• Aucun résultat trouvé

Nucléation de l'état mixte dans le niobium supraconducteur

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Nucléation de l'état mixte dans le niobium supraconducteur"

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00206846

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206846

Submitted on 1 Jan 1969

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Nucléation de l’état mixte dans le niobium supraconducteur

B.P. Letellier, J.C. Renard, Y.A. Rocher

To cite this version:

B.P. Letellier, J.C. Renard, Y.A. Rocher. Nucléation de l’état mixte dans le niobium supraconducteur.

Journal de Physique, 1969, 30 (10), pp.819-822. �10.1051/jphys:019690030010081900�. �jpa-00206846�

(2)

NUCLÉATION

DE

L’ÉTAT

MIXTE DANS LE NIOBIUM

SUPRACONDUCTEUR

Par B. P.

LETELLIER, J.

C. RENARD et Y. A.

ROCHER,

Alcatel, 9I-Bruyères-le-Châtel.

(Reçu

le 28 avril

1969.)

Résumé. 2014 Les conditions d’établissement de l’état mixte ont été étudiées

expérimen-

talement dans le niobium

supraconducteur.

Au-dessus de HC1 et au-dessous du

champ

de

surchauffe HSH,

quelques

vortex sont nucléés à une vitesse très faible

qui

augmente

près

de HSH.

Au-delà de HSH, le

système

évolue vers des états

magnétiques

métastables bien définis avec une vitesse de

pénétration

du flux très lente. Les constantes de

temps correspondantes

ont été

déterminées. Au contraire,

quand

le

champ

est diminué de HC2 à HC1, des états stables thermo-

dynamiquement

sont obtenus.

Abstract. 2014 Nucleation of the mixed state has been studied in

superconducting

niobium

samples.

Above HC1 and below the

superheating

field HSH, a few vortices are nucleated in the

superconductor

at an

extremely

low rate which increases as the field

approaches

HSH.

Above HSH, the system evolutes towards well defined metastable

magnetic

states. Flux

penetration

appears as a very slow

phenomenon

controlled

by

time constants which have been determined. On the contrary, when the

applied

field is decreased from HC2 to HC1,

thermodynamically

stable states are obtained.

A. Introduction. - Nous nous sommes

propose

d’etudier les conditions

statiques

et

dynamiques

de

1’etablissement de 1’6tat mixte dans un

supraconduc-

teur de deuxieme

espece.

On sait

qu’une

surchauffe

importante

de 1’6tat Meissner peut retarder

l’apparition

de 1’6tat mixte si des

precautions ad6quates

sont

prises

pour 61iminer les effets

magnetisants susceptibles

de

creer des concentrations locales de

champ.

C’est ainsi que dans du niobium

[1]

on a pu determiner une limite inferieure

experimentale

du

champ

de surchauffe

H., :

une valeur

proche

de la valeur

théorique [2]

a 6t6

obtenue,

soit

1,15 He

a

4,2

OK.

Nous avons

entrepris

un certain nombre

d’exp6-

riences li6es a

l’apparition

de 1’6tat mixte dans du niobium. Le choix de ce materiau a ete dict6 par la

possibilite

de l’obtenir a 1’6tat

ultra-pur

et

exempt

de d6fauts de volume ou de surface

susceptibles d’engen-

drer par eux-memes une

quelconque hysteresis

de

l’aimantation.

Effectivement,

dans ce niobium

purifi6

par

d6gazage

a 2 100°C sous une

pression

de 10-1° torr,

on a pu obtenir des courbes d’aimantation

parfaitement

r6versibles dans 1’6tat

Meissner,

et ce resultat

suggere

bien une absence

complete

de centres de

pi6geage

localises en volume ou a la surface des 6chantillons.

Nos

experiences

ont revetu deux

aspects :

l’un sta-

tique

par la determination de l’aimantation d’un

ellipsoide

soumis a divers

champs magn6tiques,

l’autre

dynamique

par 1’etude de la diffusivite du

champ magn6tique

dans cet

ellipsoide

et dans des tubes de niobium

exposes

a des

champs paralleles

a leur axe.

Ces

experiences

ont montre que

l’apparition

de 1’6tat

mixte est retardee au-dela de

HC1

et

qu’une

barriere

de surface subsiste au-dessus du

champ

de

surchauffe,

ce

qui

se traduit par 1’etablissement d’une induction inferieure a l’induction a

1’equilibre thermodynamique.

La nucleation de 1’6tat mixte

apparait

comme un

phénomène

tres lent aux

voisinages

inferieur et

sup6-

rieur du

champ

de surchauffe.

B. Aimantation d’un

ellipsoide.

- Nous nous pro-

posions

d’6tudier l’aimantation d’un

supraconducteur susceptible

de

presenter

une certaine surchauffe. 11

est

n6cessaire,

pour une telle

etude,

de

disposer

de

donn6es

thermodynamiques correspondant

a

l’équi-

libre stable et donc de courbes d’aimantation tres r6versibles.

Des courbes d’aimantation tres r6versibles sont obte-

nues pour des 6chantillons

cylindriques pr6sentant

un

rapport longueur

sur diametre

élevé,

en

champ paral-

16le a l’axe. En

effet,

dans un

cylindre

de

longueur finie,

le

champ

atteint aux bouts une valeur

sup6rieure

au

champ

de surchauffe pour un

champ

ext6rieur

inferieur a

HCI’

et ceci par effet

demagnetisant :

on

observe donc la

presence

de

lignes

de flux dans les bouts au-dessous de

He,.

L’existence de ces

lignes

elimine toute

possibilite

de surchauffe

globale

de

1’echantillon et la

penetration

du flux s’6tend dans

tout 1’echantillon des que la valeur de

HC1

est atteinte.

En

champ decroissant,

si les

lignes

de vortex sont

stabilis6es aux

bouts,

leur

expulsion

dans la

partie

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019690030010081900

(3)

820

centrale necessite une courbure et donc un accroisse-

ment

d’6nergie

d’autant

plus important

que la valeur du rapport

longueur

sur diametre est faible. Une

partie

du flux est donc stabilisee dans 1’echantillon. On observe une

hysteresis

d’autant

plus

faible que le

rapport longueur

sur diametre est

plus

élevé et

qui

varie en gros comme le volume relatif des bouts par rapport au volume total.

Des courbes tres r6versibles ont pu etre obtenues pour du niobium

ultra-pur

soit par Finnemore et al.

[3], soit

par

nous-memes, permettant

une d6termi- nation

eXpérimentale

du

champ critique thermodyna- mique He,

des

champs HCl

et

HC2

et des relations

B ( H)

a

1’equilibre thermodynamique.

La

figure

1 a

repr6sente

la courbe d’aimantation a

4,2

OK d’un

ellipsoide allonge

en

champ parallele

à

FIG. 1.

a)

Courbe d’aimantation d’un

ellipsoide

de niobium,

a T = 4,2 oK.

b)

Details des variations de l’aimantation pour des

petits cycles

du

champ

extérieur, pour le meme échan- tillon a T = 4,2 OK.

1’axe

(longueur

de 1’axe : 45 mm ; diametre au centre :

9

mm).

On note une excellente réversibilité dans 1’6tat Meissner et une certaine

hysteresis

dans 1’6tat mixte.

La courbe obtenue pour les

champs

d6croissants suit

exactement le chemin

correspondant

a

1’equilibre thermodynamique

tel

qu’il

a pu etre d6fini a

partir

de courbes tres r6versibles. On en conclut que la courbe obtenue pour les

champs

croissants

correspond a

des

6tats m6tastables lies a des effets de surface

puisque

la

reversibilite dans 1’6tat Meissner

indique

l’absence de

centres de

pi6geage.

La surchauffe totale ne se

prolonge

pas

jusqu’A

la valeur

théorique,

mais ceci n’est pas etonnant car 1’echantillon

presentait quelques 16g6res imperfections

de surface et surtout un

petit appendice cylindrique

destine a le maintenir

pendant

les

op6ra-

tions de

d6gazage

et

polissage électrolytique.

11

apparait important

de noter que l’induction

conserve une valeur inf6rieure;h la valeur

correspondant

a

1’equilibre thermodynamique

au-dela du

point

de

surchauffe et apparemment

jusqu’h HC2.

La

figure

1 b

repr6sente

les variations de l’aimantation

lorsqu’on

fait d6crire des

cycles

au

champ magn6tique

ext6rieur.

On note que l’induction reste constante au

voisinage

des

points d’augmentation

ou de diminution du

champ,

ce

qui suggere

bien la

presence

d’une barriere.

C.

llftude

de la diffusivité du

champ magndtique.

-

Nous avons cherche a 6tudier les conditions

dynamiques

de 1’etablissement de l’induction. Ces

experiences

ont

6t6 r6alis6es sur

1’ellipsoide

dont nous avions 6tudi6

l’aimantation,

tant pour la

penetration

du flux

qu’a 1’expulsion.

Nous avons ensuite 6tudi6 le

comportement

de

tubes,

mais exclusivement a la

penetration

du flux.

ELLIPSOIDE. - Nous avons

proc6d6

de deux ma-

ni6res :

a)

Nous nous

placions

a un

champ

donne

juste

au-dessous du

champ

de

premiere penetration

et

ajoutions rapidement

des increments de

champ

va-

riables nous amenant de

plus

en

plus

loin dans le domaine mixte. Nous observions alors la rentr6e du flux pour des variations d’induction

pouvant

etre assez

importantes,

et ceci a

partir

d’une induction nulle.

b)

Nous

plaçant

soit sur une courbe en

champ croissant,

soit sur une courbe en

champ décroissant,

nous

ajoutions

ou retranchions

respectivement

des

petites quantites

de

champ

et observions 1’evolution de l’induction. L’id6e etait de conserver une conducti- vit6 du milieu relativement constante lors de chacune de ces

operations a N

03C3 n

Hc2 B

si 03C3n est la conductivite

B

a 1’6tat

normal)

et de comparer les

comportements

à des inductions

differentes,

a la

penetration

comme à

1’expulsion.

Dans tous les cas, les

phenomenes

sont d6tect6s et

mesures

grace

a une bobine enroul6e sur 1’6chantillon

et reli6e a un

enregistreur potentiométrique.

Le

premier type d’experiences

a revele que la

(4)

penetration

du flux a l’int6rieur de 1’ echantillon est un

phénomène

extremement lent. Pour un

champ

ext6rieur

donne,

la vitesse moyenne de

penetration

du

flux

dB

dt d6croit

exponentiellement

suivant une loi de

la forme :

Les

experiences

ont

permis

une bonne mesure de

la constante de temps 03C41

qui regit

1’allure des

pheno-

m6nes aux temps

longs.

Il est apparu que il d6croit

exponentiellement

avec le

champ

total

applique :

Les constantes de temps

passent

de

quelques

centaines

de secondes à

quelques

secondes

lorsque

le

champ

total

applique

passe du

champ

de

premiere penetration

au

champ correspondant

a la fin de la

partie

lin6aire

de la courbe d’aimantation.

Le second

type d’expériences

a

permis

d’obtenir à

la

penetration

des

phenomenes

de diffusion du flux ob6issant aux memes lois. A

1’expulsion

du flux et pour des inductions

comparables,

on observe des

pheno-

FIG. 2. - Variations de la constante de temps corres-

pondant

a la

penetration

et a

l’expulsion

du flux pour

l’ellipsoide

de niobium a T = 4,2 OK. Les barres

indiquent

la variation totale d’induction

correspondant

aux variations du

champ :

x : Points obtenus en

champ

croissant

(a

la

p6n6- tration).

o : Points obtenus en

champ

decroissant

(a

1’ex-

pulsion).

menes

beaucoup plus rapides ;

la diffusivite du flux

est

analogue

a celle que l’on observerait dans un mat6- riau dont la conductivite serait donnee par

(voir fig. 2) :

TUBES. - Ces resultats ont ete conf irmes dans des cas ou la surchauffe totale de 1’6tat

supraconduc-

teur

s’exercait pratiquement jusqu’a

la limite th6o-

rique HIH’

En

effet,

nous avons observe la

penetration

du flux

dans des tubes de niobium

[4].

Ces

tubes,

de

longueur

120 mm, diametre 10 mm et

epaisseur 3/10

de mm,

etaient soumis a un

champ

uniforme

parallèle à

1’axe

sur une

longueur

de 30 mm situ6e autour de la

partie

centrale.

Au-dela,

le

champ

d6croissait

rapidement

pour éviter les effets de bouts. Des bobines de detec- tion etaient

placees

a l’int6rieur et au centre du tube.

Si l’on augmente le

champ magnetique depuis zero,

un

premier signal,

extremement

faible,

est

enregistr6 lorsque

le

champ

atteint une valeur tres

proche

de

HC1,

soit

1,440

0152 a

4,2

OK. Une tres lente

penetration

est

ensuite

observée,

a vitesse inferieure a 1

G/s, jusqu’a

ce que le

champ atteigne

une certaine valeur

HD

a

FIG. 3. - Variation de la vitesse initiale de

penetration

du flux dans un tube de niobium a 4,2 OK, soumis à

un

champ

axial H.

partir

de

laquelle

la vitesse de

penetration

augmente

rapidement (voir fig. 3).

Les

champs HD

ont varie

selon les 6chantillons de

1,01 He

a

1,10 He

et sont donc

peu

6loign6s

du

champ

de surchauffe

théorique.

Operant

comme nous 1’avons decrit

plus

haut pour

le

premier type d’expériences,

nous avons observe la

penetration

du flux pour des

champs

ext6rieurs de

plus

en

plus

6lev6s. Les lois de la

penetration

sont tout a fait

semblables à celles

qui

sont observ6es pour

1’ellipsoide,

tant en ce

qui

concerne la vitesse de

penetration dB

dt a

champ

donne

qu’en

ce

qui

se rapporte a la variation de la constante de

temps

aux temps

longs

avec le

champ

ext6rieur. 11 faut noter que, pour 1’ensemble des tubes

(5)

822

6tudi6s,

la constante de

temps

T suit une loi de la forme :

ou

Ho

est

pratiquement

une constante d’un echantillon a 1’autre :

Ho

=

20 ±

2 0152. En

particulier, Ho

ne

depend

pas de la valeur du

champ HD

pour

laquelle

cesse la surchauffe

globale.

Des mesures a des

temperatures

differentes ont 6t6 r6alis6es. Si l’on compare les

résultats,

on

s’aperçoit

que la constante de temps est une fonction de la seule difference

(H - HD ( T ) ),

ce

qui indique

que 1’acti- vation

thermique

ne

joue

aucun role dans le processus de nucleation des vortex au-dela du

champ

de sur-

chauffe. Ce resultat

apparait

clairement sur la

figure

4.

FIG. 4. - Variation des constantes de

temps

observees

a la

penetration

du flux pour un tube en fonction du

champ applique (parallele

a

l’axe).

Les valeurs ont 6t6 relevees a differentes

temperatures

et sont

reportees

en fonction de la difference

H - HD ( T )

entre le

champ applique

et le

champ experimental

de sur-

chauffe.

D. Discussion. - L’ensemble de ces resultats peut etre

interprete

d’une maniere tres

qualitative.

Nous

avons

represente

sur la

figure

5 les variations de

Fenergie

libre du

supraconducteur

en fonction d’un

parametre quelconque capable

de d6crire correctement 1’6tat du

systeme.

Deux cas se

pr6sentent,

selon que le

champ

FIG. 5. - Variation de

1’6nergie

libre du

supraconducteur

en fonction d’une variable X decrivant 1’6tat

magn6- tique

du

syst6me.

Deux cas sont

possibles :

a)

HCl H Hsn.

b)

H > Hsg.

ext6rieur est

plus

faible ou

plus

élevé que le

champ

de

surchauffe. En dessous du

champ

de

surchauffe,

des

vortex ne

peuvent

etre nuclees et

p6n6trer

a l’int6rieur du

supraconducteur

que par des processus

thermique-

ment actives ou par diffusion

quantique :

comme

l’indiquent

les resultats

repr6sent6s

sur la

figure 3,

ces

processus sont

possibles.

La surchauffe totale cesse pour

un

champ qui

est determine en

pratique

par des effets

magn6tisants

locaux. Au-dessus du

champ

de sur-

chauffe,

le

systeme

6volue vers un nouvel 6tat m6ta- stable

Xl

et non vers 1’6tat le

plus

stable

thermodyna- miquement Xo :

la vitesse d’evolution ne

depend

que de la loi de variation de

1’energie

libre du

systeme

en

fonction de la variable X

qui repr6sente

en fait 1’6tat

magn6tique

du

systeme.

Il

n’y

a pas de barrière de

potentiel

et l’activation

thermique

en

particulier

ne

joue

aucun role dans un processus de ce genre.

La

reproductibilité

des resultats d’un echantillon à 1’autre

indique

que les differents 6tats metastables associ6s aux

champs magnetiques

ext6rieurs

appliques

successivement sont bien d6finis et ne

dependent

que de la difference H -

HD.

II serait int6ressant de d6ter- miner s’il est

possible

d’observer des transitions de 1’6tat

Xl

a 1’6tat

Xo qui

est

thermodynamiquement

le

plus

stable.

L’ensemble de ces resultats serait certainement mieux

compris

s’il existait une theorie des

ph6nom6nes

de

nucleation des

lignes

de vortex et des 6tats m6tastables au-dela du

champ

de surchauffe.

Remerciements. - Les

experiences

d6crites ont 6t6

r6alis6es

grace

a une subvention de la D.R.M.E. Nous remercions les Docteurs C. Caroli et D.

Saint-James

des discussions fructueuses que nous avons eues a ce

sujet.

BIBLIOGRAPHIE

[1]

RENARD

(J. C.)

et ROCHER

(Y. A.),

Phys. Letters,

1967,, 24 A, 509.

[2]

GINZBURG

(V. L.),

Zh.

Eksp. i

Theor. Fiz., 1958, 34, 113.

[3]

FINNEMORE

(D. K.),

STROMBERG (T.

F.)

et SWEN-

SON

(C. A.),

Phys. Rev., 1966, 149, 231.

[4]

LETELLIER

(B. P.)

et ROCHER

(Y. A.),

Solid State Comm., 1967, 5, 879.

Références

Documents relatifs

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

Niobiumaddition had an effect on the microstructure as well as on the abrasion and frictionresistances of the heat treated high chromium white cast iron samples. The

de la solution solide binaire dans une phase liquide ternaire ; on devait donc dans un premier temps choisir les matrices métalliques et s’attacher ensuite à la

État actuel de la mise au point bibliographique sur le niobium et ses

Avec des échantillons ainsi polis, nous avons étudié le comportement du niobium dans différents acides par la méthode des courbes intensité-potentiel. L’intensité de

Le Niobium et l’alliage P 353 M ont un comportement globalement identique quant à la nature des phases et à leur température d’apparition. L’oxydation de

L’oxydation de couches de NbAl3 déposées sur du niobium pur par trempage dans l’aluminium.. liquide a également été étudiée comme

rapide du silicium, résultant de la vaporisation de l’oxyde SiO ; dans le cas de rubans constitués d’une solution solide du silicium dans le niobium, on a déterminé la