• Aucun résultat trouvé

Analyse des états financiers de

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Analyse des états financiers de"

Copied!
11
0
0

Texte intégral

(1)

Analyse des états financiers de

Comptabilité de gestion MBA 8514

Présenté à : M. Ahmed Naciri

Préparé par : André Bélanger

Patrick Caya Lorraine Deslauriers

Le 15 juin 2008

(2)

TABLE DES MATIÈRES

1. Une industrie en profonds changements ...3

2. Évaluation globale de sa situation financière...3

3. Comment les liquidités actuelles de Transcontinental et sa façon de contrôler ses charges affectent-elles son rendement et a-t-elle la capacité de faire face à ses dettes à court et long terme?...4

A. Rendement sur les actifs (ROA) – moins efficace que le marché ... 5

B. Rendement sur les avoirs (ROE) – comparable au marché... 5

C. Coefficient de fond de roulement – une couverture à 70 %... 5

D. Couverture du fardeau de la dette – un remboursement important en 2007 ... 5

E. Rotation des actifs – pas d’amélioration notable en 2007... 5

F. Ratios de la marge brute et marge nette – moins efficace que ses compétiteurs? ... 6

G. Coefficient de levier combiné (CLC) – très risqué ... 6

4. Conclusion et pistes d’amélioration...7

Bibliographie...8 Annexe 1 : Tableau sommaire des ratios financiers

Annexe 2 : Chiffrier des ratios de Transcontinental (en anglais)

(3)

1. Une industrie en profonds changements

Transcontinental inc. est considérée comme le plus grand imprimeur commercial au Canada et le sixième en Amérique du Nord. L’entreprise occupe le deuxième rang à titre d’éditeur derrière Rogers Media et occupe le premier rang comme éditeur de journaux hebdomadaires au Québec.

Elle offre des services de Marketing direct, communication Internet et commerce électronique.

Elle compte à son actif quelque 15,000 employés répartis aux Canada, É-U et Mexique.

La mission de Transcontinental consiste à aider les annonceurs à rejoindre les consommateurs.

Or, avec la popularité croissante des médias électroniques telle que l’Internet, les gens lisent de moins en moins de magazines. Cette tendance, combinée à l’appréciation du dollar canadien par rapport au dollar US et la crise hypothécaire aux É-U explique les difficultés financières de l’industrie de l’édition et de l’impression pour l’année 2007.

Transcontinental a développé un modèle unique d’impartition dans l’impression de journaux.

Elle emploie une stratégie de diversification et d’investissement dans des immobilisations corporelles, des acquisitions d’entreprises (250 millions $ en 3 ans) et des activités de Marketing direct. Les défis auxquels l’entreprise doit faire face sont nombreux et c’est à la lumière de ses profonds changements que notre analyse de la performance de l’entreprise a été faite.

2. Évaluation globale de sa situation financière

À partir de l’état des résultats de l’entreprise, pour la période 2005-2007, nous observons que les revenus de Transcontinental sont passés de 2,2 à 2,33 milliards $ soit une croissance moyenne de 2,9 %. Par contre, le bénéfice d’exploitation (BAII) est passé de 231,2 à 206,4 millions $ durant la même période pour une décroissance moyenne de 5,5 %. Cette situation est attribuable à l’augmentation soutenue des frais de vente, frais généraux et administratifs et autres frais fixes qui ont cru en moyenne de 5,3 % et 5,5 % respectivement pour la période. Cette première constatation nous incite à questionner l’efficacité de l’entreprise et sa stratégie en ce qui a trait aux acquisitions d’entreprises et immobilisations corporelles.

Nous notons aussi (et de façon inquiétante) une augmentation soutenue des frais financiers qui totalisaient 32,2 millions $ en 2007 par rapport à 27,9 millions $ en 2005, soit une perte moyenne de 7,4 %. La situation de l’entreprise semble donc se détériorer non seulement du point de vue de l’exploitation, mais aussi du point de vue financier.

Il est intéressant de noter que sur les 120.6 millions $ de dollars de bénéfices nets pour l’année 2007, un peu moins de la moitié (57,3 millions $) ont été ajoutées au BNR dans le bilan. Depuis trois ans, Transcontinental a choisi de mettre en place un programme de rachat d’action et n’a cessé d’augmenter la portion de dividendes versés aux actionnaires, qui ont passé de 18,7 millions $ en 2005 à 23,3 millions $ en 2007.

Au premier coup d’œil, l’analyse du bilan de l’entreprise indique une accumulation de richesse moyenne de 5,4 % pour la période 2005-2007. L’actif total est établi à 2,37 milliards $ pour l’année 2007 versus 2,25 milliards $ en 2005. Cette accumulation de richesse provient

(4)

exclusivement de l’actif à long terme qui a cru de 6,9 % en moyenne, passant de 1,75 $ à 2,0 milliards $ pendant cette période. C’est expliqué en totalité par les écarts d’acquisitions.

L’actif à court terme a subi une chute substantielle moyenne de 14,1 % passant de 498,5 $ à 367,9 millions $. Le compte encaisse et placements temporaires a subi une chute de l’ordre de 53 % par année passant de 222 $ à 48,5 millions $. À l’inverse, le compte client a connu une croissance moyenne de 10 % pour la période passant de 162,8 $ à 196,9 millions $. L’entreprise aurait-elle décidé d’assouplir sa politique de crédit pour ses clients?

Le passif total de l’entreprise est demeuré relativement stable avec une croissance moyenne de 2,0 % durant la période. Il totalisait 1,19 milliard $ en 2007 soit 50,2 % du bilan total. Le passif à long terme a cru de 8,2 % en moyenne et totalisait 689,9 millions $ en 2007. Cette dernière croissance s’explique par une augmentation des passifs d’impôts futurs (26 % en moyenne) alors que la dette à long terme a augmenté de seulement 3,8 % en moyenne. Les comptes du passif à court terme ont décru moins rapidement que ceux de l’actif à court terme, soit 4,9 % versus 14,1

% respectivement. Le faible degré de liquidité à court terme peut paraître inquiétant et nécessite certainement une analyse plus approfondie.

Durant les trois dernières années, la proportion des capitaux propres est demeurée stable et représentait 49,7 % des actifs totaux en 2007. Nous remarquons aussi que les bénéfices non répartis n’ont cessé de croître durant la période 2005-2007 soit 7,1 % en moyenne alors que le capital-actions a baissé de 3,1 %. L’accumulation des bénéfices non répartis laisse-t-elle présager d’autres acquisitions à court terme? Finalement, nous remarquons que le nombre moyen d’action en circulation est passé de 89,1 millions $ en 2005 à 84,9 millions $ en 2007, résultat de la stratégie de rachat d’action.

La stratégie d’investissement de Transcontinental résultant d’acquisitions d’entreprises et d’immobilisations corporelles semble donc avoir un impact important sur sa situation financière.

C’est pourquoi il nous apparaît essentiel de répondre aux deux questions suivantes :

« En quoi la stratégie d’acquisition améliore-t-elle le rendement comptable de Transcontinental et l’entreprise a-t-elle la capacité de faire face à ses dettes à court et long terme? »

3. Comment les liquidités actuelles de Transcontinental et sa façon de contrôler ses charges affectent-elles son rendement et a-t-elle la capacité de faire face à ses dettes à court et long terme?

En fonction de nos observations précédentes et de notre hypothèse posée, nous allons approfondir notre analyse financière en regardant les ratios de liquidité et d’efficacité pour connaître comment ceux-ci affectent le rendement de Transcontinental.

(5)

A. Rendement sur les actifs (ROA) – moins efficace que le marché

Il est intéressant de vérifier qu’elle est la conséquence de leurs choix stratégiques sur le rendement. Le rendement sur les actifs indique ce que chaque dollar investi par l’ensemble des investisseurs rapporte pour l’entreprise. En 2007, le rendement de chaque dollar investi était de 5

%. En d’autres termes, un investissement de 1 $ a permis de réaliser un bénéfice net de 0,05 $.

Chez Transcontinental, ce ratio est inférieur au celui du marché (5,8 %). De plus, il est à noter que le rendement sur les actifs est en déclin depuis 3 ans1. Cette situation s’explique par des bénéfices nets en constante diminution contrairement aux actifs de l’entreprise qui sont en constante augmentation.

B. Rendement sur les avoirs (ROE) – comparable au marché

Avec le ratio du rendement sur l’équité, nous souhaitons connaître le rendement de chaque dollar que peuvent obtenir les actionnaires. Le rendement sur les avoirs est de 10,2 % à la fin de la période 2007 comparativement à 10,4 % pour le secteur d’activité. Comme il est possible de constater, sa situation équivaut à celle du marché. Les entreprises du secteur sont aux prises avec le même contexte économique, soit la montée en popularité des médias électroniques et de la force du dollar canadien. Cette situation s’explique par le fait que les bénéfices nets sont en constante diminution depuis 2005 alors que le compte des capitaux propres augmente légèrement et de façon constante.

C. Coefficient de fond de roulement – une couverture à 70 %

Le coefficient de fond de roulement renseigne sur la survie de Transcontinental et sur sa capacité à payer ses dettes à court qu’elle doit. Présentement, le ratio indique que l’entreprise dispose de 0,74 $ pour chaque dollar du passif à court terme. Il lui manque donc 0,26 $ pour chaque dollar dû. Cette situation ne semble pas s’améliorer avec les années et ceci s’expliquerait (en partie) par le fait que l’entreprise a de moins en moins de liquidité immédiate. En comparant les ratios du fond de roulement à celui du marché2, on se rend compte que la capacité de remboursement de Transcontinental est plus faible que la moyenne du marché qui s’élève à 1,5.

D. Couverture du fardeau de la dette – un remboursement important en 2007

Ce ratio va nous permettre de vérifier sa capacité à supporter sa dette. Ce ratio est influencé par l’efficacité dont Transcontinental contrôle ses charges d’exploitations. Présentement, l’entreprise dispose de 1,11 $ pour rembourser chaque montant dû. C’est suffisant, mais pourrait devenir inquiétant au rythme auquel ce ratio diminue, il est passé de 5,15 en 2006 à 1,11 en 2007. Nous croyons tout de même que ce ratio en 2006 était trop élevé et que l’entreprise a pris une bonne décision en remboursant une partie de sa dette. Cela leur a permis d’en reconduire une nouvelle en 2007.

E. Rotation des actifs – pas d’amélioration notable en 2007

Transcontinental a fait des acquisitions et des investissements. Nous allons mesurer leurs choix stratégiques et vérifier si elle emploie bien l’argent qu’elle a investi. Avec la rotation des actifs,

1 Cette information provient du cahier Investir, le cours de l’action, voir la bibliographie.

2 Cette information a été obtenue par le biais d’un consultant de la firme Ernst & Young

(6)

on veut savoir combien lui permet de vendre chaque dollar investi. En 2007, chaque dollar investi lui rapporte 0,98 $. C’est meilleur que le secteur de cette industrie (0,93 $), mais de très peu. Chaque dollar tourne moins d’une fois par année puisque ça prend 372 jours pour vendre l’équivalent. Le ratio de la rotation des actifs de 2007 est inférieur à celui de 2006. Ceci s’expliquerait par le fait que Transcontinental utilise moins bien ses ressources pour faire ses revenus. L’entreprise aurait-elle trop d’investissements pour les revenus générés? Ce qui l’obligerait à être doublement efficace, ce qui ne semble pas être le cas!

F. Ratios de la marge brute et marge nette – moins efficace que ses compétiteurs?

Les acquisitions peuvent occasionner des changements et des périodes transitoires au sein d’une organisation. On le voit souvent par un surplus d’investissement et un manque d’efficacité de ceux-ci. Cette situation entraîne parfois des augmentations au niveau des charges d’exploitation.

Pour vérifier le rendement de Transcontinental, on veut donc savoir si elle contrôle efficacement ou non ses charges.

Le ratio de la marge brute nous indique le bénéfice laissé pour chaque dollar de vente après déduction des coûts de marchandises vendues. Ce ratio est de 26,6 % en 2007 et il a été plutôt stable au cours des 3 dernières années. On remarque qu’il reste à Transcontinental beaucoup moins d’argent entre ses mains que le secteur. Cet écart élevé pourrait s’expliquer par notre hypothèse de départ selon lesquels les achats ne sont pas centralisés et dont ils n’obtiennent pas suffisamment un plus grand pouvoir d’achat. Même si les revenus augmentent d’année en année, le ratio de la marge brute demeure constant puisque les coûts de marchandises vendues suivent les ventes et conservent la même proportion.

Quant au ratio de la marge nette, qui est légèrement supérieur au marché, mais baisse chaque année, il donne l’information concernant le bénéfice laissé pour chaque dollar de vente après toutes les charges et les impôts. Les coûts fixes totaux de Transcontinental sont continuellement en croissance depuis 2005. Ils sont passés de 371,4 millions $ à 412,3 millions $ en 2007, soit une hausse de 11 %. Ainsi, le non-contrôle de ses coûts fixes est responsable de la baisse continuelle du ratio de la marge nette.

G. Coefficient de levier combiné (CLC) – très risqué

Avec le calcul de ce ratio, nous pouvons voir que la qualité du risque total de l’entreprise était de 2,97 en 2005 et a continué d’augmenter pour atteindre 3,55 en 2007. Par contre, la portion du risque liée aux activités d’exploitation est de loin la plus importante par rapport au risque

financier. Voici un nouvel indice comptable qui nous permet de voir que la situation ne va pas en s’améliorant.

(7)

4. Conclusion et pistes d’amélioration

Tout porte à croire que l’efficacité de l’entreprise baisse graduellement et que les investissements n’apportent pas de revenus suffisants pour améliorer son rendement. La liquidité à court terme a diminué depuis 2005, le fardeau de la dette est plutôt stable et son efficacité est très légèrement supérieure au marché, mais a diminué depuis les trois dernières années. En regardant les résultats des ratios, nous pouvons donc conclure que pour le moment la stratégie d’acquisition ne permet pas à l’entreprise de générer les revenus permettant d’améliorer son rendement et que sa capacité à rembourser ses dettes à court et long terme n’est pas inquiétante.

Dans son rapport annuel 2007, les dirigeants de Transcontinental ont identifié quatre enjeux prioritaires à savoir : le talent (recrutement, perfectionnement et rétention), la croissance des ventes (nouveaux produits, impartition et ventes croisées, l’efficacité (amélioration de la qualité, amélioration du temps de cycle) et le numérique (offre de produit via l’Internet)3.

À la lumière de notre brève analyse, nous croyons que l’amélioration de l’efficacité nous apparaît vitale à la survie de l’entreprise. Cette amélioration passe par la réduction des charges de l’organisation.

Dans ses coûts fixes, les départs à la retraite ou les départs volontaires pourraient être une opportunité de réduction de la masse salariale ainsi que développer une stratégie est une réduction des effectifs ou une négociation très serrée des augmentations salariales à prévoir lors des prochaines négociations employés/employeur. L’entreprise devra toutefois prendre en considération la difficulté croissante des entreprises à recruter et retenir du personnel compétent.

Dans les frais d’exploitation, la révision des processus à l’interne déjà identifiés comme une priorité par l’entreprise, suite aux diverses acquisitions, devrait permettre d’optimiser son efficacité. Certaines d’entre elles pourraient être ciblées afin d’obtenir un gain à court terme. Il nous apparaît important pour l’entreprise de revoir ses ententes avec ses fournisseurs afin de réduire le coût des marchandises vendues. Les rabais volumes sont une bonne incitation à la vente et le fait que l’entreprise concrétise des acquisitions, il est en mesure de revoir ses ententes.

De plus, il peut évaluer celles de ses acquisitions et utiliser ces informations auprès des divers fournisseurs comme effet de levier de négociation.

Nous sommes portés à croire qu’une partie des bénéfices non répartis pourrait être réinvestie dans de nouvelles acquisitions ou dans la recherche et développement pour revoir sa stratégie de vente dans les nouveaux produits provenant de la venue du numérique et de l’Internet.

3 Voir la bibliographie pour trouver les informations dans le rapport annuel.

(8)

Bibliographie

Beauchamp, Dominic. Du 24 au 30 mai 2008. « Médias : de belles occasions parmi les titres déprimés ». Les Affaires (Montréal), 13 mai, Cahier Investir p. 45-47

Naciri, Ahmed. 2008. Notes de cours. Montréal : Presses de l’Université du Québec, 535p.

Rapport annuel vérifié pour la fin de l’exercice financier au 31 octobre 2006. Internet : http://www.transcontinental.com/ra/rap2007/pdf/rapport_annuel_pdf.pdf

Rapport de recherche par un consultant de la firme Ernst & Young sur l’entreprise Transcontinental inc.

Recherche d’informations financières sur Internet : http://qc.finance.yahoo.com

(9)

LIQUIDITÉ 2007 2006 2005 SIGNIFICATION MARCHÉ REMARQUES Coefficient du fond de roulement (CFR)

Trésorerie immédiate = Act sans les stocks - Pct

Le poids du stock

0,74 0,72 0,90 Devrait être égale au supérieur

à 1 1,50 Ne possède peut-être pas de ressources suffisante à court-terme mais est inférieur à la moyenne du marché

0,49 0,50 0,70 Il ne paie pas plus que la moitié de ces dettes à court terme

0,80 Nette détérioration de l'encaisse

0,24 0,22 0,20 Le poids du stock augmente, l'actif de l'impôt futur augmente

Classement général de la liquidité Insuffisante et plus faible que le marché

SOLVABILITÉ 2007 2006 2005 SIGNIFICATION MARCHÉ REMARQUES

Coefficient du fardeau de la dette = BAII / (Intérêts + (remboursement / (1-tc)))

Couverture d’intérêts = BAII / Intérêts

Endettement total = Passif total / Total du bilan Capitalisation = Capitaux propres / Total du bilan

1,11 5,15 4,92 Devrait être égale ou supérieur

à 1 Est en mesure de rembourser ses dettes, a nettement diminué (correction en fonction du marché)

6,90 7,00 8,00 Acceptable si c'est plus grand

que 1 Diminue légèrement mais nettement trop élévé

0,50 0,50 0,51 Devrait être entre 30 et 60 % 0,73 Plutôt stable, se situe dans les normes

0,50 0,50 0,49 0,27 Plutôt stable, la cie accorde autant d'importance au financement qu'à ses investissements

Classement général de la solvabilité Bonne et stable

EFFICACITÉ 2007 2006 2005 SIGNIFICATION MARCHÉ REMARQUES

Rotation des actifs = Revenus / Actif total

Rotation des immobilisations = Revenus / Actif long terme

Rotation des stocks = CMV / Stock moyen

0,98 1,01 0,98 Plus que c'est haut, mieux que l'entreprise utilise ses

ressources

0,93 Chaque $ d'actifs génère 98 cents de ventes avec un délai de 12 mois

1,16 1,22 1,25 Même signification Chaque $ d'actifs génère $1 de ventes avec un délai de 10.5 mois 18,60 18,60 18,00 Même signification 13,50 Les ventes représentent 18X les stocks avec un délais de 20 jours

Classement général de l’efficacité Très légèrement supérieur au marché

RENDEMENT 2007 2006 2005 SIGNIFICATION MARCHÉ REMARQUES

ROE en % = BN / Capitaux propres ROA en % = BN / Actif total

Marge brute en % = (Ventes - CMV) / Ventes Marge nette en % = BN / Ventes

Marge brute - marge nette BPA = BN / nb d’actions

Dividendes par action = Dividendes / nb d’actions

10,20 11,90 12,60 10,40 Le ROE a diminue et baisse en rapport au marché

5,10 6,00 6,20 5,80 Le ROA diminue aussi et est significativement plus bas que le marché, on l'associe à la stratégie d'investissement (acquisitions)

26,60 26,10 27,40 Devrait être le plus élevé

possible 48,10 La performance est inférieure au marché, ne gère pas aussi efficacement ses fournisseurs?

5,20 6,00 6,30 C’est la marge après

déductions et impôts 4,50 La marge nette diminue et les frais sont de 21% de ses ventes

21,40 20,10 21,10 Autres charges Les frais sont stables

1,42 1,56 1,56 Le bénéfice par action diminue

0,27 0,25 0,21 Le dividende par action augmente légèrement

Classement général du rendement Le rendement diminue légèrement depuis 2005

RISQUE COMPTABLE 2007 2006 2005 SIGNIFICATION REMARQUES

Coefficient de levier combiné (CLC) = Marge brute/BAI Risque d’exploitation (CLE) = Marge brute/BAII

Risque financier (CLF) = BAII/BAI

3,55 3,44 2,97 Doit être le plus près de 1 possiible pour

signifier aucun risque Risqué et monte (le + gros du risque est l'exploitation)

3,00 2,92 2,61 Même signification Peut-être causé par les acquisitions (due aux investissements) 1,18 1,18 1,14 Même signification

(10)

1000 1000 1000 1000 1000

For the Fiscal Period Ending,

12 months Oct-31-2007

12 months Dec-31-2007

12 months Dec-31-2007

12 months Aug-31-2007

12 months Dec-31-2007 Profitability

Return on Assets % 6,1% 6,6% 7,4% 3,8% 5,4%

Return on Capital % 8,5% 9,8% 9,7% 4,9% 6,7%

Return on Equity % 10,4% (1,2%) 30,4% 1,1% 11,3%

Margin Analysis

Gross Margin % 26,6% 26,4% 20,4% 45,4% 100,0%

SG&A Margin % 11,5% 11,2% 11,2% 28,4% 1,2%

EBITDA Margin % 15,0% 15,1% 11,9% 17,0% 14,6%

EBITA Margin % 10,0% 11,0% 9,2% 13,7% 11,1%

EBIT Margin % 9,8% 10,0% 8,7% 13,5% 11,0%

Earnings from Cont. Ops Margin % 5,2% -0,4% 1,2% 0,6% 6,6%

Net Income Margin % 5,2% -0,4% 2,0% 9,7% 6,6%

Net Income Avail. for Common Margin % 5,2% -0,4% 1,2% 0,6% 6,6%

Normalized Net Income Margin % 4,9% 5,0% 2,5% 4,5% 6,2%

Asset Turnover

Total Asset Turnover 1,0x 1,1x 1,4x 0,4x 0,8x

Fixed Asset Turnover 3,2x 4,8x 6,0x 4,3x 4,5x

Accounts Receivable Turnover 12,5x 6,1x 7,1x 6,2x 5,8x

Inventory Turnover 18,6x 14,1x 12,8x 140,6x NA

Short Term Liquidity

Current Ratio 0,7x 1,3x 1,9x 1,1x 1,8x

Quick Ratio 0,5x 0,9x 1,2x 0,8x 1,3x

Cash from Ops. to Curr. Liab. 0,5x 0,4x 0,3x 0,3x 0,6x

Avg. Days Sales Out. 29,3 60,2 51,1 58,8 63,0

Avg. Days Inventory Out. 19,6 25,9 28,5 2,6 NA

Avg. Days Payable Out. 87,5 35,6 30,2 43,3 NA

Avg. Cash Conversion Cycle (38,6) 50,5 49,4 18,1 NA

Long Term Solvency

Total Debt/Equity 45,6% 110,7% 1454,4% 217,4% 71,3%

Total Debt/Capital 31,3% 52,5% 93,6% 67,9% 41,6%

LT Debt/Equity 44,4% 92,2% 1435,6% 216,4% 70,9%

LT Debt/Capital 30,5% 43,7% 92,4% 67,6% 41,4%

Total Liabilities/Total Assets 50,3% 67,7% 95,0% 76,5% 53,2%

EBIT / Interest Exp. 7,6x 5,1x 1,9x 1,9x 4,9x

EBITDA / Interest Exp. 11,6x 7,7x 2,7x 2,4x 6,5x

(EBITDA-CAPEX) / Interest Exp. 7,3x 5,6x 2,3x 1,9x 5,4x

Total Debt/EBITDA 1,5x 2,5x 5,9x 7,4x 2,9x

Net Debt/EBITDA 1,4x 2,3x 5,9x 7,2x 2,8x

Altman Z Score 2,4x 2,0x 1,6x 0,9x 2,3x

Growth Over Prior Year

Total Revenue 1,9% 24,4% 35,4% 6,7% 1,2%

Gross Profit 3,8% 21,3% 39,6% 6,4% 1,2%

EBITDA 2,5% 23,4% 67,5% 6,0% 11,5%

EBITA 2,1% 23,7% 71,0% 7,3% 15,5%

EBIT 0,9% 20,6% 70,0% 8,8% 16,9%

Earnings from Cont. Ops. (11,2%) NA NA NA 28,1%

Net Income (11,2%) NA (64,7%) 56,3% 28,1%

Normalized Net Income (1,2%) 13,7% 90,5% NA 9,5%

Diluted EPS before Extra (8,7%) NA NA NA 27,6%

Accounts Receivable 11,7% 33,1% 50,6% 15,1% (2,3%)

Inventory (1,9%) 41,4% 78,0% (33,3%) (16,8%)

Net PP&E 5,5% 27,2% 70,6% 3,3% (5,6%)

Total Assets 4,7% 25,4% 100,3% 25,7% (2,0%)

Tangible Book Value (21,9%) NA NA NA 14,9%

Common Equity 3,5% (5,3%) 69,9% 21,4% 5,2%

Cash from Ops. 12,6% 30,2% 278,5% 137,7% 22,0%

Capital Expenditures 14,3% 28,8% 53,4% 31,1% (0,5%)

Dividend per Share 10,0% NA NA NA NA

Source: Capital IQ

(11)

For the Fiscal Period Ending,

12 months Oct-31-2007

12 months Dec-31-2007

12 months Dec-31-2007

12 months Aug-31-2007

12 months Dec-31-2007 Compounded Annual Growth Rate Over Two Years

Total Revenue 2,9% 17,2% 13,3% (2,8%) (0,3%)

Gross Profit 1,3% 14,3% 23,3% (6,9%) (0,3%)

EBITDA (2,9%) 16,3% 56,6% (17,6%) (5,7%)

EBITA (2,7%) 17,1% 83,1% (20,9%) (7,2%)

EBIT (3,4%) 15,2% 86,7% (20,2%) (6,9%)

Earnings from Cont. Ops. (6,8%) NA NA 17,5% (7,6%)

Net Income (6,8%) NA NA 423,2% (7,6%)

Normalized Net Income (6,2%) 10,7% NA (6,0%) (8,4%)

Diluted EPS before Extra (4,4%) NA NA 17,5% (7,7%)

Accounts Receivable 10,0% 19,4% 18,1% 1,2% 2,0%

Inventory 1,3% 21,4% 22,4% (18,9%) (5,4%)

Net PP&E 2,9% 12,9% 16,1% (1,9%) (4,9%)

Total Assets 2,6% 13,6% 36,2% 15,4% 12,1%

Tangible Book Value (29,4%) NA NA NA 6,8%

Common Equity 3,2% 2,4% NA 18,0% 4,4%

Cash from Ops. (11,5%) 11,4% NA (29,2%) 4,7%

Capital Expenditures (8,5%) 1,2% 1,3% 3,0% 4,0%

Dividend per Share 14,4% NA NA NA NA

Compounded Annual Growth Rate Over Three Years

Total Revenue 4,4% 17,4% 8,6% (0,5%) 0,1%

Gross Profit 1,7% 16,1% 13,7% (1,8%) 0,1%

EBITDA (2,4%) 18,8% 38,1% (12,0%) (5,4%)

EBITA (3,4%) 22,2% 57,4% (14,4%) (6,8%)

EBIT (4,0%) 20,4% 60,7% (14,1%) (6,6%)

Earnings from Cont. Ops. (2,8%) NA NA (56,0%) (3,5%)

Net Income (2,2%) NA NA NA (3,5%)

Normalized Net Income (5,7%) 17,2% NA (12,5%) (7,8%)

Diluted EPS before Extra (1,2%) NA NA (56,0%) (3,0%)

Accounts Receivable 9,2% 20,3% 10,9% 0,4% 2,1%

Inventory 1,1% 18,9% 13,2% (12,8%) (3,4%)

Net PP&E 3,6% 12,3% 5,3% (1,4%) (5,6%)

Total Assets 5,6% 12,2% 19,5% 8,4% 9,1%

Tangible Book Value (6,2%) NA NA NA 4,5%

Common Equity 6,3% (0,7%) 20,1% 12,2% 5,0%

Cash from Ops. (9,6%) 12,7% 32,5% (13,1%) (8,6%)

Capital Expenditures 11,9% 22,0% 4,8% 18,5% (5,8%)

Dividend per Share 17,4% NA NA NA 1,9%

Compounded Annual Growth Rate Over Five Years

Total Revenue 5,6% 22,2% 3,4% 4,7% 1,0%

Gross Profit 5,7% 22,3% 4,0% 4,8% 48,8%

EBITDA 2,9% 23,1% 12,9% 0,3% (3,5%)

EBITA 1,8% 30,8% 17,2% (0,7%) (4,3%)

EBIT 1,3% 28,3% 18,1% 0,7% (4,3%)

Earnings from Cont. Ops. (0,5%) NA NA 5,0% (4,2%)

Net Income (0,6%) NA NA 84,6% (4,2%)

Normalized Net Income (0,1%) 27,7% 74,3% NA (5,1%)

Diluted EPS before Extra (0,4%) NA NA 5,5% (4,5%)

Accounts Receivable 9,0% 29,4% 9,4% 1,0% 1,0%

Inventory 3,7% 43,6% 9,5% (14,8%) (6,1%)

Net PP&E 2,7% 14,1% 2,4% (0,0%) (3,3%)

Total Assets 6,8% 30,6% 12,6% 4,5% 5,8%

Tangible Book Value NA NA NA NA 11,7%

Common Equity 9,0% 33,7% 18,4% 8,1% 7,4%

Cash from Ops. (0,8%) 23,5% 30,9% 11,0% (4,1%)

Capital Expenditures 1,9% 15,0% 0,4% 14,3% 1,6%

Dividend per Share 18,0% 1,2% NA NA 5,0%

Source: Capital IQ

This model is provided "as is". Capital IQ, Inc. and its affiliates have no liability arising out of your use of this model.

Références

Documents relatifs

Justifier les montants de la ligne : Mobilier, matériel de bureau et aménagement diversb. Pour l’analyse

Actif à long terme Capitaux propres financiers Dettes à long terme. Actif à

2 Appliquée à une acquisition en dessous de la valeur de marché, cette règle de valorisation a pour consé- quence que la valeur réelle dans le chef de la socié- té bénéficiaire

Face a cette situation et convaincus de l’importance de prendre en compte l’enjeu de la rémunération lors de la définition de la stratégie des entreprises,

La phase 2 fournira une évaluation complète du plan 2014 dans de nombreux cas possibles d’apport et de niveau d’eau extrêmes, à la fois élevés et bas, afin de déterminer

comptable Commission de surperformance : calculés selon la méthode de l’actif indicé, les frais de gestion variables sont provisionnés à chaque valeur liquidative et perçus par

De plus, des mousses haute performance sont utilisées dans les portières et dans le châssis pour garantir l’isolation du véhicule : soit pour conserver la chaleur en

Si quelqu’un peut être blessé dans l’affaire, c’est en fait ces peuples authentiques auxquels les Valai- sans s’horrifient d’être assimilés.. Mais ce n’est pas