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[Sélectionnez la date] TUTORAT C2SU APPAREIL GÉNITAL FEMININ. [Tapez le sous-titre du document] Sara-Léane

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[Sélectionnez la date]

[Tapez le sous-titre du document] | Sara-Léane

T UTORAT

C2SU A PPAREIL GÉNITAL FEMININ

(2)

TABLE DES MATIERES

I. INTRODUCTION ... 3

II. LES OVAIRES ... 4

III. VOIES GENITALES INTERNES………..……….……….6

A. Trompes utérines et trompes de Fallope ... 6

B. Utérus……….……….………10

C. Vagin………....16

IV. ORGANES GENITAUX EXTERNE ET GLANDES ANNEXES : VULVE………18

A. Organes génitaux externes………..……….18

B. 2 Types de glandes annexes ………..……….19 BONUS : RECAPITULATIF DES EPITHELIUMS ... 2O

(3)

I . I N T R O D U C T I O N

L’appareil génital féminin comprend : - Les gonades (ovaires)

- Les voies génitales internes : trompes de Fallope (ou trompes utérines), utérus et vagin

- Les organes génitaux externes (la vulve) - Les glandes annexes : glandes vulvo-vaginales

Entre la puberté et la ménopause, l’ensemble de l’appareil génital féminin est le siège de modifications morpho-fonctionnelles cycliques en relation avec le cycle menstruel, qui dure 28 jours en moyenne.

Vue frontale de l’appareil génital féminin

Miam…

Coupe sagittale médiane de la région pelvienne de la femme

Arrière Avant

(4)

Ainsi, ces cycles sont contrôlés par l’hypophyse par action de 2 hormones

FSH (Follicle Stimulating Hormone)

LH (Luteinizing Hormone)

Elles-mêmes contrôlées par l’hypothalamus via la GnRH (Gonadotropin Releasing Hormone).

En conséquence, l’ovaire assure 2 fonctions essentielles :

 Fonction exocrine : libération des ovocytes prêts à être fécondés.

 Fonction endocrine : sécrétion des stéroïdes sexuels.

Liées en grande partie à la même unité morphologique : les follicules ovariens qui contiennent les ovocytes (« élaboration exocrine » de l’ovaire) et dont la paroi est constituée par des cellules sécrétrices d’hormones.

I I . L E S O V A I R E S

Situés dans la cavité pelvienne en arrière des ligaments larges, dans une dépression du péritoine : la fossette ovarique (ou ovarienne). Ils ont la forme d’une amande dont les dimensions sont en moyenne de 5 cm de long, 4cm de large et 1cm d’épaisseur et sont en étroit contact avec le pavillon de la trompe qui les recouvre.

RQ : le péritoine est une séreuse, un sac à 2 feuillets, un feuillet viscéral proche des organes et un feuillet pariétal à l’extérieur

ATTENTION : l’observation

simultanée d’un follicule préovulatoire et du corps jaune est impossible le corps jaune provient de la

transformation du follicule après l’ovulation

Le schéma est donc inexact en réalité

Le corpus albicans sont en revanche des cicatrices fibreuses observables quelque soit la date du cycle

(5)

Histologie topographique de l’ovaire adulte : formé de deux régions Zone corticale périphérique :

Cortex ovarien Zone médullaire centrale

 Zone fonctionnelle de l’ovaire

 Epaisseur variable

 Revêtue par l’éphithélium ovarien

 Cubique simple

 Improprement appelé

« épithélium germinatif »

 En continuité latéralement avec l’épithélium péritonéal

 Sous l’épithélium : stroma

conjonctif et follicules à différents stades de leur évolution

 Directement sous l’éphithélium : le stroma présente une couche dense mal délimitée de tissu conjonctif sous-jacent ; c’est l’albuginée de l’ovaire

 Le stroma conjonctif sous l’albuginée est lui constitué de

 cellules conjonctives fusiformes disposées en tourbillon entre les follicules

 Rares fibres de collagène

 Et occupé par les follicules ovariens qui se développent dans l’épaisseur du stroma

 Région centrale aux limites très irrégulières

 Subdivisée en 2 zones

 Parenchymateuse

 Hilaire

 Zone Parenchymateuse

 Tissu conjonctif assez lâche parcourue par de nombreux vaisseaux (artères à

disposition spiralées et des vaisseaux lymphatiques) et de nerfs

 Portion douée d’une certaine plasticité en raison de sa texture.

 Zone Hilaire

 Tissu conjonctif plus dense d’aspect fibreux

 En rapport avec le hile de l’ovaire (point de jonction ovaire/mésovarium)

 Composée d’éléments divers:

o reliquats

embryonnaires ou rete ovarii,

o vaisseaux sanguins, o vaisseaux

lymphatiques, o rameaux nerveux, o « cellules du hile de

l’ovaire »,

o éléments fréquemment en contact immédiat avec des fibres nerveuses amyéliniques.

(6)

Ainsi on a les représentations suivantes :

I I I . V O I E S G E N I T A L E S I N T E R N E S

A. Trompes utérines ou trompes de Fallope

Ce sont 2 conduits musculo-membraneux de 10 à 12 cm de long situés dans l’aileron supérieur du ligament large et étendus entre l’ovaire et l’angle supérieur de l’utérus.

Chaque trompe comprend 4 régions anatomiques qui sont de dehors en dedans

 Pavillon

 Ampoule

 Isthme

 Portion interstitielle Point pathologie sur l’ovaire :

 Syndrome de Stein-Loventhal = ovaire porcelaine (albuginée anormalement dense les follicules ne peuvent pas évoluer problèmes d’ovulation ; ovaire poly-kystiques : nombreux ovaires tertiaires sous l’albuginée rigide qui ne

peuvent aller jusqu’au stade pré ovulatoire et ovuler)

 Ovaires réduits à des bandelettes : ovaire sans follicules

 Syndrome de Turner : monosomie X , de formule 45 XO : insuffisance ovariennes soit dès la naissance, soit très rapidement au cours de la vie.

(7)

Noms Description Position Schéma histologique Pavillon  Portion mobile

Contact avec la surface ovarienne

Série de digitations (franges), l’une d’elle est longue=

frange de Richard

Les franges servent à capter l’ovule

Non fourni

Ampoule  Zone volumineuse et aplatie

Suite du pavillon

Siège de la fécondation

la muqueuse forme de nombreux replis

la musculeuse est mince

Isthme  Portion rectiligne courte et étroite

Relie l’ampoule à la paroi utérine

Musculeuse plus épaisse

Portion Intersti- tielle

Dans l’épaisseur de la paroi utérine, courte et très étroite

S’ouvre dans la cavité utérine par l’ostium

(8)

Structure histologique

Noms Descriptions

Muqueuse Epithélium unistratifié :

Cellules ciliées

Cellules sécrétrices

(les 2 types de cellules sont soumises à des variations fonctionnelles au cours du cycle)

Tissu conjonctif sous-jacent = chorion

Tissu conjonctif lâche renfermant

o Vaisseaux sanguins + lymphatiques et des nerfs Existence d’une plicature formée de plis longitudinaux dont la taille et le nombre augmentent au fur et à mesure que l’on s’approche de l’ovaire

Musculeuse Cellules musculaires lisses (se contractent de façon rythmique) Séreuse Couche conjonctivo-élastique riche en vaisseaux revêtue du

mésothélium péritonéal Schéma de la structure histologique générale

d’un organe creux

Ainsi quelque soit la région anatomique considérée, la structure histologique monomorphe de la trompe - de la lumière vers la périphérie - est constituée de

 Muqueuse,

 Musculeuse,

 Séreuse

(9)

Ligament large

Variations cycliques au niveau de la trompe :

Phase folliculaire (4ème jour au 14ème jour) : les cellules ciliées sont les plus nombreuses

Phase lutéale : cellules ciliées plus basses (même niveau que les cellules sécrétrices) ; cellules sécrétantes volumineuses (à la fin du cycle), mouvement centripète des cils.

Bonus schématographique: (pour mieux visualiser)

Les cellules ciliées présentent dans l’épithélium servent à aider l’ovocyte ou l’embryon à progresser dans la trompe. Les cellules musculaires lisses en se

contractant permettent également de le faire avancer.

Grossissement moyen

Replis de la muqueuse

Musculeuse

Séreuse Faible grossissement

Lumière de

l’ampoule tubaire envahie par les replis de la

muqueuse Coupe au niveau de l’ampoule tubaire : coloration bichrome

Epithélium prismatique simple après une coloration topographique trichrome, à fort

grossissement Muqueuse et épithélium tubaire

Repli de l’épithélium de revêtement avec 2 types cellulaires

Axe conjonctif

Cellules ciliées Noyau cellule Lymphocyte Tissu conjonctif

(10)

Histophysiologie de la trompe

Les trompes ont un triple rôle :

Captation de l’ovocyte lors de l’ovulation

Transport de l’ovocyte et de l’embryon vers l’utérus

Exercent diverses influences sur les spermatozoïdes présents dans les trompes (lieu de la capacitation des spermatozoïdes et de la fécondation)

Ces fonctions s’exercent par l’intermédiaire du produit de sécrétion des cellules tubaires (cellules sécrétrices) c’est-à-dire le liquide tubaire, de la direction des battements des cellules ciliées et des contractions péristaltiques de la musculeuse.

B. Utérus

Il s’agit d’un organe impair et médian, situé entre la vessie et le rectum. Chez la femme en activité génitale, il mesure 7 à 8cm de long et 4 à 5cm de large. Il est de forme conique à base supérieure, au niveau de laquelle s’abouchent les trompes de Fallope. Son extrémité inférieure débouche dans le vagin. Il est composé de 3 régions : corps, isthme et col. C’est un muscle creux, à cavité réduite mais à paroi épaisse (de 3 couches décrites ci- dessous :)

Point pathologie sur la trompe:

Salpingites : inflammation liée à une infection

Hydrosalpinx : Accumulation de fluide tubaire par absence de mouvement de fluide : région dilatée

Obstructions (souvent le cas dans les hydroalpinx)

Grossesses extra-utérines : implantations au niveau des trompes en majorité

(11)

Myomètre ou musculeuse

(+ épais) Endomètre ou muqueuse Structure histologique de la paroi utérine

 Tunique la plus épaisse de l’utérus

 Constituée de fibres musculaires lisses

 Subdivisée en 3 couches

Entre les fibres musculaires lisses circulent de nb vaisseaux et fibres nerveuses

adrénergiques dont la stimulation entraîne une libération de prostaglandines (stimulation de la contraction des cellules musculaires du corps de l’utérus)

 Au niveau du col de l’utérus myomètre très réduit (--- extrémité vaginale) mais grand dvp du réseau conjonctif élastique

 Comprend un épithélium et un chorion

 Structure histologique dépend du niveau anatomique

 Au niveau du corps de l’utérus

 L’endomètre atteint sa plus grande épaisseur

 Epaisseur variable (de 0,5 à 5mm) en

fonction des stades du cycle

 L’épithélium simple prismatique (cellules ciliées + sécrétrices) présente des

invaginations dans le chorion sous-jacent formant des glandes tubuleuses simples

 Le chorion est riche en cellules, pauvre en collagène, nombreuses fibres de réticuline, éléments dispersés dans une substance fondamentale

abondante, artérioles à disposition spiralée situées dans la profondeur de l’endomètre

 Au niveau de l’isthme

 Même constituants qu’au niveau du corps

 Mais moindre épaisseur et activité professionnelle Le + épais

Séreuse

(12)

Variations cycliques de l’endomètre

 Durant la période d’activité génitale entre la puberté et la ménopause grâce à l’action des hormones ovariennes (œstrogènes et progestérone) provoquant des modifications morphologiques cycliques de l’endomètre => cycle endométrial = cycle menstruel

 Durée : 28 jours

 Le cycle commence le premier jour des règles

 La plus grande partie de l'endomètre, la zone fonctionnelle, subit un développement synchrone au cycle ovarien et il est éliminé pendant les règles (absence de fécondation et implantation)

 Le reste de l'endomètre est la zone résiduelle à partir de laquelle de développe la zone

fonctionnelle

 Le cycle est divisé en trois parties :

Phase de desquamation ou

menstruelle (J1 à J4)

Phase de réparation et de prolifération

(J5 à J14)

Phase de transformation glandulaire et de

sécrétion (J15 à J28) Partie

hormonale

Diminution brutale des taux sanguins d’œstrogène

(E2) et de progestérone (P4) Conséquence : vasoconstriction des

artères spiralées

Phase oestrogénique (coïncide avec le développement des follicules ovariens et la sécrétion d’œstrogène)

La progestérone sécrétée par le corps jaune stimule la

sécrétion des cellules glandulaires Schéma de

l’endomètre

Schéma histologique

(13)

Description o Desquamation fragmentaire étalée dans le temps de la zone fonctionnelle (la zone

fonctionnelle se fragmente et diminue petit à petit)

o Conservation de la zone résiduelle et donc des culs de sac glandulaires

o Existence de suffusions

hémorragiques dans le chorion (la

suffusion correspond au passage d'un liquide organique en dehors du vaisseau qui le contient, en direction des tissus avoisinants).

o La zone résiduelle est la seule

présente donc c'est à partir de celle ci que se reconstitue (sous l’action de la sécrétion

d’œstrogènes) les glandes, le chorion et l'épithélium de revêtement o Augmentation

progressive de l'épaisseur de l'endomètre o Reconstruction de

l'épithélium utérin o Développement

des glandes (nombreuses mitoses)

o Développement des vaisseaux o Nombreuses

mitoses dans le chorion

o Développement de la substance fondamentale

A la fin de la phase, o les glandes

deviennent rectilignes avec une lumière étroite ;

o Des enclaves de glycogène apparaissent au pôle basal des cellules glandulaires ; o Artères spiralées

sont allongées et étroites

o Transformation des glandes : longues, nombreuses et sinueuses et la paroi des glandes est refoulée par des épines conjonctives (aspect de dentelle utérine)

o Transformation des cellules

glandulaires : le noyau s'est déplacé et occupe la partie moyenne, la partie basale est occupé par une zone claire PAS + (glycogène) Puis le glycogène remonte le long du noyau pour se retrouver au pôle apical pour être excrété dans la lumière des glandes o Les vaisseaux se

développent +++ et se spiralisent

o Transformation du chorion, siège d'un œdème qui devient maximum au jour 21 (jour d'une éventuelle implantation)

(14)

Col de l’utérus

2 régions histologiquement et anatomiquement différentes :

endocol ou canal cervical : portion allongée comprise entre un orifice interne et un orifice externe

Exocol ou museau de tanche : segment intra vaginal de l’extrémité inférieure de l’utérus

Région dite zone de jonction : sépare la muqueuse de l’exocol et de l’endocol Point pathologie sur l’utérus : myomes ou fibromes

- Bénignes

 Fréquentes et situés à différents endroits de la cavité utérine - Symptomologie différente selon la localisation

 Sous la séreuse : vers l’extérieur de l’utérus, diagnostic tardif : que lorqu’ils deviennent gros

 Sous muqueux : vers l’endomètre, bombent dans la cavité utérine, l’érodent : saignement de la muqueuse

 Intra-muraux : à l’intérieur du myomètre, souvent asymptomatiques s’ils restent petits.

Glandes tubulo-alvéolaires Canal endocervical

Glaire cervicale

Vagin

(15)

Endocol (=canal cervical) Muqueuse :

 Revêtue par un épithélium cylindrique simple avec cellules ciliées et sécrétrices

 Chorion : glandes tubulo-alvéolaires ramifiées à sécrétion muqueuse à l’origine de la glaire cervicale

 Sécrétion variable en fonction de la date du cycle

 Variations de pH, de viscosité et de composition physico-chimique au cours du cycle

 Qualité de la glaire cervicale en période ovulatoire est déterminante pour la pénetration intra-utérine des spz : au moment de l’ovulation elle doit être

 Abondante

 Translucide

 Filante

 Acellulaire

 Cristallise en feuille de fougère Exocol (= museau de tanche)

Muqueuse :  Même muqueuse que le vagin : épithélium malpighien non kératinisé

 Les cellules de l’épithélium renferment du glycogène

L’exocol est en continuité avec le vagin donc il possède le même épithélium. De plus, la muqueuse de l’endocol et de l’exocol sont séparées par une région dite zone de jonction (la séparation est nette)

Epithélium de l’exocol : malpighien non kératinisé

Glandes tubulo- alvéolaires de l’endocol

Transition brutale entre les epitheliums exocol/endocol

(16)

C. Le Vagin

Conduit musculo-membraneux impair et médian à parois très extensibles et s’étend de l’utérus à la vulve. Sa paroi est constituée de 3 couches :

Description Images

Muqueuse Epithélium : malpighien non kératinisé

De la profondeur à la

superficie, 4 couches dans la muqueuse :

- Couche basale : une assise de cellules

cylindriques de petites tailles - Couche parabasale

: plusieurs assises de cellules ovalaires - Couche moyenne

: cellules

intermédiaires, polygonales riches en glycogène - Couche

superficielle : cellules aplaties aux noyaux

pycnotiques Chorion : tissu conjonctif lâche, riche en fibres élastiques avec des lymphocytes, polynucléaires et

neutrophiles, sans glandes, très vascularisé

Au cours du cycle menstruel, modifications : phase de prolifération (=oestrogénique) Point pathologie sur le col de l’utérus :

 Kystes de Naboth : Dilatation des glandes tubulo-alvéolaires de l’endocol qui peuvent bomber au niveau de l’exocol

Ectropion : Zone de jonction entre les muqueuses de l’endocol et exocol descend au niveau de l’exocol

Cellules paraissent translucides chargées de glycogène

(17)

et desquamation (=lutéale)

Musculeuse 2 plans de fibres musculaires : o Un plan externe :

fibres

longitudinales, étendues entre le myomètre et les branches ischio- pubiennes

o Un plan interne de fibres circulaires, étendues du col utérin à l’orifice vulvaire

Adventice Riche en fibres élastiques

A propos du glycogène :

On peut recueillir les cellules desquamées du vagin par un frottis vaginal pour fournir des indications sur le plan hormonal. Un frottis peut aussi servir à dépister certains cancers du tractus génital. Aspect variable en fonction de la date du cycle.

 Eosinophiles : prédominants en phase préovulatoires

 Basophiles : En phase lutéale : grands nombres de basophiles et apparitions de leucocytes

 Leucocytes : ‘’

(18)

I V . O R G A N E S G E N I T A U X E X T E R N E S E T G L A N D E S A N N E X E S : V U L V E

A. Organes génitaux externes

Organe Description

Le clitoris Organe érectile

2 parties :

- Un corps terminé par un gland clitoridien revêtu par un épithélium pavimenteux stratifié

- Les corps caverneux

Les petites lèvresAxe de tissu conjonctif fibro-élastique

Riche en vaisseaux et nerfs

Recouvert d’un épithélium malpighien kératinisé (comme la peau)

Souvent très pigmentées

Riche en glandes sébacées

Les grandes lèvresBordent extérieurement la vulve

Face interne lisse, sans poils : glabre

Face externe tapissée par la peau revêtue de poils

Contiennent du tissu adipeux (en grande quantité), des glandes sébacées et sudoripares

(19)

B. 2 Types de glandes annexes

Glandes Description Sécrétion

Glandes vestibulaires principales ou

glandes de Bartholin

- Situées de chaque côté du vagin

- Glandes

lobulées tubulo- acineuse

- Tapissées d’un épithélium cubique

Sécrètent un fluide filant

Glandes vestibulaires accessoires ou

glandes de Skene

- Autour de l’urètre et

du clitoris Sécrétion de type muqueux

Point pathologie sur les glandes annexes:

 Infections des glandes de Bartholin : Bartholinite

 Vestibulites : Infections des glandes vestibulaires

(20)

Récapitulatif des épithéliums :

Zone Epithélium Constitution

Ovaires Cubique simple Directement dessous : albuginée

En dessous stroma conjonctif et follicules (cellules conjonctives fusiformes et rares fibres de collagène)

Trompes Unistratifié Dans l’épithélium : cellules ciliées et sécrétrices

Chorion sous jacent : tissu conjonctif lâche (vaisseaux sanguins et lymphatiques et nerfs)

Utérus Simple, prismatique Epithélium : cellules ciliées, sécrétrices et invaginations dans le chorion formant des glandes tubuleuses simples

Chorion : riche en cellules, pauvre en fibres de collagène, nombreuses fibres de réticuline, dans une substance fondamentale, artérioles (spiralées) en profondeur

Endocol Cylindrique simple Epithélium : cellules ciliées et sécrétrices

Chorion : glandes tubulo-alvéolaires ramifiées à sécrétion muqueuse

Exocol Comme le vagin (malpighien non kératinisé)

Cellules renferment du glycogène

Vagin Malpighien non kératinisé

4 couches sous l’épithélium

Les cellules renferment du glycogène Clitoris Pavimenteux stratifié En 2 parties : gland et les corps

caverneux Petites

lèvres

Comme la peau

(malpighien kératinisé)

Axe de tissu conjonctif fibro-élastique riche en vaisseaux, en nerfs

Glandes de

Bartholin

Cubique Glandes lobulées tubulo-acineuse

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