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أجور مديري الشركات الجزائرية في القانوني الجزائري و الفرنسي

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(5)

Si toute peine mérite salaire, il est des cas où, en l’absence de peine, et en présence de pertes, la rémunération du dirigeant n’est autre qu’une manière de

vider l’actif de la société.

V. C. LABROUSSE, A. BEAUQUIER, F. GAUDILLIÈRE et A. VERCKEN, La responsabilité pénale des dirigeants, Vie pratique, 1996, p. 368.

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-Principales abréviations en langue française al. s. Alinéa s A.M.F. Autorité des marchés financiers

A.N.S.A. Association nationale française des sociétés par actions

Ann. Fac. SÉGC. Annales de la faculté des sciences économiques, des sciences de gestion et des sciences commerciales art. s. Article s

B.C.F.E. Bulletin comptable et financier, Entreprises B.R.D.A. Bulletin rapide de droit des affaires

Bull. civ. Bulletin des arrêts de la Cour française de cassation, chambre civile

Bull. COB. Bulletin de la Commission des opérations de bourse Bull. inf. fisc. Bulletin d’information fiscale

Bull. Joly soc. Bulletin mensuel Joly d’information des sociétés Cah. Dr. entrep. Cahier droit de l’entreprise

C. civ. fr. Code civil français

C. com. fr. Code de commerce français C.E. Conseil d’État français

C. G.I. fr. Code général des impôts français Ch. réun. Chambres réunies

Civ Chambre civile de la Cour française de cassation C. mon. fin. fr. Code monétaire et financier français

Com. Chambre commerciale de la Cour française de cassation

(7)

Comp. Comparer Concl. Conclusions

CREAD Centre de recherche en économie appliquée pour le développement

Crim. Chambre criminelle de la Cour française de cassation C. séc. soc. fr. Code de sécurité sociale français

C. trav. fr. Code du travail français D. Recueil Dalloz

Déb. Ass. nat. Débat Assemblée nationale Décr. Décret

Dr. aff. Droit des affaires Dr. écon. Droit économique Dr. fisc Droit fiscal

Dr. soc. Droit des sociétés éd. Édition

Edik. Édition et diffusion Ibn khaldoun Enal Entreprise nationale du livre Encyc. Encyclopédie

E.U.R.L. Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée Fasc. Fascicule

Gaz. Pal. Gazette du Palais Ibid. Idem, ibidem

IR. Informations rapides du recueil Dalloz J.C.P. Jurisclasseur périodique semaine juridique J.C.P. éd. E. Jurisclasseur périodique, édition entreprise

J.C.P. éd. E.A. Jurisclasseur périodique, édition entreprise et affaire J.C.P. éd. G. Jurisclasseur périodique, édition générale

J.O.R.A. Journal officiel de la République algérienne. J.O.R.F. Journal officiel de la République française Journ. not. Journal des notaires

Juriscl. soc. Jurisclasseur des sociétés L. Loi

Lamy. soc. com. Lamy sociétés commerciales

L.G.D.J. Librairie générale de droit et de jurisprudence Litec Librairies techniques

Mél. Mélanges mod. Modifier n°, n°s Numéro s

N.R.E. Loi française n°2001-420 du 15 mai 2001, relative aux Nouvelles régulations économiques

obs. Observations op. cit. Option citée

(8)

p. pp. Page s

P.A. Petites affiches préc. précitée e, s, és R. Réglementation

Rép. Défrénois Répertoire du notariat Défrénois Rép. min Réponse ministérielle

Rev. alg. Revue algérienne des sciences juridiques, politiques et économiques

Rev. écon. manag Revue économie et management Rev. entrepr. com Revue entreprise et commerce Rev. fid. Revue fiduciaire

Rev. proc. col. Revue des procédures collectives Rev. soc. Revue des sociétés

R.F.C. Revue française de comptabilité R.J.C. Revue de jurisprudence commerciale R.J.F. Revue de jurisprudence fiscale

R.J.S. Revue de jurisprudence sociale

R.T.D. com. Revue trimestrielle de droit commercial

R.T.D. com et écon. Revue trimestrielle de droit commercial et économique s. Suite ; suivant s ; suivante s

S.A. Société anonyme

S.A.R.L. Société à responsabilité limitée S.N.C. Société en nom collectif

Soc. Chambre sociale de la Cour française de cassation spéc. Spécialement

T. Tome th. Thèse

Trib. civ. Tribunal civil . Voir

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Art. 1832 C. civ. fr : La société est instituée par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat d’affecter à une entreprise des biens ou leur industrie en vue de partager le bénéfice ou l’économie qui pourrait en résulter.

Elle peut être instituée dans les cas prévus par la loi par l’acte de volonté d’une seule personne. Les associés s’engagent à contribuer aux pertes.

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4 M. SALAH, L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée de droit algérien : hérésie ou

nécessité d’une institution, in Pérégrination en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, éd. 2002, p. 112, spéc. n°5, p. 125. #& A + , %& & ! F 1 79% 1 F 1 # 9 + < # 7 /

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(12)

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M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, Droit des sociétés, Litec, 14ème éd., 2003 , n°220, p. 83. 2 @ A ) & ' " # - 1 F :& ! 1 ( / 3 ! / 1 / 0 / 4 ! N N -/ 1 / 0 / 5 ! - N N / 1 / 0 / 6 ! / 1 / 0 /

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2S. ASENCIO, Le dirigeant de société un mandataire « spécial» d’intérêt commun, Rev. soc. 2000,

n°4, p. 682. 3 ! $ @ *-& / / 0 /

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3S. ASENCIO, op. cit., pp °s 688 à 689.

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Art. L. 225-92 C. com. fr : Les membres du directoire et du conseil de surveillance, ainsi que toute personne appelée à assister aux réunions de ces organes, sont tenus à la discrétion à l’égard des informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président.

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H. LE NABASQUE, Le développement du devoir de loyauté en droit des sociétés, R.T.D. com. 1999, n°52, pp. 282 et 283.

4 H. LE NABASQUE, Le développement du devoir de loyauté en droit des sociétés,op. cit., n°52,

p. 283 : Cette approche, incontestablement plus spéciale au droit des sociétés, permet de tenter une première définition du devoir de loyauté en doit des sociétés qui peut se définir comme l’obligation, pour les dirigeants de sociétés…de ne pas utiliser leurs pouvoirs ou les informations dont ils sont titulaires dans un intérêt strictement personnel et, préjudice oblige, contrairement à l’intérêt de la société ou à celui des associés.

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1A. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, Droit des sociétés, op. cit., n°693, p. 244.

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3Le Petit Larousse illustré, Paris, 2001, p. 877.

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M. SALAH, Les sociétés commerciales, T.1, Les règles communes, La société en nom collectif-La société en commandite simple, Edik, éd. 2005, n°88, pp. 60 à 62.

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1A. TOUZEAU, La rémunération des organes de gestion dans les sociétés anonymes et les sociétés à

responsabilité limitée, th. Rennes, 1969, p. 1 : ..le dirigeant bénévole est un simple amateur et n’est pas un vrai professionnel.

2Concernant une S.A.R.L., v. Com., 21 avril 1992, J.C.P éd. G. 1992, II, n° 21975, p. 463, note B.

(28)

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Art .L. 226-8 C. com. fr : Toute autre rémunération que celle prévue aux statuts ne peut être allouée au gérant que par l’assemblée générale ordinaire. Elle ne peut l’être qu’avec l’accord des commandités donné, sauf clause contraire, à l’unanimité.

(29)

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Art.L. 221-3 al. 1 C. com.fr.

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Art.L. 2 - al. 1 C. com.fr.

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3M. SALAH, Les sociétés commerciales, op. cit., n°531, p. 301 ; F. LEMEUNIER, Société en nom

collectif, société en commandite simple, société en participation, Delmas, 10ème éd., 1999, n°926, p. 109 et F. DAVID, S.A.R.L., J.C.P. 1969, n°3, p. 1.

(31)

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1 L. AMIEL-COSME, Rémunération des dirigeants sociaux, D. 2004, n°106, p. 18. 2F. DAVID, op. cit., n°s 6 et 7, p. 2.

3Art. L. 223-29 C. com. fr .

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V. en ce sens, art. 2007 C. civ. fr ; M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, op. cit., n° 699, p. 249. et D. GIBIRILA, Société à responsabilité limitée, Encyc. D. avril 2004, n°s368 à 371, pp. 43 et 44.

(32)

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M. SALAH, Les sociétés commerciales, op. cit., n°613, pp. 348 et 349.

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M. SALAH, op. cit., n°482, p. 281 : La loi ne détermine pas les modalités de convocation des assemblées générales : auteur de la convocation, formes de la convocation, ni même l’obligation de rédaction de procès-verbaux. Ces modalités sont le plus souvent fixées par les associés dans les statuts.

(35)

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M. SALAH, op. cit., n°609, pp. 346 et 347 : L’introduction… de l’article 563 bis 4 complique inutilement la situation… les dispositions de l’alinéa 1er …n’éclairent pas sur le point de savoir si elles se réfèrent à la fois aux conditions de majorité et à la forme des délibérations des associés, ou si elles ne concernent que ce dernier point. Dans le premier cas, les conditions de majorité ressortiraient des statuts, les dispositions de l’article 563 bis 8 étant spécialement réservés aux décisions extraordinaires. Telle serait la solution si l’on considère la généralité des termes de l’alinéa 1er de l’article 563 bis 4. Cependant, une lecture attentive des dispositions de ce texte indique que les conditions visées à l’alinéa 1 er ne concernent que la forme des décisions prises par les associés….Dès lors, on est obligé de conclure au silence de la réglementation de la S.C.S. en ce qui concerne les conditions de majorité des décisions ordinaires. Aussi, faudrat-il admettre, en application de la règle de renvoi aux dispositions relatives à la S.N.C., que ces décisions-ordinaires- doivent répondre aux dispositions de l’article 556 alinéa 1er du code de commerce, et ainsi ne peuvent être adoptées qu’à l’unanimité des associés, sauf aux statuts de prévoir que certaines décisions seront prises à la majorité qu’ils fixent

(36)

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3 F. LEFEBVRE, Dirigeants de sociétés, statuts juridique, fiscal, social, F. LEFEBVRE, éd.

2006-2007, n°48360, p. 797. 4 = + O % $ :& 1 ' - = + 9 +. & - < % $ ,& + , ) 6 &+ ' +' * 7 9 1 + 4 & / < % A: $ ! ? & I R 8 ;$ " # 1 + " & N N , & *-& /

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2 Y. BALENSI, Les conventions entre les sociétés commerciales et leurs dirigeants, th. Paris 2, 1973,

n°56, p. 38.

3 J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, Sociétés commerciales, T. 2, Dalloz, 1974, n°1332,

p. 1050. 4 = $ + A % ' .9= ? ' - 6 + ! + ; $ 4 ; $ ! = $ /

J.-F. BULLE, Le mémento du dirigeant S.A.R.L et S.A, Groupe revue fiduciaire, 3ème éd., 1999, n°s575 et 576, pp. 251 et 252 et D. GIBIRILA, op. cit., n°s334 à 336, pp. 271 à 274.

(38)

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(39)

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3Versailles, 12 septembre 2002, Bull. Joly soc. 2003, n°10, p. 57.

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1Versailles, 31 octobre 2002, J.C.P éd. E. 2003, n°3, p. 110 et Dr. soc. 2003, n° 108, p. 22, note J.

MONNET : Il a été jugé que la décision de modifier ou supprimer la rémunération d’un gérant peut être prise sans figurer à l’ordre du jour de l’assemblée dès lors qu’elle résulte implicitement de l’examen des comptes annuels, des résultats au demeurant non approuvés et de la nomination d’un cogérant.

(41)

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En ce sens et concernant l’interprétation de l’article 59 de la loi du 24 juillet 1966, devenu art. L. 223-19 C. com.fr, v. Douai, 9 février 223-1973, D. 223-1973, p. 152 : Rien dans le texte de l’article 59 de la loi n’indique que le législateur ait voulu lui donner un caractère impératif ; cette constatation, permet de conclure qu’une disposition statutaire exigeant une majorité plus élevée que celle de l’article ne serait pas illicite, la liberté ….étant d’ailleurs prévue par l’alinéa 2 du même article

2

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V. M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY , op. cit., n°440, p. 165 et Aix-en-provence, 30 juin 2000, Dr. soc. 1999-2000, n°141, p. 19, note D. VIDAL

4Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 avril 1969, p. 869 et 4 août 1980, p. 3310.

5Actuellement, art. L. 223- 19 al. 1 C.com. fr : Le gérant ou, s’il en existe un, le commissaire aux

comptes, présente à l’assemblée ou joint aux documents communiqués aux associés, en cas de consultation écrite, un rapport sur les conventions intervenues directement ou par personnes interposées entre la société et l’un de ses gérants ou associés. L’assemblée statue sur ce rapport. Le gérant ou l’associé intéressé ne peut prendre part au vote et ses parts ne sont pas prises en compte pour le calcul du quorum et de la majorité

(42)

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V. Paris, 3 juillet 1976, Rev.soc. 1977, p. 465, note D. SCHMIDT.

3X.-C. DE SAINT- CYR, La fixation de la rémunération du gérant de S.A.R.L , P.A. 10 septembre

1986, n°109, p. 9 et concernant le président directeur général de S.A., Paris, 29 novembre 1961, J.C.P. 1962, II, n°12810, note D. Bastian et Com., 17 octobre 1967, Gaz. Pal. 1968, I, p.6.

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(43)

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M. SALAH, Pour une perfectibilité du fonctionnement des sociétés commerciales, Rev. alg. 1991, 1, p. 141, spéc. pp. 145 et 146.

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V. Versailles, 27 octobre 1988, J.C.P. éd. E. 1988, II, n°18 et Bull. Joly soc. 1989, p. 313.

J. F. BULLE, op. cit., p. 235 et F. LEFEBVRE, Participation d’un gérant de SARL à la décision fixant sa rémunération, B.R.D.A. 15 avril 2007, n°3, p.3.

3B. SAINTOURENS, L’entreprise à responsabilité limitée, Dalloz, 1994, n°701, p. 215. 4Paris, 6 décembre 2007, B.R.D.A. avril 2007, n°2, p.2.

5X.- C. DE SAINT-CYR, op. cit., n°109, p. 10 : Le formalisme résultant de la procédure de l’article

50 n’a guère de raison d’être en la matière si l’on considère que les tribunaux ont à leur disposition deux moyens principaux en vue de résoudre les éventuels litiges à naître sur ce problème. D’une part, sur le plan civil, existe la faculté de recourir à la notion classique d’abus de majorité. En seconde part, peut intervenir sur le terrain pénal la théorie de l’abus de biens sociaux

Actuellement, art. L. 223-20 C. com. fr : Les dispositions de l’article L. 223-19 ne sont pas applicables aux conventions portant sur des opérations courantes et conclues à des conditions normales

(44)

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1 Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 avril 1969, p. 870 : Il s’agit des opérations courantes qui sont

effectuées par la société d’une manière habituelle dans le cadre de son activité.

2V. H. LE NABASQUE, Commentaire des principales dispositions de la loi n°2003-706 du 1er août 2003, sur la sécurité financière intéressant le droit des sociétés, Bull. Joly soc. août-septembre 2003, n°185, p. 859 : La loi n°2003-706 du 1er août 2003, sur la sécurité financière a créé la nouvelle autorité des marchés financiers AMF qui naît de la fusion de la COB et du CME.

3Bull. COB. juin 1981, p. 6. 4X.-C. DE SAINT-CYR, préc.

5Rép. min, 4 avril 1969, préc. : Pour déterminer si une convention a été conclue dans des conditions

normales, il convient, semble-t-il, de tenir compte des conditions dans lesquelles sont habituellement conclues les conventions semblables non seulement dans la société en cause mais encore dans les autres du même secteur d’activité.

6 J. DELGA, Le droit des sociétés, Dalloz, 1998, n°3, p. 237, M. COZIAN, A. VIANDIER et F.

DEBOISSY, op. cit., n° 727, p. 195 et C. MALECKI, Conventions réglementées, Encyc. D. 2002, n°64, p.14.

(45)

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1C. MALECKI, op. cit., n°63, p. 14.

2Concernant une S.A, v. Versailles, 15 mai 1985, Bull. Joly soc. 1985, n° 381, p. 1193.

3

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4Art. L. 223- 19 al. 4 C. com. fr ; Caen, 23 janvier 2007, B.R.D.A. 2008, n°1, p. 2 et Dr. soc. mars

2008, n°57, p. 28, note J. MONNET.

M. BERGERES et Ph. DUPRAT, Les dirigeants de sociétés, statuts juridique, fiscal, social, Delmas, 1ère éd., 1987-1994, p. 76.

(46)

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1Rép. min., J. O. déb. Ass. nat. 19 avril 1968, p. 1166 : En tous cas, la nomination aux fonctions de

gérant étant décidée par l’assemblée des associés qui fixe également la rémunération correspondante, les dispositions de l’article 50 de la loi du 24 juillet 1966 ne trouvent pas application en cette matière .

2Com., 30 mai 1989, Bull. Joly soc. 1989 , n°258, p. 715, note P. LE CANNU et Rev. soc. 1989,

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M. SALAH, Pour une perfectibilité du fonctionnement des sociétés commerciales, op. cit., p.156. et M. SALAH, L’expertise de gestion : une institution utile en droit des sociétés commerciales, Rev. entrep. com., n°1, 2005, p. 11, spéc. n°7, p. 17.

(47)

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1M. MARTEAU-PETIT, note sous, Com., 30 mai 1989, J.C.P.éd. G. 1990, I, n°21405, spéc. n°s21 à 23.

2 B. SAINTOURENS, op. cit., n°701, p. 216 ; F. LEMEUNIER , Société a responsabilité limitée,

S.A.R.L, création- gestion, Dalloz, 29ème éd., 1999, n°1146, p. 154 ; F. LEFEBVRE, Participation d’un gérant de SARL à la décision fixant sa rémunération, préc. et Com., 30 mai 1989, préc.

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(48)

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P. SERLOOTEN, Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), Encyc. D. février 2001, n°105, p. 15 et F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48100, p. 778.

2 Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, Groupe revue fiduciaire, Villeguérin, éd. 1998, n°1032, p. 374.

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(49)

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3 M. SALAH et F. ZÉRAOUI, Une pratique contestable de plus en droit algérien des sociétés

commerciales : la réunion des assemblées générales des entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée, in Pérégrinations en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, éd. 2002, p. 91, spéc. n°6, pp.°s 96 à 101.

4M. SALAH et F. ZÉRAOUI, Une pratique contestable de plus en droit algérien des sociétés

commerciales : la réunion des assemblées générales des entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée, op. cit., n°8, pp. 102 et 103.

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(50)

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1P. SERLOOTEN, op. cit., n°108, p. 15 et n°s126 et 127, p.17.

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(51)

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Com., 14 novembre 2006, Bull. Joly soc. 2007, n°84, p. 369, note A. LECOURT et Dr. soc. 2006-2007, n°52, p. 25, note J. MONNET : Les juges ne peuvent pas se substituer à l’assemblée générale, statutairement compétente mais défaillante, pour déterminer la rémunération du gérant

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V. Y. DEREU, Rémunération du gérant, S.N.C, Juriscl. soc. 2001, fasc 55-10, n°27.

5Paris, 17 février 1965, Gaz. Pal. 1965, I, p. 305, note CABARAC ; H.-E BARRAULT et J. LABIC,

(52)

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1Versailles, 20 septembre 1990, Rev. soc. 1991, p. 80, note C. ROCA : Considérant qu’en l’absence

d’une décision relative à la rémunération du gérant, et en raison de la situation de blocage constatée à l’occasion de plusieurs réunions de l’assemblée générale, il appartient aux tribunaux de fixer une rémunération en raison du travail effectué et des responsabilités encourues

2 C. ROCA, note sous Versailles, 20 septembre 1990, préc.

3Com., 11 janvier 1972, D. 1972, p. 559, note C. ORENGO : Attendu qu’en statuant ainsi …les juges

ne pouvaient substituer leur décision à celle des associés dès lors qu’il n’était pas établi que celle-ci fût irrégulière ou abusive.

4V. art. 1134 C. civ. fr : Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont

faites.

Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise.

Elles doivent être exécutées de bonne foi.

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(53)

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V. C. ORENGO, note sous Com., 11 janvier 1972, préc. C. ROCA, note sous Versailles, 20 septembre 1990, préc.

Angers, 27 mai 1964, J.C.P éd. G.1964, II, p. 13836, note R. RODIERE et R.T.D. com. 1964, p. 792.

(54)

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V. C. ORENGO, note sous Com., 11 janvier 1972, préc.

2Com., 31 mars 2009, D. 2009, n°16, p. 1087.

3A. MOREAU, La société anonyme, T. 1, 2ème éd., 1955, n°105, p. 158.

4 Com.,12 janvier 1970, R.T.D. com. 1970, n°7, p. 415 cité par Ph. MERLE et E. CHEVALLIER-

MERLE , L’application jurisprudentielle de la loi du 24-07-1966 sur les sociétés commerciales, Dalloz, éd. 1975, n°298, p. 332.

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1F. LEMEUNIER, Société en nom collectif, société en commandite simple, société en participation,

op. cit., n°926, p. 109, et A. TOUZEAU, th. préc., p. 64.

2F. DAVID, S.A.R.L , op. cit., n°9, p. 2.

3J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy. Soc. com., éd . 2006, n°2884, p. 1279. 4Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, op. cit., n°350, p. 158.

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3F. LEFEBVRE, S.A.R.L, éd. 2002, n°34370, p. 430 : Certaines sociétés fixent la rémunération à x

fois celle attribuée dans la profession à un salarié de tel niveau hiérarchique.

4F. DAVID, op. cit., n°10, p. 2 : Au point de vue purement juridique, par ailleurs, le gérant n’est pas

lié à la société par un contrat de louage de services, mais par un contrat de mandat. Par suite, les majorations légales de traitement décidées en faveur des salariés ne s’appliquent pas de plein droit, sauf convention contraire.

(58)

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1B. PETIT, note sous Com., 21 avril 1992,préc. 2Versailles, 20 septembre 1990, préc. 3 A % 4 + - + < " " + )= 79% 4 + ! * +. 2 ( ! -" # -" & @ :& V ( # / A ) " # " & $ A " # $ .%& :& 9 + < # %& " A ' 1 7 /

4Concernant une S.A.R.L, v. Com., 21 février 1995, préc. 5B. PETIT, note sous Com., 21 avril 1992 , préc.

(59)

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2Ch. réun., 11 mars 1914, D. 1914, 1, p. 257, note L. SARRUT : Dans son arrêt du 11 mars 1914, la

Cour de cassation a jugé que la caisse de Manigod était une association et non une société. Pour cela, elle a défini le bénéfice comme étant un gain pécuniaire ou un gain matériél qui ajouterait à la fortune des associés.

3M. SALAH, Les sociétés commerciales, op. cit., n°98, p. 67 : Le gain pécuniaire correspond à un

enrichissement en argent qui se concrétise sous la forme de dividendes distribués, alors que le gain matériel correspond à la distribution de produits fabriqués ou pas par la société ou à une distribution d’actions.

(60)

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3F. DAVID, S.A.R.L, op. cit.,n°s 13 à 20, pp. 2 et 3.

4Art. L. 223-21 al. 1er C. com.fr : A peine de nullité du contrat, il est interdit aux gérants ou associés autres que les personnes morales de contracter, sous quelque forme que ce soit, des emprunts auprès de la société, de se faire consentir par elle un découvert, en compte courant ou autrement, ainsi que de faire cautionner ou avaliser par elle leurs engagements envers les tiers. Cette interdiction s’applique aux personnes morales associées……

(61)

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2 F. DAVID, S.A.R.L, op. cit., n°21, p. 3.

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4 V. art. 107 al. 2, loi n°75-1347 du 31 décembre 1975 relative aux tantièmes, J. O. R.F. 4 janvier

1976, p. 187.

5A. TOUZEAU, th. préc., p. 67.

(62)

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2V. art. 352 de la loi n° 66-537 du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales, J.O.R.F du 26 juillet

1966, n°171, p. 6402, devenu art.L. 232-19 C.com.fr.

3Concernant une S.A.R.L, v. Douai, 9 février 1973, cité in Ph. MERLE et E. CHEVALIER MERLE,

op. cit., n°120, p. 133 : Attendu qu’il faut constater que d’une part les articles 351, 352, 353 de la loi du 24 juillet 1966 sont placés dans un chapitre applicable à toutes les sociétés commerciales dotées de la personnalité morale, et qu’ils sont relatifs à la rémunération des dirigeants de ces sociétés, d’autre part qu’il n’existe pas….d’autre disposition concernant le même objet…

4Ph. MERLE et E. CHEVALIER MERLE, op. cit., n°120, p. 134. 5 J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, op. cit., n°1331, p. 1049.

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