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ESQUISSE SUR NANTEUIL

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A b b é G e o r g e s D A N T H O N professeur à Pont-Levoy

ESQUISSE

SUR NANTEUIL

(A MONTRICHARD, AU DIOCÈSE DE BLOIS) Son Histoire

S o n Église

Son P è l e r i n a g e

GRANDE IMPRIMERIE DE BLOIS place de l'Ave Maria

1931

P r i x : 7 fr.

(3)

Imprimatur Blesis, die 20 Augusti 1930.

F. BOULLIAU, Vic. gén.

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AVANT-PROPOS

Au sud du diocèse de Blois, dans une région qui jadis était du diocèse de Tours, non loin des bords du Cher, tout près de la gare de Montrichard (ligne Tours-Lyon), à quelques centaines de mètres en avant du donjon d'Hugues de Chau- mont et de l'église Sainte-Croix, se trouvent, comme au centre même du tableau, une fontaine et une église qui sont lieu de pèlerinage. C'est le domaine de N.-D. de Nanteuil, aux confins de la Touraine, du Blésois et du Berry.

Il est l'objet de la présente étude.

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Lalleu, par Pontlevoy, le 8 septembre 1929.

A MONSIEUR LE CHANOINE BONNIN, ARCHIPRÊTRE DE VENDÔME.

Cher Monsieur l'Archiprêtre,

Au cours de l'été 1926, vous m'avez exprimé le désir de me voir consacrer à une étude sur votre cher sanctuaire de Nanteuil une partie des loisirs que me créait l'immobilité imposée par la Faculté. A vrai dire, ces loisirs étaient déjà fort occupés par divers travaux. Mais le moyen, dites-moi, de ne pas accéder au moindre vœu d'un ami tel que vous, surtout quand ce souhait se rapporte à la glorification de Marie, Reine de notre région par ses deux fiefs de Nanteuil et des Blanches, et que la demande en est délicatement formulée chez mon tout dévoué docteur de Montrichard, pour être renouvelée, quelque temps après, en la demeure si bienveil- lamment hospitalière de Lalleu ?

Cependant la bonne volonté ne suffisait pas à un travail de ce genre. Il fallait une documentation solide, que les dévas- tations de la guerre de Cent Ans, des guerres de Religion et de la période révolutionnaire ont rendue peu aisée. Votre propre obligeance et la science de M. le chanoine G aller and, aussi inépuisable que sa bienveillance, me facilitèrent les recherches.

Elles furent beaucoup plus lentes que je ne l'avais prévu : le temps m'a beaucoup manqué. — Enfin le travail demandé par vous, cher Monsieur l'archiprêtre, se trouve terminé.

Je vous renvoie. S'il vous agrée quelque peu, je m'estime- rai déjà bien récompensé. S'il procure à Marie quelque gloire, notre but à tous deux aura été atteint.

Je vous redis, bien cher Monsieur l'archiprêtre, mon affec- tueux et dévoué respect.

Abbé GEORGES DANTHON.

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PLAN DE LA PRÉSENTE ESQUISSE sur Notre-Dame de Nanteuil

Trois chapitres :

I. Le Bourg de Nanteuil; II. L'Eglise de Nanteuil; III. Le Pèlerinage de Nanteuil.

CHAPITRE I. Le Bourg :

1° Les débuts de l'agglomération de Nanteuil (? — 800).

2° Les Invasions normandes; Nanteuil-Bourré fief de saint Martin (IX et x* siècles).

3° Près de Nanteuil, fondation de Montrichard par Foul- ques III Nerra (Première moitié du XI siècle).

4° Les premiers successeurs de Foulques Nerra : Nanteuil affilié à Pontlevoy (de 1040 au milieu du XII siècle).

5° Nanteuil fief anglais (deuxième moitié du XII 6° Extension de la dépendance de Nanteuil à l'égard de Pontlevoy (de la deuxième moitié du XII s. à la deuxième moitié du XIV

7° La guerre de Cent ans (1355-1461).

8° Depuis Louis XI jusqu'aux guerres de Religion.

9° Les guerres de (Religion.

10° Nanteuil passe momentanément de la juridiction de Pontlevoy à celle d'Aiguevive.

11° Depuis le retour à la juridiction de Pontlevoy jusqu'à la Révolution (1680 ?-1789).

12° La période révolutionnaire (1789-1804).

13° Du début du I Empire jusqu'à la Révolution de juil- let (1804-1830).

14° Les cent dernières années 1830-1930.

CHAPITRE II. L'Eglise : 1° Premier établissement.

2° Les Bénédictins de Pontlevoy construisent le gros œuvre de l'église actuelle.

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3° Construction de la chapelle basse et de la chapelle haute.

4° XVI et XVII siècles.

5° Restauration de l'église de Nanteuil.

6° Sous Louis XV.

7° La Révolution.

8° (Le XIX siècle.

9° Aperçu sommaire de l'édifice.

CHAPITRE III. Le Pèlerinage : 1° Les toutes premières origines.

2° Légendes et traditions.

3° La pluie bienfaisante accordée à Philippe-Auguste.

4° Le pèlerinage du Lundi de la Pentecôte.

5° La guerre de Cent Ans.

6° Charles VII et Marie d'Anjou à Nanteuil.

7° Louis XI pèlerin de Nanteuil.

8° Les guerres de Religion.

9° Le XVII siècle.

10° Sous Louis XV.

11° Sous Louis XVI.

12° La Révolution.

13° D'un empereur à l'autre : 18 mai 1804 - 1 septembre 1870.

14° D'une guerre à l'autre : 1870-1919.

Conclusion.

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CHAPITRE I LE BOURG DE NANTEUIL

J. — LES DÉBUTS DE L'AGGLOMÉRATION DE NANTEUIL.

( ?-800).

La toute première origine du bourg de Nanteuil se perd dans la nuit des temps préhistoriques.

En effet, dès les époques les plus lointaines, la contrée, dont son église occupe maintenant le centre, comprenait, selon toute vraisemblance, des groupes appréciables de population.

Les savants travaux de l'abbé Bourgeois (1) ont établi péremptoirement que sur l'emplacement de la plaine de Pont- levoy et ses environs (donc à Nanteuil et dans son voisinage) ont vécu des représentants des âges les plus reculée : âges de la pierre éclatée et de la pierre polie, âges du bronze et du fer, comme disent les techniciens. D'ailleurs le nom seul de Nanteuil trahit son origine celtique ou gaelique ; les Celtes ou Gaëls, pères des Gaulois, appelaient « nant » une source ou un cours d'eau, dans l'espèce la fontaine du pèlerinage ainsi que le ruisseau de Poncher ou de la Maladrerie.

Si l'hypothèse, ingénieuse de M. A. Dupré (1869), reprise trente ans plus tard par M. H. de la Vallière (2), est exacte, qui place dans la région en question l'assemblée annuelle tenue par les Druides à la limite du pays chartrain, cette

(1) Directeur du collège de Pontlevoy. — Décédé en 1878. — Particulièrement célèbre par ses découvertes géologiques dans la région.

(2) Le Loir-et-Cher, octobre, novembre et décembre 1897.

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fontaine de Nanteuil pourrait être « l'endroit consacré » (I) qui était le centre de ces solennelles assises. — Quoi qu'il en soit, elle était un objet de vénération pour le clan gaulois qui occupait le territoire d'alentour et qui s'y donnait rendez-vous pour les ablutions sacrées et les fêtes religieuses, comme aussi pour les tractations commerciales.

Vint la conquête des Gaules par Jules César (59-51 av.

J.-C.) et l'organisation « gallo-romaine » du pays.

S'il est exact que « le passé gallo-romain... tient... une place capitale dans l'évolution de notre histoire » (2) générale, on peut l'affirmer tout particulièrement de l'histoire locale de la région nantolienne. Elle se trouve aux confins des terri- toires occupés alors par les trois peuplades appelées par César les Turones (Tours), les Carnutes (Chartres) et les Bituriges (Bourges). Les Bituriges ayant résisté plus long- temps que les Carnutes à l'acceptation du joug des Romains, ces derniers, redoutant leurs irruptions, prirent leurs mesures en conséquence. De même que dans le pays de Civaux (Vienne) (3) ils avaient disposé tout un réseau de surveillance et de défense orienté face aux Lemovices, de même ils orga- nisèrent toute une ligne de défense de Pierrefitte à Thésée, avec le camp de Neung, les remparts de Mur-de-Sologne, la citadelle de Romorantin (4), peut-être même, en retrait, la

(1) César — Guerre des Gaules, liv. VI, chap. XIII.

(2) M. Toutain, de l'Ecole des Hautes Etudes. Rapport lu le 23 avril 1927 à la clôture du Congrès annuel des Sociétés savantes.

(3) Cf. L'Enigme de Civaux. Maximin Deloche, 1924.

(4) Roma Rantini, Rome près du Rantin — ou encore : Roma minor, la petite Rome (Appellation fantaisiste des soldats, mais assez vraisemblable ; la Sauldre et son île Marin rappelant quelque peu le Tibre; d'ailleurs nous revoyons encore — les hommes sont toujours les mêmes — près d'un camp français à Salonique, en 1918, une fort modeste boutique qui avait pour enseigne : EIS TON MIKRON LOUBRON : au petit Louvre).

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tour des Montils, certainement le poste de Contres (« contre » les Bituriges), les postes de Soings et de Gièvres (ces deux derniers avec des champs de sépulture), le poste de Tasciaca (Thésée) dont il reste encore de bien curieux vestiges.

Par Tasciaca, une grande route militaire, instrument par excellence de domination et de civilisation, passera plus tard, reliant Bourges à Tours; de laquelle « voie romaine » on a retrouvé des fragments près de Nanteuil. — Ce voisinage donna au lieu de réunions gauloises qu'était la source vénérée une plus grande importance, qui s'accroîtra encore du fait que Nanteuil sera rattaché bientôt à la cité des Turones (III Lugdunaise).

Une villa romaine, c'est-à-dire une exploitation agricole fut construite près de la source et du ruisseau : ce fut vraiment « Nanteuil — la demeure près de l'eau » (1).

Sans vouloir commenter ici le mot de Taine à propos des villas romaines (2), il convient cependant de rappeler qu'une pareille installation n'était pas de minime importance. C'était toute une laborieuse organisation, avec un personnel nombreux d'esclaves et de colons. Les travaux exécutés pour l'aménagement de la ligne Tours-Vierzon ont d'ailleurs mis à jour quelques débris des constructions faites alors, dont plusieurs petits aqueducs ; même, il n'est pas impossible que les substructions actuelles de la fontaine remontent jusqu'à l'époque dont nous parlons.

Matériel et personnel furent employés par les Romains à mettre en valeur les richesses naturelles de l'endroit.

Malgré les incendies qui, durant la conquête de César, avaient pu servir ou de moyen de défense contre les envahis- seurs pour les indigènes ou de moyen de suprême réduction par les Romains des derniers îlôts de résistance et malgré les coupes nécessitées par l'établissement d'un domaine agricole, une partie notable des forêts qui à l'époque celtique couvraient

(1) Nant, source; olium, résidence.

(2) « On comprend très bien l'animal d'après la coquille. »

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le pays entre la Loire et le Cher, de l'emplacement d'Amboise et de Saint-Martin-le-Beau à celui de Bourré, subsistait (1).

Les Romains, en effet, évitaient les dévastations impré- voyantes, même en cas de guerre, à plus forte raison dans le simple cas d'établissement d'une villa. Les bois subsistants, matière d'impôts indirects, durent donc recevoir pour gérants les « saltuarii » affectés à leur garde (2) ; quant aux espaces qui avaient cessé d'être boisés, ils furent affectés à une exploitation habile et entendue, céréales ou vignobles (3).

Ces derniers furent peut-être négligés lors de la disette de blé de l'an 92 ap. J.-C. (sous Domitien) mais ils étaient nom- breux du temps de Probus (281 ap. J.-C.) ; de plus, on acclimata dans la région des arbres fruitiers d'Espagne et de Syrie.

Bientôt parut saint Martin (316-397), « le saint Paul gaulois », comme l'appelle M. Jullian qui le qualifie éga- lement d'« apôtre des campagnes » et avec non moins de raison. Au IV. siècle, en effet, si les villes étaient presque toutes acquises au christianisme, les campagnes étaient encore en majorité idolâtres. Martin, qui avait dompté Avitianus, tyran et bourreau de la Touraine plutôt que son gouverneur, et avait transformé ce loup en pasteur, Martin n'oubliait pas (1) Maury, p. 276. — D'ailleurs, certains noms de lieux, comme Chissay, Chisseau, Choussy, Souvigny... rappellent qu'il y eut là des forêts là l'époque des Celtes et à celle des Gallo-Romains.

(2) Ch. Suétone, Vie de César, XIX. — Loi des XII tables — Petrone, Satyric., LUI. — Digeste, XXXII, 38.

(3) Ce sont les Grecs, semble-t-il, qui ont implanté la vigne en Gaule (fondation de Marseille). Après avoir prospéré dans la vallée du Rhône, elle gagna les rives de la Loire, puis celles de la Garonne.

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les pauvres gens attachés aux faux dieux (1). Sur son âne ou à pied, il recherchait, avec ses auxiliaires de Marmoutiers (2), jusqu'aux coins les plus inaccessibles de son immense diocèse. S'il semble établi qu'il est venu personnellement à Chisseau, on n'a aucun document permettant d'affirmer catégoriquement qu'il pénétra jusqu'à la villa de Nanteuil. Mais c'est vraisemblablement à lui que, directement ou indirectement, les Nantoliens durent de connaître l'Evangile d'amour et de vérité, et de recevoir

— peut-être à la fontaine même de Nanteuil — le Bap- tême (3).

(1) Le premier évêque de Tours fut Gatien, envoyé vers 250 par le pape Fabien. Il mourut en 300 après avoir converti et groupé un petit nombre de fidèles qu'il fallait instruire et administrer en des lieux secrets. — Après 37 ans de persécution, malgré l'édit de Milan, Lidoire devient évêque de Tours en 337. C'est à lui que succéda Martin en 371 : il trouva une ville en grande partie chrétienne, quoique avec beaucoup d'ariens, mais les campagnes étaient encore foncièrement idolâtres. Martin se mit résolument à l'œuvre et c'est à peu près de tout son diocèse qu'on pourrait écrire ce que Grégoire de Tours a écrit de quelques régions comme par exemple celle de Chisseau : « in vicis Ambaciensi, Ciso- magenci, destructis delubris baptizatisque gentililbus, ecclesias ædificavit » dans les bourgs... d'Amboise, de Chisseau,... il renversa les temples, baptisa les païens, édifia des églises » (Hist. Franc., X, 31, 3).

Sous Valentinien 1 une partie de la II Lugdunaise (capitale Rouen) fut détachée et forma la III Lugdunaise (capitale Tours).

Martin devenait ainsi métropolitain du pays comprenant la Tou- raine, le Maine, l'Anjou et la Bretagne.

(2) « Marmoutiers fut... un grand centre d'évangélisation qui devait rayonner sur presque toute la Gaule... (Il devait en) sortir...

des missionnaires qui parcoururent le pays en compagnie de Martin ou à son exemple. » Régnier. S. Martin, p. 97.

(3) Cf. Hist. de la Gaule, par Camille Jullian, tome VII et VIII, 1926.

Cf. Dict. Larousse mensuel, mai 1927, à propos des Récits de Sulpice Sévère par Paul Monceaux.

Martin « n'était pas d'humeur à supporter que l'erreur ou le mal habitassent quelque part dans son domaine spirituel sans aller les poursuivre infatigablement jusque dans leurs derniers refuges. » (Regnier p. 103).

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Cette conversion était achevée que se déclenchait le grand déplacement de l'Ouest vers l'Est qu'on appelle ordinai- rement les Invasions Barbares (406 ap. J.-C.), mais que certains historiens nomment avec plus de justesse la migration des peuples.

Quand ce mouvement se fut enfin tassé, la Gaule se couvrit peu à peu de « latifundia », c'est-à-dire de vastes domaines ruraux dont le propriétaire ne manquait pas de bâtir une église. — Telle fut sans doute l'origine de la paroisse de Nanteuil, quoiqu'on ne puisse rien dire ni de précis ni de certain soit sur l'auteur soit sur la date de la fondation. Ce qui ne fait aucun doute cependant, c'est que dès la fin du VI siècle, Nanteuil forme autour de son église une agglomé- ration appréciable : à preuves, les vestiges découverts près de la gare, il y a soixante ans, d'un grand cimetière qui est certainement de cette époque, avec cercueils en pierre de Bourré (I).

Au cours du V et du VI siècles, la région avait changé plusieurs fois de maîtres. Les Wisigoths puis les Hérules l'avaient envahie; Clovis l'avait reprise (Vouillé, 507). A sa mort, le Blésois comme la Touraine et le Berry firent partie du royaume d'Orléans (Clodomir 511-524). Après diverses vicissitudes, la région nantolienne appartint au duché d'Aquitaine (2), état de choses que fit cesser vers le milieu

Ajoutons qu'il y a non loin de Nanteuil, près du confluent des, deux ruisseaux du Trainefeuille et du Roger, un gué, réunissant les deux paroisses de Pontlevoy et de Thenay, et qui porte le nom de Gué-Saint-Martin.

(1) Cf. la découverte, en oct. ou nov. 1928, d'un cimetière méro- vingien près de l'église de Verdes.

(2) Ceci paraît surprenant de prime abord, tout comme le titre de primat d'Aquitaine porté par l'archevêque de Bourges. Lorsqu'on nomme l'Aquitaine (le pays des eaux) on se reporte au pays pré- cisé par César en son 1 chapitre « a Garumna flumine ad Pyre- noeos montes et eam partent oceani.. » et qui est limité par la Garonne, Les Pyrénées et l'océan. On oublie qu'Auguste l'étendit jusqu'au Berry et au Nivernais et la subdivisa en trois parties :

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Table des gravures hors texte

Plan de la région entre 16 et 17

Eglise de Nanteuil entre 32 et 33

Fontaine de Nanteuil entre 48 et 49

Portail ouest de Nanteuil entre 64 et 65 Chapelle du Pèlerinage entre 80 et 81 Intérieur de l'Eglise ... entre 96 et 97 Les photographies reproduites par ces gravures sont dûes à l'habileté et à l'obligeance de M. l'abbé Lefranc, l'organiste bien connu du collège de Pontlevoy.

Nous lui en exprimons notre très vive reconaissance.

G. D.

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Laurence Cuny est spécialisée sur les questions de droits culturels et de liberté artistique et membre chercheurs de la Chaire UNESCO sur la diversité des