . . ,fi - En plus des cours polycopies a 1'usage des etudiantss un document

pedagogique intitule : "Analyse de la nuptialite" a ete publie. Un autre document pedagogique sur "Mouvements et modeles de population"

est en cours de preparation.

(13)

- 11 -

e) Autres_publicajtion£ i le personnel scientifique de l^institut produit des travaux qui sont publies dans des revues de renoin. Par ailleurs, les etudiants admis au cycle d'initiation a la recherche produisent des mamoi- res susceptibles d'etre publies dans les Annales de 1'IFORD.

II faut signaler egalement la publication des actes du seminaire de Bamako.

("" IV. QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

1. Personnel d'encadrement . ;

Au debut de l'annee academique 1986-1987, le personnel dsencadrement

de lflnstitut comprenait s

- 4 experts des Nations Unies dont le Directeur et 1'Administrateur ; - 1 expert-associe des Nations Unies £

- 1 demographe mis a la disposition de 1'IFORD par le Gouvernement Cameronnais ;

- 1 demographe mis a la disposition de 1'IFORD par la Cooperation Francaise.

En dehors de 1!Administrateurs tout le personnel d!encadrement est implique dans les activites de formation ou de recherche. L?expert-associe intervient exclusiveraent dans les activites de recherche.

Un expert des Nations Unies est venu le 18 mai 1987 renfbrcer le

personnel d'encadrement en qualite de professeur. L'a'rrivee du' Cbordinateur

de la Recherche a 1'Institut est imminente.

2. Personnel administratif et technique

L'effectif du personnel de cette categorie etait de 19 membres au

debut de i*annee academique 1986-1987.

(14)

- 12 -

yoici la composition de ce personnel t

- 1 assistante administrative - 1 dbcumentaliste

1 aide-documentaliste

- 1 comptable ,,

- 4 secretaires ou dactylographes - 2 agents depouilleurs

- 2 agents charges de la reproduction des documents

- 1 agent charge du courrier

- 2 chauffeurs - 3 gardiens

- 1 agent d'entretien.

...,, Un poste de chauffeur vacant depuis Juillet 1986 a ete rempli le

4 mai 1987. LUffectif du personnel administratif et technique est done

de 20 personnes actuellement.

II convient de noter que mise a part I1assistante administrative qui emarge au budget du FNUAP en qualite d'agent des Nations Unies recrute localement, le personnel administratif et technique jouit d'un nouveau statut depuis le ler Janvier 1984. En effet, par une decision prise par la 12eme session du Conseil d'Administration de l'lnstitut en Novembre 1983 ce personnel est desormais regi par la Convention Collective du Commerce et beneficie du bareme de salaires du Secteur Tertiaire II au meme titre quo le personnel correspondant des organisations internationales- au Cameroun.

Bien que regis par le bareme Tertiaire II, rAide-Documentaliste et une Oactylographe emargent au budget du Projet "Renforcement du Centre de

Documentation de 1'IFORD" finance par le CRDI ; il s'agit la d'un personnel

sur contrat a duree determinee.

3. Bftiment et Accord de Siege :

Le batiment abritant 1'IFORD, situe a cote du Palais de Justice en

pleine extension doit etre demoli, L'lnstitut devra done demenager a nou

veau. Le Ministere de tutelle a ete saisi par la Direction de l'lnstitut

pour qu'une solution urgente et durable soit trouvee a l'epineux probleme

(15)

- 13 -

de locaux que connalt 1'IFORD depuis sa creation. Cette re'quete a rencontri l'agrement du pays-note. Les differents contacts avec les Services concer- nes aontrent cependant que le dossiers, bien qu'en bonne voie, risque d'etre retarde du fait que le terrain mis a la disposition de 1'IFORD depuis 1974 a ete occupe par des "squatters".

Le problame de 1'Accord de Siege a ete debatti* lors du dernier Cons«il d'Administration tenu a Yaounde les 16 et 17 fevrier 1987. En

raison de la restructuration immincnte de 1*Institute le representant du

Gouvernement Camerounais a fait savoir que son pays preferait surseoir a la Signature de cet Accord en attendant que des orientations juridiquts

soient definies» notamraent en ce qui concerns le statut de 1'IFORD.

Les membres du Conseil d1 Administration ont exprirae le voeu ^qut; le probleme du batiment et de 1'Accord de Siege trouve asst-z rapidement unc solution pour permettre a l'Institut de fonctionner dans de meilleures conditions.

4. Equipement

Depuis l*exercice 1986, un effort particulier a ete fait pour doter l?lnstitut d'un equiperaent adequat, particulierement en ce.qui concerne I1equipement informatique, grace au financtment du FNUAP et de la.Coopera-

W tion Francalse.

L'Institut dispose actuellement de quatre (4) micro-ordinateurs et dfune machine a traitement de texte. Six autres micro-ordinateurs sont en commands fermt dont 4 sur financeraent du FNUAP et 2 pb.tenus de la

"Rockefeller Foundation" dans lc cadre du projet "Villes mpyennes du;

Cameroun".

II reste-cependant que compte tenu de la mission de l'

ent, recherche et documentation) les besoins en equipement sont encore loin d'etre satisfaits.

Le pare automobile roulant de 1'lnstitut comprend actuellement

(16)

- 14 -

- 1 Peugeot 505 (acquise en Decembre 1985),

- 2 Cars Mercedes (acquis en Avril 1976 et en Fevrier 1980 respecti- vement)dont un, en panne, est immobilise,

- 1 Car Nissan Civilian (acquis en Mai 1987)en remplacement du car Mercedes immobilise,

- 1 Renault 4 (acquise en Decembre 1981),

- 1 Peugeot 504 F3 (acquise en Juillet 1984),accidentee et declassee

II convient de signaler que trois anciens vehicules (une Renault 20 et deux Peugeot 504) ont ete vendus en 1987. Une demande d'autorisation de vente du car Mercedes immobilise et de la Peugeot 504 F3 accidentee a ete introduite aupres de l'Agence d'Execution.

5. Questions financieres

Le budget de 1?assistance du FNUAP a l'IFCRD s'eleve a 906 000

dollars EU pour l'exercice 1987. Ce budget couvre les couts du personnel dfencadrement et de support administratif, des missions de consultations

les voyages, les bourses et les autres activites de formation et de recher che , les reunions, l*equipement de bureau, les publications et les frais divers.

Le budget approuve et supporte par les contributions des pays-membres

s'eleve a 150 000 000 FCFA pour l'exercice 1987. Cependant a ce jour un

sguI pays a verse un montant de 4 500 000 FCFA et'l'Institut vit actuelle- ment avec le reliquat de l'exercice 1986. A la fin du mois de Juin l'Insti tut sera en peine pour payer les salaires du personnel local. II faut noter que depuis la regionalisation, les sessions du Conseil d'Administration de

l'Institut ont toujours ete financees par un apport special du FNUAP, les

contributions des pays-membres n'ayant jamais ete suffisantes pour suppor

ter les depenses y afferentes. (Cn dortne en Annexe la situation des arrieres

au 31 mai 1987).

Le concours de la Cooperation Francaise aux activites de l'Institut, depuis plusieurs annees dejasest tres apprecie. Le premier accord dsassis tance ayant expire depuis 1985 un nouvel accord est en cours de negociation \

(17)

- 15 -

c'est dans ce cadre qu'une' mission d'evaluation de 1'IFORD a ete effectuee par "Id Cooperation Fr'ancais^e':du 25 mai au 3 juin 1987. Pour 1987, la Coope

ration Francaise a prevu un montant de 100 000 francs francais (soit

5 000 o6o FCFA') au titre de son assistance a 1'IFORD ; une mission d'ensei-

gnemerit' a £te effectuee en Mai 1987 dans ce cadre.

1986, et pour .une periode de deux ans, le Centre de le -Developpement International (CRDI) apporte une assistance au renforcement du Centre de documentation de l'IFORD. Le budget total du projet s'eleve a 64 581 dollars EU.

La Fondation Rockefeller, depuis le ler Janvier 1987 et pour une

periode de deux ans» financeTe projet "Villes moyennes du Cameroun". Le

budget de son assistance a ce projet est de 80 000 dollars EU.

6- Informations diverses

La 14eme session da Conseil d'Administration de 1SIFORD s'est tenue a Yaounde les 16 et 17 fevrier 1987. Entre autres decisions3 elle a arrete la contribution annuelle de chaque Etat-membre a 6 000 000 FCFA et approuve le budget supporte par les contributions a 150 000 000 FCFA pour chacun des exercices 1987 et 1988. En outre, elle a decide la mise sur pied d'un groupe de travail sur la restrueturation de l'Institut.

En Avril 1986S s'est tenue a Yaounde une revue tripartite regroupant le principal bailleur de fbnds de I'lnstitut, le FNUAPV l'Agehce

la CEA, et les deux Instituts (RIPS et IFORD).

V. RESTRUCTURATION DE L'IFORD s CAUSES ET IMPLICATIONS

: Depuis:la regionalisation, 1'lnstitut connalt d'enormes difficultes financieres du fait de lfinsuffisance et de 1?irreguiarite des contributions des Etats-membres; L'IFGRD se trouve ainsi'incapable de faire face aux

rfrais locaux de fonctionnementi Le bilan du recouvrement des contributions de Juillet 1982 a Decembre 1986 est en effet particuli&rement mediocre

f ainsi que lvindique le tableau ci-apres niSme si on a assiste a une legere

amelioration d'une annee a une autre jusqu'au 31 decembre 1985. Au coiirs de

(18)

cette annee la un pays, le Gabon, avait effectue une avance sur ses contri butions de 1986 et 1987. C'est ce qui explique le taux (63,1%) relativeraent eleve de recouvrement des contributions par rapport au budget vote ; ce

taux n'est en fait que de 54,4% si l'on ne prend pas en compte l'avance de

contribution du Gabon. En 1986a la situation a ete extremement critique s 4 pays seulement ont verse un total de 25 125 951 FCFA sur un budget de

85 000 000 FCFA, soit 29,6%. L'lnstitut a cependant pu executor;&m pro

gramme en 1986 sans trop de difficultes grace a un versement; exceptionnel de 49 000 000 FCFA effectue par le Cameroun en 1985.

Tableau.- Bilan des rentrees des contributions au 31 decembre 1986

Budget approuve

| Annee par le Conseil

d*Administration

Contributions recues

(en FCFA) (en % du Budget)

Nombre de pays ayant contribue

1982 1983 1984 1985 1986

36 97 80 80 85

727 894 580 000 000

130v ' 550 000 000 000

10 31 35 50 25

110 838 018 500 125

000 687 000 000 951

27,5 32,5 43,5 63,1 29,6

i

(*) Pour la periode de juillet-decembre 1982

En ce qui concerne l'exercice 1987, pour un budget annonce de

150 000 000 FCFA, seulement un montant de 4 500 000 FCFA a ete verse par

un pays a ce jour.

.'... A 1'insuffisance et l?irregularite des contributions des Etats-

membres s'est ajoutee, depuis 1984, la perspective de reduction de la

contribution du FNUAP aux Instituts et ce, conformement a la resolution

84/21 de son Conseil d'Administration, Lorsqu'on sait que jusqu'a ce jour

le FNUAP est le principal donateur de.l'IFORD, une telle perspective com-

raande, pour la survie de l'Institut un engagement financier ferine et impor

tant des Etats-membres.

(19)

- 17 -

v

Cfest dans ce contextc d'incertitude sur le financement futur des Institute qu?a ete mis sur pied un Comite Special charge d'evaluer des

institutions multinationals parrainees par la CEA ou l'OUA en vue de for-

muler des propositions concernant leur utilite et leur efficacite et de

; donner des avis quant: aux moyens permettant de mieux rationalisers coor- ,donner9, hannoniser ou integrer leurs activites.

Les conclusions et recommandations du Comite Special en ce qui concerne le RIPS et 1'IFORD suarticulent autour de quatre options de base a savoir s

1) Maintien de 18IFORD et du RIPS comme deux institutions separees.

Cette option implique que les Etats-membres devraient reaffirmer et honorer leurs engagements ; de plusP des mesures devraient etre adoptees poura d'une parts harmoniser les activites des deux insti tutions et, d'autre parts reduire les couts de fonctionnement.

(ii) Fusion des deux institutions avec deux unites distinctes installees dans les sieges actuels et une direction commune.

(iii) Fusion des deux institutions en une institution billngue unique avec un siege unique.

(iv) Fusion a plus longue echeance du RIPS et de 1'IFORD avec l'IDEP

et l'ACARSTOD. Dans cette eventualite, les activites actuelles du RIPS et de 1'IFORD constitueraient la composante !Ipopulation" d?un programme global d(etudes sur le developpement socio-eocnomique.

Ces conclusions et recotnmahdations ont ete examinees et discutees par le Conseil ^'Administration de 1SIFORD lors de sa 13eme reunion tenue a Yaounde en Juillet 1985. A 1'issue de cette reunion9 le Conseil d'Adrai- nistration a recoinmande le "maintien de 1'IFORD comme entite autonome, telle qu'elle existe actuelleraent".

Toutefois, fatce aux difficultes de financement actualles et a la perspective de reduction de la contribution du FNUAP hypothequsnt ainsi serieusement l?avenir; de l'lnstitut» la 13eme reunion du Conseil a demande

(20)

- 18 -

a la CEA de convoquer une reunion extraordinaire des plenipotentiaires des Etats-membres de 1'IFORD, en vue de se pencher sur les problemes de l'ave- nir de l'lnstitut et d'entreprendre une etude, approfondic des solutions: de

restructuration envisageables- ;

Sur base de cette recoramandation, et en application de la resolution

577 (XXI) de la Conference des Ministres d'Avril 1986, qui fait elle-meme suite a la proposition des plenipotentiaires des Etats-membres reunis en

session extraordinaire en Mars 1986g la CEA a elabore un document sur les

possibilites de financement futur de 1'IFORD, compte tenu de la reduction

progressive annoncee de la contribution du FNUAP a 1'IFORD a partir de Janvier 1988.

Lors de sa 14eme session tenue a Yaounde les 16 et 17 fevrier 1987,

le. Conseil d'Administration a, apres examen du document prepare par la CEA, decide la mise sur pied d*un Groupe de travail charge de reflechir sur les implications juridiques, administratives, pedagogiques et financieres de

cette restructuration, et de proposer des solutions concretes. Le Groupe est compose du Cameroun, du Congo, de la Cote d'lvoire* du Senegal et de

la CEA. Les propositions du Groupe feront l'objet d'une large diffusion aupres des pays-membres avant d'etre discutees a la 15eme session du Conseil d'Administration prevue pour Janvier/Fevrier 1988.

VI. NOTE FINALE

Dans le "Programme prioritaire de redressement economique de

l'Afrique 1986-1990" adopte par la 21eme session ordinaire de la Conference des Chefs d'Etat et de Gouvernement del'Organisation de 1*Unite Africaine

(Addis Abeba, 18-20 juillet 1985), l*importance du facteur humain dans le

developpement de l'Afrique a ete soulignee a maintes reprises. On lit par

exemple au paragraphe 31 que "la realisation des objectifs du Plan d'Action

et de ll'Acte Final de Lagos depend, en derniere analyse, du developpement

du large eventail des ressources humaines necessaires a la formulation, a

1 execution et au suivi des programmes couvrant tout ce domaine ainsi que

des activites sectorielles dans le processus de developpement economique".

(21)

- 19 -

Institution a vocation regional©* I'IFORD participeincontestablement a cet effort de developpemenf des ressources humaines par la formation des cadres francophones de haut nivjaau specialises en science de la populations et capables non seulement de collecter les; donnees deniographiques,mais aussi de les analyser en tenant pleinetnent compte des interrelations qui existent entre ces donnees et les facteurs socio-economiques et culturels.

Depuis sa creation en 1972 jusqu'en 1986, l'IFORD a forme 186 demo- graphes dont 184 ressortissants de,-19.pays africains francophones d'Afrique et 2 Haltiens. Une etude menee en 1986 sur les 12 premieres promotions totalisant 172 diplomes a montre que les Directions de Statistique et les Ministeres charges du Plan des differents Etats-membres de l'IFORD sont les

principaux utilisateurs des diplomes de l'lnstitut % ils absorbent a eux

seuls environ 60% des cadres formes. Les autres Ministeres engages dans des activites de pianification sectorielle (sante, education urbanisme,...) occupent 10% de l'effectif ; les autres demographes sortis de l'IFORD sont engages dans les structures d'enseignement ou de recherche (19%), dans les organisations Internationales (6%)s dans des societes et autres organismes

tant publics que prives (5%).

On peut cependant, sans difficulte aucune, affirmer en se referant au tableau de la page 7 que les besoins des pays africains francophones

sont loin d'etre satisfaits dans ce domaine particulier. 0r» il est evident

que quel que soit le domaine, les reformes necessaires pour le redressement et le developpement de l'Afrique ne peuvent Stre elaboreess mises en oeuvre et evaluees sans disposer des cadres nationaux convenablement prepares et

en nombre suffisant. II est done indispensable et urgent que l'Afrique

accorde a ses institutions specialises de formation et de recherche une attention toute particuliere.

II ressort cependant de Inexperience vecue par l'IFORD depuis sa

regionalisation en 1982 que les Etats-membres n'apportent pas a l'lnstitut

l'appui financier dont il a besoin pour lui permettre de ssacquitter de la

mission que les Etats-membres eux-memes lui ont confiee. Si cette facheuse

(22)

- 20 -

situation persiste - a savoir le non-versement, par les Etats-membres, des

contributionis dues a 1'IFORD - l*Institut sera contraint, a terme* de fer- mer purement et simpiement ses portes. Toute solution de restructuration

impliquarit une prise en charge dBune part importante du budget de l'Institut par les Etats-membres est d°avance vouee a 1'echec sans un engagement ferrae et reel de ceux-ci.

11 En definitive9 la poursuite de la mission de 1'IFORD depend de la maniere dont les Etats-membres seacquitteront de leurs obligations vis-a vis d£ 1'Institute

(23)

ANNEXE - 21 -

Bilan des Arrieres de Contributions au 31 Mai 1987 (en FCFA)

1.

2.

3.

4.

5.

6.

7.

8.

9.

10.

11.

12.

13.

14.

15.

16.

17.

18.

19.

20.

21.

22.

23.

24.

25.

Pays

Algerie*

Senin

Burkana Faso*

Burundi*

Cameroun Centrafrique

Comores*

Congo

Cote d'lvoire Djibouti*

Gabon Guinee Madagascar Kali*

Maroc*

Maurice*

Mauritanie*

Niger*

Rwanda *

Senegal Seychelles*

Tchad*

Togo

Tunisie*

Zaire

TOTAL

Montant au 31

20 14 20 20

14 20 7

20

9 10 20 20 20 20 20 20 4 20 20

20 12

359

des Arrieres Mai 1937

500 000 004 500 500 000 500 000

_

500 000 500 000 500 000

-

500 000

-

046 813 499 049 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000

-

500 000 482 900

533 262

Contributions dues pour 1987

6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000

-

6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000 6 000 000

144 000 000

Total

26 20 26 26 6 20 26 13 6 26

15 16 26 26 26 26 26 26 10 26 26 6 26 18

503

du a l?IFOKi>

500 000 004 500 500 000 500 000 000 000 500 000 500 000 500 000 000 000 500 000

_

046 813 499 049 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 000 000 500 000 482 900

533 562

N'a jamais contribue.

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