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100 Mercredi 19 décembre 1888.

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M. Jules Gfeller, au * ^ f ^

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Deuxième année. — N

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100 Mercredi 19 décembre 1888.

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«le l a « F é d é r a t i o n h o r l o g è r e euiMMe » s e r o n t t r a n s f é r é s r u e d e l ' U n i o n 4 , m a i s o n C i t e r n e , a u p r e m i e r é t a g e . E n t r é e p a r l a c o u r .

B r e v e t s « l ' i n v e n t i o n . — Vu les graves conséquences qui peuvent résulter pour les inventeurs de l'inobservation des articles 20 et 21 de la loi fédérale sur les brevets d'invention du 29 juin 4888, nous croyons devoir rappeler ici le texte de ces deux articles:

Art. 20. Tout propriétaire de brevet définitif devra munir les objets fabriqués d'après ledit brevet, à un endroit visible, de la croix fédérale suivie du numéro du brevet.

Si la nature de ces objets ne permet pas de les munir de cette indication, cette dernière sera apposée sur leur emballage.

Aucune action ne pourra être intentée pour Ia contrefaçon d'objets brevetés, si le titulaire du brevet a négligé de marquer ses produits de la manière indiquée plus haut.

Art. 21. Le propriétaire d'un brevet pourra demander que les personnes men- tionné s àl'artiele4 munissent également les objets fabriqués par elles de la croix fédérale et du numéro du brevet.

T R A V A I L R É C I P R O Q U E . Nous annoncions, dans l'un de nos derniers numéros, que le Comité central du Syndical des ouvriers de l'ébauche

avait, en suilc d'un préa'.is unanime de ses sections, offert son concours effectif au Syndicat des fabriques clans la lutte qu'il soutient contre deux établissements dissidents.

Il s'agissait d'un engagement récipro- que, dont les termes étaient proposés comme suit par les ouvriers : Les ouvriers' membres du Syndicat s'interdisent d'al- ler travailler dans les deux fabriques dissidentes; par contre, les fabriques syndiquées s'engageraient à ne pas occu- per des ouvriers sortant des deux fabri- ques dissidentes.

Le Syndicat des fabriques d'ébauches a accordé à l'offre des ouvriers toute l'at- tention qu'elle méritait et, après l'avoir sérieusement discutée, a pris une déci- sion favorable à l'application du principe du travail réciproque. Notification de celte décision a été faite aux ouvriers dont le Comité doit examiner les voies et moyens propres à assurer la complète exécution d'une convention formelle à intervenir, et qui doit encore fournir, au Syndicat des fabriques, des données exac- tes sur le nombre des ouvriers qui font partie du Syndicat, sur le nombre de ceux qui sont jusqu'ici restés en dehors, ainsi que sur les mesures qu'il compte prendre envers les dissidents.

Quoi qu'il en soit, voilà le principe du travail réciproque et exclusif entre pa- trons et ouvriers syndiqués à la veille de passer du domaine de la théorie dans celui de l'expérimentation. Aussi enga- geons-nous vivement les ouvriers de l'ébauche à réunir, le plus rapidement possible, les données statistiques qui leur sont demandées et à faire un exposé complet de leurs moyens d'action.

Au moment où les sections ouvrières de la Fédération horlogère ont mis à l'étude la question de l'application du tra- vail réciproque, l'essai qui, selon toutes prévisions, va en être prochainement tenté dans la partie des ébauches, acquiert

une importance toute particulière, car de sa réussite ou de son insuccès pourra dépendre le sort des tentatives qui seront faites dans d'autres branches de notre industrie.

Ce principe est d'ailleurs juste en lui- même et il est trop le couronnement de l'organisation syndicale à laquelle on tra

r

vaille depuis trois années, pour qu'il n'y ait pas de bonnes raisons de croire à la possibilité de son application successive aux syndicats arrivés à une organisation suffisamment développée.

La grande loi des majorités ne pouvant être méconnue lorsqu'il s'agit de mesures prises et appliquées en dehors de l'état de guerre, il s'agira toujours, dans celte question du travail réciproque, de savoir si son application ne risque pas d'ame-.

ner une perturbation qui stérilise les bons résultats qu'on en attend. Il faudra avant tout évaluer ses forces et savoir exactement combien l'on est de chaque côté.

Le Syndicat des ébauches paraît être dans des conditions exceptionnellement favorables sous ce rapport. Les chefs de fabrique sont syndiqués à deux exceptions près et les sections ouvrières ont des effectifs fort respectables et sur l'impor- tance desquels on ne tardera pas à être exactement fixé.

Il y a donc lieu d'espérer que cette

première tentative d'application du prin-

cipe du travail exclusif et réciproque en-

tre patrons et ouvriers syndiqués sera

couronnée de succès, et qu'elle servira

de point de départ à la formation de la

grande famille horlogère que nous vou-

drions tous voir fondée selon l'heureuse

formule que développait, au début du

mouvement, l'honorable président de la

Fédération.

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LA FEDERATION UOULC3ERE SUISSE ILa fiHcbacîe «Isa ÏPasîiiiaaa.

M. Peylral a, comme on le sait, déposé à la Chambre française un projet de loi tendant à proroger pour trois mois les échéances de la Compagnie de Panama.

La Compagnie de Panama a demandé au gouvernement de soumettre à la Chambre un projet de loi autorisant la prorogation de ses échéances pendant trois mois. Cette déroga- tion se justifie par les raisons les plus sé- rieuses.

L'intérêt qui s'attache à cette entreprise, l'importance des capitaux engagés, enfin et surtout le nombre des souscripteurs entre lesquels se répartissent les actions et obliga- tions de la Compagnie, a fait au gouverne- ment, en ce qui le concerne, le devoir d'ac- cepter de soumettre cette demande aux Chambres.

La Compagnie de Panama estimait que Ie délai de trois mois lui permettrait de trouver des combinaisons de nature à assurer l'achè- vement du canal. Le gouvernement pria donc la Chambre de donner son assentiment à un projet que la Compagnie déclare devoir faci--j liter l'accomplissement de ses obligations.

Le gouvernement déposa donc le projet de loi suivant :

« Article unique. — La Compagnie univer- selle du canal interocéanique est autorisée à .proroger pendant un délai de trois mois, à partir du 14 décembre 1888, le paiement des sommes dont elle est débitrice, y compris les

•coupons des actions et obligations.

« Toutefois cette prorogation ne s'appli- quera pas aux 1,151,671 obligations restant à émettre au l"r décembre 1888 sur l'emprunt autorisé par la loi du 8 juin 1888.

« Le fonctionnement de l'amortissement des obligations sera également suspendu pendant le même délai de trois mois.

« Le service des lots attachés aux obliga- tions créées en vertu de la loi du 8 juin 1888 continuera à fonctionner en vertu des garan- ties constituées par la même loi. »

. La commission du Panama a entendu Ie 15 décembre M. Peytral, qui lui a communi- qué divers documents, notamment un traité privé entre la compagnie et la Colombie. Ce traité ne parle pas de déchéance de la com- pagnie, mais seulement de caducité en cas de suspension des travaux pendant six mois.

M. Peytral espère qu'une société nouvelle se constituera pour achever le canal. En atten- dant, les administrateurs provisoires ont le pouvoir de continuer les travaux.

La Chambre a rejeté, par 262 voix contre 188, le projet du gouvernement concernant la compagnie de Panama.

Voilà donc la plus grande entreprise indus- trielle de ce siècle compromise et son pro- moteur obligé de donner sa démission de président-directeur après que la Chambre française a, dans le débat mouvementé qui a eu lieu à l'occasion du projet du gouverne- ment, entendu l'un de ses députés déclarer que la Compagnie de Panama a donné le spectacle des mensonges les plus audacieux et des plus coupables pour faire entrer dans ses caisses l'épargne française.

On ne peut s'arrêter à l'idée qu'une entre- prise aussi colossale, qui a englouti autant de millions et coûté la vie à un aussi grand nombre de travailleurs puisse être abandon- née. La question est de savoir si c'est la ca- nal de M. de Lesseps ou celui du Nicaragua qui sera ouvert, car on ne peut mettre aucun doute qu'un canal interocéanique ne soit exé- cuté un jour ou l'autre.

Pour le moment, les onze cent mille por- teurs des titres de Panama ont la ruine en perspective et l'épargne française qui, sur la foi des promesses imprudentes des promo- I

teurs ρ* η «s o· '.'".rusiastes que clairvoyants de l'entreprise, s'est jetée les yeux fermés dans ce gouffre sans fond, va subir une atteinte dont elle aura de la peine à se relever.

Dans quelle mesure ce désastre atteindra- t-il notre pays? Il serait intéressant de le connaître ; d'après ce que l'on cro;.f, !PS rou- teurs de titres ne seraient heureuaemenc pas trop nombreux chez nous et nous n'aurions pas été gagnés par l'engouement dont le pu- blic français a fait preuve envers cette entre- prise.

Quoi qu'il en soit, ce nouveau krach aura son contre-coup en Suisse, donnant un nou- vel argument à ceux qui pensent que les ca- pitalistes suisses feraient souvent mieux d'en- gager, dans nos propres entreprises indus- trielles, l'argent que l'appât de gros dividen- des leur fait aveuglement jeter dans le gouffre béant des grandes entreprises étrangères.

Les dernières nouvelles sur cette affaire disent que l'administration a décidé do con- voquer pour fin janvier une réunion générale des actionnaires, dans laquelle ils exposeront la combinaison qui paraîtra la meilleure pour sortir de la situation actuelle.

Monopole.

Le petit commerce parisien a un sujet de plainte qui l'exaspère au possible: c'est le monopole qui tend à s'établir au profit des grands magasins, comme le Bon marché, le Louvre, le Printemps, devenant peu à peu d'immensps bazars, où l'on trouve à acheter tout ce qu'on veut, et parvenant ainsi à acca- parer toute la clientèle.

Comme ils achètent par grandes masses, et peuvent profiter de toutes las occasions, comme ils répartissent leurs frais généraux sur de plus nombreuses affaires, ils peuvent vendre a des prix inférieurs à ceux des petits magasins; ils offrent plus de choix, et il est plus commode de tout trouver sous la main, de faire toutes ses emplettes en une seule course.

Aussi le petit commerce ne peut pas lutter;

il languit, s'étiole et finit par succomber: on voit autour de soi les locataires se succéder dans les magasins et se retirer ruinés, sinon en fallite. ι

On a formé une ligue contre les grands magasins; on tient de temps en temps de gigantesques meetings, où l'on fulmine contre eux; on adresse des pétitions au Gouverne- ment, aux Chambres, au Conseil municipal.

Mais, qu'est-ce que tout cela peut faire?

Empêchera-t-on les acheteurs d'aller où ils veulent? Ou bien rétabliera-t-on les anciennes ordonnances, qui défendaient aux cordonniers de raccommoder les souliers, aux savetiers d'en faire de neufs, aux boulangers de vendre des brioches, etc. ?

Il est certain que ces grands établissements, qui sont au commerce ce que les grandes usines à vapeur sont à l'industrie, opèrent comme eux une révolution économique, à certains points de vue sociale, qui présente des côtés fâcheux. Mais ce sont là des consé- quences forcées des nouvelles conditions éco- nomiques de l'activité générale.

C'est peut-être seulement une discordance passagère, une transition pour arriver à l'har- monie des intérêts dans une organisation nouvelle.

Mais, en attendant, le passage est dur pour beaucoup, et si plus tard l'intérêt général doit en définitive en profiter, pour le moment bien des intérêts privés en pâtissent.

Responsabilité des patrons.

En Angleterre, la Chambre des communes s'occupe d'une mesure essentiellement démo- cratique et tout en faveur des ouvriers, mais que l'obstruction pratiquée par les radicaux empêchera peut-être d'être votée.

11 s'agit d'une amélioration apportée au régime qui règle la responsabilité des patrons dans les accidents qui arrivent aux ouvriers.

La législation anglaise sur la matière, très en retard sur la notre, renferme un principe absolument unique et qui, croyons - nous, n'est inscrit sur aucune législation : quand un accident est dû à la faute d'un ouvrier où d'un employé, la responsabilité du patron ou de la compagnie n'est engagée que vis-à-vis des étrangers, mais s'arrête aux ouvriers ou aux employés du patron ou de la compagnie.

Ainsi, dans un accident de chemin de fer, un voyageur blessé a droit à une indemnité, mais un employé au service de la compagnie, blessé dans le même accident, n'a aucun recours légal.

La mesure proposée par le gouvernement anglais, entre autres améliorations, ferait cesser cet abus ; mais comme cette mesure ne concède pas encore tout ce que demande le parti des « trades unions » ses représen- tants à la Chambre repousseront la mesure gouvernementale, en se buttant a la politique du et tout ou rien », ce qui aura peut-être pour résultat de sacrifier les intérêts de centaines de milles ouvriers, aux exigences des trades unions intransigeants.

PUBLICATION

duBureau fédéral de la propriété intellectuelle Outre le recueil des marques suisses et étrangères, dont le prix d'abonnement annuel est de 3 fr. pour la Suisse, le bureau publiera :

1° La liste des brevets, publication qui ren- fermera :

a. la classification des inventions établie par le bureau ;

b. la liste semi-mensuelle des brevets enre- gistrés, radiés ou ayant subi des modifi- cations dans leur droit de propriété;

c. le catalogue annuel des titres de brevets, établi par classes ;

d. le catalogue annuel alphabétique des pro- priétaires de brevets.

La première année comprendra tout ce qui sera publié du 15 novembre 1888 au 31 dé- cembre 1889.

Le prix d'abonnement annuel, payable d'a- vance, est fixé à 4 fr. pour la Suisse.

2° Les exposés d'invention, fascicules sé- parés reproduisant la description et les des- sins de chaque invention. Le prix de chaque fascicule variera suivant l'étendue de la pu- blication. Il sera compté à raison de 20 cts.

par feuille de deux pages in-4°, imprimées ou non.

On pourra s'abonner à une ou plusieurs classes déterminées d'invention aux condi- tions suivantes: Chaque abonné remettra au bureau fédéral, directement ou par mandat postal, la somme de 50 francs, qui sera portée à son crédit dans un compte à lui ouvrir. A mesure que paraîtront des exposés d'inven- tion de la classe indiquée, un exemplaire en sera envoyé et porté en compte à chacun des abonnés. Le bureau fédéral avertira immé- diatement les abonnés dont le dépôt se trou- vera épuisé.

Pour Yétranger, les frais de port seront ajoutés aux prix d'abonnement des deux pu- blications.

Le tirage des publications dont la liste pré- cède étant très restreint, les personnes qui

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•désirent se les procurer sont priées de trans- mettre au plus vite leur demande d'abonne- ment. 11 ne pourra être tenu compte des

?cTV!"1 des qui parviendraient après l'épuise- iiiem du nombre d'exemplaires disponible.

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YFILrS DIVERSES

F a b r i q u é e d ' h o r l o g e r i e . — On an- nonce que l'assemblée des actionnaires de la fabrique de Saignelégier a décidé, par 56 voix contre 2, la dissolution de la Société. La liquidation de cette fabrique a été confiée à une commission de trois membres.

D'autre part, la fabrique d'ébauches et de montres de Moutier va être réorganisée sur des bases qui paraissent devoir la consolider d'une manière définitive ; un nouveau capi- tal-actions a été souscrit et certaines modifi- cations ont été apportées dans l'administra- tion de l'établissement.

I n d u s t r i e d e s m é t a u x . — L'industrie française, depuis la nouvelle loi sur l'appren- tissage, est menacée, dit le Moniteur de l'hor- logerie et de la bijouterie, d'une décadence prochaine par l'abandon de l'apprentissage.

1° Par les patrons, n'ayant plus l'autorité nécessaire pour diriger la jeunesse inexpéri- mentée;

2° Les parents recherchant un salaire im- médiat pour leurs enfants; tels que : grooms,

porteurs, postes et télégraphes, etc., qui plus tard ne laisse à ces enfants devenus hommes aucun métier dans les mains et en font des domestiques, cela est donc une grave question pour l'avenir et la dignité d'une nation.

Un groupe d'hommes dévoués aux réels intérêts de l'industrie s'est préoccupé de

cette effrayante situation de prochaine déca- dence par le manque d'ouvriers ir.s""?:s d?ns diverses industries.

Le syndicat des fabricants a fait de pro- fondes études sur celte question et par di- verses combinaisons humanitaires, sacrifices de temps et sacrificos d'argent, vient de cons- tituer l'OEuvre philanthropique de la propa- gation de l'apprentissage et du placement des apprentis dans l'industrie des métaux et de celles qui s'y rattachent.

Κι» f a u s s e m o n n a i e . — On signale en­

core de la fausse monnaie dans le quartier du faubourg Montmartre (Paris). Ce sont des pièces de cinq et de deux francs en argent, à l'effigie de la République et au millésime de 1874.

Plusieurs commerçants des rues Drouot, Grange-Batelière et Faubourg - Montmartre, ont reçu, dans la journée de samedi et di- manche, un certain nombre de ces pièces fausses qui sont très bien frappées.

Le son en est très bon, c'est au poids — elles sont très légères — qu'on peut les re- connaître.

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Bronzage violet. —On obtient sur le cuivre décapé une autre teinte variant du violet à la teinte acier, en se servant du bain suivant : on fait dissoudre dans l'acide chlorhydrique une petite quantité de beurre d'antimoine (chlorhydrate de chlorure d'antimoine), on chauffe légèrement et on y plonge les objets en agitant pendant un petit moment. Au sortir du bain, on les rince dans l'eau propre et souvent renouvelée.

(Journal des applications électriques.}

JL^TZS

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Chaux-de-Fonds. 495 Une maison de la Chaux-

de-Fonds demande à entrer en relations avec une fabrique de montres qui pourrait fournir des remontoirs métal cylindre 18 lignes.

On exigerait la seule représenta- tion pour quelques pays du continent.

S'adresser: Poste case 555, La

Chaux-de-Fonds. 494

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d e b o î t e · à m u s i q u e qui désirent se faire représenter dans 1 Amérique du Sud ou qui ont de bonne marchandises à vendre, peu- vent s'adresser à S. A. 10, poste res-

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au bureau du journal. 488

Un comptable

avec de modestes prétentions, con- naissant la fabrication d'horlogerie et la clientèle de plusieurs pays, corres- pondant dans les deux langues, désire se placer au plus vite dans un comptoir ou fabrique d'horlogerie.

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horlogerie, Bienne. 492

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CAMILLE BULLE

Charquemont (France)

S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E Concours des chronomètres du 2 janvier au Sl mai 1888 (4)

A Ecart maximum des marches à la température ambiante. Limite 285.

B Id. successives. Limite l5.

C Id. au chaud (30° environ). Limite 2»5.

F Id. au froid (0° environ). Id. 3»5.

I Id. aux petites amplitudes. Id. 38O.

E Id. aux positions sur XII et VI, ou sur III et IX. Limite 68O.

N Nombre de ilassement [égal à A1 plus B, plus V2 JT, plus le plus grand de C ou de V2 F ] (2).

425

Construc- teurs Classés Delépine Delépine Leroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy Leroy &fils Leroy Leroy Leroy Leroy Thomas Leroy Leroy Non classés

Leroy Leroy Leroy Rousseau-

Lecocq Callier

N08 des Chrono-

mètres 4505 1468 695 669 684 654 1508 663 681 146 664 706 680 64S 2 688 658 692 659 682 5 575

A

0,42 0,67 0,66 0,97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2,63 1,72 2,65 2,86 2,38

B

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0,29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 i,10 1,66 0,64 0,78

C ou V„ F

0,33- 0,97 1,21 0,80 0,82 1,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29

v.i

0,94 0,49 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0,87 1,49

E

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

N

1,99 2,53 2,56 2,93(3) 3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,76 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,73(3) 5,83 6,94

Détails de construction

Bal. cire, ipiral palladium Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

BiI. cire.

Id.

Id.

Id.

Id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. acier id. palladium id. id.

tpiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. acier (1) Nombre des chronomètres présentés : 43. Classés, 17 ; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec

résultats incomplets ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a de- mandé au Ministère l'acquisition des six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans le Journal suisse d'Horlogerie, XIme année, page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du rèelementï

(4) Id. Id. 0 25 Id. ( Μ™ £

DE

Phtlilsle pulmonaire, bronchite*, catarrhes chronique*, a s t h m e , affec­

tions du larynx et de la gorge. Mala­

dies du cœur. Cancer. Clinique spéciale, unique en Europe. Guérison sûre, même dans les cas les plus sérieux, par un trai- tement nouveau, véritablement spécifique, re- connu supérieur à tous les autres, dont milliers de guérisons et six années d'expé- riences comparatives dans les hôpitaux de France, de Russie, d'Angleterre, d'Autriche, etc., etc., ont prouvé jusqu'à l'évidence toute la puissance et la haute valeur curative.

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